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Rencontre en love shop

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cette histoire se déroule l’année de mes 18 ans. J’avais alors besoin de me dégoter un job d’été mais les offres étaient peu nombreuses.Je sortais du lycée, avait peu d’expérience et personne dans mon entourage ne me proposait quelque chose.En me baladant en ville, je demandais à divers commerçants s’ils avaient besoin de renfort pour l’été. Rien. Je ne désespérais pas pour autant et continuais la quête d’un job ponctuel.Après les grandes artères, je passais aux petites rues et me trouva face à un magasin que je n’avais jamais remarqué. Il s’agissait d’un sex shop, un love shop comme on dit maintenant. Une affiche était scotchée et ils recherchaient quelqu’un de disponible les soirs et weekends. Ca ne correspondait pas exactement à ma recherche mais je décidais et tenter ma chance.J’entrai donc timidement dans le magasin n’ayant pas l’habitude de ce genre d’endroit, même si j’étais grand consommateur de films à cette époque.
Les locaux étaient bien différents de ce à quoi je m’imaginais. Les locaux, étaient propres, les cabines également, la lumière tamisée mais pas trop et tout était bien rangé. Le gérant m’expliqua donc le principe du travail : faire du rangement de rayonnage, tenir la caisse, et faire un peu de nettoyage... Par contre, il cherchait quelqu’un à partir de la rentrée de septembre. J’étais tout de même un peu dubitatif et imaginait des clients en pleine détresse sexuelle, de vieux pervers... j’imaginais la misère humaine qui pouvait défiler dans les lieux. Je changeai totalement d’avis quand il m’annonça que le salaire était de 70 francs net de l’heure. C’est ce qui me décida à accepter. Il me proposait donc 7000 francs par mois pour 25h par semaine.Je lui proposais alors, au culot, de commencer tout de suite car j’étais disponible immédiatement. Il réfléchit et me donna son accord, ce qui lui permettait d’une part de me voir travaillé et d’autre part, ça lui permettait de prendre des vacances à partir de la mi-juillet. Le contrat fut donc rapidement signé.Les deux trois premiers jours me parurent assez longs car les clients ne se bousculaient pas et n’étaient pas vraiment à l’aise, ne sachant pas quoi leur dire hormis leur parler de leurs achats. Le gérant me "forma" tout de même en me présentant les divers rayonnages, par type de films, magazines, gadgets...En le voyant travailler, je me rendis compte que les gens parlaient de tout et de rien et que les conversations n’étaient pas différentes d’un commerce ordinaire. A la fin de la première semaine, je prenais mes marques et devenait autonome, à la plus grande satisfaction du responsable. Je rencontrais sa femme à plusieurs reprises. Elle était charmante. Femme d’une quarantaine d’années, très élégante et raffinée. Ils étaient bien assortis et avaient plus le profil businessman-businesswoman que gérant de love shop.
Ils partirent donc en vacances pour 15 jours à la mi-juillet et prendraient le relais à leur retour pour la fin de ce mois de test.Les clients étaient bien différents de ce à quoi je m’étais préparé. Je voyais passer Monsieur et Madame Tout le monde. Tantôt seul ou seule, parfois en couple. Hormis le contexte, c’était un commerce classique et florissant en cette fin de 20e siècle, alors qu’internet n’avait pas encore pris un tel essor et que les programmations de films X sur les chaines de télé étaient bien plus restreintes.Certains clients revenaient régulièrement, habitués des lieux, ils passaient dire bonjour ou bien friands de nouveautés. Une femme avait néanmoins attiré mon attention. Elle était déjà passée une fois ou deux en début de mois mais venait à présent tous les deux ou trois jours à des horaires irréguliers. Elle faisait un tour de magasin, ne s’attardant pas et repartait au bout de quelques minutes.Elle devait avoir la trentaine, d’origine asiatique, elle était donc relativement petite, environ 1m60 et mince même si l’on voyait qu’elle essayait de mettre sa poitrine et ses fesses en valeur avec de petites robes d’été. Elle portait toujours des escarpins avec des talons d’une dizaine de centimètres qui faisaient ressortir ses jambes fuselées.Elle passa un jour et comme aucun autre client n’était présent, j’entamai la conversation.
— Bonjour, ça fait plusieurs fois que je vous vois passer— Heu... oui— Vous cherchez quelque chose ou bien vous avez trop chaud et vous venez profiter de la clim’ ?— Un peu des deux. Je suis gênée de venir ici et quand il y a trop de monde, j’aimerais qu’ils sortent et puis je préfère partir.— Si les clients vous dérangent, je peux fermer le magasin quelques instants, à cette heure-ci, c’est la période creuse vous savez.
— Oui... si vous pouvez... je veux bien. Merci
La situation était étrange. Nous ne nous connaissions pas, le magasin était fermé et nous étions seuls. De plus, elle avait une dizaine d’années de plus que moi et pourtant, j’avais l’impression qu’elle était tout intimidée. Je repris la parole pour que le silence et la gêne ne s’installent pas.
— Alors, avez-vous une idée de ce que vous cherchez ?— Eh bien oui. Pour tout vous dire, je me sens étrangère à cet endroit. J’ai été mariée jeune et mon ex-mari est le seul homme que j’ai connu. Il n’était pas très porté sur la chose, moi non plus d’ailleurs. Cependant, nous sommes séparés depuis trois ans maintenant et il m’arrive d’avoir envie de... me faire du bien.
J’étais stupéfait de l’entendre se confier à moi de la sorte. Peut-être en avait-elle besoin, peut-être le fait que l’on ne se connaisse pas l’aidait à s’ouvrir ainsi.
— Je comprends bien mais... que cherchez-vous exactement ?— Et bien je me caresse de temps en temps mais je crois que je ressens le besoin de sentir quelque chose en moi. Vous comprenez... si je puis dire.— Je ne le ressens pas moi-même mais en me mettant à votre place, oui je peux comprendre lui répondis-je sur le ton de la plaisanterie.— Donc je cherche un vibromasseur ou bien un godemichet mais je n’y connais strictement rien.— Pas de chance, moi non plus, c’est mon premier mois et je ne me suis jamais penché là-dessus.
Je l’emmenai donc dans le rayon afin qu’elle puisse choisir ce qui lui convenait. De par la taille, elle se tournait naturellement vers les vibromasseurs qui étaient bien moins imposants et probablement effrayants pour elle. Je lui fis alors remarquer et elle me répondit que son ancien mari est asiatique également et que les standards physiques sont un peu différents d’ici.Au bout de quelques minutes, elle hésitait entre deux vibromasseurs et ne savait lequel choisir.
— si vous le souhaitez, vous en prenez un et je vous offre l’autre lui dis-je du tac au tac.
A ma grande surprise, elle était d’accord. Ce cadeau ne me dérangeait aucunement car elle m’était sympathique et je la trouvais attendrissante. De plus, mon salaire du mois me le permettait.Après avoir passé les articles en caisse, elle me demanda si elle pouvait s’asseoir un instant.Elle s’installa donc sur une chaise et retira ses chaussures. Je pus ainsi admirer ses pieds, petits et fins. Mon regard suivit ensuite ses jambes et je remontai vers son visage quand je croisai son regard.
— Ils vous plaisent ?— Vos pieds ? Oui... beaucoup. Je les trouve jolis et bien entretenus.
Elle sourit timidement en réaction à ma réponse.
— Vous voulez un massage ? Tentais-je— Si ça ne vous dérange pas, je veux bien.
Je me mis alors à ses pieds et attrapa le pied gauche en commençant par le talon. Bien que concentré, je la regardai et pus constater qu’elle avait fermé les yeux avant de basculer la tête en arrière contre le mur.J’avais commencé le massage très doucement afin de ne pas lui faire mal mais je commençai à appuyer plus fort sur son pied afin de la soulager. Sa respiration devint plus profonde. J’appréciais ce moment et en profitais grandement. Elle se décontracta au fur et à mesure et sa robe remonta de telle manière que je pus voir de jolis dessous rose pâle.Après le talon, mes mains parcouraient sa voute plantaire. Elle semblait apprécier ce traitement. Elle ne disait rien mais le sourire qu’elle affichait et sa respiration parlaient pour elle.Je la massai ainsi durant une bonne dizaine de minutes et lorsque je changeai de pied, je la vis sortir du sac le vibromasseur qui faisait office de cadeau.
— Moi aussi j’ai envie de te faire un cadeau pour ta gentillesse. Continue, s’il te plait.
Elle retira alors ce qui s’avérait être un magnifique tanga couleur rose poudré et tandis que je m’attelais au pied droit, elle posa le gauche sur la chaise et alluma le vibromasseur commença à le poser sur ses lèvres en le passant doucement de haut en bas.Je la regardais faire, subjugué de la voir ainsi et fasciné par cette femme. Elle déplaçait doucement son amant électrique et prenait plaisir à sentir les vibrations. De mon côté, je continuai mon massage sans manquer une miette du spectacle qui m’était offert.L’ambigüité de la situation venait du fait que je ne savais plus si mon massage faisait encore son effet. Mes mains se déplacèrent alors vers le haut et je commençai à masser sa cheville.
— Non, continue... mmmm... mon pied s’il te plait.
Rassuré par cette injonction, je continuai donc ainsi sur ma lancée tout en admirant son sexe qui commençait à luire. L’accélération de ses mouvements aidant, je la voyais passer le vibromasseur entre ses lèvres de plus en plus fort. Celles-ci s’écartaient donc de plus en plus tout naturellement.J’avais envie de l’aider dans sa tâche mais n’en fit rien. Sa respiration s’accéléra et se fit de plus en plus forte ce qui se traduisit en l’apparition de gémissements, faible au début, ils devenaient de plus en plus intenses.
— Mmmm... mmm... oui... mmm, j’aime !
Elle était totalement concentrée sur sa chatte à présent et le massage ne représentait plus qu’une infime partie de son plaisir, cependant, je ne me dérobai pas à cette tâche et admirais en même temps sa fente qui maintenant s’ouvrait et se fermait au gré de ses va et viens. Je sentis son pied se raidir d’un coup, ses mouvements se firent saccadés et ses gémissements devinrent bien plus intenses.Son orgasme arrivait et donnait l’impression d’une délivrance vu la manière dont il était exprimé : sans le réprimer, sans peur d’être surprise ou entendue, peut-être également du fait du temps le séparant de son dernier orgasme.
— Aaaaah... ouiiiii... mmmmm !!!
Elle resta ensuite quelques instants sans bouger puis reposa lentement ses pieds au sol.
— Merci pour ce massage, c’était délicieux.— Je ne vous le fais pas dire, j’ai adoré également.— Vous êtes fétichiste ?— Non pas du tout, ils ne m’apportent pas de plaisir supplémentaire mais c’est une partie du corps que j’aime bien et que j’ai plaisir à contempler.— Et vous n’êtes pas frustré ? D’autres n’auraient pas hésité à profiter de la situation. Et... je crois que je vous aurai laissé faire.— Je suis flatté qu’une belle femme comme vous me dise ça et ait eu la confiance de m’offrir ce spectacle. Cependant, et sans vouloir vous froisser, je crois que j’aurai refusé.— Dommage, je vous trouve bel homme, je ne suis peut-être pas assez jolie pour vous ?— Non rien à voir avec vous, je suis peut être vieux jeu ou fleur bleue et ça peut paraitre en contradiction avec l’emploi qui est le mien mais je n’ai jamais connu de femme dans ce sens-là et je pense que j’aimerais quelque chose de plus romantique.— C’est gentil de me le dire, mais si vous voulez quelque chose de romantique, je peux peut-être vous aider en vous invitant à diner par exemple.
La conversation continua ainsi plusieurs dizaines de minutes avant qu’elle me rappelle que le magasin était maintenant fermé depuis longtemps. Voici donc comment j’ai rencontré celle qui est à présent mon épouse depuis 15 ans. Elle est toujours aussi magnifique et la seule chose ayant changé est son appétit sexuel qui s’est bien développé.
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