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Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain, le réveil fut difficile. Dès 6 h 30 Frank, notre père, vint gentiment mais fermement toquer à notre porte pour nous réveiller. En bon frère, j’ouvre les volets d’un coup sec pour abréger nos souffrances matinales. Ma sœur ronchonne dans son lit. Puis je me rends compte que je n’ai même pas pris la peine de cacher mon érection matinale. Pendant un instant, il me vient l’idée folle de ne rien faire, d’attendre que Julie le remarque. J’avais ce nouveau besoin d’observer ses réactions, cette envie d’aller plus loin. Elle m’avait déjà tant surprise hier soir. Alors, faisant mine de consulter debout les messages de mon smartphone, je restai de profil, patientant le temps qu’une remarque fuse du côté du lit de ma sœur. Mais rien. C’était une éternelle loque qui était déjà sur le point de se rendormir, malgré la lumière cruelle du soleil qui pénétrait la chambre.Je soupirai en replaçant mon attirail dans une position moins voyante. Puis je me mis à rire intérieurement, qu’elle soit petite, longue, tordue, ou enflée, j’ai l’impression que tous les hommes ont une fierté naturelle de leur bite. C’est « ma » bite, regardez tous, en plus, je bande. Ou bien c’était juste moi qui commençais à avoir des penchants exhibitionnistes.
— Qu’est-ce qui te fait rire ? demandèrent naïvement ma sœur, les cheveux hirsutes et le regard endormi.— Rien, frangine, rien… — En tout cas, ne songe même pas à aller dans la salle de bain, c’est moi la première pour la douche.— Le temps que tu te réveilles, je pourrais me doucher deux fois… Déclarais-je avec une certaine supériorité, tout en me dirigeant vers la salle de bain.— Non putain, Jacob, t’es pas cool ! S’énerva-t-elle comme à son habitude.
Elle se leva en furie, déboula dans la salle de bain de l’hôtel avant d’en claquer fermement la porte devant moi. C’était tout un art de la motiver la Julie, une discipline. De toute manière cela n’avait aucune espèce d’importance puisque la salle de bain des parents devait très certainement être vide.
— Jacob ? Mais tu n’es pas encore prêt ? S’étonna mon père, sans vraiment s’en étonner.— Tu connais Julie… elle monopolise la salle de bain, je peux me doucher chez vous ?— Euh ouais je pense, maman doit avoir fini, dit-il avant d’ouvrir en grand la porte de la salle de bain, et d’exposer à nos deux paires d’yeux indiscrètes la scène d’une mère de famille s’inspectant le visage - probablement en séance anxieuse de décomptage de rides - torse nu, laissant ainsi les deux mamelles interdites prendre l’air.— Je te laisse bientôt la place, répliqua-t-elle avec douceur, tout en fermant la porte.
La situation ne semblait pas gêner l’un ou l’autre de mes géniteurs, après tout, ce sont des scènes qui arrivent dans une vie de famille.Après la douche, nous sommes descendus avaler notre petit déjeuner en vitesse, dans une salle entièrement vide. Puis nous avons équipé nos épais sac à dos, et direction le Glacis Noir. Il faisait une chaleur atrocement lourde. Avant même de commencer à marcher, une série de gouttes de sueur se mettaient à perler sur nos tempes. La voiture était garée tant bien que mal sur le bas-côté de la route, faute de parking. Le sentier à peine visible s’enfonçait dans la jungle luxuriante de Mahé.
— Hum, vous sentez le jasmin ? demanda Frank. Doit y en avoir un pas loin.— C’est vrai que ça sent bon, répliqua ma mère, comme par habitude.— Ça vous change de la ville, pas vrai les enfants ?— Oui, y’a pas de réseau ici, plaisantai-je.
Il fallait reconnaître que malgré l’inconfort lié à la chaleur, les moustiques, et les ampoules aux pieds, cette escapade dans la nature avait un agréable côté dépaysant. Comme dans un bon stéréotype, les gars étaient plutôt bons en marche, et les filles trainaient à l’arrière, surtout Julie. Sur les conseils de mon père, je me décidai donc à fermer la marche pour la motiver un peu.
À ce stade, il me faut préciser une chose. Dans la lutte éternelle qui fait s’affronter les amoureux de la courbe fessière contre les dévots de la poitrine sculptée, j’ai depuis longtemps choisi mon camp, et me place en tant que fervent défenseur du muscle postérieur. Il se suffit à lui-même, tant ses formes peuvent varier et nous surprendre, et ses atours changer radicalement son allure ; il est à la fois la promesse d’un entrejambe mystérieux, et un objet de désir en tant que tel, affiché au regard de tous. Les seins quant à eux ne sont au final rien d’autre que deux bouts de chair qui pendent, sans véritable fonction quotidienne, las de leur propre existence, on est contraint de les soutenir par un disgracieux procédé. Alors que le cul, lui, est indispensable, il représente des milliers d’années d’évolution, il représente le génie des Hommes qui ont su se relever sur leurs deux pattes, et marcher. C’est notre moteur, notre fierté en tant qu’espèce, un prestigieux héritage que je me plais à adorer parmi mes semblables, que ce soit dans la rue, ou au lit.
En l’occurrence ici, sur un sentier. Car je ne pouvais rester insensible face aux fesses galbées de ma sœur que je connaissais si bien, et que je ne me lassais jamais de contempler. Elles étaient particulièrement bien mises en valeur par un mini-short en jeans moulant. Chaque pas était l’occasion de créer des plis délicieux dans cet agencement rebondi. Le tout formait une dynamique élégante : gauche, droite, gauche, droite, etc. Parfois son débardeur se soulevait légèrement, me permettant d’apercevoir le haut de sa culotte qui dépassait à peine, et dont on devinait la forme triangulaire.
— Putain de moustiques, pesta-t-elle en se claquant le visage.— « sont chiants hein ? compatis-je.— On s’rait tellement mieux dans la piscine de l’hôtel à l’heure qu’il est…— Tiens au fait…
J’avais commencé ma phrase sans trop savoir comment la terminer. Je voulais parler de ce qui s’était passé hier soir, mais je ne savais pas quel angle prendre pour ne pas avoir l’air trop étrange.
— Quoi ?— Qu’est-ce que tu as pensé de ta petite séance d’hier soir ?— “Ma” petite séance ? Ahah ! Si tu crois que je t’ai pas vu t’astiquer en scred.— Ah bha je te l’ai dit, ce film fait partie de mes favoris… j’pouvais pas faire autrement, vu qu’il était sur la télé centrale ! Ç’aurait été un crime de ne rien faire…— Tsss, pt’it cochon va.— Oh, tu peux parler, et t’as pas répondu à ma question d’ailleurs.— Si j’ai aimé ? Ouais, on peut dire ça. Disons que ça change pas mal de ce que je regarde habituellement. Un peu de nouveauté ne fait pas de mal.
Elle laissa quelques secondes s’écouler puis se mit à rire un peu, avant de continuer :
— Ouais en fait j’ai carrément pris mon pied. Ça faisait longtemps que je n’avais pas… “joui” aussi fort en solitaire. Généralement je bâcle ça en cinq minutes, et là, le fait de prendre mon temps, et aussi de ne pas vraiment être “toute seule” ben ça a contribué à bien faire monter le plaisir. Pff, j’en reviens pas que je suis en train de parler de ça avec toi.— Qui l’eut cru… lâchai-je avec une pointe d’amusement.— Faut croire qu’y a des sujets sur lesquels on peut s’entendre.
Un peu plus loin se dressait une pente imposante, sur laquelle le sentier était à peine tracé. Des “marches” de plus d’un mètre étaient formées par un réseau de racines et de rochers. Les parents étaient tout en haut, et nous faisaient signe de monter.
— Non mais ils sont sérieux là… balança ma sœur comme n’importe quel jeune désabusé le ferait.— Allez frangine, on s’active.
Naturellement, elle resta bloquée dès la deuxième “marche” ne sachant guère comment accéder à la suivante.
— Putain, mais y’a pas de prises, c’est quoi ce bordel, comment ils sont montés…— Il suffit de… pousser un peu sur ton gros cul ! déclarai-je, tout en plaquant mes deux mains sur son postérieur que je dévorai du regard depuis plusieurs heures, et en exerçant une pression certaine afin de la soulever légèrement pour qu’elle puisse s’agripper à quelque chose plus haut.
Surprise, elle se contenta néanmoins grommeler en essayant d’attraper une branche.
— Aller, grouille-toi, t’es pas hyper légère non plus !— Ta gueule ! lança-t-elle avec un très léger soupçon d’amusement - imperceptible pour qui ne connaîtrait pas la force de ses “ta gueule” habituels.
Finalement elle réussit à se hisser en haut. Comme épuisée par l’effort, elle resta genoux à terre quelques instants, jambes plutôt écartées en raison de la topologie du terrain. Sur la marche inférieure, mon visage n’était qu’à quelques centimètres de son cul, magnifiquement mis en valeur dans cette position où toutes les fibres de son short semblaient mises à rude épreuve, sur le point de rompre.Ainsi se poursuivit l’ascension, avec de multiples occasions “d’aider” ma sœur à monter. Je veillai néanmoins à ne le faire qu’en cas de réelle nécessité, je ne voulais pas non plus l’opprimer par des gestes répétés. D’ailleurs, sur la seconde moitié de la montée, je me mis devant afin de l’aider à se hisser par le haut. C’était hélas beaucoup plus efficace…Par la suite, le sentier redevenait beaucoup plus plat. Alors que nous parlions de tout et de rien en essayant de ne pas nous crier dessus, une terrible envie d’uriner me prit soudainement. J’aurai pu, très simplement, la laisser continuer et me soulager dans la jungle pour la rattraper ensuite, mais… Je repensai à la scène de ce matin, et une certaine insatisfaction de ma part quant au fait qu’elle n’ait pas remarqué mon érection matinale. Je m’étais alors persuadé de prendre ma “revanche” sur elle.
— Faut que j’aille demander un truc à papa et maman, je reviens, lui déclarai-je, tout en trottinant vers la suite du parcours.
Je mis un petit moment à rejoindre les parents, une belle distance s’était creusée entre eux et nous. Mais je ne me fis pas remarquer, pour ne pas qu’ils s’arrêtent et m’attendent. À partir de là, je choisis une portion du parcours où j’étais caché par un rocher pour les personnes qui viendraient dans l’autre sens, mais totalement visible pour les personnes qui arriveraient dans le sens de là où était Julie.Le pire était d’attendre, la bite à l’air, avec cette terrible envie qui me tordait la vessie. Le seul risque était que d’autres randonneurs rapides dépassent Julie et me surprennent donc à pisser en plein milieu du sentier. J’essayai de conserver une demie-érection élégante afin de ne pas paraître trop ridicule, mais ce n’était pas chose aisée, surtout avec cette envie pressante.Enfin, comme la divine providence, Julie apparut au détour d’un virage, à une vingtaine de mètres, le regard occupé à discerner les racines pernicieuses du sol. Alors je déversai le jet rugissant de mon attente insoutenable, une main occupée à soutenir la tuyauterie en action, et l’autre main plaquée contre la paroi rocheuse sur laquelle je prenais appui. Bon Dieu que ça faisait du bien.Faussement étonné par la présence de ma sœur, qui s’était arrêtée dans sa marche, comme choquée d’une telle vision, je ne pouvais néanmoins rien faire pour mettre un terme à cette scène qualifiable de gênante. Je haussai légèrement les épaules.D’abord hébétée avec sa traditionnelle tête d’ahurie, Julie se mit à rire. Ce qui lui permit de subrepticement dévier son regard vers le trésor que je tenais dans ma main. Je rigolai à mon tour stupidement, afin d’effacer la gêne de l’atmosphère.
— Eh bien, ça, c’est une envie pressante, déclara-t-elle en reprenant sa marche dans ma direction.— C’est avec toute la flotte que j’ai bu tout à l’heure…
Je recentrai mon attention sur la direction que prenait mon jet, afin de lui donner l’opportunité de mieux observer la scène. Comme la convenance le voulait, elle s’apprêtait à continuer la route pour me laisser finir mon affaire. Mais je l’interrompis.
— Attends Julie.— Quoi ? Tu veux que je te la tienne ? Ahah !
J’avais le sentiment, par cette remarque, que l’idée de rester ne lui déplaisait pas.
— À moins que tu aies miraculeusement apporté un rouleau de PQ avec toi, est-ce que tu aurais un mouchoir à me filer ?
J’étais si fier du déroulement de mon plan. Ma vessie était désormais vide, et ma sœur cherchait frénétiquement dans son sac la précieuse étoffe qui sécherait mes dernières gouttes. De la demie érection, je passai alors dans la dangereuse zone des ¾. C’était là que le corps spongieux prenait vie, animé par les battements de mon cœur. Il se soulevait par à-coup, comme un levier hasardeux.
— Ah ça y est, ils sont là ! Tiens.— Merci.
Ayant très certainement remarqué mon état, elle ne dit cependant rien. Peu importe, j’avais atteint mon but, et j’étais satisfait. Une fois que tout était en ordre, nous pûmes poursuivre la marche.Plus loin, après une conversation inintéressante, le sujet brûlant revint sur la table.
— Du coup tu auras d’autres films à me passer ? Demanda-t-elle sur un ton étrangement naturel.— J’en ai une dizaine sur le disque, je n’ai pas toute ma collection non plus, je ne comptais pas passer les vacances à me palucher.— Tu m’étonnes… Tu as quoi de bien dans cette dizaine ?— Ça, tout dépend de tes goûts.— Mes goûts ? Ben… j’sais pas, du cul quoi.— Tsss… tu es plutôt narration ou représentation ? Plutôt long-métrage ou court-métrage ? Plutôt scènes à deux, ou scènes de groupe ? Ensuite, quels sont les fantasmes que tu apprécies : domination, particularités physiques des hommes/femmes, exhibition, lieux particuliers, positions particulières, classe sociale des personnages, etc.— Heu… j’ai oublié la moitié de ce que tu viens de dire, mais… il y a des trucs qui me plaisent dans ce que tu dis oui, la domination des hommes par des femmes j’aime bien, avec du latex ou du cuir c’est bien aussi. Sinon l’exhibition ça peut être marrant aussi. Pour le reste, des scènes de groupe ça peut être sympa, de l’échangisme aussi pourquoi, y’avait un temps où je trouvais de bonnes vidéos là-dessus sur Youporn, ça m’excitait bien.— Je vois, je vois… dans le genre Femdom j’ai deux trois trucs à la maison mais pas sur mon disque, par contre pour l’échangisme j’ai quelque chose de pas mal.— Ah ouais, c’est quoi ?— Très sobrement intitulé “L’Échange”.— Et… ça parle de quoi ?— Il s’agit de deux familles, une qui est plutôt bourgeoise, l’autre de classe moyenne. Le mari bourgeois est contraint depuis des années à une quasi-abstinence, car sa femme est très peu portée sur le sexe ; pour essayer de sauver sa vie de couple, il la pousse donc à aller dans un club très chic, connu pour les couples libertins qui le fréquentent. De l’autre côté, la famille “moyenne” rencontre des problèmes similaires : d’incessantes querelles, des menaces de divorce, etc. Mais au lit, ça se passe généralement bien, seulement ils aimeraient pouvoir échanger avec d’autres couples pour essayer de renforcer leur mariage.— Ça a l’air un peu stéréotypé ton truc.— Ça l’est, effectivement, tu as raison de le souligner. Mais il y a d’innombrables manières de raconter une même histoire. Il va y avoir une relation particulière qui va s’installer entre les deux couples, si bien que les hommes vont échanger leur place au sein des deux couples. Et ça c’est original, contrairement aux autres productions sur le même thème, c’est généralement les femmes qui changent d’univers, probablement car l’homme est toujours vu comme le “maître de maison”, le propriétaire. Ça devrait te plaire, toi la féministe accomplie.— Tss, t’es con !— Héhé, le pire c’est que c’est vrai en plus ! Enfin, bref, ce qui est intéressant par la suite, c’est aussi la répercussion de ce changement sur les enfants qui vont être impliqués à différents degrés dans les relations de leurs parents. Il y aura des choix étonnants, et un dénouement plutôt bien tourné. Voilà je ne te raconte pas tout non plus…— C’est bon hein, c’est pas non plus le dernier Game of Thrones, il y a moins d’enjeu à spoiler un film de cul ! On sait qu’à un moment ou à un autre, ils vont baiser.— Détrompe-toi… Je pense que ça te gâcherait quand même une partie du plaisir.— Ah tiens voilà les parents qui nous attendent.
En effet, sans nous en rendre compte, toute la matinée était ainsi passée, et nous étions arrivés au sommet du Glacis Noir. C’est fou comment le temps passe vite, parfois.
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