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Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob

Chapitre 4

Inceste
Le jour suivant nous étions partis visiter plusieurs îlots de l’archipel : la Digue, véritable symbole des Seychelles avec ses plages granitiques, Praslin, Curieuse, et Grande Sœur. Il faut croire qu’ils étaient en panne d’inspiration quand est venue la question de trouver des noms… La journée se passa bien, hormis mon traditionnel mal de mer. Toutefois, en ce qui concerne Julie, nous n’avions ce jour-là discuté d’aucun sujet brûlant. Le soufflé était retombé, nous nous étions même disputés à nouveau concernant des choses sans intérêt : place dans le hors-bord, éclaboussures lors de nos baignades, débats sur le féminisme moderne, etc. Le soir nous étions tous très fatigués par ces longues péripéties interinsulaires et nous nous étions couchés sans autre forme de procès, bien tristement.Le lendemain, néanmoins, je n’avais pas oublié ma dette envers Julie : son cadeau. C’était notre journée de repos, alors je suis parti faire un tour au centre-ville, flânant dans les rues ardentes à la recherche de la perle rare. Victoria avait beau être une capitale, elle avait à peine la taille d’Alençon ; on en avait vite fait le tour. Au détour d’une ruelle moins touristique que les autres, je tombai sur l’établissement que je convoitais : « Victoria’s Silly Secret ». Comme quoi, sur certaines choses les Seychellois avaient de l’inspiration !L’intérieur de la boutique érotique était bien aménagé, avec un goût certain. Les articles étaient mis en valeur sur des tapis de velours, encadrés dans des cages en verre. Plusieurs canapés molletonnés s’agençaient dans les espaces vides, une musique douce berçait l’atmosphère, tandis qu’un ensemble de LED clair-obscur illuminait les rayons. Sans oublier la climatisation fortement appréciée en ces temps de grande chaleur. Autant dire qu’on n’avait pas envie de repartir.Mes yeux étaient assaillis par la diversité des objets en vente : sex-toys en tout genre, pour homme, pour femme, agrandisseurs de pénis, lingerie sexy, poupées gonflables, et une pléthore de DVD sur laquelle j’aurai bien aimé m’attarder. Cependant, j’avais un objectif bien précis en tête, je ne pouvais pas me disperser. Enfin, je tombai sur le rayon tant attendu : un ensemble de lanières, de combinaisons en latex, de fouets, de harnachements, de sangles et de ceintures pendaient sur une croix de Saint-André.
— ‘need something young boy ? me surprit une voix masculine derrière mon épaule.— Heu… yes. Répondis-je en me retournant.
C’était un vendeur de type « grand frère » celui qui s’improvisait notre ami le temps d’une vente, et qui faisait tout pour nous mettre à l’aise dans son antre.
— You’re in the kinky-leather stuff, frenchy, ain’t ya ?— I want to make a present. Répliquai-je avec un accent très approximatif.— You’re so french dude ! Well, well, well… Male or female ?— A girl, it’s for a girl !— Got it fella, a girl it will be. So, frenchy, what d’you want for that pervy daughter of Satan ? A whip to learn her some discipline ? demanda-t-il, tout en faisant mine de faire claquer le fouet dont il s’était saisi.— No, no. I just need a costume. Something she can wear. Hum… latex ?— Right, right, I see ! Stay here, I’m coming back. You’re my man ! lança-t-il en claquant des doigts et en disparaissant dans l’arrière-boutique souterraine.
Quelques minutes plus tard, la voix du vendeur s’éleva depuis les tréfonds de la cave de l’établissement.
— Hey frenchy ! Come here, I just might have something for you.
Je m’enfonçai dans l’étroit escalier en colimaçon. Les murs étaient remplis de casiers contenant des articles en attente d’être mis en rayon. Certains néanmoins étaient fort poussiéreux, et semblaient avoir été abandonnés à leur sort. Plus bas se trouvait une petite pièce étriquée avec de hautes étagères contre les quatre murs, et une table centrale. Le vendeur fouinait par-ci par-là et posait des articles sur la table.
— Here you are, young boy ! Take a look, please yourself.

J’inspectai les différentes boites et costumes sous blister ainsi alignés. On y voyait en couverture des femmes plus ou moins enserrées dans une combinaison en latex. Certaines avaient quelques fantaisies : une ouverture en zip au niveau de l’entrejambe, des seins, ou bien de la bouche. On sentait quand même que c’était du bas de gamme, que ça n’allait pas durer bien longtemps.
— What d’you think ? — Not bad…— You’re a kind of a hard-to-please guy, ain’t ya ?
Alors, j’observai un coffret en bois sombre, qui trônait tout en haut de l’étagère, délaissé de tous.
— And this one ?— This one ? Hum… yeah sure, I dunno what’s inside, but… I’ll get it for ya.
Après quelques acrobaties, le vendeur réussit à récupérer le coffret, et à le poser sur la table. Il y avait une aura particulière qui s’en dégageait, comme s’il s’agissait d’une boîte de Pandore. Mais j’étais dans un sex-shop, pas dans un film d’Indiana Jones. Des inscriptions en arabe étaient gravées sur cette marqueterie de grande facture, ainsi qu’un croissant de lune stylisé. À l’intérieur du coffret demeurait une combinaison soigneusement pliée, au toucher exceptionnel : à la fois souple, brillant, sans être collant. Elle semblait faite d’une seule pièce, sans fermeture dans le dos. De plus, ça ne sentait pas le caoutchouc industriel, mais plutôt un léger parfum de bergamote. C’était clairement le genre de détails qui aideraient à faire passer la pilule pour Julie.
— This one is good.— Good to you is good to me !— Heu… about the… hésitai-je. Ne sachant pas comment dire « taille » en anglais je mimai un tour de hanche et d’épaule. — The size ? Oh… you know, it’s latex, it adapts to you’re body. Unless you’re lady is a fatty one, you’ll be OK.— OK, good ! I take it.
Il me raccompagna jusqu’au comptoir, me fit un élégant paquet cadeau dans un papier noir satiné, et me délesta d’une somme irraisonnable. Lui-même ne connaissait pas cet article, alors il avait dû improviser un prix en fonction de mon attachement à l’objet et de son exotisme. C’était un investissement risqué, mais je faisais confiance à mon intuition.De retour à l’hôtel, je me précipitai dans la chambre. Julie était dans son état larvaire le plus commun : affalée sur le lit, l’œil morne, la télécommande de la TV en main, zappant d’émissions intellectuellement pauvres en émissions intellectuellement encore plus pauvres. Ma présence ne la fit même pas sourciller tant elle était lobotomisée par cet instrument abrutissant des temps modernes.
— Yo ! m’enthousiasmai-je.— Yo… articula-t-elle tant bien que mal.— J’suis allé en ville, et j’ai quelque chose pour toi.— Ah…— Tu sais j’ai perdu l’autre jour et… je devais t’acheter quelque chose.
Enfin elle semblait avoir remarqué ma présence, et décrocha son regard du poste de télévision pour le reporter sur ma personne.
— Ouais… exact ! Tu me devais quelque chose… Alors, c’est quoi ?
J’agitai en l’air le paquet cadeau comme l’ersatz d’un père Noël des tropiques. Puis je le déposai au bout de son lit.
— À toi de voir…
Julie s’étant définitivement détournée de la télévision, j’entrepris de l’éteindre pour plus de tranquillité. Elle se jeta sur le paquet comme une lionne sur sa proie. Elle déchiqueta l’emballage sans précaution aucune, et dévoila le somptueux coffret qui, à lui seul, représentait une belle pièce d’art.
— Un… coffre en bois ?— Le contenu, pas le contenant.
Elle avait une sorte d’appréhension à l’ouvrir. Peut-être ressentait-elle aussi cette aura mystérieuse autour de l’objet. Mais la curiosité l’emporta, et elle déverrouilla le simple mécanisme afin de soulever le couvercle du coffret. Elle en extirpa avec surprise l’entièreté de la combinaison qui se déplia délicatement jusqu’à ses pieds.
— C’est… un costume en latex ?— Tout juste. Il te plaît ?— Mais pourquoi tu m’offres ça ?— Eh bien, ne m’avais-tu pas dit que tu aimais bien ce genre de délire ?— Heu, ouais à regarder ! Mais j’ai jamais mis ce genre de truc moi…— Il y a une première fois à tout…
Elle parut inquiète en inspectant de plus près la combinaison, elle l’étira et la palpa avec précaution.
— Tu vas l’essayer du coup ?— Heu maintenant ?— Hum, ils font quoi les parents en ce moment ?— Ils sont partis sur le sentier côtier.— Tu seras tranquille si tu l’essayes maintenant, personne ne viendra à l’improviste dans la chambre.— C’est pas faux… avoua-t-elle, néanmoins toujours hésitante.— Tu sais… ça m’a coûté un bras cette petite merveille, c’est de la haute couture si j’ose dire. Et puis il faut vérifier que c’est bien à ta taille.
Voilà l’argument qui ne manqua pas sa cible, aussitôt Julie embarqua la combinaison avec elle dans la salle de bain et ferma pudiquement la porte à clef. C’était presque ridicule, sachant que nous nous étions récemment masturbés côte à côte et entièrement nus, mais je lui accordai volontiers cette faveur.Je l’entendis grommeler doucement.
— Tu as besoin d’aide ? me proposai-je innocemment.— Non c’est bon ! Je vais y arriver grrhhh…
Quelques minutes plus tard, alors que j’étais tranquillement allongé sur mon lit, la porte se déverrouilla. Le bruit si particulier du latex en mouvement attira mon attention. D’un pas timide, Julie approcha au centre de la pièce, devant la télévision. La combinaison recouvrait l’intégralité de son corps, hormis la tête. Ce simple déguisement rendait ma sœur méconnaissable, ses traits de visage n’avaient pas changé, mais en la regardant de loin, elle semblait différente, ses cheveux longs retombaient sur cette seconde peau d’un noir profond et brillant. Elle était extrêmement près du corps, elle recouvrait le moindre centimètre carré de peau, et s’insinuait dans les moindres plis et interstices de son corps, sans laisser de place à la moindre bulle d’air. Même sur ses mains, on devinait parfaitement l’emplacement de ses ongles et de ses phalanges. Naturellement, mon regard se porta sur les parties plus intimes de l’anatomie de Julie, et je remarquai son entrejambe, magnifiquement mis en valeur : le costume s’insérait parfaitement entre les deux grandes lèvres fermées de sa vulve légèrement gonflée, et laissait deviner un peu plus haut sa toison éparse.
Ses seins, quant à eux, étaient aussi parfaitement présentés dans ce sombre écrin, ils semblaient avoir perdu légèrement en volume, probablement car compactés contre son buste, mais ils n’en demeuraient pas moins admirables et bien proportionnés à mon sens. Ses tétons étaient de surcroît parfaitement discernables ainsi que leurs aréoles discrètes.
— Comment… Comment ça me va alors ? demanda-t-elle, tout en rougissant légèrement, comme une jeune écolière.
Abasourdi par ce spectacle je n’avais guère la force de répondre. Néanmoins, je désirais plus que tout au monde pouvoir observer le rendu de cette nouvelle peau sur son fessier déjà naturellement bien construit, alors je lui fis le signe de tourner sur elle-même d’un demi-tour. Elle s’exécuta avec une certaine grâce, et alors s’offrit à moi la vision que tout Homme a au moins une fois dans sa vie et pour laquelle il se dit : « Maintenant je peux mourir ». C’était certain désormais, jamais je ne trouverai un cul aussi parfaitement sculpté, aussi somptueusement tenu, et aussi divinement lisse que celui de ma sœur dans cette combinaison de Dieu. Son postérieur avait été mis sous vide par cette combinaison, ce qui gommait les légères imperfections de sa peau, et rendait ses courbes plus uniformes. La matière sombre et brillante se perdait dans son sillon interfessier, pour ne ressortir que plus en dessous, en laissant deviner le commencement enflé de sa vulve. La lumière se reflétait merveilleusement bien et mettait en valeur toute la subtilité de ces volumes magistraux.
C’était un véritable chef-d’œuvre, une création de Dieu pour laquelle je venais d’imprimer à jamais une image mentale dans mon esprit, et que je ne cesserai de chérir jusqu’à la fin de mes jours. Tout était perfection, et je me risquai à contempler la cambrure naturelle de son dos, ainsi que le creux de sa colonne vertébrale autour de laquelle les muscles oscillaient légèrement à chaque mouvement de Julie. Un spectacle vivant et dynamique.
— Alors ? s’inquiéta-t-elle devant mon silence religieux.— Je… je n’ai pas les mots… balbutiai-je. C’est juste… magnifique ?— En tout cas c’est super serré…— Ouais ? Ça ne te gêne pas trop ?— Un peu enfin, c’est une sensation étrange à laquelle je ne suis pas habituée… C’est compact, mais j’ai pas de mal à respirer. La matière est assez douce à l’intérieur en tout cas.— Ah tant mieux… Et… à ce niveau là ? demandai-je, tout en indiquant mon entrejambe en décrivant de petits cercles avec mon majeur.— Je crois que ça fait déjà son effet… soupira-t-elle.
S’ensuivit un silence gênant d’une dizaine de secondes.
— Je peux toucher la combi pour voir comment ça rend ?— Heu, ouais vas-y… elle est à toi après tout.— Mais non… c’est un cadeau, voyons. C’est la tienne désormais.
 Je me levai de mon lit afin d’approcher l’objet de désir qu’était devenue ma sœur. De près, de nouveaux détails faisaient leur apparition : on devinait les poils couchés contre sa peau, ainsi que quelques grains de beauté çà et là. Je commençai par passer ma main sur son épaule, ma paume glissait toute seule, sans à-coup, comme si la surface était enduite d’une mince pellicule de lubrifiant. Mon attention se concentra ensuite sur ses hanches, puis sur ses parties charnues que j’adulaient désormais. Le toucher était exquis, mes doigts s’enfonçaient sans effort dans le matériau élastique, tout en laissant supposer la fermeté des fesses qu’il renfermait. Je m’accroupis afin d’avoir une vision optimale de ce muscle grandiose. Poussé par une curiosité maladive, j’écartai ses deux grandes collines placides, afin de dévoiler l’inaccessible. Le Diable se cache dans les détails, et ici ils prenaient la forme des délicats plis concentriques de sa rosette. Le vêtement semblait même s’enfoncer à l’intérieur de cette porte interdite, comme une véritable invitation au voyage.
Ma mâchoire était tombée au sol à la vue de ce paysage inimitable, j’en oubliai qu’il s’agissait de ma sœur, qu’il s’agissait d’un humain ; pour moi à cet instant, c’était juste une extraordinaire œuvre d’art qu’il m’était donné la possibilité de contempler.Mais Julie se retourna, laissant devant mes yeux la vue de son mont de Vénus qui annonçait plus bas l’excitation exponentielle de sa propriétaire.
— Je n’en peux plus, se tourmenta-t-elle. Il faut qu’on le fasse vite.
Sa main était venue couvrir son sexe, non pas pour le cacher, mais pour commencer à le caresser et se délivrer de la prison de désir dans laquelle elle était enfermée.
— Qu’on le fasse ? demandai-je, comme s’il y avait un quiproquo.— Lance une vidéo, un film ce que tu veux, peu importe… gémit-elle, tout en se dirigeant vers son lit, sur lequel elle s’étala de tout son être.
Hébété par cette situation surnaturelle, j’effectuai néanmoins les branchements habituels afin de lancer une autre vidéo de « Cock Hero » spécial soumission et BDSM cette fois-ci. Il lui fallait de l’instantané, elle n’avait plus le temps d’attendre, ça se voyait, son souffle était court, et ses joues rosies par un plaisir trop longtemps tenu en laisse.Dès que la vidéo se lança, elle se titilla le clitoris avec un rythme inouï, à pleine puissance. Elle se mordillait la lèvre et affichait une expression torturée. Ses jambes étaient complètement écartées et ramenées vers elle dans une obscénité extrême, cette position permettait de révéler sa vulve désormais grande ouverte, dont on devinait l’entrée du vagin grâce à la combinaison qui semblait aussi s’y enfoncer profondément. D’ailleurs, peu de temps après les stimulations de son bouton, elle commença à introduire un puis deux doigts dans sa cavité incandescente. Le bruit du latex contre le latex provoquait un son de succion lui aussi obscène.Cette fois je n’avais pas envie de me masturber avec elle, cela aurait été gâcher tout le spectacle qui se jouait devant moi. Sa position ouverte me permettait d’avoir également une vue sur son anus discret. Je profitai alors d’un moment de faiblesse où Julie semblait partie dans un autre monde pour me mettre à genou près d’elle, et de glisser ma main jusqu’à son cul, tremblant au gré de ses pénétrations digitales. Je posai alors mon pouce contre son petit trou inviolé, et exerçait de légères pressions. Le latex qui le recouvrait semblait presque liquide, chaud, et aspirant mon doigt à l’intérieur. Julie ne demeurait pas insensible à cette nouvelle stimulation, puisque ses gémissements se transformaient en cris à chaque fois que j’entrouvrais la porte de ses désirs inavoués. Mon pouce était aspiré, mais je ne voulais pas précipiter les choses et faire mal à ma tendre sœur, alors je préférai jouer de patience et continuer ce jeu de doux va-et-vient.Au bout de quelques minutes, mon pouce était entièrement à l’intérieur de Julie. Alors je le retirai pour y introduire mon index, plus long et maniable. Je plaquai ma main contre ses fesses et y enfonçai sans mal mon doigt agile. Toujours dans la combinaison en latex qui ne semblait pas avoir de fin, mon index se baladait à l’intérieur, comprimé à intervalles réguliers par les contractions du sphincter de Julie, proche de la jouissance finale. Je cherchai alors à ressentir le mouvement de ses doigts à l’intérieur de son vagin depuis son rectum. Ce qui fonctionna : je les sentis glisser rapidement de haut en bas, et une connexion particulière s’opéra alors entre nous deux. J’effectuais de petits gestes avec mon index : cercles, frottements, tapotements, etc. Ce à quoi elle répondait parfois en les imitant côté vagin.Mais l’excitation était telle que ce jeu ne put durer bien longtemps. Sans crier gare, de violents spasmes parcoururent ma sœur désemparée. Je faillis me prendre un coup de pied dans le visage, alors par précaution je retirai mon index dès que possible. Julie criait comme une dévergondée la délivrance qui venait de la percuter. Son orgasme dura une longue minute durant laquelle les convulsions devinrent de moins en moins puissantes, et ses cris se transformèrent à nouveau à gémissements à peine audibles. Enfin, à l’issue de cette prestation, elle sembla perdre connaissance, entrant immédiatement dans un sommeil profond.
— Par tous les saints… marmonnai-je théâtralement, face à ma sœur gisant sur le lit.
Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits quant à la scène qui venait de se dérouler. Béat, j’eus néanmoins la réflexion suivante : « que se passerait-il si mes parents déboulaient dans la chambre et voyaient ma sœur dans cette tenue ? ». Non, ce n’était définitivement pas souhaitable. Elle était inconsciente, alors c’était moi qui devais me charger de l’extirper de sa seconde peau. Étant faite d’une seule pièce, il fallait donc retourner la combinaison à partir du cou jusqu’aux pieds. La matière était étonnement élastique, et il ne fut pas difficile d’étirer l’encolure jusqu’aux épaules afin de faire glisser le tout sur le corps de Julie. Cette matière était vraiment incroyable, Julie n’avait même pas eu besoin d’utiliser des subterfuges comme du talc pour enfiler la tenue. Je rangeai soigneusement la combinaison dans le coffret. Mais un détail attira mon attention sur le corps de ma sœur alors que je m’apprêtais à la recouvrir d’un drap : une sorte de tatouage à peine visible ornementait la partie supérieure de son pubis, juste au-dessus de sa minuscule toison.
On aurait dit un croissant de lune.
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