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Rencontre lesbiennes à la bibliothèque

Chapitre 2

ma première Zoo et pluralité lesbienne

Zoophilie
Le lendemain, dimanche, je fais la grâce matinée.
En me levant je vois la carte de Marie sur un meuble et cette fois, je n’hésite pas, je l’appelle.
« Allo Marie, c’est Julie ! comment vas-tu ? »« Bien un peu fatiguée car j’ai eu une autre expérience après ton départ »« Un homme, une femme, le black dont tu m’as parlé ? »« Je t’expliquerai. Et toi comment vas-tu ? »« Bien, c’était formidable et je voudrais te demander quelque chose mais je n’ose pas, c’est délicat. »« Vas-y. Nous sommes devenues intimes non ? »« OK. Hier soir en partant, j’ai rencontré à nouveau ton grand chien noir. Il m’a à nouveau fouillé sous la jupe et j’ai remarqué qu’il était particulièrement excité avec un énorme organe bien dressé. J’ai pensé que c’était l’odeur de nos ébats restée sur mon corps. Ça m’a fait tout drôle et même un peu plus. Tu comprends ? » « Est-ce que tu veux dire que ça t’a donné envie ? »« Oui j’ai un peu honte. »« Je te comprends et tu n’as pas à avoir honte. Rex me baise souvent quand je l’excite je t’assure que c’est sublime surtout quand il envoie sa semence. Il est très puissant. Si tu veux, je peux organiser une partie. »« Oh oui ! tu es formidable. Quand ? »« Ce soir si tu veux. 20h » « OK à ce soir »
20H je me pointe à la grille et gravis rapidement les marches du perron toute émoustillée de penser à ce qui m’attend.
J’entre directement dans le salon et surprise, Marie est là nue avec seulement son soutient gorge duquel pendent deux chaînes attachées à des pinces à seins (j’en utilise souvent pour me faire jouir) qui descendent jusqu’à sa vulve et lui pincent le clito.Marie est empalée sur un énorme gode ventouse et se branle ardemment.
« Tu es une vraie salope Marie tu m’excites »« J’avais trop envie en t’attendant. Viens me titiller les seins en tirant sur les chaînes ça va également me branler le clito »

Je m’exécute et fouille sous ma jupe pour me masturber.L’orgasme qui envahie Marie ne vient pas pour moi, je pense à ce pourquoi je suis venue.
« Rex n’est pas là ? »« Il est dans la pièce à côté. Il faut que tu sois bien mouillée pour qu’il sente ton odeur et vienne te fouiller. »« Ça y est je suis trempe rien que d’y penser. »
Marie appelle Rex qui arrive à toute vitesse et se dirige vers elle.
« Non Rex aujourd’hui tu baises Julie »
Il ne bande pas encore. Je m’assois sur le canapé les jambes écartées et là il se dirige directement sous ma jupe.
« Attends, j’enlève ma jupe ce sera plus agréable »
Chose faite, sa langue commence à fouiller ma vulve. Une sensation exquise. Cette langue qui lape ma mouille humm…
Marie se place derrière Rex et commence à le branler. Immédiatement une queue énorme émerge avec un bout rouge que Marie s’empresse à sucer.
« Tu vas voire c’est bon et quand il va te prendre tu vas monter au septième ciel »« Tu crois qu’il pourra m’enculer aussi ? »« On verra mais il faudra que je t’ouvre bien le cul. Retourne-toi pour qu’il te prenne en levrette. »
Le cul en extension pour bien présenter ma chatte, Rex pose ses pattes avant sur mon torse et essaye d’introduire sa queue.
« Il faut que je le guide » me dit Marie.
C’est chose faite.Rex commence sans ménagement à me pistonner. J’exulte !
« Baise moi, baise-moi, baise mon con Rex vas-y ! »
Au bout de 5 minutes de va et vient, je sens un liquide chaud qui envahit mes entrailles. Ça dure et c’est abondant. Je jouis en criant. Rex se retire, se lèche la queue, de plaisir je suppose et Marie s’approche en me disant :« Mets-toi debout et fais couler le jus dans ma bouche ».
Le liquide blanchâtre sort de ma chatte et coule sur la figure de Marie, j’en profite aussi pour me badigeonner les poils en pensant que je dirai à Marie de les lécher.Nous nous embrassons longuement pour mélanger le sperme dans nos bouches et avalons Je demande à Marie de me lécher les poils, ce qui me fait à nouveau mouiller.La soirée se termine ainsi. Demain on reprend le boulot et promettons de nous revoir avec de nouvelles idées.

Lundi je dois reprendre le chemin du bureau.
J’ai décidé de ne pas mettre de soutien-gorge et de culotte.Habillée avec mon tailleur noir strict et mes bas noirs.Au bureau, ma collègue est en congé. Je la remplace et gère ses dossiers pour la directrice. Aurélie c’est le prénom de notre patronne et tout le monde l’appelle comme cela.
Vers 10h Aurélie m’appelle pour traiter une correspondance. Je me rends dans son bureau et pendant que nous sommes penchés sur le dossier, malencontreusement un sein s’échappe de ma veste de tailleur. Je rougis et remets la chose en place rapidement. Aurélie ne m’en fait pas grief et me complimente même pour la beauté échappée.
Le dossier bouclé, je repars un peu honteuse à mon bureau.

Le lendemain, c’est ma patronne qui vient me voir pour un autre dossier. Elle s’assoit en face de moi en croisant ses jambes également gainées de noir ce qui fait remonter sa jupe jusqu’à mi-cuisses.
Au cours de l’étude du dossier, fréquemment Aurélie croise et décroise les jambes et je m’aperçois qu’elle non plus n’a pas de culotte. C’est très excitant mais c’est ma patronne et je fais mine de ne pas y faire attention.Le dossier terminé Aurélie se lève pour s’en aller m’offrant la vue d’une croupe à faire rêver. Elle se retourne et me lance :
« Vous savez Mlle Julie, hier j’ai trouvé votre sein très beau et j’aimerais bien voir l’autre ».
Interloquée mais pas farouche depuis mes aventures avec Marie, je me lève et ouvre ma veste de tailleur. Mes deux seins émergent, je les caresse et instinctivement. Aurélie porte sa main sous sa jupe et commence à se caresser. Je m’approche d’elle et imitant Marie, je la saisie par les cheveux et plaque ma bouche contre la sienne. Nos langues s’enlacent et nos mains fouillent sous nos jupes.
Soudain, la porte s’ouvre et la femme de ménage, une noire à la poitrine agressive, nous surprend. Aurélie ne se démonte pas et l’invite à se joindre à nous. Je saurai plus tard qu’elles avaient l’habitude de se gouiner après la fermeture des bureaux.
Donc habituée, la femme de ménage descend lentement la jupe d’Aurélie, s’agenouille et commence à la sucer.
« Tu sais Julie, cette salope se sert admirablement de ses outils et elle peut te pénétrer avec le manche de sa balayette. »
Je m’enhardi et je lui dis :
« Je préfère qu’elle m’encule pendant que tu me suces. »
Après une jouissance mutuelle, nous déshabillons la femme qui nous offre une poitrine merveilleuse écarte les cuisses et nous entreprenons de la sucer par tous les trous. Toutes les trois, nous mouillons abondamment le parquet et en nous relevant, j’ai la surprise de voir qu’Aurélie se vautre sur la mouille en léchant le sol.
Nos ébats terminés, nous nous rhabillons sans dire un mot et chacune revient à ses occupations. L’heure de la débauche arrive.En passant devant le bureau de la Directrice, elle m’interpelle et me dit tout simplement :
« A demain Mlle Julie »
Elle se lève pour me faire un baiser discret sur la bouche. Sans s’être douchées, nos corps sentent le sperme de femme et donnent envie de recommencer. Nos mains effleurent nos jupes au niveau du pubis et nous nous séparons.
En rentrant à l’appartement, j’appelle Marie et lui raconte mon aventure.
« Elle a l’air salope à ce que tu me dis, crois-tu qu’elle accepterais d’être notre jouet sexuel ? »« Je ne sais pas mais je vais essayer la sonder. »
Le lendemain la journée de travail se passe normalement, je ne vois pas ma Directrice qui est en réunions permanentes. Avant de partir, je passe devant son bureau. Elle est là. Je frappe, j’entre.
« Qu’est-ce qui vous amène Mlle Julie ? »
Je m’approche d’elle et ouvre la veste de mon tailleur laissant tomber mes deux seins près de sa figure.
« Je ne suis pas Mlle Julie, je suis la salope que tu as baisée hier. Je te propose une partie de gouines à trois dans une maison bourgeoise mais tu seras notre soumise et tu te feras défoncer. »« Qu’est-ce que vous dites là ? »« Ne fais pas l’indignée, je sais que tu es une vraie salope, que tu aimes le cul avec les femmes »« Je vous ferai remarquer mademoiselle, qu’en matière de salope, vous êtes une bonne compétitrice ! Bon on se voit quand Mlle Julie ? »« Ce soir à 21 h à cette adresse, le portail s’ouvrira pour te laisser entrer et tu nous rejoindras directement dans le salon sur ta droite en entrant. Tenue sexy exigée, pas de culotte. »« Aurevoir Mme la Directrice »

Je préviens Marie que c’est ok. Pour 21h mais que je serai là vers 20h30.
20h30 nous nous préparons. A poil juste avec un soutien-gorge et mettons sur pied notre scénario.21 h Aurélie arrive, nous l’accueillons cuisses écartées. Elle a un grand manteau de fourrure et en nous voyant ; l’ouvre sur une chatte velue et des seins énormes avec les tétons déjà bandés.
« Approche salope et commence à nous sucer » ordonne Marie
Pendant qu’elle me suce en lui ordonnant de me mettre sa langue dans le cul, Marie lui passe des chaînes aux poignets, la prend par les cheveux et la traine jusqu’à la croix de St André où elle l’enchaîne.
Marie appelle Rex, qui renifle nos chattes ce qui le fait bander dure.
« Maintenant Rex tu t’occupes de cette salope ». « Non ! pas ça je ne veux pas »« Tu ne discutes pas tu obéis, il va te sucer et te baiser »
Rex s’approche de la chatte d’Aurélie et commence à promener sa langue le long des cuisses de la femelle. Aurélie se débat en refusant mais elle est bridée par les chaines. A force de se débattre, elle fait tomber la croix et se retrouve à terre jambes évidemment écartés et chatte béante. Rex en profite pour redoubler ses coups de langue jusqu’à ce qu’aurélie commence, contre son gré, à avoir des sensations. Elle ferme les yeux et visiblement, elle commence à aimer.
Marie prend Rex et amène sa queue ardente au niveau de bouche d’Aurélie.
« Suce ! »
Aurélie ne se fait pas prier et en fonce goulument la queue en gorge profonde.
« Maintenant il va te prendre dans ton con et après je lui apprendrai à t’enculer. »
Pour ma part j ‘assiste à la scène en me branlant mais j’ai une folle envie de me faire baiser par la sexmachine. Je m’installe et demande à Marie de la mettre en marche. J’ai la télécommande et me fait baiser de plus en plus fort.
Pendant que Rex s’occupe d’Aurélie, marie a enfilé son gode ceinture et commence à m’enculer en même temps que la machine dans mon con. C’est merveilleux, je jouis fort et en redemande pour jouir une deuxième fois.
Rex a tout lâché dans ventre d’aurélie. On l’a entendu gémir puis jouir en répétant :« C’est bon, c’est bon ! »
Rex bande toujours comme un salaud, Marie détache Aurélie lui ordonne de se mettre à quatre pattes pour lui préparer le cul. La salope a mouillé du cul. Marie prend la bite de Rex et l’introduit dans le trou d’Aurélie. Après quelques minutes de pistonnement Rex qui a rechargé ses batteries, il envoie une deuxième tournée de sperme dans le cul de la salope.
Après avoir joui plusieurs fois, je quitte la machine et m’approche d’Aurélie.
« Alors Mme la Directrice ! c’était bon ?  Maintenant on va boire le jus de Rex. Mets-toi debout et fait sortir ce que tu as devant et derrière ».
Marie et moi nous positionnons chacune à un orifice et recevons la semence dans la bouche.
« Et moi gémit Aurélie »
En la prenant par les cheveux, nous lui faisons ouvrir la bouche et lui renvoyons tout ce que nous avons recueilli. « Avale ! » crie Marie« Voilà c’est tout pour ce soir. Si tu as aimé tu pourras revenir, tu pourras aussi amener ta femme de ménage dont m’a parlé Julie. Je n’ai encore jamais baisé de noire, il paraît que ce sont de vraies chiennes. Avant de partir, tu vas pisser dans une de mes culottes et mon soutien-gorge que je garde ton odeur jusqu’à la prochaine fois. »
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