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Renaissance pour tous

Chapitre 1

SM / Fétichisme
À plus de 50 ans, je ne pensais pas que ma vie allait changer du tout au tout. Travaillant plus qu’à 50%, je suis inapte à reprendre mon ancien job, je suis dans une fondation qui emploie des personnes comme moi. Des personnes souffrent toutes d’un handicap, il peut être physique, mental ou psychologique. Pour mon compte, il est physique et psychologique, après mes deux infarctus, j’ai plongé dans une profonde dépression. Cela étant, mon nouveau job me plait. Certes, je n’avais pas l’habitude de travailler avec des handicapés. Pourtant, ce n’est pas moi qui fis le premier pas, mais eux. Après quelques mois, je me sentais en famille. Famille, je crois que c’est ce qui me manquait le plus en rentrant chez moi, le soir. En effet, ma femme m’avait quitté peu après ma sortie de l’hôpital et mon fils travaillait à l’étranger pour un grand groupe international. La solitude me pesait bien plus que je ne le laissais supposer. Cela étant, quand je suis au travail, je fais tout pour laisser mes ennuis à la maison.
Cela est arrivé un mardi. Il était près de 13 heures, je bavardais avec mes collègues devant la porte de la fondation. Une voiture s’est arrêtée devant nous, une femme d’une trentaine d’année en est sortie, venant nous demander à la guider vers une entreprise de la région. En tant qu’ancien chauffeur poids lourd, je connais ma région et son tissu économique sur le bout des doigts. Sur une feuille de papier, je lui dessine la route à faire. Elle n’était pas très loin de sa destination, mais des travaux l’obligeait faire un grand détour. Lui tendant ma feuille, sa main prit la mienne avec le papier. Nos regards se sont brièvement croisés, elle en a même eu quelque rougeur sur ses jolies joues.
Six mois passèrent, autre jour, même heure, même voiture, même femme. Portant une jolie robe d’été très légère, boutonnée sur le devant, elle s’avance vers moi. "Puis-je vous parler?""Euh oui, pas de problème."
Je l’ai suivie près de sa voiture, elle s’est brièvement assise sur son siège conducteur pour augmenter le son de son autoradio. Là, debout devant moi, elle baisse son regard.
"Je voulais vous rendre votre plan."
"Il ne fallait pas, à qui je vais le fourguer maintenant? Il va finir à la poubelle."
"Pas si sûr, si j’étais vous, je le regarderais à deux fois. Bonne journée."
Elle est montée dans sa voiture et elle a démarré sur les chapeaux de roue. Le plan en main, je restais stupide en la regardant s’éloigner. Je finis par regarder mon plan et tournais la feuille. Au dos, elle y avait écrit quelques mots, dont son numéro de téléphone portable et son adresse. Il y avait aussi cette phrase: " Je voudrais vous inviter à souper. Si vous acceptez, envoyez-moi un SMS" L’invitation était on ne peut plus claire. Maintenant, à savoir ce qu’elle attendait de moi, c’était ouvert à tout, sauf ce à quoi je ne pensais même pas, le Q. Oui, j’avais abandonné l’idée de faire l’amour. À vrai dire, j’avais même un peu de haine envers les femmes, depuis le départ de la mienne. Ce n’est qu’à la pause que je lui répondais, acceptant son invitation. Peu après, elle m’écrivait, me demandant si ce vendredi, j’étais libre pour ce fameux souper. J’ai fait oui. Puis, sortant mon plan de ma poche, je regardais plus attentivement l’adresse. Bon sang de bois, elle habitait dans mon village, à l’autre bout, certes, mais dans mon village. La semaine se terminait, dans mon appartement, je pris le temps d’un bain, moi qui me douche, je prenais un bain. J’avais le temps, celui de me prélasser tranquillement. Enfin, bien habiller, chose particulièrement rare depuis ma dépression, je sautais dans ma voiture, un bouquet de fleur et une bouteille de vin dans un joli sac de papier glacé. Devant chez elle, alors que je stationnais ma voiture, elle est arrivée. À croire que j’étais en avance, elle rentrait des courses. Elle me fit un sourire gêné, je m’empressais de la débarrasser d’un sac. Ensemble, nous sommes montés les trois étages, en ascenseur. Une fois chez elle, elle m’installa dans son salon, très sympa entre nous.
"Voudriez-vous boire quelque chose?"
"Oh, si vous avez une bière, cela fera très bien l’affaire."
"Je vous l’apporte."
"Je suis en avance?"

"Non, c’est moi qui suis en retard."
"Oh!"
"La voici."
"Merci. c’est sympa chez vous."
"J’aime la simplicité et je déteste m’encombrer de chose inutile."
"C’est ce que je dois faire chez moi, mais je n’ai pas le courage de tout virer."
"Je peux vous aider, si le cœur vous en dit."
"Dites, vous saviez que nous vivions dans le même village?"
"Euh non, pourquoi?" Pourquoi je ne l’ai pas crue?
"J’habite près de la gare, c’est amusant, vous ne trouvez pas?"
"Ah bon, là, oui, c’est drôle. Non, je pensais que vous viviez près de la fondation."
"Pas du tout. Ça fait près de 20 ans que je vis ici."
"Et moi, à peine trois ans. À vrai dire, je ne connais pas grand monde, je travaille comme commerciale dans la quincaillerie." Autre pieu mensonge
"Vous aimez bricoler?"
"Je ne peux pas dire le contraire, on me traitait de garçon manqué à l’école, j’étais toujours avec mon père à bricoler, réparer ou construire."
"Ça aide, je suis nul de ce côté. Je préfère conduire, c’est mon dada."
"Chauffeur?"
"Ancien poids lourd, je ne peux plus conduire professionnellement depuis mon opération du cœur."
"Oh, infarctus?"
"Oui, avec complication. Mais bon, j’ai un boulot et ça me change bien les idées."
Parfois, elle s’absentait de courts instants pour surveiller son repas. Puis, elle disparut dans ce qui me semblait être sa chambre. Elle me revint, j’en restais sur le cul. Elle portait une courte robe rouge sang, elle moulait son corps à la perfection, je devinais du lycra. Elle avait, en outre, défait son chignon et ses cheveux tombaient jusque sur ses fesses si parfaitement moulées. Je me suis levé comme s’il s’agissait d’une autre personne. C’est à peine si je la reconnaissais dans cette robe. À ses pieds, elle portait des escarpins à talons haut. À l’estime, je dirais qu’ils devaient bien faire plus de 10 centimètres. La vache, ce qu’elle était belle. J’avoue avoir une certaine raideur entre mes jambes, de celle qui vous font un mal de chien. Près de moi, ses yeux m’arrivaient maintenant à la hauteur de mon nez. Pour un peu, j’aurais aimé les embrasser délicatement. Je me sentais aussi stupide qu’un puceau devant sa première copine nue. Là, pourtant, elle était habillée, mais si tellement belle. En plus de me sentir stupide, je me sentais gauche. Elle me sourit, un sourire si merveilleux que ma main, sans que je ne puisse la contrôler, est venue caresser sa joue. J’ai senti sa tête s’appuyer dans le creux de cette main baladeuse. Sans que j’en fasse davantage, elle s’est collée à moi. Sa bouche près de la mienne, je n’ai pas résisté. Déjà nos corps fusionnaient dans ce baiser volcanique. Ce n’est qu’une odeur de brûler qui interrompit notre baiser.
Je la suivais dans sa cuisine. Du four, son rôti avec légèrement noirci, mais pouvait être sauvé. J’ouvrais ma bouteille de vin blanc et l’arrosais copieusement avant de le remettre au four un moment.
"Vous cuisinez?"
"Bien obligé, je vis seul depuis le départ de ma femme.""Pas d’enfant?"
"Si un fils, il travaille à l’étranger. Il ne revient que pour les vacances."
Peu après, je sortais le rôti, elle mettait la table. Je découpais la viande, la disposais sur un plat. On passait à table dans sa petite cuisine. L’un à côté de l’autre, je la sentis emprunte d’une certaine gêne, sa courte robe s’était retroussée au moment de s’assoir. Cela me donnait une vue extraordinaire sur sa petite culotte satinée noire. Son visage était cramoisi de cette gêne, voire d’une honte certaine. Je me risquais à poser ma main droite sur cette cuisse si joliment dessinée. Elle me fixa, je lui donnais ce morceau de viande sur ma fourchette. Lentement, elle le prit dans sa bouche. Elle me fit la même chose, le repas se termina là, je l’emportais dans sa chambre.
Dans son lit, je pris le temps de la découvrir, sa robe glissa sur son corps. Martine s’abandonnait entre mes mains et ma bouche qui l’embrassait goulument. Au moment de la gouter, sa culotte retirée, ma langue se délecte de sa liqueur d’amour. Les mains de Martine emprisonne ma tête, je la fouille, la bois, la lèche, elle jouit une première fois. Un très long soupir de satisfaction tout droit sorti des profondeurs de son âme. L’orgasme suivant ne fut pas long à venir, ma langue s’était insinuée entre ses fesses, mes doigts la branlaient doucement. Ce fut encore un long et merveilleux soupir de bonheur. Là, elle me supplia de la prendre et je ne le voulais pas, du moins pas maintenant. Ma langue et mes doigts passaient allègrement d’un orifice à l’autre. Martine jouissait à répétition. Quand je la pris, que je m’enfonçais dans son corps, elle m’enserra de ses jambes, de ses bras. Alors que j’allais et venais en elle, elle jouissait encore. Sa bouche sur le mienne, elle me mordillait ma langue, mes lèvres à chacun de ses orgasmes. Jamais je n’avais vu une femme jouir autant en si peu de temps. Je me retenais autant que je le pus. Mon manque de sexe, mon manque de plaisir me joua un bien vilain tour. Je jouis en elle bien trop vite. Pourtant, je ne débandais pas et m’enfonçais lentement, délicatement entre ses fesses, elle me supplia de lui défoncer son cul.
Je me donnais à fond et pourtant, la belle me semblait insatisfaite, me hurlant dessus, me traitant de couille molle. Je me suis alors un peu énervé et j’ai commencé à la fesser aussi durement que mon bras me le permettait. Là encore, Martine jouit, mais pas dans un soupir, loin s’en faut, mais dans un long et sonore hurlement. Elle me supplia alors de continuer à la fesser. Je me fis alors une joie de lui donner satisfaction. Ce faisant, je pensais à ma femme et mes claques redoublèrent de force. Je jouis dans son cul, elle jouit de se sentir remplie de mon foutre. Je cessais de la fesser, son cul était rouge écarlate. Je tombais à ses côtés, elle se posa sur moi.
"Enfin un mec qui en a."
"Qui a quoi?"
"Des couilles et une queue qui va avec. Mon salaud, tu fesse bien pour un profane."
"Pour tout de dire, j’ai pensé à mon ex, c’est elle que je punissais de m’avoir largué. T’as mal?"
"Oui, mais putain que c’est bon. J’aime être fessée et ça me manque depuis que mon copain est parti."
"Lui aussi?"
"Oui, mais pour un autre monde, il se droguait, overdose d’héroïne."
"La vache, et toi, tu te drogue?"
"Tu rigole ou quoi, jamais. Il se droguait en douce. Je n’en savais rien."
Les mots se turent, cette fois, c’est la tendresse qui fit le reste et quel reste. La nuit était déjà bien avancée et nous faisions encore l’amour. Entre nous, je ne pensais plus être aussi endurant. Tenir près de vingt minutes était un nouveau record pour moi, vingt minutes sans jouir en pilonnant ce corps su beau et si tellement explosif de plaisir. On a bien soupé, mais il était plus de deux heures du matin. Assise sur mes genoux, je lui donnais à manger, elle me donnait la becquée. On a passablement bu de vin, c’est un peu pompette qu’on a remis le couvert dans son lit.
À mon réveil, elle était lovée contre moi. Je pus voir ce tatouage sur sa fesse, une femme attachée à un bottillon par un fouet. Soudain, telle une chatte, elle se tendit, se retournait pour me faire face.
"C’est quoi ton petit tatouage?"
"Oh, c’est quand j’avais vingt ans, un moment de folie pour un homme."
"Soumise?"
"Oui, un peu."
"Raconte!"
"Serais-tu un adepte?"
"On ne sait jamais. on dit que l’occasion fait le laron. Pourtant j’aime bien fantasmer sur de méchantes petites fifilles particulièrement désobéissantes."
"Je vois, vilain pervers."
"Alors, raconte!"
Martine rougit un peu. Se levant, elle est allée prendre un livre. Son journal intime dans ses mains, elle lut. Du premier au dernier jour de sa soumission, elle décrivait tout dans le moindre petit détail, même d’apparence anodine. Ce que j’ai préféré, c’est ce passage où, pliée en deux, les jambes attachées à ses bras, elle offrait toute son intimité à une bande d’hommes et de femmes avides de la posséder. D’après son récit, cela dura deux jours et deux nuits. Elle fut aussi fouettée quand les hommes la baisaient de partout. Martine, rougissant encore, m’avoua que son supplice préféré à cette époque était la cire brulante coulée sur son corps. Puis, elle me montre une photo d’elle en noir et blanc. Elle a le crâne rasé de près, chauve, une bougie sur son crâne lisse et la cire qui coule tout autour. Dans ma tête, je vois le visage de mon ex, subissant les mêmes supplices sous mon regard particulièrement sadique.
Page après page, j’apprends à connaitre Martine. Elle ne me cache rien de sa vie passée et si tellement belle à ses dires. À l’entendre, sa soumission lui manque parfois. Ma main est déjà entre ses cuisses, deux doigts sur et dans sa vulve, mon pouce bien introduit dans son anus. Je parviens à l’assoir sur mes cuisses et masser ses seins de ma main libre pendant qu’elle continue sa lecture libidineuse. Un autre passage attire retient mon attention. Elle se fait sodomisée, penchée en avant, les jambes tendues, écartelées et emprisonnée dans un carcan. La position l’oblige à subir tous les hommes que son Maître a invités à la baiser. Parfois, une queue tendue se glisse dans sa bouche, bien au fond. Elle raconte avoir même vomi de sentir ces queues s’enfoncer loin dans sa gorge. Sur ses seins, son Maître lui avait suspendu des pinces lestées de cinquante grammes de plomb. À vrai dire, je n’imagine pas ce que cela peut représenter sur un mamelon, ni la douleur que cela peut occasionner. Au tiers de son journal, elle s’arrête subitement, son corps se raidit, sa tête se tourne vers moi et elle jouit longuement. Je retire ma main de son intimité et lui donne mes doigts à lécher. Si elle le fait, c’est sur mon pouce qu’elle s’attarde longuement, il sort de son anus. Martine semble se délecter de son gout musqué et âcre. D’une claque sur sa cuisse, je l’envoie nous faire un bon déjeuner, mon estomac gronde de faim.
Nue, elle pose sa bouche sur ma queue qui se tend vite. Je la pousse à me sucer, ma queue s’enfonce inexorablement dans sa bouche, jusqu’à dépasser sa luette. Elle reste un moment sans bouger, cherchant à me prouver qu’elle sait toujours avaler une bonne bite. Puis, sa langue commence à frétiller, ses lèvres se serrent sur mon pénis, elle me pompe, me suce, me lèche, elle me fait une fellation d’enfer. Je lui refusais le droit d’avaler et l’obligeais à garder la bouche ouverte. Elle exécuta mes requêtes, se posant à assis sur ses talons, cuisses largement écartée. Mon sperme gicla dans sa bouche, un peu sur son visage. Les yeux de Martine pétillaient de bonheur. Je la sentais revivre et moi, je renaissais de mes cendres.
À table, elle me servait, se comportant comme une soumise. Il me faut le reconnaitre, si j’avais fantasmé dominer une femme, ce n’était que dans ma tête et rien de plus. Mais là, j’en avais une à portée de main et sublime qui plus est. Elle se fit chatte soumise toute la journée. Je ne lui interdis pas de jouir. Parfois, sur ordre, elle se branle devant moi, accroupie, vulgaire, exposée à mes désirs salaces enfouis. Plus je me montre vulgaire, plus elle aime. Puis, ni tenant plus, elle enfile sa petite robe, me prie de patienter, prenant son trousseau de clef, elle sort.
Elle revient quelques minutes après, une lourde valise à la main. Devant moi, elle l’ouvre. Il y a tout ce qu’il faut pour entraver, malmener, punir et endolorir son corps. De la corde aux menottes, en passant par le fouet cruel à la bougie, des pinces lestées lourdement aux bougies, tout y est, même un cilice aux pointes bien pointues. Elle m’avoue posséder ce matériel depuis sa soumission, trophée de guerre prise à son Maître le jour de son départ pour ailleurs. Elle s’était sentie abandonnée et, avant de le quitter, lui avait volé ce matériel. Dans ma main, je tiens cette longue cravache d’équitation, je le sais, mon père en avait une semblable. Je sais aussi ce que cela fait, mon père s’en servait sur moi et ma petite sœur. Ma petite sœur, je n’ai plus de nouvelle depuis ma séparation d’avec mon ex. Je les savais grande copine, du reste, c’est ma petite sœur qui me l’avait présentée. Nota-bene, l’appeler dès mon retour chez moi. Là, c’est la croupe de Martine que je flagelle légèrement. Penchée en avant, sa robe retroussée sur ses reins, elle m’offre son cul à fustiger. Je m’essaie au martinet et même avec cette longue baguette de noisetier encore bien souple vu son état.
"Tu sais, si tu le veux, je suis partante pour que tu m’oblige."
"Je veux bien, tu me plais. Avec toi, je reviens à la vie et si tu savais ce..."
"Chut, je le sais très bien, mieux même que tu ne te l’imagine. À vrai dire, je te connais depuis que j’ai eu ton dossier en main. c’est même moi qui ai fait en sorte que tu sois placé dans cette fondation. Je sais non seulement ce que tu as vécu, mais tout de ta vie antérieur. Je travaille pour l’assurance invalidité."
"..."
"Tu pleures?"
"Non, j’ai une grosse poussière dans l’œil."
Elle me serre dans ses bras, je lèche mes larmes. Soudain, mus par une force herculéenne, je la soulève, la fait valser dans les airs et la couche sur le sol en douceur. Je me glisse entre ses cuisses et la pénètre en force. Je ne lui fais pas l’amour, je ne la baise pas, je la viole et pas seulement son con, mais son cul y passe et sans autre douceur que ma rage de vivre. Je ne suis plus l’amant, mais le sauvage que je pouvais être quand je rentrais de deux semaines de route. Je suis en rut, brute épaisse qui n’a pas eu de femme depuis le départ de mon ex, deux ans sans femme. Je suis l’animal préhistorique qui baise que pour son plaisir et plus pour celui de sa compagne. Je baise, j’encule et, sans le vouloir, fait jouir ma partenaire bien docile. Pour elle, à l’entendre, mon côté sauvage, brutal est un régal. Elle ne cesse d’hurler de plaisir jusqu’à ma gifle, geste inconscient, brutal, commandé par la pensée de mon ex. Là, je suis confondu en excuse. La gifle fut particulièrement brutale. Mais elle me fixe, sa main sur sa joue, des larmes dans ses yeux. Sa bouche se rapproche de la mienne, glisse le long de ma joue jusqu’à mon oreille.
"Donne s’en moi une autre, je t’en prie."
"Non, j’ai peur de te faire plus mal encore."
"Libère-toi de ton ex, GIFLE-MOI, ESPÈCE DE COUILLE MOLLE!"
Mot à ne jamais prononcé devant moi, la gifle part, une autre suit directement, ce sont ses seins que je vise maintenant, ses seins qui rougissent. Son cul, enfin, je le claque avec une force que je ne pensais pas retrouver. Je la gifle de partout sur son corps. Je ne me contrôle plus. Enfin, à bout de force, je m’effondre près d’un corps rouge de mes claques plus que brutal.
"Là, maintenant, tu te sens mieux. C’est fini, tu l’oublie, je serais toujours là pour toi."
"Putain, tu cherches quoi?"
"Moi, rien de plus qu’à redevenir l’esclave d’un mec, d’un homme un vrai de vrai, une brute qui me punit comme tu viens de le faire."
"T’es maso ou cinglée?"
"Maso, très certainement, mais cinglée, je ne le pense pas. Ce que tu viens de me faire, si j’en ai joui, c’est parce que je me suis souvenue de ce que j’étais avec mon Maître. Mais j’ai eu mal, plus mal encore qu’avec mon Maître. Il le fallait si tu voulais oublier ton ex-femme."
"Vous, les femmes, j’ai de la peine à vous comprendre. Imagine que tu sois une tordue et que dépose plainte chez les poulets. Je suis en tôle et pour un bout de temps."
"En tôle, je veux bien, mais à une condition, que je sois celle qui soit chargée de te garder. Tu vois, je me demande qui est le prisonnier de l’autre."
"Je me le demande aussi. j’ai lu un truc, un jour, sur le SM. Il disait que l’esclave dominait toujours le Maître au moment du plaisir."
"C’est à la fois vrai et faux. On peut punir, torturer pour faire jouir. On peut aussi punir, torturer pour réellement punir et là, aucun orgasme, sous peine d’une punition plus cinglante encore."
Je la serrais tout contre moi. Je n’avais plus envie qu’elle ne me quitte, ne serait-ce que d’une semelle. Je la voulais comme mon ombre, collée à moi à tout jamais. En faire ma soumise, non, pas forcément, ou un peu, par jeu. Mais, sincèrement, je crois que Martine est réellement une soumise dans l’âme. Pire encore, une esclave de ses vices, de ses fantasmes non encore vécus. Je lui proposais une promenade au bord du lac Léman, elle enfila une robe, aussi boutonnée sur le devant. Puis, elle la retira, m’empêcha de mettre mon pantalon. Sous la douche, elle me lava entièrement, léchant même mon cul, j’adore sentir sa langue s’insinuer dans mon anus. De sa main, elle me branle lentement pendant que sa langue frétille dans mon cul.
Enfin, dans ma voiture, elle écarte ses cuisses, défait les quelques boutons de sa robe, me dévoilant son corps. Ma main, une fois en cinquième, se glisse sur son sexe. Son sourire me dit que je n’ai pas fini d’en découvrir avec elle. Près du lac, main dans la main, on se promène sans but précis, juste le plaisir de nous embrasser tous les dix mètres. Sans que je ne le sache, elle m’entraine près d’une gravière, dans des buissons. Là, ouvrant et retirant sa robe, elle se couche sur le sol et m’attire en elle. Je n’avais jamais fait l’amour en dehors d’une chambre, je découvrais un nouveau plaisir. Oh, elle ne fut pas longue à jouir et moi non plus. Mon foutre se répandit à l’orée de son sexe, sur l’intérieur de ses cuisses et même un peu sur son pubis.
"Ne te caresse pas, ne t’essuie pas. C’est un ordre."
"Oui Maître." Qu’elle me répond d’une voix soumise.
Je la relève, l’embrasse longuement en lui mettant sa robe que je boutonne qu’un bouton sur deux. Ainsi parée, je nous dirige vers un restaurant, vu l’heure, on peut encore y manger. Je sens une certaine tension chez Martine au moment de pénétrer dans ce restaurant. À table, interdiction qu’elle croise ou serre ses cuisses. Je lis une crainte certaine sur son visage. Il y a peu de client, la plus part déjà en sont déjà au café. Je nous commande la spécialité, cela me laisse une bonne trentaine de minute pour m’amuser d’elle. Parfois, quand un regard pose brièvement sur nous, je fais un signe de tête ou de main, comme pour saluer de vieux amis. Plus l’heure avance, plus je la sans mal à l’aise. Et je ne fais qu’accentuer son malaise. Enfin, cerise sur le gâteau, je lui demande de relever sa robe pour qu’elle s’asseye que sur ses fesses nues. C’est aussi le moment que choisit un couple pour se lever et quitter l’établissement. La honte se lit sur le visage de Martine quand je regarde ce couple et lui souhaite une excellente journée.
"Ça va, tu te sens bien?"
"Non, je ne me suis jamais montrée comme ça en public."
"Et tu ressens quoi?"
"De la gêne, de la honte."
"C’est exactement ce que je voulais. Ne me dis pas que tu ne mouille pas. Pas une goutte ?"
Tu parles, je me suis levé pour vérifier, sa chaise était toute humide de ses désirs. À son oreille, je la traitais de douce salope, elle prit ma main pour baiser tendrement son creux. À ma place, l’entrée arriva un peu plus tôt que je ne le pensais. Jetant un œil autour de nous, j’ordonnais à Martine de prendre l’œuf uniquement avec sa bouche. Elle le fit sans rechigner et devant le personnel qui préparait déjà la salle pour la soirée. Ensuite, elle mangea normalement, comme moi. Sur la route du retour, je la questionnais longuement sur ses envies, ses fantasmes. Ainsi, j’appris que l’exhibition forcée faisait partie de ses désirs. Je n’allais pas me priver de l’exhiber alors. Je parquais ma voiture devant chez moi. Je ne voulais pas laisser mes chats crever de faim. Dans mon appartement, la porte fermée à double tour, j’ordonnais à Martine qu’elle se mette nue. Pendant que je donnais à manger à mes chats, elle put visiter mon antre comme elle le désirait. Libre de ses mouvements, elle visita toutes les pièces. Au salon, je lui demandais ce que je devais changer. Alors, sur un bloc-notes, elle me fit une longue liste tout en m’expliquant ce qu’il me fallait faire. Si j’avais pensé tout virer des affaires de mon ex, il y avait une chose auquel je n’avais pas pensé, changer la serrure. Ensuite, elle me fit part d’une chose plus surprenante, faire de la seconde chambre, une sorte de donjon. C’est quoi un donjon? Alors, se raclant la gorge, elle m’expliqua et devant mon ordinateur.
"Voilà un donjon, tu vois, il y a même un lit cage. On peut y mettre tout ce qu’on veut pour punir sa soumise ou son esclave."
"C’est quoi la différence?"
"Une soumise possède plus de liberté qu’une esclave, elle, elle en est totalement privée."
"Je vois, enfin, je crois."
"T’as jamais fessé ta femme?"
"Je crois bienque j’ai oublié de le faire."
"Pas grave, t’en as une maintenant.
"Oui, elle est soit totalement folle ou particulièrement amoureuse. La deux me semble la plus juste, quoi que folle d’amour serait plus précis dans mon cas. Quand à te demander si je suis masochiste, je le suis aussi, mais un peu. Tout dépend à qui je me donne entièrement."
"Et avec moi?"
"Je peux l’être et totalement. Comme me faire percer et annelée, je suis pour. Et si je ne te demandais pas ton avis, exigeant que tu fasses percer là où je veux. Tiens, comme sur cette femme par exemple."
"Si tu l’exige, oui."
"Quoi que là, c’est trop. je n’aime pas, en plus ses tatouages, c’est juste ce que je déteste. Attends, il y a un site que lequel je suis tombé. Je crois l’avoir mis dans mes favoris, piercing and gadget, là! Clique dessus."
Sur l’écran, une multitude de femmes et hommes annelés, servant parfois de meuble ou de chien à leurs Maîtres. Il y a même la photo d’une femme habillée comme une chienne de la race des dalmatiens. Dans son cul, sur plusieurs images, elle se voit enfoncé un sexe de chien de grosse taille. Ce qui fait frémir de bonheur Martine. Cependant, je ne voulais pas la pousser à faire dans la zoophilie, ou alors avec du factice, comme sur les images. Sur la queue d’un homme, on compta jusqu’à dix piercings, dix lourds anneaux. Sur une femme, ses grandes lèvres étaient horriblement distendues par le simple fait de porter aussi dix gros anneaux, mais par lèvre. Le tout était encore cadenassé par deux anneaux à la fois, soit cinq cadenas.
"C’est comme ça que tu me vois?"
"Non, comme elle, oui, comme elle. les seins, le capuchon du clito et le nez. Pas plus?"
"Non, ou alors un par lèvre sur ton sexe avec un tout petit cadenas."
"Tu me plais, j’aime cette idée d’anneaux. Tiens, tu as vu, il y a même un contrat de soumis. Ne bouge pas, je te le lis."
Elle me le lut entièrement, il donnait les droits et obligations de la soumise et ceux de...en l’occurrence de sa Maîtresse. Martine sauvegarda ce texte, le traduit en français, le mit au masculin pour ma partie et l’imprima. Sans le relire, elle prit un stylo sur mon bureau, le data et le signa.
— Tu n’es pas obligé de le signer maintenant, mon Maître. Pour ma part, je voulais retrouver un dominant, je crois l’avoir trouvé en toi.
Je pris le contrat et me posais au salon pour bien le lire et même le relire plusieurs fois. Je regardais l’heure, nous avions encore deux bonne heures jusqu’à la fermeture. Délaissant ce contrat, bien trop tôt encore pour le signer, je fis une liste de course en fouillant mes armoires et mon réfrigérateur.
— Laissez, Maître, c’est à votre salope d’y aller.
Sans pouvoir lui répondre, elle était déjà habillée, un gros sac à la main et sortait. Cela me laissait tout le temps pour chercher des réponses à mes questions. La première déjà, à savoir si tout n’allait pas trop vite? Puis, à la seconde, savoir si j’étais capable de répondre aux attentes de Martine. Une question avait sa réponse, oui, j’avais une réponse, je l’aimais et ça, personne ne pourrait me faire dire le contraire.
Je pris mon téléphone, cherchant encore des réponses. J’appelais ma sœur. Au téléphone, elle sembla désolée pour ma mésaventure sentimentale. Je la rassurais en disant que j’avais peut-être trouvé un nouvel amour. En fait, certain de moi, plus sûr que jamais, je lui avouais tout de go que cette femme était ma nouvelle esclave et détaillais ma première nuit avec elle. Je n’épargnais rien des détails les plus croustillants aux plus sales, les plus pervers. Je terminais mon petit exposé en avouant bien vouloir faire subir les pires supplices à mon ex. Dans la voix de ma sœur, je sentais une certaine gêne. Puis, elle craqua en m’avouant que son mari l’avait plaquée pour partir avec mon ex. Là, ce fut un monstre éclat de rire qui s’empara de moi, un rire nerveux, presque méprisant, mais nerveux. Plus je riais, plus ma sœur pleurait au téléphone. Je m’excusais d’avoir ri autant. Je me proposais de passer dimanche dans l’après-midi et lui présenter Martine par la même occasion. Ma sœur arrêta enfin de pleurer et accepta qu’on se rencontre à nouveau. Cela faisait bien une bonne heure que Martine était partie. J’avais un rouleau de sac poubelle dans la main, j’en retirais un sac et suivais liste que m’avait faite Martine. Tous les vêtements de mon ex y passèrent. Du reste, si Martine aurait voulu en mettre, ils étaient bien trop grand pour elle, mon ex mesurait le mètre septante-cinq ou soixante-quinze si vous préférez parler en vieux français. Na, ça s’est fait! Puis, je me ravisais, pourquoi utiliser des sacs poubelles pour virer les vêtements de mon ex? Je pris les deux litres de pétrole à réchaud dans une main, passais tous les fringues de mon ex par la fenêtre. En bas, je fis un très gros tas, loin de l’immeuble et y boutais le feu. Pour l’occasion, je me suis même permis de fumer un de ces bons cigares qu’elle détestait tant, une autre forme d’exutoire.
Ma belle compagne me rejoint en voyant la fumée qui se dégageait de mon feu de joie. J’étais assis sur une souche à regarder mon feu consumer ces tissus, elle me poussa un peu, s’asseyant près de moi.
— Comment mon Maître se sent?
— À merveille, ma belle, à merveille. À propos, demain, on va chez ma frangine, son mari l’a aussi quitté.
— Oh, c’est...
— Le pire, c’est que c’est avec mon ex qu’il est parti et cela fait pile deux mois de ça.
— La pauvre, elle doit être encore sous le choc.
— Je veux, mais pourtant, cela m’attriste si tu veux tout savoir.
— Tu sais, je suis psy, tu peux tout me dire.
Je n’ai rien ajouté, parce qu’il n’y avait rien à dire de plus. Mon feu s’éteignait tranquillement, je le regardais, fumant encore mon bon Churchill Morning. Ma douce en prit même une bonne bouffée, le trouvant bon. Pour finir, je rassemblais les cendres que je plaçais dans un seau en métal. Nous avons regagné l’appartement, je posais les cendres sur mon balcon. Ma douce se mit en tête de changer les draps de mon lit. Je lui pris la main, ouvrait mes armoires.
— T’as le temps de donner ton congé et déménager chez moi si tu veux réellement vivre avec moi.
— Je le veux Maître, plus que tout au monde. Un mois devrait suffire pour trouver un nouveau locataire.
— Alors va pour un mois. Mais je t’accorde quand même deux mois.
— Le Maître désire me voir annelée?
— Alors trois mois. C’est le temps qu’il faut pour que tout cicatrise. Je viens de le lire. J’ai même signé le contrat qui nous lie désormais. Je ne l’ai pourtant pas encore daté. Il le sera une fois que tu seras chez moi.
— Bien Maître. Il me plait de vous dire que je vous aime depuis notre première entrevue.
— Parce qu’on s’est déjà vu?
— Une fois, tout au début, pour examiner votre demande de rente invalidité. C’était avec votre correspondant de l’agence.
— Monsieur Pignolet?
— Oui, lui-même.
— À vrai dire, si je le croisais dans la rue, comme pour toi, je ne vous reconnaîtrais même pas.
— Moi si, je connaissais la date de tous vos rendez-vous et je guettais votre arrivée comme votre départ.
— Vilaine fifille, on m’espionnait alors.
— Je le confesse, Maître, cela mérite une nouvelle fessée, ne le pensez-vous pas?
— Si.
Je retirais ma ceinture, la pliais en deux pendant qu’elle retirait sa robe. Nue, ses fesses encore rouge de la dernière, je ne le frappais pas très fort, juste pour la chauffer et la mettre sur orbite.
Le dimanche, toujours aussi diaboliquement sexy, on s’est rendu chez ma sœur. Elle, plus sombre, portait une vieille robe et très longue qui la vieillissait. Autour d’un verre, Isabelle m’expliqua comment tout était arrivé. Comme pour moi, il était parti du jour au lendemain sans ne rien prendre que ce qu’il portait sur lui. Cependant, Isabelle les a aperçus à plusieurs reprises dans la région, à croire que le couple y avait élu domicile sans chercher à se cacher. Isabelle croit même savoir où ils vivent. Bref, ayant envie de définitivement tourner la page, je n’écoutais plus ma sœur. Martine, psychologue de profession, commença vite à lui poser des questions plus insidieuses, presque intimes. Isabelle répondait à toutes les questions et sans détour en plus. J’en appris plus sur ma sœur durant cette visite que dans toute une vie. Certes, Isabelle a toujours été mon idéal féminin. Pour moi, elle est et reste la femme physiquement parfaite. De ce côté, Martine lui ressemble à bien des égards. À un moment, le écoutant, cela m’est sorti sans que je n’en sache la raison.
— Mets-toi à poil.
— Quoi?
— Tu te fous à poil, petite sœur et sans perdre de temps.
Ma voix était si autoritaire que même Martine hésita à imiter ma sœur.
— Regarde, elle te ressemble. Approche, Isabelle. Ne fais pas d’histoire ou je te fesse.
Près de nous, je l’assois sur mes cuisses et malaxe son corps comme un boulanger sa pâte. Très vite, ma sœur commence à souffler différemment. Son cœur bat la chamade. Si d’une main je maltraite sa poitrine, l’autre défait les boutons de la robe de Martine. Et, nue toutes les deux, je les pousse l’une contre l’autre. Baisez ensemble, c’est un ordre.
J’étais devenu froid comme un glaçon en les regardant se donner l’une à l’autre. Une fois lancée, elles ne se contrôlaient plus, je suis sorti me fumer une cigarette.
Dehors, je secouais la tête, me demandant comment j’avais pu faire une chose pareil, donner ma sœur à Martine. Du salon, me parvenaient les clameurs de leurs plaisirs. En me retournant, je pris soudainement conscience que ma sœur possédait une belle villa de deux étages. Certes pas ressentes, mais c’était une belle maison tout de même. Elle possède en outre une grande surface herbeuse et entourée de hauts thuyas pas souvent taillés. En faisant le tour, devant la petite route, je me mis à calculer. Il y avait place pour bien quatre voitures. De retour dans la maison, j’en fis le tour, visitant toutes les pièces, une à une. D’instinct, je mesurais la surface de chaque chambre, chaque local ou cave, de même au premier. Enfin, sur une feuille de papier, je résumais ma visite très instructive. Dans le salon, mes deux gouines m’attirèrent entre elles. En moins de deux, je fus à poil et profané par mes deux gourgandines. Je me suis laissé faire, surtout quand Martine obligea ma sœur à s’empaler sur ma queue tendue. Ce fut notre moment à tous les deux. Je ne la baisais pas, je lui fis l’amour. Martine se retira du jeu pour mieux nous regarder. Je couchais ma sœur pour mieux l’aimer. Jamais, même si elle était et reste mon idéal féminin, je n’avais rêvé de l’aimer ainsi. Elle se donna à moi comme je me donnais à elle. Pendant le reste de l’après-midi, je l’ai aimée et faite jouir bien des fois avant de me répandre en elle. Elle se mit alors à pleurer à chaude larme.
— Je t’aime mon frère, je t’aime mon Rémi.
— Je t’aime petite sœur, tu as toujours été ma plus belle. Mais te faire l’amour, jamais cela ne m’avait traversé l’esprit.
— Moi non plus, moi non plus.
J’ai léché ses larmes, ses baisers étaient doux et terriblement amoureux. Je l’emportais enfin, la douchais, la lavant de partout. Martine se joint à nous au moment de sécher Isabelle, se montrant sous un autre jour.
— Tu sais ma belle, je ne pensais pas faire ce que j’ai fait avec vous deux. C’est normal, elle était désemparée, ne sachant pas comment faire et toi, tu as juste fait ce qu’il fallait, comme moi en te traitant de couille molle. Tu as fait surgir ton autorité naturelle. Bien que dans ce cas, ce fût presque un inceste si vous aviez été mineurs. Me dit Martine.
— Isabelle, voudrais-tu vivre avec nous? Lui demandais-je.
— Hein?
— Oui, vivre avec nous. Tu sais, j’ai beau me demander pourquoi je suis comme ça, la réponse, c’est Martine.
— Écoute, vivre avec vous deux, dans ton appartement, cela me parait difficile sans éveiller les soupçons.
— Justement, ta maison est suffisamment éloignée des autres pour nous trois.
— Tu me veux comment, en tant que concubine ou, comme pour Martine, soumise. Sache, avant que tu ne me répondes, que j’étais aussi la soumise de mon mari.
— Ben ça alors!
Je venais de me prendre une seconde claque en pleine poire. Puis, Isabelle se redressa, s’avança vers moi. Elle me prit la main pour m’entrainer là où je n’avais pas été, la porte était fermée.
— Tu sais, le garage, vous l’aviez entièrement refait. On t’avait dit que c’était pour en faire une chambre, c’était pour en faire ça.
Devant Martine et moi, la porte s’ouvre sur un donjon tout équipé. Une fois à l’intérieur, je constatais que rien ne manquait. Il y en avait même que je ne connaissais pas, comme l’âne espagnole. Isabelle se mit à nous raconter comment tout avait commencé et l’histoire de cette soumission. Oh, cela n’a pas commencé juste après le mariage, loin de là. Non, c’est après ses trente ans que mon beau-frère a commencé à la soumettre. Ce fut progressif, d’abord par les tenues à mettre, ensuite les positions et enfin, la première punition, révélatrice, à écouter Isabelle, qui la fit jouir comme jamais. Martine était sous le charme de cette grande pièce et insonorisée en plus. On remonta au salon, devant un double scotch, on discuta encore soumission. Isabelle finit par nous avouer que depuis deux mois, elle côtoyait une femme autoritaire dans le cadre de son travail. Sans aller jusqu’à se faire punir par cette femme, sa seule autorité suffisait à mettre ma sœur en trance. En fait, ce n’était qu’une collègue de travail qui en imposait par sa manière d’être. Cependant, Isabelle nous avoua encore qu’elle rêvait de se soumettre à cette femme.
— Et si ton frère la remplaçait?
— Rémi? Oui, pourquoi pas, vu ce qu’il a réussi à faire de moi.
Pendant cette courte discussion, j’étais aux WC, je n’ai donc rien entendu. C’est Martine qui me la rapporta plus tard.
— Tu sais, ton frère est un bon Maître. Je l’avoue, il m’a fallu le traiter de couille molle pour le faire réagir. Si je te disais qu’il m’a exhibée presque nue dans le restaurant du Lac.
— Quoi, le gastronomique?
— Oui ma belle. J’avais une robe un peu comme celle-ci et il m’a déboutonné un bouton sur deux avant de m’obliger de m’assoir en la relevant.
-Tu oublies juste que nous avions tiré un coup dans les fourrés un peu avant. ajoutais-je
— C’est vrai, Maître, pardonnez à votre chienne cet oubli pourtant si jouissif.
— Vas te mettre nue au coin, à genou, le corps bien droit, petite salope.
— Rémi...s’il....Ma soeur n’a pas le temps d’ajouter quoique ce soit.
— Silence toi. maintenant, c’est toi qui vas m’obéir et sans délai. Ta chambre, vire ton lit dès demain. Tu le donne, le vends, rien à foutre. Si tu connais du monde, je le veux lundi soir chez moi pour prendre le mien, bien plus grand. C’est clair?
— Je connais du monde, monsieur mon frère. Cela sera fait.
— Les affaires de ton mari. T’en fais un gros tas au milieu de ta pelouse et tu y fous le feu. Tu ne gardes que si qui peut éventuellement servir. En outre, mardi soir, dans ton salon, je veux voir tous tes fringues, même tes sous-vêtements. Je ferais un tri de que ce que tu peux mettre ou pas. si ta collègue veut te punir, t’as pas intérêt à lui tourner le dos. pour moi, elle y est autorisée. Tu peux même l’inviter un soir que nous serons là, Martine et moi. Si tu me veux, c’est maintenant que tu nous dis oui ou non. Si c’est oui, mardi, je te donnerais ton contrat. Ça joue pour toi?
— J’accepte monsieur mon frère. Je suis à vos pieds.
— Là, tu me plais petite sœur. Tu verras, je ne serais jamais égoïste en plaisir à vous offrir. Mais je serais aussi vous punir et Martine peut en parler pour m’avoir traité par deux fois de couille molle.
— J’ai vu, monsieur mon frère, les bleus sur son corps. Elle m’a tout raconté, j’en ai même eu un bel orgasme.
— Martine, on rentre.
J’étais déjà assis derrière mon volant quand Martine arrivait, boutonnant sa robe. Dès notre arrivée, je la déposais chez elle en lui rappelant qu’on se reverrait dans trois mois et annelée comme on l’avait décidé. Chez moi, je me couchais non sans avoir fumé un bon cigare et dans le salon.
Le lundi, au travail, un SMS m’arrivait de ma petite sœur. En substance, il m’avisait que les fringues du beau-frère flambaient dans la pelouse et que lit y était aussi. Enfin, elle me disait encore que quatre personnes passeraient prendre mon lit avec un grand bus.
De retour chez moi, je démontais ce que je pouvais de mon lit. L’équipe est arrivée une petite heure plus tard. Une heure de plus et mon lit partait chez ma sœur. Moi, pour dormir, j’avais encore le lit de mon fils. Oh merde, mon fils, faut que je l’avertisse que je vais déménager sous peu. Pour ça, je prends ma plus belle plume pour lui écrire une longue lettre. Elle va lui apprendre ma rencontre avec Martine, sans lui dire que nous faisons dans le SM. De plus, elle va lui dire où nous allons vivre dans peu de temps. Alors que j’écrivais, un SMS arriva, Martine me dit avoir douloureusement souffert. Le message est court, mais très explicite. Aussi, en retour, je lui demande de m’envoyer une photo de ses anneaux. Je pliais la lettre quand, sur mon ordinateur, une petite dizaine d’images s’affichaient sur mon écran. J’adore ce petit programme qui me permet d’afficher mes messages de mon smartphone sur mon ordi, WhatsApp qu’il s’appelle, le top du top. Ma foi, les images sont très explicites et délicieusement bandantes qui plus est. Dans le lit de mon fils, je ne cesse d’imaginer la suite à donner à ces anneaux. J’allais m’endormir quand un message me parvenait, de ma sœur. Tout ça pour me dire que mon lit était remonté et prêt. En plus, j’en eus la larme à l’œil, elle me dit qu’elle allait se faire anneler dès la semaine suivante, dans la même boutique que Martine. Permission refusée pour une durée de trois mois. Les trois mois pendant lesquelles je ne pouvais honorer Martine. Je sais qu’elle sera déçue, mais peu m’importe, je veux une femme à baiser et Isabelle se retrouve dans la condition de roue de secoure. Le ton de ma réponse fut ferme et sans appel possible.
Punaise, en moins d’une semaine, même au boulot, on avait peine à me reconnaitre. Ma psy, elle-même, me trouvait complètement changer. Je me suis bien gardé de lui dire que j’avais une autre psy et bien plus belle qu’elle et autrement plus désirable. En fait, en suivant les conseils avisés de ma nouvelle psychologue, je jouais au dépressif profond. Taciturne, horripilant, muet, j’étais le pire employé de cette fondation. Martine me prédit qu’en trois mois, l’affaire serait bouclée, mais au niveau de l’assurance et que je serais considéré comme invalide à 100%.
Mardi soir, je suis chez ma sœur, nue devant ses vêtements, elle a déjà fait un premier tri. Je fis le suivant, plus sévère qu’elle. Pour commencer, j’écartais pratiquement tous ses pantalons, n’en gardant qu’un pour deux mois à ne mettre que pendant ses menstruations. Ensuite, tous ses vieux soutifs partent pour la poubelle, tout comme ses vieilles culottes. Je veux du neuf, du sexy, du désirable. Jupe trop longue, poubelle, robe pas sexy et se fermant derrière, poubelle, chaussures sans charme, poubelle. Il lui restait à peine de quoi faire le reste de la semaine. Aussi, j’avais débarqué avec un baise-en-ville. Et le soir même, je m’installais chez ma sœur pour la baiser ou l’aimer, selon mon humeur. Elle se montra bien plus soumise que je ne le pensais. Trois mois plus tard, avec mes chats, Martine et Isabelle, on fêtait notre nouvelle adresse. J’attendais la réponse de l’assurance invalidité et Isabelle était annelée comme Martine. Six mois passèrent, j’étais invalide à 100%, n’avais plus besoin de travailler et avais deux femmes qui me faisaient tous mes désirs et prenaient un plaisir à le faire. Ce n’était y pas si longtemps que notre vie à trois commençais, 4 ans, tout au plus. Oh, la collègue de ma sœur, l’autoritaire, Emmanuelle, c’est ma nouvelle épouse, c’est une véritable dominatrice en plus d’être une femme des plus savoureuses au lit. Ce n’est pas nos soumises qui vont vous dire le contraire. Si jamais, on cherche un petit animal de compagnie, du genre masculin, bien monté, bi et docile à souhait. Même s’il est masochiste, ce serait que pur bonheur pour nous. Sans compter que nous avons un grand terrain bien dissimulé, dans un coin éloigné.
À bientôt.
P.S.: Parfois, avec ma nouvelle épouse, on se demande si on est dans le vrai monde ou si on vit dans un monde imaginaire. Mais en voyant les nouvelles du monde, on se rend vite compte qu’on est bien dans ce monde pourrit, sauf que pas chez nous!
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