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Réna

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
La maison voisine est vide depuis bientôt trois ans. Ses occupants, sont des Polonais qui restent dans leur pays natal à cause de différentes raisons: maladies de proches, un reste de travail. Je suis en contact avec eux une fois par semaine par mail. Enfin la semaine dernière ils m’avertissent de leur retour pour lundi. Je fais comme toujours avant leur arrivée, je vais aérer leur maison. Il me tarde qu’ils arrivent: nous passons tellement de moments agréables tous les trois. Avec Réna nous avons le même âge: 35 ans. Elle est en France depuis longtemps, son premier mari est mort d’une grave maladie. Elle a mis pas mal de temps à s’en remettre: je l’ai beaucoup aidé. Nous nous sommes rencontré au cours d’une vente de charité: nous tenions le même stand de vente de livres. Les « clients » étaient rares. C’est pourquoi nous avons sympathisé, sans doute trop. Réna m’a invité chez elle pour dîner avec. Notre complicité date de cette soirée. Outre son repas, polonais bien sur avec un zeste de vodka, nous étions en état de nous plaire. Je crois (la vodka fait oublier des détails) que c’est elle qui m’a embrassé la première. Je me souviens bien que je lui ai caressé les seins. Je les trouvais durs avec les tétons qui sortaient. Elle m’a rendu la pareille. Nous étions toutes deux attirées par le désir de l’autre. Moi, une femme qui n’aime que les hommes, j’était attirée par une autre femme. Quand lentement sa main est venue sur ma jambe je lui laisse faire ce qu’elle voulait. Elle m’a faite lever pour être plus à l’aise. J’écartais mes jambes au fur et à mesure de sa montée. Il me tardait même qu’elle arrive sur mon bouton. Nos bouches s’embrassaient toujours: je caressais ses épaules et son dos. Mes seins se fondaient dans les siens. C’était extrêmement excitant. Pour moi le principal se passait sous ma robe. Sa main commençait à fouiller ma féminité: je me laissais faire avec un plaisir que je ne cachais pas. Enfin je sentais ses doigts sur ma chatte et mon clitoris être caressé doucement avec une délicatesse toute féminine. Je n’étais pas à l’aise debout, je la forçais pour aller sur le lit. La plaisanterie prenait un genre différent: Elle défaisait ma robe, la laissait tomber pendant que j’arrivais à faire chuter son jean et sa culotte à la fois. Nous étions presque nues. Nous l’avons été complètement rapidement. Je me laissais aller sur le lit, les jambes bien écartées à la recherche du plaisir qu’elle recommençait à ma donner. Elle était sur le lit, tout contre moi. Je pouvais à mon tour lui farfouiller le sexe. Je savais que j’était mouillée, je ne savais pas comment les autres étaient, là, j’avais sous mes doigts sa cyprine abondante. Je n’ai pas pu retenir ma gourmandise, j’ai goûté son sexe avec mes doigts. Elle était bonne, un peu sucré, avec une pointe d’amertume. Ce n’était pas le même goût que moi. Elle était douée pour donner du plaisir. Je n’ai pas pu tenir longtemps quand sa main presque entière est venue dans mon puit. J’allais lui rendre la pareille quand elle s’est mise la tête au pied. J’avais ses seins contre mon ventre, je sentais les miens contre elle. Ce qui m’excitais encore plus était sa langue qui descendais de mon nombril à mon pubis. Je sentais même son nez venir peigner mes poils. C’est à ce moment là qu’elle a enjambé mon visage. J’ai pu voir de près sa chatte velues comme la mienne. J’ai aussitôt mis ma langue sur le bouton que je visais bien. Je le dégageais encore plus de sa protection. Je me contentais de me servir uniquement de ma langue. Je la sentais frémir. Je ne sais ce qui m’a pris, j’ai bien mouillé mon index pour le rentrer dans son anus. Je me régalais de le voir entrer ainsi. Sa seule réaction était de me mettre son doigt également dans mon cul. J’ouvrais au maximum mes fesses, comme si j’allais recevoir une bite. Ces deux plaisirs nous étaient profitables puisque nous avons joui. Les vapeurs de la vodka étaient bien loin. Nous sommes restées au lit réunies par le plaisir. Et deux femmes sensuelles qui s’aiment font que nous sommes restées allongées presque toute la nuitNous avions fait tout ce que deux femmes doivent faire pour bien jouir. Sauf les nouveautés que nous avons découverts plus tard après son remariage.Elle allais presque tous les ans en Pologne, à Wroclaw ( en allemand Breslau, victoire de Napoléon contre les prussiens) Réna y rencontrait son nouvel époux. Elle me le présentait en venant avec lui dans sa maison. Je ne pensait jamais qu’elle allait dire des horreurs sur moi, au point de dire que j’étais sa maîtresse. Évidemment elle le lui avait dit avant. Quand une amie vous présente à son nouveau mari comme sa petite amie, ça fait un choc. Le choc était encore plus fort quand elle m’invitait à venir faire une petite partie de jambes en l’air en trio? Sur le principe j’étais pour, par contre sur le plan moral c’était plus discutable. Mais si on me prend par certains sentiments je ne pouvais que dire oui. Comme j’avais raison d’être partante. Après le diner, chez moi, sans alcool ce coup ci, nous nous sommes levés comme des habitués. Dans la chambre, c’est lui qui m’a embrassé: ses lèvres étaient bonnes, sa langue et sa salives plaisaient à ma bouche. Les lèvres de Réna sont venues un peu plus tard. Pour aller plus vite nous nous sommes déshabillés chacun; je regardais cette bite que je ne connaissais pas encore. Elle était légèrement plus grosse que la moyenne et moins longue. Elle suffisait à mon bonheur, moi qui était à jeun depuis des mois sinon des années. Je ne demandais aucune autorisation, je me baissais légèrement pour la prendre dans ma bouche. Enfin un bon goût de bite. Enfin un gland dans la bouche. Je suçais rapidement la petite goutte qui sort dès qu’une bite bande. Je la tenais avec une main vers son pubis, mes lèvres léchaient tout le long. Que je me régalais à avoir ce sexe dans mes lèvres. Je me suis arrêter pour faire durer son plaisir. Rénia est venue elle aussi me remplacer sur la bite. Il lui tenait la tête comme s’’il avait peur qu’elle s’en aille. J’étais derrière Réna, je lui caressais les seins; ses tétons pointaient comme les miens. J’avais le feu à mon ventre. Je devais me contenter, les jambes écartées comme j’étais accroupie. Je me levais et me couchait: ma main allait et venait dans ma chatte, sans pudeur je me donnais du plaisir devant le couple qui s’aimait à sa façon. Réna en m’apercevant abandonnait son mari pour s’occuper de moi. C’est sa bouche qui est venu me lécher partout dans la chatte, y compris, c’étais une première sur l’anus. J’étais loin d’imaginer la suite qu’il allait donner: s’il me masturbait un peu il a mis son pouce d’abord et ensuite son index dans le puit. Le reste de la main a suivi. J’ai eu très mal un tiers de seconde, ensuite j’ai gémi de plaisir. Réna est venu m’embrasser et me caresser la poitrine: j’étais incapable de faire autre chose que de recevoir des baisers. J’aurais voulu branler un des deux, j’en étais incapable. J’avais l’impressions d’être remplie d’un drôle de sexe animal. J’en avais peur et envie à la fois; Quand j’ai longuement joui je ne me posais plus de question; je venais de vivre le bonheur. Réna m’interrogeait: — Tu as trouvé ça bon, moi j’aime beaucoup.— J’ai aimé, j’aimerai le lui faire.— Il aime ça dans le cul, comme moi, tu devrait essayer aussi— Je vais te le faire à toi d‘abord.Elle s‘installe les fesses en l’air. Lui la regarde, sa bite bien bandée, il sort un flacon d’une substance huileuse. Il m’en met sur mes mains. Il en fait couler sur la fente du cul de sa femme. Je suis libre de faire ce que je veux. Je veux donner ce nouveau plaisir. Je pose mon pouce d’abord et fait comme il m’a fait. Ma main entre lentement. Je regarde l’anus s’écarter devant la monstruosité de ma main. Je force à peine, toute ma main entre jusqu’au poignet. Je force à peine: je l’encule jusqu’à l’avant bras. Réna geint doucement. J’en profite pour faire pareille sur sa chatte; Je ne pensais jamais qu’elle accepte mes deux mains. Je la baise en même temps: drôle de double pénétration. Elle hurle trois fois, à chaque orgasme. Je suis un peu surprise de sentir encore la main de son époux sur mon cul. A mon tour d’être enculée par sa main. Quel talent, quel plaisir inédit. Je suis presque allongée contre Réna, je pourrais le sucer. En me tordant à peine, je peux prendre sa bite. Cette fois je vais aller à fond, je vais le faire jouir. J’ai besoin de sperme dans ma bouche.Normalement je ne devrais pas le sucer: Réna le branle. Elle me donne la bite de son mari. Son goût est légèrement différent: il a un peu goût à cyprine. Son rythme dans le cul et mon con s’en ressent quand je le prend dans la bouche. Je lèche tout, y compris ses couilles. J’ai envie de son cul: j’y entre deux doigts: il me laisse faire. Maintenait il a reprit la cadence dans mon ventre. Je veux le faire jouir en même temps que moi. Je n’y arrive pas, je pars avant lui. Il laisse ses mains là où elles sont. J’ai fait jouir Réna, je reçois une quantité inimaginable de sperme. Il me noie presque. J’en profite le plus possible. Je le garde dans la bouche pour le partager quand j’aurais fait jouir Réna. Enfin elle réussi à partir. Je peux sortir la main de son cul et son con. Je la retourne pour l’embrasser et partager le sperme. Nos langues s’enroulent autour de l’autre dans ce baiser immoral.. .
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