l est midi et nos ébats ne sont pas passés inaperçus de Max, au vu du sourire complice qui nous accueille à la poupe. Il a dû comprendre que nous n’étions pas vraiment fans de Christine Boutin ! Il est temps de grignoter un morceau.Une fois rassasiés, tu décides de retourner prendre le soleil. Il faut dire que tu as eues les jambes un peu coupées après notre matinée chaude et câline ! Je reste avec Max afin de ranger la poupe. Je repense à ta chatte, tes seins, ton corps… Sans que je m’en aperçoive, j’ai une nouvelle érection. Max s’en aperçois par contre… Il me sourit et me demande à quoi je pense. Je lui réponds que j’ai de la chance d’être là, sur ce magnifique bateau, et avec toi… Il sourit de nouveau et approche sa main de mon boxer. Je suis surpris, et au premier contact, je sursaute. J’en ai le souffle coupé mais je ne bouge pas. Il est très doux, il caresse très bien. Il se met à genou en face de moi, fait glisser mon boxer à mes pieds, et englouti tout mon membre. Le plaisir est intense, bestial. Il me caresse les couilles quand il entreprend un va et vient salvateur.A la proue, tu commences à te demander pourquoi je ne t’aie pas déjà rejointe. Il est vrai que tu es très coquine, et tu aimerais bien avoir ma queue dans ta bouche, chose que je ne t’ai pas laissé la possibilité de faire un peu plus tôt. Tu te lèves et t’approche lentement, de plus en plus intriguée par ces légers gémissements qui émanent de la poupe. Et là, c’est le choc, la stupeur.L’image de Max agenouillé en train de me sucer la bite résonne comme une claque. Interloquée, tu hésites à retourner à la proue, ou bien à me demander immédiatement des explications. Mais la violence du choc s’atténue peu à peu, en voyant avec la bouche goulue de Max me pomper, et le plaisir évident qui s’affiche sur mon visage.Tu commences à ressentir de l’excitation. Elle est décuplée par les différents sentiments qui ont animés ton esprit en si peu de temps. Tu restes en retrait, je ne me doute de rien. De nous voir sans que nous le sachions te fait mouiller ton bikini. Tu te malaxe la poitrine, puis tu ôte le haut de ton bikini pour le plaisir du contact direct. Ton autre main, elle, commence à se glisser vers le bas, et tu commences à te caresser. Un gémissement t’échappe, ce qui attire l’attention de Max. Et la mienne par la même occasion, vu qu’il arrête de me sucer. Je te vois à présent, et train de te toucher, quasi nue. Tu t’approches de nous. A ton regard coquin, je devine que je ne vais pas me faire gronder. Tu nous lance : « Max ! C’est la verge que je veux sentir dans ma bouche dont tu t’occupes… ». Tu le pousses et t’agenouilles à ton tour devant mon sexe. Tu l’engouffre sans ménagement tout en regardant Max les yeux dans les yeux et en continuant de te masser l’entre jambe. Tu te sens très cochonne, salope. Et cela te donne un sentiment de puissance, d’autorité sur deux hommes. Tu me suces goulûment, pour montrer que tu aimes sucer. Max se met à bander. On devine que la nature lui a fait un joli présent. Il baisse son short et s’assied à mes côtés. Tu sors ta main de ta culotte et commence à masser le sexe de Max tout en continuant à me sucer. Tu ôte ta bouche de mon sexe et me regarde, comme pour me lancer un défi. Je te souris et te regarde diriger tes lèvres vers son sexe. Et tu commences à le sucer en lui avalant sa queue jusqu’à sa racine. Max soupire de plaisir. Je suis très heureux de voir que tu lui donne autant de plaisir. Tu continues de me branler pendant que vas et viens sur sa verge. Tu es aux anges. Deux belles queues rien qu’à toi, au milieu de nulle part… Et tu décides de te mettre à quatre pattes, comme une invitation. Je me lève et je me dirige derrière toi, pour enlever ta culotte. Je constate que manifestement, cette situation à titillé tes sens. Je caresse ta croupe. Tu écartes les jambes. Tu veux avoir une belle queue dans la bouche, et une dans ton minou. Très excité j’entre en toi sans trop de ménagement. J’ai très envie de te faire jouir, alors je te l’enfonce bien profond, par à-coups secs et déterminés. Tu gémis d’aise.Tu redoubles le rythme avec ta bouche. Se savoir être prise par deux queues décuple ta libido et tu te sens prête à tout. Pendant que j’enfile ma queue dans ta chatte et que tu te tortilles pour que je m’enfonce le plus loin entre tes cuisses, je commence à caresser ton petit trou. Mon pouce glisse facilement, tu mouilles comme je l’avais rarement vu. De te voir aussi excitée me rend bestial. Pendant ce temps, Max est comblé, ta tête continue de monter et descendre sur l’énorme queue de Max, ta langue jouant sur son gland.Je masse les contours de ton cul, qui, petit à petit, se relâchent. Tu sais où je veux en venir et tu ondule sous les assauts répétés de ma verge simultanément que je masse ton cul. Tous tes orifices sont sollicités… Et tu te dis que tu aimerais bien sentir la grosse queue de Max ailleurs que dans ta bouche. Tu le branles en le regardant, avec ton regard le plus « chienne en chaleur » possible.Tu gémis en atteignant l’orgasme sous mes coups de queue. Puis tu retires délicatement mon sexe d’entre tes cuisses. Tu te présentes devant Max, tu l’enjambes et tu guide son énorme sexe jusqu’à l’entrée du tien. Son gland est énorme, il s’enfonce petit à petit dans ton vagin, qui n’avait jamais accueilli de sexe aussi énorme. Tu le sens pénétrer millimètre après millimètre en te laissant descendre. Une fois bien empalée, tu grogne de plaisir en me regardant d’un air gourmand. Je m’approche et te présente ma queue. Tu l’englouti avec plaisir, tout en subissant les énormes coups de reins de Max. J’ai très envie de jouir dans ta bouche, mais je veux que nous te pénétrions ensemble avec Max. Avec un peu de difficultés, nous parvenons à trouver une bonne position pour nous puissions enfourner nos deux queues dans ta chatte. Je m’enfonce avec difficulté dans un premier temps. J’adore sentir ma bite contre celle de Max en toi. Petit à petit, j’arrive à la pousser jusqu’à la garde. Tu ressens un truc incroyable. Tu es soumise par deux queues et tu jouis comme jamais auparavant. Tu pousses des grognements, les yeux dans le vide. Tu te surprends même à marmonner « Prenez-moi comme une chienne ! Poussez plus fort ! Je veux vous sentir vous vider en moi ! ». Et nous jouissons de concert. Tu sens une quantité incroyable se déverser, tu as un ultime orgasme. Lorsque nous nous retirons, tu restes les jambes écartées, le sperme glissant entre tes jambes. Nous nous agenouillons Max et moi pour te lécher des pieds jusqu’à ton bassin.
