Petite précision : cette histoire est une fanfiction du film La Reine des Neiges, cette histoire se déroulant un an après les événements du film. De plus, si vous pouvez vous adresser aux administrateurs du site, il faudrait promouvoir l’idée de pouvoir mettre deux catégories dans une histoire. Merci !
Depuis, elle se masturbait presque tous les jours. La découverte de cette pratique était une chose incroyable pour elle et ne remercierait jamais assez sa sœur de l’avoir poussée dans la découverte de sa sexualité. Dès qu’elle avait quelques minutes de libre, elle allait s’enfermer dans sa chambre et après un certain temps, en ressortait toute rouge et en nage.Par contre, avec sa sœur, ça n’avançait pas beaucoup. Il y avait des petits signes de temps en temps mais Elsa attendait plus, elle voulait lui rendre tout ce que sa sœur lui avait donné le jour de l’anniversaire de son couronnement.De temps en temps, elles étaient allongées sur un des canapés de la salle principale, enlacées l’une contre l’autre. D’autres fois quand Elsa lui rendait un service, Anna la remerciait en l’embrassant sur la joue mais en faisant toujours en sorte d’atteindre les commissures de ses lèvres, ce qui l’excitait toujours terriblement.Elsa voulait dans chacun de ces moments prendre le visage de sa sœur entre ses mains et l’embrasser à pleine bouche mais elle n’osait jamais. Elle était déjà timide avant, pourquoi ne le serait-elle plus maintenant. Elle espérait qu’au moins Anna le ferait mais cela n’arrivait jamais. Avec le temps, Elsa craignait que cela n’arrive plus, qu’Anna l’avait faite jouir uniquement pour l’aider à faire son discours et non parce qu’elle était attirée par sa sœur autant que celle-ci par elle. Pourtant, quand la cérémonie était terminée, elle lui avait bien dit qu’elles pourraient recommencer. Alors pourquoi ne se passait-il rien ? Peut-être Anna attendait-elle que ce soit elle qui fasse le premier pas. Elle fut tiraillée par ces doutes durant plusieurs jours tandis que la saison des pluies arrivait à grands pas. Les spécialistes avaient prédit la plus violente saison des pluies de toute l’histoire du royaume d’Arandelle. Elsa redoutait les longues nuits d’orages et de tonnerre, surtout que le château était bien exposé à ces nuisances avec ses grandes fenêtres et sa faible insonorisation. Une nuit, alors que les pluies avaient commencé, Elsa ne trouvait pas le sommeil. La foudre incessante l’empêchait de fermer l’œil et la faisait sursauter à la moindre secousse.Elle repensa alors à Anna, comme bien souvent ces derniers temps lorsque son esprit était tranquille. Sa première sensation était la langue de sa petite sœur caressant tendrement son clitoris mouillé et bandé pour la première fois. Rien que ce souvenir la titillait. Elle sentait de nouveau cette chaleur dans son bas-ventre. Son corps réclamait à nouveau Anna. Elle glissait sa main vers son entrejambe brûlant.Alors qu’elle commençait à caresser à nouveau sa vulve dans un gémissement, elle repensa au baiser qu’Anna lui avait offert. Bref, mais tellement intense. Cette sensation et le regard que lui avait adressé sa sœur en lâchant ses lèvres lui évoquait tant de choses. Elle accéléra la cadence à ce souvenir, le plus excitant de tous et ne tarderait pas à jouir. Elle sentait la cyprine couler entre ses doigts et voulait y goûter mais elle ne pouvait arrêter de se masturber, c’était trop bon pour arrêter maintenant.– Aaaaahhh aaaahh Anna lèche-moi, encore, oui c’est booon !À défaut de plus de souvenirs, elle imagina sa sœur, nue, la tête entre ses jambes, dévorant sa chatte gonflée.Lorsque l’orgasme arriva, elle cria, une fulgurance traversa tout son corps en partant de son bouton tout dur et des giclées de cyprine furent expulsées de son vagin, allant s’échouer sur le sol devant son lit pour les plus puissantes et dans ses draps pour les autres. Après son cri, elle se rendit compte que quelqu’un approchait de sa chambre. Elle se recouvrit en entendant la lourde porte s’ouvrir et vit Anna entrer. Qu’est-ce-qu’elle est belle, pensa Elsa en découvrant sa sœur en petite tenue du soir, elle émergeait tout juste de son orgasme.Elle portait une fine nuisette rose qui moulait son corps à la perfection. Elle était courte et Elsa vit que si sa sœur se baissait un peu trop, elle pourrait voir l’objet de ses fantasmes. D’ailleurs, Anna semblait ne rien porter en dessous de ce vêtement qui ne tenait que par de fines bretelles attachées à ses épaules. Anna s’approcha du lit, les joues rouges et regardant au sol.– Est-ce-que je peux dormir ici ce soir ? Demanda-t-elle dans ce qui était presque un murmure et d’une voix bien trop craquante pour sa sœur. Tu sais, ces orages me font un peu peur et j’ai pas trop envie de rester seule.Elsa la regarda avec envie. Elle était vraiment tombée amoureuse de sa sœur et ne pouvait rien lui refuser. Le lit d’Elsa était assez grand pour toutes les deux. Cette dernière lui sourit et accepta. Elle tira ses draps, invitant sa sœur à entrer à l’intérieur.Anna, à ce moment, put voir le corps de sa grande sœur. Elsa avait vraiment de très beaux attributs, des seins fermes et rebondis, de longues cuisses blanches, Anna ne pouvait pas voir ses fesses, mais elle les devinait parfaites. Elle put également voir comment elle était habillée. Elsa portait un débardeur bleu tout aussi fin que la robe de sa sœur ainsi qu’un mini short qui ne couvrait que son entrejambe et la naissance de ses cuisses.Anna entra dans le lit en se passant la langue sur ses lèvres et se blottit contre sa sœur. Le visage contre le haut de sa poitrine, elle l’enlaçait.
Elsa, prise de court et décidément de plus en plus excitée enlaça à son tour Anna. Elle s’inquiétait car elle sentait son entrejambe s’humidifier et priait pour qu’Anna ne le remarque pas. Les deux sœurs, toutes deux en proie à un amour fraternel interdit mais pourtant si intense, restèrent ainsi durant de longues minutes. Seule la foudre dérangeait ce moment d’intimité qu’Elsa attendait tant depuis tout ce temps. C’est Anna qui brisa le silence. Toujours blottie contre Elsa, elle leva les yeux vers sa sœur et lui dit avec un sourire espiègle.– Tu sais, je t’ai entendue tout à l’heure, je suis contente que tu aie découvert ce plaisir toi aussi.Elsa avait-elle bien entendu ? Anna l’avait surprise et avait apprécié la voir ainsi. Cet aveu l’excita encore plus et lui fit réaliser que c’était le moment qu’elle attendait tant. Si elle laissait passer cette occasion, elle ne se représenterait plus jamais. Elsa passa outre sa timidité et regarda Anna dans les yeux en souriant.Elle la regarda ainsi durant plusieurs secondes avant de pencher son visage vers celui d’Anna et de l’embrasser. Elle posa d’abord ses lèvres sur celles de sa sœur, mouillées à son contact, avant d’ouvrir la bouche pour laisser entrer sa langue dans celle de sa sœur. Bien sûr, Anna ne l’empêcha pas et lui rendit même son baiser. Toutes les deux fermaient les yeux, profitant de ce moment tant attendu et si tendre. Anna posa sa main sur le côté du cou de sa sœur et l’attrapa pour l’approcher encore plus d’elle. Elles étaient toujours enlacées et désormais très proches l’une de l’autre, ce baiser dura encore de longues secondes. Toutes les deux profitait de chacune d’entre elles avec un désir l’une pour l’autre qui dépassait tout ce qu’elles avaient ressenti jusqu’alors durant toute leur vie.Lorsque leur bouche se séparèrent, elle plaquèrent leur front contre l’autre et se regardèrent dans les yeux, gloussant comme des petites filles qui venaient de recevoir le cadeau dont elles rêvaient. Elles ne comprenaient pas leur bêtise d’avoir attendu jusque-là pour sauter le pas.– J’ai cru que tu ne le ferais jamais, fit Anna en l’embrassant encore une fois.– J’attendais que ce soit toi qui le fasse, dit Elsa en l’embrassant à son tour.Elles rirent encore une fois et s’enlacèrent amoureusement. Elles restèrent ainsi, laissant l’excitation les gagner. Elsa n’en pouvait plus et, sombrant dans le désir le plus total, lui murmura à l’oreille :– J’ai tellement envie de toi… À ces mots, Anna se releva et se plaça à califourchon au-dessus de sa sœur. Elle glissa une main sous le débardeur d’Elsa, atteignant son sein gauche, qu’elle malaxait entre ses doigts avant de s’attarder sur son téton et frotta sa cuisse contre l’entrejambe de sa sœur. Elle l’embrassa à nouveau, s’occupant en même temps de son sein et de sa chatte.Lorsqu’elle quitta ses lèvres, Anna saisit les pans de sa nuisette et la releva, l’enlevant complètement. Elsa avait raison, sa sœur ne portait rien sous sa robe. Elle put admirer les courbes de sa magnifique sœur. Elle regardait ses seins, qu’elle avait si souvent imaginé mais ils étaient bien plus sexy que dans tous ses rêves. Elsa prit ses jolis seins aux tétons pointus entre ses mains et joua avec. Elle les malaxait, agaçait ses tétons, les mordait, les embrassait. Elle réalisait tous ses fantasmes qui mouillaient ses draps ne serait-ce que dix minutes auparavant. Anna gémissait sous les coups de langues de sa sœur, Elsa sentait la chatte d’Anna dégouliner au dessus d’elle, certaines gouttes tombaient sur ses propres jambes, ce qui l’excitait encore plus.Elsa, voyant l’inégalité avec sa sœur, enleva à son tour son débardeur, dévoilant des seins aussi parfaits que ceux d’Anna, ce qui était difficile. À leur vue, Anna oublia son propre plaisir pour s’occuper de sa sœur. Elle embrassa ses seins avant de se rendre compte de ce qu’elle voulait vraiment et qui n’avait pas encore été dévoilé.Dans un silence parfois ponctué par les gémissements étouffés et timide d’Elsa, elle continua à embrasser le corps de sa sœur, tout en descendant. Elle atteignit son ventre, puis son nombril, jusqu’au petit short, assombri par de grosses traces de mouilles. Anna arracha le vêtement de sa sœur et bouffa littéralement et sans vergogne la chatte d’Elsa. Elle semblait affamée depuis des jours, et l’était dans un certain sens. Mais avant qu’Elsa soit envahie par le plaisir et qu’elle ne puisse l’arrêter, elle retira la tête de sa sœur d’entre ses jambes à contrecœur.– Mais qu’est-ce que tu fais ? hurla Anna comme si ce cunnilingus dépendait de sa vie.Elsa vit le visage affolé d’Anna et une goutte de sa propre cyprine couler du coin de ses lèvres vers son menton. Elsa lécha la goutte jusqu’à arriver aux lèvres de sa sœur qu’elle lécha également avant d’enfourner sa langue dans sa bouche.– Cette fois, c’est à moi de te donner du plaisir ! Fit-elle en l’embrassant.Elsa retourna Anna et leur position furent inversées. C’était désormais Elsa qui était placée à califourchon au dessus de sa sœur. Elle l’embrassa avant de descendre à son tour.Lorsqu’elle arriva au niveau de sa chatte. Sa première pensée fut qu’elle trouvait cet organe très beau. Elle n’avait jamais eu l’occasion d’en observer un autre que le sien d’aussi près et en était très attirée. Elle commença par embrasser le clitoris bandé de sa sœur, ce qui lui arracha un soubresaut. Elsa, complètement inexpérimentée sentit qu’elle était sur la bonne voie et se fia à son instinct en s’attardant sur le même petit bouton qui lui provoquait tant de plaisir à elle. Elle lapait le petit trou d’où coulait la cyprine d’Anna et l’avalait. Elle remarqua que sa cyprine avait un goût différent de la sienne, ce qui ne l’empêchait pas de la boire avec envie dès qu’une goutte se présentait.– Mmmmhhhh, vas-y continue, j’adore ça… Elle avait exploré toutes les zones intimes de sa sœur, et se contentait d’y repasser encore et encore, jusqu’à la jouissance de celle-ci. Anna commençait à crier de plus en plus fort. La cyprine coulait à flot, si bien qu’Elsa ne pouvait pas tout avaler. Elle lécha tant bien que mal et mordit le clitoris de sa sœur dans l’espoir de déclencher son orgasme comme elle l’avait fait avec elle le jour de son discours.Elle ne s’y était pas trompé. Anna criait et dans un râle qu’Elsa trouva super sexy, des giclées de cyprines fusèrent vers le visage d’Elsa. Cette éjaculation faciale était inattendue et surprit Elsa qui lâcha un couinement lorsque les premières giclées arrivèrent sur son visage tandis qu’Anna criait toujours plus fort et plus sensuellement.– Oups, fit Anna en riant lorsqu’elle découvrit le visage ruisselant de cyprine d’Elsa avant de le lécher pour recueillir le maximum de mouille possible. Loin d’avoir terminé, Elsa voulait désormais pouvoir jouir avec sa sœur. Elle redressa Anna et toutes les deux croisèrent leurs jambes de manière à former un ciseau. Elles frottèrent leur chatte l’une contre l’autre. Leur mouille se mélangeait, leur clitoris s’entrechoquaient. Toutes deux criaient désormais leur plaisir à l’unisson en se tenant la main. Elles s’approchèrent l’une de l’autre tout en continuant le frottement de leur chatte et s’embrassèrent. Elles ne faisaient même plus attention à la retenue de leur baiser, elles se léchaient la bouche et le visage autour, elles embrassaient aléatoirement une fois les lèvres, une fois la langue, parfois elles divaguaient et embrassaient leur menton.Elsa sombrait dans une folie sexuelle, elle avait besoin d’encore plus. Alors qu’elles se remuaient pour frotter leur chattes dégoulinantes de mouille, Elsa utilisa son pouvoir de glace pour former un gros gode directement à l’intérieur de leur chatte et se pilonnaient toutes les deux sur le gode, avant le contact chatte contre chatte qui était l’extase.Elles baisèrent ainsi pendant de longues minutes. Elles criaient toutes les deux, s’embrassaient, se touchaient. Elles faisaient l’amour, un amour devenu bestial et tellement nécessaire pour toutes les deux. Ni Anna ni Elsa ne pensaient, elles ne faisaient que ressentir le plaisir ultime que chacune procurait à l’autre. Sous leurs coups répétitifs et brûlants, le double gode de glace avait très rapidement fondu mais cela n’importait plus, elles étaient toutes les deux au bord de l’orgasme. Un orgasme dévastateur.Elles le sentaient arriver, il allait arriver en même temps pour toutes les deux. Elles se tenaient les mains et étaient serrées l’une contre l’autre lorsque l’orgasme finit par venir.Elle crièrent d’une même voix :– Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh.Plus rien existait, elles tournaient de l’œil, paraissaient s’évanouir de plaisir. Leur chatte, toujours l’une contre l’autre explosèrent en même temps et une quantité impressionnante de cyprine s’en dégagea. Elles mirent toutes les deux plusieurs secondes avant de reprendre leur calme, elles haletaient, tremblaient même et étaient devenue toutes rouges à cause de l’effort et du plaisir.Elles se séparèrent enfin et de leur chattes décollées se formaient des filets de cyprine entre les deux vulves. Elles rirent en voyant ça et l’une contre l’autre, complètement nues, elles s’embrassèrent. Ce baiser fut plus long et beaucoup plus plaisant pour toutes les deux. Une fois terminé, un éclair les fit sursauter. Elles se regardèrent encore et rirent tout en s’embrassant à nouveau.Elles avaient complètement oublié l’orage.
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