Avant d’aller dans sa chambre, il prend un verre de scotch au bar et déambule à travers le Manoir. C’est vraiment un bâtiment magnifique. S’il avait été mal entretenu, il aurait été parfait pour un film d’horreur : il est rempli de recoins, il y a plusieurs doubles portes et probablement quelques chambres secrètes. La clientèle se fait plutôt discrète. Elle semble être composée surtout de richissimes hommes d’affaire, mais il aperçoit quand même quelques couples et même une femme d’affaire seule. Mais ce qui frappe le plus c’est le personnel de l’hôtel : ce sont presque toutes de jolies jeunes filles entre 20 et 30 ans habillées en femme de chambre classique : petit tablier blanc, jupe courte, bas collants et talons hauts. Leur habit est beaucoup trop osé pour un hôtel standard, mais personne ne semble s’en formaliser. Leurs tenues semblent même très bien se fondre dans l’ambiance de luxure qui prédomine. Notre détective reluque les femmes de chambre : il est évident qu’elles lui plaisent. On devine même une érection dans son pantalon. Certaines lui sourient, d’autres l’ignorent et continuent leur travail. Mais après quelques minutes, il est évident que la fille disparue ne fait pas partie des employées. Dans un couloir moins éclairé, il aperçoit un homme habillé avec un chic veston cravate. Celui-ci semble porter une espèce de collier au cou. Difficile de voir si le collier est en cuir ou en métal. On entend une voie de femme autoritaire et l’homme soumis rentre rapidement dans une chambre. À l’extérieur, on aperçoit un homme à quatre pattes qui semble suivre de près deux femmes de chambre. Ils se dirigent vers le jardin extérieur, une sorte de petit labyrinthe. Avant de disparaître derrière une haie, on remarque que l’homme se fait mener par une laisse tenue par une des femmes de chambre. Notre héros décide de s’installer finalement dans sa chambre. C’est une chambre luxueuse au premier étage avec un grand lit. La base de lit est en bois taillé avec des motifs. Aux quatre coins du lit, il y a un pilier en bois qui monte jusqu’au plafond. C’est un meuble ancien qui semble avoir été taillé sur mesure pour le bondage. Il y a plusieurs peintures dans la chambre avec des portraits beaucoup plus érotiques quand dans les salles communes. Une femme nue monte un homme comme s’il n’était qu’un objet. Le visage d’un homme à quelques centimètres d’un sexe féminin. Dans un des portraits, il n’y a pas de nudité : c’est simplement une femme habillée en noir avec un fouet. J’aime de plus en plus ta sélection de film… On suit tous les deux avec appréhension la suite de l’histoire. On entend le bruit caractéristique de talons hauts sur le sol. Avec une démarche déterminée, la responsable du Manoir pénètre dans la chambre. Notre détective semble un peu contrariée qu’elle soit rentrée sans même avoir cogné. Cette fois ci, elle sourit et lui offre un sac de velours noir, courtoisie de la maison. Il prend le cadeau tout en la dévisageant du regard. Elle porte toujours son tailleur noir qui lui donne un look sévère, mais elle a déboutonné au moins trois boutons. Elle exhibe son décolleté ouvertement et le détective ne semble pas immunisé à son charme. On pense tous les deux qu’ils vont baiser. Tu recommences à te toucher. Je prends ça comme un signal positif et je recommence à me masturber lentement en fixant l’écran. Mais finalement, le détective semble se méfier d’elle. Il la raccompagne jusqu’à la porte de sa chambre. Il barre même la porte. Puis, comme les employés ont probablement les clés, il glisse une lourde commode devant l’entrée. Il décide finalement d’ouvrir le sac : il y a une bouteille de son scotch préféré et une petite bouteille de lubrifiant.
Il termine de vider sa valise. Il prend une douche et se couche nu sur le lit. Il commence à se masturber. Il prend le lubrifiant et se frotte encore plus vigoureusement. C’est évident qu’il est en train de fantasmer sur la directrice du Manoir. Il a beau s’en méfier, il la désire ardemment la peloter. La séance de masturbation est entrecoupée d’une autre scène : dans une pièce connexe, une jeune fille se masturbe elle aussi. Au début, on l’a voit de dos : cheveux courts noirs, bottes de sauteuse jusqu’à mi-cuisse avec un collier de cuir dans son cou. Elle ne porte rien d’autre. Elle est clairement en train de se toucher la chatte tout en l’espionnant. Il semble y avoir des petits trous cachés dans le mur qui lui permettent de bien voir dans l’autre pièce. On retourne au détective qui se masturbe avec plus de vigueur. Il rajoute du lubrifiant et on sent qu’il est proche de l’orgasme. Peut-être que tu vas me permettre de venir en même temps que lui. La caméra retourne à la jeune fille. Elle semble être dans la vingtaine. La caméra se rapproche et on reconnait la jeune fille qui s’enfuyait au début du film ! Soit elle porte une perruque noire ou bien elle a teint et coupé ses cheveux. Elle ne se masturbe pas avec les mains, mais avec un petit gode en verre. Son jouet est complètement transparent et pas très long avec une poignée stylisée. Elle frotte ce gode sur sa chatte à l’extérieur. Puis quand le détective s’apprête à venir, elle le rentre complètement dans son sexe mouillé et gémit de plaisir. Le détective orgasme finalement. Il fait gicler son sperme un peu partout. Il se prend un dernier verre de scotch et s’endort sur le lit. C’est juste trop excitant et on pourrait facilement venir tous les deux. Mais tu as d’autres plans. Tu me dis de m’approcher de toi. Tu prends délicatement ma queue dans ta main. Tu utilises mes sécrétions comme lubrifiant et tu fais des mouvements extraordinairement lents. Je te supplie du regard de me laisser jouir, mais tu souris et tu n’accélères pas ton rythme. Dans la prochaine scène, la chambre est éclairée seulement par quelques chandelles. Le détective semble dormir. On aperçoit la directrice avec la jeune fille qui se masturbait dans l’antichambre secrète. La commode devant la porte ne semble pas avoir été déplacée. Un mur coulissant savamment dissimulé leur a donné l’accès à la pièce. Les deux femmes se dépêchent pour passer une corde à chaque poignet et les attachent à deux poteaux. Puis, avec une dextérité surprenante, elles l’attachent aussi au niveau des chevilles. En moins de trente secondes, notre détective est écartelé flambant nu sur son lit. Il se réveille et regarde autour de lui. La directrice allume quelques chandelles de plus. Elle porte maintenant un vrai habit de Dominatrice : un corset de latex noir qui laisse ses seins à l’air. Elle n’a pas de culotte et porte de longues bottes noires reluisantes. Elle tient un fouet qui a l’air plutôt menaçant dans une main. La plus jeune fille porte toujours seulement son collier de cuir avec ses bottes de salope. Le détective se débat, mais en vain : les deux femmes sont des expertes dans l’art du bondage. La Dominatrice commence à donner des ordres et c’est évident qu’elle domine autant notre détective que la jeune fille. Elle ordonne à la fille de maintenir une érection au détective. Elle se penche sur le lit et commence une fellation. Le détective essaie toujours de se débattre, mais c’est évident qu’il adore se faire sucer. Après avoir liché son gland, elle commence à prendre la majorité de la verge dans sa bouche. Le détective se tend et gémit. La Dominatrice dépose sa main sur la nuque de la fille. Elle comprend le message et rentre la queue plus profondément. Quelques secondes plus tard, elle complète sa fellation à gorge profonde. La Dominatrice embarque sur le lit et va s’installer avec son sexe directement sur la bouche du détective. Subjugué par l’érotisme et la domination perverse de la directrice, il obtempère à son commandement. Il sort la langue et commence à lui licher la chatte. Il veut enfouir son visage complètement dans son sexe chaud et mouillé. Elle le garde un peu à distance et lui fouette le torse. Elle bascule ses fesses vers l’avant. Il lui liche son joli cul avec vigueur. Il lui pénètre son anus avec sa langue bien tendue. Elle lui saisit les cheveux pour lui démontrer son approbation. La jeune apprentie continue la fellation et n’a plus de difficulté à bien sucer toute cette grosse queue. La Dominatrice tire sur ses cheveux et lui positionne sa bouche directement sur son clitoris. Il liche, puis suce activement celui-ci. Elle émet un petit cri de jouissance. Elle lui monte le visage avec ardeur. Elle descend ses hanches et tient sa face contre son chatte. Elle noie littéralement son visage dans son sexe. Je suis tellement excité par le film que je ne remarque pas immédiatement quand tu arrêtes de me masturber. Tu prends quelque chose sous la serviette et tu me demandes de me pencher vers toi. Je me penche en continuant de regarder le film porno. Tu passes deux cordons derrière ma tête. Puis tu glisses le cache-yeux sur mon visage. Et je ne vois plus rien ! - Chéri, tu voulais que je te domine et qu’on regarde de la porno, donc je te prends au mot. Et là tu es mieux de m’obéir, sinon on ne regarde plus de films de cul pendant un an. Tu m’ordonnes de plus toucher à ma queue pour le restant de la soirée. Je reste donc debout, nu, avec une énorme érection. Mon sexe tremble, je sens même quelques gouttes de sperme couler le long de ma verge tellement j’étais proche de l’orgasme ! - On va rajouter une touche de virilité. Tu glisses ta main sur ma queue reluisante de sécrétions puis tu les étends sur mon torse musclé. Tu es vraiment cochonne ce soir ! Tu recommences ça au moins cinq fois. Maintenant je sens le Sexe avec un gros S à cent milles à la ronde. Quand tu es satisfaite que ton étalon ait des phéromones partout sur son corps, tu commences à me masturber. Je ne vois rien du film. Mais j’entends bien les cris des acteurs et le son de ta main sur ton sexe. Tu sembles t’installer pour être la plus confortable possible sur le divan avec quelques cousins. Tes jambes sont probablement bien écartées, un pied sur un tabouret, l’autre pied sur notre deuxième divan. Tu sais à quel point ça me rend fou de te voir comme ça, tes jambes grandes ouvertes avec ton sexe reluisant bien en vue. Je t’entends boire un peu de vin. Tu prends une attitude coquine et franchement agace : tu te caresses un peu, tu bois du vin en me regardant au garde-à-vue, puis tu retournes au film porno.
