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Ma rencontre

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je m’appelle Amelie, j’ai 32 ans, je suis brune aux cheveux mi- longs, je mesure 1m71 pour 51kg. J’ai décidé de raconter le bonheur que je vis afin d’en faire profiter les lecteurs de ce site, mais aussi parce que j’en éprouve le besoin. Je n’ai pas d’amies assez proches pour me confier à elles, et le fait de publier ce récit m’amènera peut-être à rencontrer d’autres femmes qui vivent la même chose que moi. Avoir une amie et confidente serait pour moi une chance formidable. Je précise de suite que je ne recherche en aucun cas à avoir des contacts avec des hommes, donc messieurs, n’essayez pas de vous faire passer une femme vous seriez très vite démasqués.    Je suis la fille unique d’une mère française et d’un père anglais, je suis de fait parfaitement bilingue depuis ma plus tendre enfance. Mon éducation a été très stricte jusqu’à ma majorité. J’étais une adolescente plutôt timide et réservée, mon refuge était le sport et la musique. Je n’ai eu droit à sortir le soir avec des amis qu’à partir de 17 ans et encore avec des horaires très encadrés. J’ai suivi une formation dans l’hôtellerie car je souhaitais devenir réceptionniste dans des hôtels de luxe. Le fait d’être bilingue a beaucoup facilité les choses.    Mes parents sont décédés il y a maintenant 10 ans dans un accident et comme ils étaient eux-mêmes enfants uniques je me suis retrouvée sans aucune famille à 22 ans. Je passe sur les mois difficiles que j’ai vécus à cette époque, mais j’ai rapidement décidé de quitter la région Lyonnaise pour aller m’installer à Londres et y chercher un emploi. La vente de la maison familiale et le capital reçu des assurances vies de mes parents me permettaient de prendre mon temps pour trouver le travail qui me convenait.    Côté sentimental, j’avais fait l’amour pour la première fois à presque 18 ans avec un copain de ma classe. Je n’ai pas un grand souvenir des quelques semaines passées avec lui à l’époque. Puis j’ai rencontré Jérémy avec qui je suis resté 4 ans sans jamais vivre ensembles. Notre histoire s’est terminée lors de mon départ pour Londres, malgré les promesses mutuelles de faire le voyage régulièrement, qu’aucun de nous n’a su tenir. Pendant ces quatre années, j’ai aimé faire l’amour avec lui, nous avons parfois fait l’amour à quatre avec un couple d’amis, mais je ne suis pas bisexuelle et ces parties carrées n’étaient pas trop mon trip. Disons que je les acceptais pour faire plaisir à Jérémy.    Je suis arrivée à Londres, où je ne connaissais personne, et après quelques semaines dans un petit hôtel du centre je finis par trouver un T2 meublé en location dans un quartier chic. Le loyer était exorbitant mais je pouvais me le permettre, persuadée que je trouverais rapidement du boulot. Pendant plusieurs mois je me laissais aller à dépenser sans trop compter, et sans trop chercher un travail non plus. Etant plutôt coquette je passais des journées à dépenser dans des boutiques de fringues. Je traînais au lit souvent jusqu’à midi, parfois même toute la journée à regarder la télé. Je mettais quand même un point d’honneur à tenir mon appartement propre et bien rangé. La seule contrainte que je m’imposais était d’aller deux fois par semaine à la salle de sport dans laquelle je m’étais inscrite. Au bout de trois mois je ne connaissais pas vraiment grand monde et je ne m’étais fait aucun ami et aucune amie.     La chance finit par me sourire quand une nouvelle voisine aménagea sur le même palier que moi. C’était une vieille dame de 70 ans qui vint tout naturellement frapper à ma porte pour se présenter. Nous avons sympathisé et elle est devenue un peu ma confidente. Quand je lui dis que je cherchais un emploi dans l’hôtellerie, elle m’apprit que son fils était directeur adjoint dans un hôtel plutôt chic situé à deux pas de la résidence. Dès le lendemain matin elle s’empressa de me recommander et huit jours plus tard je commençais à travailler comme réceptionniste.    Voilà, le décor est planté et je vais pouvoir maintenant reprendre l’histoire de ma vie le jour de mes 25 ans, qui va devenir pour moi comme une deuxième naissance.    Cela fait quasiment trois ans que je travaille dans l’hôtel comme réceptionniste, Nous sommes cinq à nous relayer à ce poste de jour comme de nuit. Ma voisine est hélas partie en maison de retraite depuis un an, et son fils est maintenant le directeur de l’établissement. J’aime mon travail et je m’entends très bien avec mes collègues. Je ne suis toutefois pas parvenue à me faire d’amis, juste quelques bonnes copines où copains. Je n’ai pas non plus de petit ami, juste quelques rares aventures, mais la dernière date de plus de six mois. Je commence sérieusement à être en manque et je projette de sortir draguer un peu le week-end suivant pour fêter mes 25 ans. Nous sommes mercredi et cette semaine je travaille de 14h00 à 22h00, donc difficile de sortir après, surtout que je termine souvent 30 à 40 minutes plus tard le temps de passer les consignes à mon successeur pour la nuit. Comme je ne suis libre qu’un week-end par mois, je compte bien profiter de celui qui arrive.    Je viens juste de prendre mon service quand je vois arriver un homme en costume cravate, suivi d’un collègue qui porte ses bagages. Je le trouve de suite très séduisant, grand, entre 30 et 40 ans, les cheveux courts, parfaitement rasé. Il s’approche du comptoir, j’aime l’odeur de son parfum, et s’adresse froidement à moi d’une voix grave. Son anglais est approximatif mais compréhensible, et je devine de suite qu’il est français. Je lui dis :— « Vous êtes français, monsieur ?— Ah, vous parlez français, tant mieux ça m’arrange. »Il me tend son passeport et me dis avoir réservé une chambre pour six nuits. Je vois qu’il est français, qu’il s’appelle Edouard, qu’il a 37 ans et qu’il vient de Lyon comme moi. Je lui dis :— « Je suis aussi lyonnaise, mais je n’y suis pas retourné depuis 3 ans. »— Ah, le monde est petit ! Moi aussi je viens m’installer à Londres »Il m’explique qu’il vient prendre la direction d’une société informatique qu’il a acheté, et qu’il vient d’acquérir une maison dans la proche banlieue de Londres qui est en travaux actuellement. En lui tendant sa clef je dis :— « Quand vos travaux seront finis vous ramènerez toute votre famille ?— Pas du tout, je suis en plein divorce, d’où mes aller-retour en France pour l’instant. Mais comme nous n’avons pas d’enfants ça va aller vite.— Excusez-moi, je ne voulais pas être indiscrète !— Ne vous excusez pas, si vous aviez été indiscrète je ne vous aurez pas répondu.— Merci monsieur, je vous souhaite un bon séjour chez nous. »Sa chambre étant au premier étage il monte par l’escalier. Je me dis que c’est un très bel homme, sa voix sèche et grave me plaît beaucoup, je suis à la limite du coup de foudre. Mais je me dis que je dois être bien trop jeune pour lui, dommage !    A peine une heure plus tard, il vient à nouveau me voir pour me demander de lui appeler un taxi, et en attendant il reste accoudé devant moi. Je remarque qu’il détaille mes courbes, pourtant pas mises en valeur par l’uniforme, mais je suis plutôt flattée qu’il s’intéresse à moi. Il me pose quelques questions sur ma vie londonienne auxquelles je réponds de bonne grâce, il me demande aussi comment et pourquoi je suis arrivée à Londres. Il s’excuse à son tour de son indiscrétion quand je lui dis que c’est suite au décès de mes parents. J’aime qu’il me parle car sa voix est envoutante, je me dis que ce doit être un patron autoritaire avec ses employés. Son taxi arrive, il me demande à quelle heure je termine mon service, et conclut en disant que nous nous reverrons avant ma débauche vu qu’il va rentrer tôt. Plusieurs fois au cours de l’après-midi je me surprends à penser à lui.     Il revient effectivement assez tôt, vers 20h00, mais il me jette à peine un coup d’œil et va directement au restaurant pour dîner. Il s’installe à une des premières tables et comme la porte reste ouverte, il est quasiment en face de moi. Il mange en regardant sans cesse vers moi, je suis flattée, mais aussi un peu gênée à tel point que je bredouille plusieurs fois lorsqu’une cliente vient me demander quelque chose. Puis un peu avant 22h00 ma remplaçante arrive et je suis absorbée par la passation des consignes. Soudain il est là au comptoir et me demande si j’ai un papier et un stylo. Je lui tends un carré de papier et un stylo et en les prenant il se penche en avant pour lire mon prénom sur mon badge. Il griffonne quelque chose sur le papier, le plie en deux et me le temps en disant que c’est pour moi, puis il monte. Je glisse le papier dans ma poche sans le lire et je termine la passation de consignes. Puis je monte au premier étage où se trouve le vestiaire du personnel pour récupérer mon sac et mon manteau. En arrivant devant mon armoire, je sors le papier de ma poche pour le lire. Je manque de m’évanouir en voyant ce qu’il a écrit :« Aurélie, je vous attends chambre 16 à la fin de votre service. Edouard. »Je relis plusieurs fois, mais c’est bien ce qui est écrit ! Je reste assise plusieurs minutes en me demandant ce que je dois faire, mais je finis par me dire qu’il veut juste m’inviter à boire un verre. En même temps, j’ai envie qu’il veuille plus, mais je me dis que ce n’est pas possible. Finalement je me dis qu’il ne vaut mieux pas que j’y aille, et j’ouvre la porte qui mène à l’escalier du personnel et je descends dans la rue. Arrivée en bas, je décide finalement de remonter. J’ai du mal à retrouver la clef de la porte dans mon sac, mais je me retrouve face à la porte de la chambre n° 16 et je m’empresse de frapper pour ne pas me laisser le temps de réfléchir au risque de changer encore d’avis.
La porte s’ouvre et il est devant moi en peignoir, brosse à dent à la main. Il m’invite à rentrer et retourne dans la salle de bain terminer son brossage. Je reste immobile devant la porte, je l’entends cracher et se gargariser. Il passe la tête par la porte et me dit d’un ton sec :— « Déshabilles toi et couches toi, j’arrive ! On ne peut pas dire que vos uniformes soient très excitants ! »Je suis estomaquée par ce qu’il vient de dire et je ne réponds pas, je reste sans bouger près de la porte. Malgré ma gêne je dois bien avouer que ce qu’il a dit me fait mouiller et m’a excitée. Il passe à nouveau sa tête par la porte et me voyant comme ça il hausse le ton à la limite de la colère :— « Si tu dois rester plantée là il ne fallait pas venir, alors tu te fous à poil et tu m’attends dans le lit, sinon tu te casses. »Domptée par le ton de son ordre, je me mets nue et je me glisse sous les draps. Il me rejoint deux minutes plus tard et m’embrasse en me serrant fermement contre lui. Pendant que sa langue fouille ma bouche, je sens ses mains presser mes seins, il repousse draps et couvertures, puis s’éloigne un peu de moi pour admirer mon corps en détails, il commente :— « Tu es canon, je confirme que l’uniforme ne te met pas en valeur. Par contre tu devrais te faire épiler intégralement, j’aime pas trop les chattes poilues »Je suis un peu honteuse qu’il me parle en termes aussi crus, mais en même temps j’ai de plus en plus envie qu’il me baise en continuant à me parler comme ça. Il continue :— « Tu savais bien que si tu venais ici c’était pour que je te sautes ? — Je m’en doutais un peu— Et tu en avais envie donc ?— Oui j’en avais envie monsieur— J’aime bien que tu m’appelles monsieur et que tu me vouvoies. Alors continue et dis-moi ce que tu veux !— Baisez-moi, monsieur s’il vous plaît !— Tu es une bonne salope, je vais te baiser comme une truie, et tu as intérêt à gueuler ! »Je me sens chienne et fière de l’être, je m’ouvre à lui, il peut faire de moi ce qu’il veut à ce moment-là. Ses caresses sont à la fois fermes et douces, j’aime ses insultes pendant qu’il me touche. Il m’ordonne de le sucer et je m’exécute sans broncher. Son sexe est assez volumineux avec un gland circoncis qui est bien plus large que sa hampe. Pendant que le suce, il essaie de s’enfoncer davantage, mais je manque de vomir. Il me dit que je vais devoir apprendre à pratiquer en gorge profonde, sans que je comprenne vraiment ce qu’il veut dire par gorge profonde. Il m’ouvre en plaçant mes jambes au-dessus de ses bras et me pénètre d’un coup sec. Je réalise trop tard qu’il n’a même pas mis de préservatif. Il me baise violemment à grands coups de reins et en s’enfonçant au plus profond de mon ventre. Je crie de plaisir, je joui comme jamais auparavant. Jamais je n’avais imaginé qu’on pouvait jouir aussi intensément. Rapidement il jouit dans mon ventre en longs jets chauds, puis il se retire et se laisse tomber à mes côtés. Je réalise que c’est la première fois de ma vie que je suis baisée sans préservatif et qu’un homme éjacule directement dans mon ventre. En quatre ans avec Jérémy je n’ai jamais voulu qu’il me prenne sans protection. Je reste étendue un long moment, les cuisses ouvertes, je sens le sperme couler de mon vagin et souiller les draps. Edouard se lève et file directement sous la douche, puis en sortant il me dit :— « Prends une douche et rentre chez toi maintenant j’ai besoin de dormir car j’ai une journée chargée demain »15 minutes plus tard je sors de sa chambre sans qu’il m’ait seulement adressé une nouvelle fois la parole. Je marche rapidement pour rentrer chez moi car il fait plutôt frais, il est à peine 11h30. Je réalise que je viens de coucher avec un homme que je connais depuis moins de 12h00, et simplement parce qu’il m’en a donné l’ordre j’ai accepté de m’offrir à lui. Je ne comprends pas qu’il m’ait chassé aussi sèchement après m’avoir rempli le ventre de sa semence. Sans doute voulait-il juste « tirer un coup », ce soir avec moi et demain avec une autre sans doute. Pourquoi s’embarrasser d’une petite amie alors qu’il est en plein divorce ? Je m’en veux d’avoir cédé si facilement à ses avances! Mais il est si beau, comment résister ? En plus que de premières fois pour moi en une seule soirée ! Première sans préservatif, première fois que je cède aussi vite, première fois que je joui aussi fort… Je ne sais plus que penser, et je tarde à m’endormir. Il ne me reste plus que le lendemain après-midi pour espérer que l’histoire ne s’arrête pas, après je suis en week-end pour trois jours et je ne reprends que le lundi à 22h00 pour une semaine de nuit. Je finis malgré tout par m’endormir au petit matin.    Le lendemain j’arrive à l’hôtel avec un peu d’avance en espérant le croiser, mais il n’est pas là. Je prends donc mon service et durant toute la journée je regarde en direction de la porte s’il arrive. Mais rien ne se passe, je suis triste et déçue, presque résignée. Vers 21h00 le téléphone sonne, je réponds ! C’est lui ! Je retrouve le sourire ! Il me parle toujours très sèchement :— « Je ne pourrais pas te sauter ce soir, j’ai un repas qui va se finir tard, je suis sûr que tu as envie que je te baise ?— Oui, Monsieur, très envie— Demain tu passeras la nuit avec moi— Je ne travaille pas demain, Monsieur, je reprends lundi soir à 22h00— Tu habites où ?— A cinq minutes à pied de l’hôtel— Seule ?— Oui— Donnes moi l’adresse et je te rejoins demain matin avec les croissants, on passe le week-end ensembles »Je lui donne l’adresse, je lui dis que je l’attends vite et je lui souhaite une bonne soirée. Je dois raccrocher rapidement car un client attend devant le comptoir. Je suis aux anges !En rentrant chez moi, je fais un brin de ménage, je mets ma plus belle nuisette pour pouvoir l’accueillir au saut du lit le lendemain matin.     Il est à peine 7h30 lorsque je suis réveillée par la sonnette de l’interphone. Je me précipite, c’est lui, j’ouvre la porte et je me précipite à la salle de bain me refaire une beauté pendant qu’il monte les quatre étages. J’ouvre dès qu’il frappe, et essaie de l’embrasser, mais il me repousse et dit :— « Tu es déjà habillée ?— Non c’est juste ma chemise de nuit— Tu dors en chemise de nuit ?— Oui— Les petites putes comme toi ça dort à poil, enlèves moi ça ! et puis fais nous un café on baisera après ! »Je me mets nue et vais à la cuisine préparer le café. Nous déjeunons, il a amené une bonne dizaine de croissants, il continue à me parler crument, et je me rends compte que ça me plaît et que je suis toute excitée à l’idée qu’il va me baiser après déjeuner. En plus il va passer le week-end chez moi vu qu’il a amené ses bagages. Pendant que je débarrasse la table, il m’attrape les poils du pubis et tire dessus comme pour les arracher en disant :— « Cet après-midi on ira te faire peler la chatte, je connais un institut qui fait ça !— Si tu veux— Je t’ai demandé de me vouvoyer il me semble !— Pardon Monsieur, excusez-moi !— Ca va pour cette fois mais plus jamais ! « Je vais à la salle de bain me laver les dents pendant qu’il déballe sa trousse de toilette, puis il m’ordonne :— « Tu m’attends sur le lit, les cuisses écartées et tu commences à te branler en m’attendant, je veux te voir jouir ! »Je suis un peu surprise par sa demande, mais je m’exécute. Il me rejoint et s’allonge habillé à côté de moi, il saisit mes tétons entre deux doigts et les tortille dans tous les sens, je suis très sensibles des tétons et chaque fois qu’il tire un peu plus fort dessus je gémis de bonheur. Ses propos deviennent de plus en plus injurieux, il parle à mon oreille :— « Je veux que tu te fasses jouir toute seule salope, tu aimes te branler ?— Oui Monsieur— Tu te branle souvent d’habitude ?— Une ou deux fois par semaine Monsieur »Il tire d’un coup sec sur un de mes tétons, m’arrachant un cri de douleur, en haussant le ton :— « Tu me regardes dans les yeux quand je te parle pétasse, tu me regardes même quand tu joui, je t’interdis de fermer les yeux !— C’est dur Monsieur— Quoi ?— De garder les yeux ouverts Monsieur— Tu te forces, je veux voir ton plaisir dans tes yeux de pute, c’est compris— Je vais essayer Monsieur— Si tu n’obéis pas je te fous une claque c’est clair sac à bite ?— Oui, Monsieur »Ses mots m’excitent de plus en plus, mon doigt accélère les mouvements sur mon clitoris, Edouard me tient la tête en ne cessant de m’insulter et en me rappelant sans cesse de le regarder dans les yeux. D’un coup, tous mes muscles se tendent, je vais jouir, j’en peux plus, je lutte pour garder les yeux ouverts… D’un coup, Edouard se met à genou entre mes cuisses, me saisit les poignets et les bloque près de ma tête en criant :— « Tu ne jouis pas maintenant salope, tu attendras que je t’y autorise »— S’il vous plait, Monsieur, je vous en supplie, je n’en peux plus »Mais rien n’y fait il me tient ainsi jusqu’à ce que les spasmes qui agitent mon corps s’arrêtent. J’ai mal de ne pas avoir pu aller au bout de mon plaisir, je me sens frustrée. Mais je suis heureuse qu’il me dirige, qu’il m’insulte, qui me traite durement, je trouve normal que ce soit lui qui décide du moment où je peux jouir… Pour la première fois de ma vie j’ai le sentiment d’appartenir entièrement à un homme… Je suis sa chose, sa soumise… je suis amoureuse !    Il se déshabille, puis se couche à mes côtés alors que mes doigts reprennent leurs mouvements sur mon clitoris, presque instinctivement. Il me dit :— « Tu n’es pas autorisée à te branler une nouvelle fois, caresses ma bite, regardes : je bande ! » J’arrête de me masturber et je commence à caresser son sexe qui est déjà bien dur, il continue à me parler :— « Dis-moi ce dont tu as envie, on verra si ça me convient !— Baisez-moi Monsieur, s’il vous plaît ! je veux vous sentir dans mon ventre !— Moi j’ai envie de t’enculer salope, je n’ai pas encore visité ton fion— J’ai jamais fait ça Monsieur, je ne sais pas…— Alors je vais te dépuceler le cul, sale chienne ! Demandes le moi ! »J’hésite, j’ai peur d’avoir mal, mais il insiste, il me dit que j’aimerais ça même si la première fois est un peu douloureuse, je finis par lâcher :— « oui, allez-y.— Sois claire dans tes demandes, tu veux que je fasse quoi ?— Enculez-moi, Monsieur— Voilà qui a le mérite d’être clair. »Il m’ouvre largement, et présente son sexe contre mon anus, il pousse mais ne parviens pas à rentrer tant je suis contractée. Il m’encourage :— « Relâches toi, ça va rentrer, pousses comme si tu allais chier. »Je m’exécute et d’un coup sec il parvient à rentre son gros gland dans mon trou, je pousse un cri de douleur, mais il me tient fermement et s’enfonce doucement en moi. J’essaie de bouger, de me dégager tant la douleur est forte. Mais c’est peine perdue, chacune de mes tentatives rend la douleur plus forte. Il reste là planté au fond de mes entrailles, sans bouger. Je respire fort, saccadé, comme si j’allais accoucher. Petit à petit la douleur s’estompe et je sens mon anus relâcher la pression autour de son sexe. Il commence à aller et venir en moi, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Il jouit en longs jets saccadés au fond de mon cul. Je ne parviens pas à jouir de cette invasion, mais la douleur est devenue supportable. Il s’allonge à côté de moi pour reprendre son souffle. Je reste allongée, les cuisses largement ouvertes, mon anus émet des pets incontrôlables en éjectant le sperme dont il m’a remplie.    Nous restons au lit, et il commence à me questionner sur ma vie, mes occupations et sur mon expérience sexuelle. Je lui raconte tout sans pudeur, il me trouve inexpérimentée, mais il me dit apprécier d’avoir à faire mon éducation sexuelle pour me modeler à son gré. J’écoute ses paroles, je les bois même tant il me fascine. En 24h00 à peine, je suis devenue éperdument amoureuse de lui. Je dis oui à tout ce qu’il me demande, je suis prête à apprendre à lui plaire si c’est ce qu’il veut. Il me dit qu’il aime dominer une femme, que c’est pour cela qu’il exige que je le vouvoie et que je l’appelle «Monsieur ». Il me dit avoir demandé le divorce au bout de 5 ans de mariage car sa femme n’était pas assez soumise à son goût. Notre discussion dura toute la matinée, et il finit par me demander :— « Voilà, tu sais tout ce que tu as à savoir sur moi, maintenant à toi de décider si tu souhaites que nous fassions un bout de chemin ensembles. Mais si tu acceptes ce sera dans les conditions que j’exigerais de toi, et dans le strict respect de ces conditions.— Je veux être à vous Monsieur, mais j’ai besoin que vous me guidiez, que vous m’appreniez à vous satisfaire— Tu es prête pour que je te dresse ?— Oui, Monsieur, je suis prête »En fin de matinée, il me baise en levrette et me fait jouir violemment avant que nous nous préparions à sortir. Il exige que je sois en jupe avec des chaussures à talon. Il est déçu que je n’aie que des talons de quelques centimètres et me dit qu’il va y remédier le jour même. Il exige que je ne porte aucuns sous-vêtements. Ma poitrine se tient très bien et il n’est pas question que je mette de soutien-gorge en sa présence. Il proteste aussi que je n’ai que des collants à mettre et me dit que nous allons passer la journée à me relooker.     Edouard me conduit d’abord dans un institut de beauté qui pratique l’épilation intégrale. Il n’hésite pas à donner un dessous de table pour que je sois épilée de suite malgré que je n’aie pas rendez-vous. Une heure plus tard je sors, l’épilation n’a pas été douloureuse, mais je me sens toute bizarre avec le sexe à nu. Pus nous allons dans une boutique de lingerie où il me fait essayer plein de choses, dont des bas avec porte-jarretelles, dont il achète plusieurs modèles avec une dizaine de paires de bas. Il m’ordonne d’ailleurs d’en garder un sur moi et de jeter mes collants. Je me sens de plus en plus nue entre ma chatte épilée et maintenant à l’air sous ma jupe. Plusieurs fois dans la rue, je passe ma main derrière mon dos pour vérifier que ma jupe ne se soulève pas toute seule. Puis il m’achète une robe et deux jupes courtes avec les hauts assortis et très sexy. Enfin une paire de bottines avec des talons très hauts, et une paire de bottes à talons larges mais de 10 cm. Il refuse que je paye quoi que ce soit de ma poche et dépense au moins 2000 livres pour me « relooker ». Nous rentrons chez moi en fin d’après-midi chargés de paquets. Il me demande d’essayer tout ce qu’il a acheté devant lui, et choisit ce que je porterais pour aller diner au dehors le soir même. Quand je suis nue devant lui, il ne cesse de me complimenter sur la beauté de mon corps, il me demande combien je pèse et me dis que je ne dois jamais dépasser 52 kg, que je dois continuer à faire du sport pour garder un ventre bien plat… Je ne cesse moi-même pas de regarder mon sexe lisse avec cet étrange sentiment d’être redevenu une petite fille obéissante. Edouard me dit que je dois toujours maintenir mon sexe et ma raie parfaitement épilées, quitte à aller toutes les semaines à l’institut.     Après une douche, il me demande de me maquiller et me désigne sur le lit les vêtements qu’il veut que je porte. Une robe noire, coute, avec un décollette profond, qui se ferme en portefeuille, une porte jarretelle noir aussi avec des bas couleurs chair et les bottines achetées le jour même. J’ai un peu de mal à marcher avec des talons aussi hauts et je dois m’entraîner devant lui. Il veut que je marche comme un mannequin, en me tenant bien droite pour faire ressortir ma poitrine. J’essaie tant bien que mal à faire comme il me dit, mais il se veut rassurant en me disant que je progresserais très vite. Il me dit :— « Maintenant tu ressembles à une vraie femme, très belle et très classe. Fini de t’habiller comme une ado ! »Le compliment est agréable et je sais qu’il a raison. Il choisit dans ma penderie un manteau épais qui me couvre jusqu’aux chevilles et une écharpe assortie, puis nous sortons diner quand le taxi arrive. Il a choisi un restaurant luxueux du centre fréquenté par la communauté française de Londres. Edouard se montre très galant et très gentleman dès que nous sommes en public. Pendant le repas il me parle beaucoup des relations soumise-dominateur telles qu’il les aime. Je bois littéralement ses paroles, je ressens même une certaine excitation à savoir ce que sera notre relation. Plusieurs fois pendant le repas il me demande de me redresser et de bomber le torse. J’ai un peu honte que mes tétons durcis se voient aussi distinctement, ils me font même un peu mal par moment. Il s’aperçoit de ma gêne, et me dit que je dois être fière d’avoir une poitrine aussi belle. Nous rentrons vers minuit, et comme il le souhaite, je me mets de suite nue pour lui. Ce soir-là il me fait l’amour et me sodomise, je supporte mieux la pénétration que le matin, mais la douleur est toujours présente et m’empêche d’apprécier cette pratique.    Le lendemain, nous passons la journée sans sortir, je reste donc nue en permanence sans en éprouver la moindre gêne. Il veut que je m’entraîne à le sucer à plusieurs reprises en essayant de le prendre au fond de ma gorge. Je n’y parviens pas, mais il m’encourage en disant que je deviendrais rapidement experte. Plusieurs fois dans la journée il me prend la chatte ou le cul, quand il le décide. Je sais qu’il doit partir le lendemain matin et bien qu’il dorme à l’hôtel le lundi soir, nous ne pourrons pas nous voir vu que je travaille de nuit. Je lui donne mon planning pour qu’il organise ses venues à Londres en fonction de mes disponibilités. Comme je n’ai qu’un week-end par mois de libre, ce n’est pas facile. Je sens bien qu’il est agacé à la vue de cet emploi du temps, mais il ne m’en dit rien.    Le lendemain, il part vers huit heures et me laisse seule au lit. Je suis plongée dans mes pensées, un peu désorientée par tout ce qui m’arrive, en quelques jours à peine ma vie vient de basculer totalement. Je passe la journée à traîner, nue, il n’est pas là pour me diriger, choisir ma tenue…. Ça me manque déjà !
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