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Chapitre 3

Trash
Après quelques minutes, les gémissements des stars pornos se font un peu plus intenses. Tu me prends la main et tu me guides vers toi. Tu prends ma tête et tu la mets sur tes seins.
Je comprends le message et je liche tes seins. Au début, j’y vais délicatement. Puis je mets ton mamelon complètement dans ma bouche. Je fais des cercles autour du mamelon avec ma langue chaude, puis je le suce avec vigueur. Je change de seins et je recommence.
Je me demande si une des stars pornos est en train de se faire sucer les seins par le détective. Je pense que oui parce que tu me fais probablement reproduire le film.
Tu mets une main derrière ma tête. Avec celle-ci, tu me guides : parfois tu me tires plus vers toi, donc je dois sucer plus intensément. Des fois, tu relâches la pression, donc j’essaye d’y aller plus délicatement. Ton autre main continue de frotter ton clito. Je sens que tu te caresses de plus en plus vite. Ta respiration devient rapide et superficiel. Tu serres ma tête et tu me forces contre toi. Je suce encore plus fort tes seins. Je suce avec mes lèvres, avec ma langue. Je te caresse l’autre sein avec ma main. Ta main derrière ma tête agrippe mon cou et tu me griffes jusqu’au sang.
    - Ahhhhhhhhhhhhh !
Tu orgasmes finalement pendant que je continue à manger tes seins. Je sens ton bassin se soulever complètement du divan. Tu restes crispée pendant vingt secondes tellement que c’est intense.
Il y a rien qui m’excite plus que de te voir ou au moins, de t’entendre orgasmer aussi intensément !
C’est clair que tes mamelons vont rester sensibles pendant les prochains jours.
Je suis moi-même au bord de l’orgasme : l’idée du bandeau pendant le film était vraiment cruelle. Et le film lui-même… Il faudra qu’on regarde la suite !
Je m’attends donc à ce que tu sois en mode post-sexe, que tu enlèves mon bandeau et que tu me permettes de me masturber jusqu’à l’orgasme en regardant le film.
Mais non ! Ce soir tu es particulièrement vicieuse :
    - N’oublie pas la règle : tu n’as pas le droit de toucher à ta queue pour le restant de la soirée. Maintenant, met toi à quatre pattes devant moi. Montre-moi tes belles fesses musclées.
Je me mets donc à quatre pattes à tes pieds. Je trépigne en pensant à quel point c’est pervers. Mon érection est presque douloureuse et je suis certain que quelques gouttes de sperme sont tombées sur le plancher. Tu m’ordonnes de me positionner tête vers la télé, le cul vers toi.

J’anticipe ce qui m’attend : est-ce que tu vas me fouetter les fesses ? Est-ce que tu vas m’enculer ? Présentement, les deux options me conviendraient très bien !
Mais non, encore une fois, tu déjoues mes prédictions. Tu me laisse simplement comme ça, à quatre pattes.Tu restes confortablement installé sur le divan. Tu sors tranquillement de ta torpeur post-sexe. Tu bois encore un peu de vin rouge. Puis tu admires la vue. Des fois tu regardes le film. C’est du BDSM qui devient de plus en plus intense, mais tu dois avouer que ça t’excite. D’autres fois, tu me regardes : nu, à quatre pattes, mes fesses et mon sexe complètement rasés, avec mes couilles pleines qui pendent et mon sexe en érection. Tu sais que je suis chargé à bloc sexuellement. Je suis complètement à ta merci. Ta chatte recommence à mouiller.
On reste plusieurs minutes dans cette position. Je commence à fantasmer. Je t’imagine en train de te masturber sur le divan. Puis je porte attention au film : on entend clairement le bruit de quelqu’un qui reçoit la fessée. Il y a aussi une personne qui jouit, mais difficile de savoir si c’est un homme ou une femme. C’est peut-être la même personne. Je commence à me faire des scénarios dans ma tête.
Voici la première scène qui me vient en tête : le détective a les mains attachés quelque part au plafond. Il est complètement à la merci des deux femmes. La jeune fille est à genou et lui fait une fellation langoureuse sans utiliser ses mains. Le gars laisse échapper des petits bruits de jouissance de temps en temps tellement que c’est bon. Mais derrière lui, la Dominatrice a un fouet bien en main et elle s’en sert avec force. Son dos et ses fesses sont complètement rouges. D’un côté la fellation à gorge profonde, de l’autre côté le châtiment et la douleur.
Tu me glisses quelque chose dans le dos. C’est les lanières de ton fouet préféré, celui avec une élégante poignée en verre et plusieurs lanières de cuir véritable. Je sais que tu aimes aussi utiliser la poignée comme un godemichet, autant pour masturber ton sexe torride que pour défoncer mes fesses.
Je pense que tu vas me fouetter. Tu glisses sensuellement les lanières jusqu’au bas de mon dos. Puis tu les fais glisser dans mon entrejambe tout doucement. Tu t’assures que les lanières ne font qu’effleurer ma peau. Ça me donne des frissons. Tu sais pertinemment que c’est trop agace présentement : je suis tellement excité que je préfèrerais que tu me fouettes violement sans arrêter !
Puis tu cesses ce jeu. J’anticipe la suite, mais rien. Je suis convaincu de recevoir un coup de fouet particulièrement violent. Je l’espère même. Mais trente secondes plus tard, toujours rien. J’entends ton rire satisfait et je me rends compte que j’avais retenu mon souffle pendant tout ce temps !
Je me concentre à nouveau sur le film : j’entends toujours le bruit d’un fouet.
Je me fais une deuxième scène un peu plus élaborée dans ma tête : la jeune fille est penchée devant une chaise. Derrière elle, sa Dominatrice la châtie avec une tapette en bois. L’homme est toujours attaché à son lit. Il a clairement des marques de fouet sur son torse. Pour qu’il arrête de crier, elles lui ont mis un bâillon boule dans sa bouche. Elles lui ont laissé une main de libre et il en profite pour se masturber sans arrêt en regardant sa Dominatrice. Trop pervers.
Tu glisses ton pied entre mes fesses. Tu fais juste le promener doucement le long de ma craque. Tu ne tentes pas de forcer mon cul, tu fais juste continuer de me caresser. Je bascule subtilement mes fesses vers l’arrière en espérant que tu comprennes le message : défonce mon cul ! Je pense que tu comprends trop bien mon manège et tu retires ton pied.
Tu saisis un objet phallique avec lequel tu frôles mon sexe. C’est clairement une sorte de godemiché, mais je ne suis pas capable de deviner lequel. Tu lui fais faire des petits cercles juste autour de mon anus bien sensible. Tu tapotes ma rondelle qui s’ouvre avec anticipation. J’ose espérer que tu vas pousser tes avances un peu plus loin. Mais tu retires le gode et tu recommences à te masturber avec.
La troisième scène que j’imagine est encore plus torride : le détective est penché sur le rebord du lit, avec seulement les mains d’attachées. Derrière lui, la jeune fille le pénètre avec un gros gode ceinture. Les deux sont maintenant en sueur et proche de l’orgasme. La Dominatrice s’est installée un peu sur le côté, dans un fauteuil de cuir. Elle tient toujours un fouet d’une main. De temps en temps, elle fouette la jeune fille. Et de l’autre main, elle caresse sa chatte très mouillée. Avec son fouet, elle décide le rythme des pénétrations, plus vite ou plus lentement. Le détective a toujours son bâillon rouge, mais on l’entend quand même hurler de plaisir. On entend un dernier cri puissant suivi d’un silence. J’imagine que notre héros vient d’orgasmer et d’éjaculer partout sur le lit.
Tu me dis de me retourner vers toi. J’obtempère. Toujours à quatre pattes, tu me guides jusqu’à tes fesses. Je n’attends pas que tu me donnes la permission et je commence à te licher le postérieur. Tu continues de te masturber avec ton gode. Tu le frottes à l’extérieur pour stimuler ton clito, puis tu te pénètres avec ton jouet.
Ton changement de comportement doit aller avec une nouvelle scène dans le film porno, mais je n’y porte pas attention.Je commence par te licher avec le bout seulement de la langue. Je fais de longs va-et-vient sur ta craque. Je passe sur ton anus, puis sur ton périnée ultrasensible et j’arrête juste avant ta chatte. Je répète ce manège pendant au moins une minute. Tes jambes frissonnent et ce n’est pas parce que tu as froid !
Je recommence la même chose, mais en mettant ma langue complètement à plat. Puis je me concentre de plus en plus près de ton cul. J’alterne entre de longue lichette avec toute la langue et des caresses avec seulement la pointe. Ma langue flirte avec ton cul et tes fesses commencent à dilater.
Je fais des demi-cercles autour de ton cul. À la fin de chaque demi-cercle, je glisse le bout de ma langue dans ton cul, toujours plus profond. Tu frissonnes un peu plus et tu dilates rapidement.
Je ne peux pas te voir, mais pour avoir un aussi bon accès à tes fesses, soit tu as mis plein de coussins dans ton dos ou tu gardes tes jambes dans les airs avec tes mains derrière tes cuisses. Je m’en fou, tant que je peux te manger.
J’accote ma bouche contre tes fesses et je sors la langue. Je la garde longue et dure et je commence à pénétrer tes fesses avec ma langue, comme si c’était ma queue. Je continue comme ça pendant au moins deux minutes et je sens les sécrétions de ta chatte couler sur mon visage. J’entends ton gode se frotter avec plus d’insistance. Je tente de remonter jusqu’à ta chatte, mais tu me repousses.
    - Occupe-toi de mes fesses esclave !
Je recommence à peloter ton joli cul avec ma langue toute dure et chaude. J’ai juste le goût de remplacer ma langue par ma queue, pis de te défoncer.
J’entends toujours la musique pornographique en arrière-plan.
Tu guides finalement ma tête vers ton sexe. Cette fois tu me laisses manger ta chatte. Tu as déjà eu un premier orgasme ce soir, donc elle est complètement détrempée. Je liche tes petites lèvres, puis je les mets dans ma bouche. Je les suce un peu, puis je retourne vers ton vagin. Je caresse l’entrée avec le bout de ma langue. Je continue de faire des cercles autour du vagin. Puis je remonte ma langue jusqu’à ton clito. Je liche un peu ton clito, puis je retourne vers le bas.
Je pars de ton cul, je caresse ton périnée puis je liche ta chatte jusqu’en haut. Je refais ça quelques fois, en mettant toujours plus de pression avec ma bouche. Et puis je rentre ma langue directement dans ton vagin. Je te pénètre comme je l’avais fait avec tes fesses, ma langue chaude et dure qui fait des va-et-vient. J’ai juste le goût d’ôter ce foutu bandeau sur mes yeux, de me mettre debout et de te défoncer.
Mais ce n’est pas ce que tu as en tête.
Tu me repousses. Tu recommences à te masturber avec un objet phallique. Soudain, tu me dis d’approcher, doucement.
    - Sors la langue et nettoie mon gode comme si c’était ma chatte.
Je sens contre mes lèvres la poignée en verre du fouet. Je commence maladroitement à licher l’extrémité. L’engin est couvert de ton jus. Tu t’es clairement masturbé avec et ça m’excite.
Je liche ton gode de long en large. Ça goûte ton sexe et j’en redemande
    - Allez, gros pervers, fait comme dans tes films pornos et suce le au complet !
J’ouvre la bouche timidement et tu forces l’engin à l’intérieur. Je suis un peu mal à l’aise, mais en même temps très excité. Ça reste très obscène comme geste : tu me domines et j’obéis à tes désirs. Je suis ton esclave-objet et tu en profites.
Encore une fois, je commence par l’extrémité que je suce. J’y vais maintenant avec un peu plus d’assurance. À côté de moi, je t’entends te masturber rapidement. Ça t’excite vraiment ! Je suis peut-être un pervers, mais toi tu es une vraie cochonne qui aime me regarder faire. Je commence à sucer plus profondément. C’est tellement vicieux, mais j’aime ça t’entendre jouir.
J’imagine que ce scénario un peu tabou vient du film que tu regardes encore. J’essaye d’imaginer quelle scène porno joue présentement. Est-ce que le détective est en train de recevoir une fellation ? Ou est-ce qu’il est forcé de sucé le gode ceinture de la Dominatrice ? Probablement la deuxième option.
Tu me fais continuer jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace de tes sécrétions sur le gode.
Puis tu ramènes ma face contre ton sexe pour les choses sérieuses. Tu me guides sur ton clitoris. Je commence à faire des petits mouvements de gauche à droite avec ma langue. Je continue une ou deux minutes en mettant un peu plus de pression. Puis tu m’ordonnes de te pénétrer avec un doigt dans chaque trou.
Mes doigts commencent à caresser ton intérieur et j’intensifie les mouvements de ma langue. J’essaye de garder toujours le même rythme et je suis les contractions de ton bassin. Vers la fin, quand je sens ton orgasme très proche, je mets ton clito directement dans ma bouche. Je le suce doucement et je continue de faire des mouvements latéraux, de gauche à droit, sans arrêt.
Et tu viens en moins de 30 secondes. Tes deux mains agrippent mes cheveux, tes jambes se contractent contre mon corps.
Tu ne cries pas, mais tu arrêtes de respirer et tu restes cabrer comme ça dans les airs pendant quelques secondes. Puis tu t’affaisses complètement…
Je retire délicatement mes doigts et j’attends que tu te remettes de tes émotions !
Tu récupères après plusieurs minutes. À ma grande surprise, tu m’ôtes le cache-yeux. Tu me regardes avec un petit air complice et tu me demandes si je veux venir. J’acquiesce rapidement.
Tu me fais lever, tu m’accotes les mains contre un mur. Tu colles ton torse contre mon dos et ta main glisse sur ma queue.
    - Allez gros cochon, tu peux finalement regarder ton film porno !
Sur l’écran, il y a deux personnes qui baisent. Je ne suis pas certain si le gars est notre détective. La fille qui se fait baiser est une jolie rousse qu’on voit pour la première fois.
Après trente secondes, je ferme les yeux pour me concentrer sur ta main. Tu es vraiment une experte de la branlette ! Avec toute l’excitation de la soirée, je vais venir rapidement. Tu effleures un peu mon gland sensible, puis tu agrippes mon manche fermement. Ton autre main caresse mes couilles pleines et la stimulation devient particulièrement intense.
Tu changes juste un peu le rythme. Tu frottes un peu moins vite, mais avec plus d’intensité. C’était exactement ça que j’avais besoin.
Je viens comme un défoncé. Un peu partout, comme d’habitude, mais surtout directement en face de moi sur le mur. Et je viens encore. Ça doit durer facilement 10 ou 15 secondes d’orgasme.
Je reprends mon souffle…
Tu peux être convaincue que je vais te laisser le choix du porno la prochaine fois !
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