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Retour dans le droit chemin

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je me relève péniblement, j’ai les jambes qui tremblent et mes genoux me font mal, surtout qu’ils sont écorchés, je saigne un peu. Malgré mon orgasme, j’ai mal à la chatte, Laura n’y est pas allée de mains mortes et le gode était assez gros. Quand à mes seins ils me font bien souffrir, les brûlures de cigarettes m’ont laissé des traces et me lancent…
Je ramasse mes affaires et me rhabille. Je regarde Laura elle baisse la tête et sanglote. Quant à notre bourreau, elle est assise dans son canapé et nous regarde d’un air satisfait, elle sourit cette connasse.
Une fois habillées, nous sortons et nous dirigeons vers la chambre, Laura ne dit pas un mot.Nous rentrons à l’internat et je fonce prendre une douche, Laura se dirige directement dans la chambre.
L’eau bien chaude me fait du bien et me relaxe, mais je me sens complétement perdue, je suis dégoutée j’ai envie de chialer. Qu’est-ce que je vais faire ? Me faire virer ou me casser ? Pas moyen, je me retrouverai à la rue. Je vais devoir faire profil bas et si tout se passe bien, je ne serai plus là à la fin de l’année.
Je file me coucher…
Je suis réveillée au petit matin par des douleurs atroces sur mes nichons.Je me lève et j’aperçois ma copine, assise sur son lit, le regard dans le vide qui pleure.
Elle relève la tête et me regarde.
— Je suis désolée Anne…— Je sais, t’inquiètes pas, je sais que tu n’y es pour rien…— J’ai jamais eu de relations sexuelles, je ne me masturbe que depuis quelques temps, c’était horrible…— Mouais, à priori tu as apprécié hier soir…— Ne dis pas ça ! Elle pleure encore…Je viens m’assoir à côté d’elle… et la prends dans mes bras.— Ne t’inquiètes pas, ça va aller, et je sais que t’y es pour rien. On va devoir être sages, ne pas se faire remarquer et tout ira bien.— Merci…
La semaine se passe en douceur, j’ai croisé plusieurs fois madame Lefèbvre qui me souriait sournoisement… Et d’autres élèves qui chuchotaient dans mon dos, j’avais la rage mais j’ai rien dit.Je suis rentrée le weekend et j’ai rien branlé, je me suis reposée devant des séries et j’ai évité mes parents, d’ailleurs ils m’ont ignoré tout le weekend.
30 septembre 2013, 8h00
Et c’est reparti pour une semaine dans ce bahut de tarés… et elle a bien commencé…
10h00
Je sors de cours pendant la pause. J’arrive devant mon casier pour prendre des affaires, et un petit groupe de personnes s’approche de moi en ricanant… Une fille m’adresse la parole. Elle est assez grande et mince, les cheveux blonds courts, le visage creusé et un nez assez long et crochu…
— Salut, t’es Anne Martin ?— Oui— A peine une semaine et tu t’ai déjà fait remarquer… La petite rebelle du bahut…— Qu’est-ce que ça peut te foutre.— Et méchante en plus !— Elle ne fera pas longtemps sa maligne…
Je me retourne et aperçoit un mec qui ressemble à la pétasse qui me parle, même gabarit, même gueule, les cheveux noirs et gras, un air de petit BCBG qui se la pète.
— Je t’emmerde…— Et bien, tu sais à qui tu t’adresses ? Me répond la blondasse…— Non et je m’en branle.— Je suis Céline Laurent, et lui derrière c’est mon frère jumeau, Alban. Mon père c’est le préfet et je n’ai pas l’habitude de me faire insulter par une petite trainée dans ton genre.
Je sens à ce moment une main qui se pose sur mon cul.
— Elle est plutôt bonne cette cochonne, un peu grasse et flasque, faudrait qu’elle fasse du sport.
Les autres rigolent. Je me retourne et me retrouve en face de l’autre trou du cul…Je le repousse violemment… Il me met alors une grosse claque dans la gueule…Je me laisse pas faire et lui mets un grand coup de genoux dans les burnes, il s’effondre au sol…
— Salope, tu vas nous le payer. Me lance sa sœur.
Elle me prend un bras et je lui claque la gueule à mon tour. Elle se tient la joue en sanglotant. J’en profite pour m’éclipser, victorieuse.
Le reste de la journée se passe calmement. La fin des cours sonne et je me dirige vers le réfectoire, accompagnée de Laura. Mon repas vite avalé, je sors dans la cour et le micro grésille.
— Mademoiselle Anne Martin est attendue au bureau de Madame le Proviseur, mademoiselle Martin.
Putain, merde ! Fait chier !
J’arrive devant la porte et j’entre.
Madame Hermann se tient debout les bras croisés devant son bureau. Elle me regarde d’un air sévère… Sur le côté se trouvent les deux frangins et frangines qui me regardent avec un sourire pervers...
— Bien mademoiselle, vous avez encore fait parler de vous… j’ai ici deux jeunes gens que vous avez agressés...— Mais ils...— Silence ! Savez-vous qui ils sont ? Des personnes importantes et de plus des très bons élèves, vous ne leur arrivez pas à la cheville. Je vais devoir sévir encore une fois, vous devez comprendre que nous ne sommes pas dans un ghetto, mais dans un établissement sérieux… Déshabillez-vous et mettez-vous en petite culotte.— Mais je…— Cela suffit, obéissez !
Je me fous à poil.
— A genoux devant Mademoiselle Laurent. Regardez-la dans les yeux et demandez-lui pardon.
Je me mets à genoux et me force pour lui parler.
— Je suis désolée…
C’est moi qu’ils ont agressée et je dois m’excuser, c’est dégueulasse !
— Bien ; mettez-vous à quatre pattes et vous aller lui baiser les pieds...
La blondasse hôte ses chaussures et ses chaussettes. Elle tend ses pieds vers l’avant.Je pose ma bouche sur ses orteils avec dégoût et je les embrasse.Je vois la vieille qui se rapproche de moi avec une règle fine en plastique dans les mains… Pas encore !
— Léchez-lui les orteils et sucez-les…
Je lèche péniblement ses pieds qui sentent la sueur.
CLAC CLAC !
Une douleur m’envahit le cul, elle vient de me claquer les fesses avec sa règle.Je continue à lécher les pieds de l’autre connasse qui me regarde d’un air victorieux.
CLAC CLAC !
Ça me fait encore plus mal que la cravache, c’est dur et froid.Le morveux vient alors prendre la place de sa sœur. Madame Hermann me prend les cheveux dans les mains et me force à me remettre à genoux. Elle pose alors la règle sur le sol.
— A genoux sur la règle.
Je m’exécute et ressens tout de suite une douleur au niveau des genoux qui me font encore souffrir.
— Vous allez demander pardon à ce jeune homme également.— Pardon…— Est-ce suffisant Monsieur Laurent ?— Non, je ne crois pas Madame, elle m’a fait très mal.— Bien, vous allez devoir réparer l’injure…
Elle se place derrière Alban et lui déboutonne le pantalon. Elle prend son sexe déjà à moitié dur et le fait sortir.
— Vous lui avez fait mal aux testicules, vous devez vous excuser.
Elle me prend la queue de cheval et me rapproche le visage de ses couilles.
— Allez, on lèche...
C’est avec beaucoup de dégoût que je pose la langue sur ses couilles. Il me prend à son tour les cheveux et présente son gland à l’entrée de ma bouche.
— Suce salope !— Non, je...— Silence !
CLAC !
La vieille vient de me fesser le cul…J’ouvre péniblement la bouche et me retrouve très vite avec sa queue au fond de ma gorge, il me baise la bouche sans ménagement, ça me brûle la gorge et j’ai envie de vomir. Des chaudes larmes coulent sur mes joues.Je sens alors des mains se poser sur mes seins, c’est la frangine qui me les palpe.
— Tu as des bonnes grosses mamelles ma cochonne, j’aimerais avoir les mêmes.
Elle commence alors à jouer avec mes tétons, et de l’autre main, elle me caresse les cuisses. Alban continue à me forcer la bouche, je sens son sexe se durcir de plus en plus, il a une grosse bite. Céline me baisse la culotte jusqu’au chevilles et elle commence à jouer avec mes lèvres, elle les frotte sans ménagement et me titille l’entrée du vagin, qui est sec et qui me brûle. Elle me pince violemment les tétons et tire dessus.
— Je vais te traire comme une grosse vache que tu es…
Elle tire de plus en plus et glisse son doigt dans ma chatte. Malgré la douleur je sens ma chatte qui commence à mouiller…
— Elle mouille la salope, tu aimes la bite de mon frère ?— Oumph.
Elle commence à me pilonner le vagin, elle y glisse un deuxième doigt.Alban se retire de ma bouche et me prend les bras.
— Debout
Je me relève. Il se place derrière moi et me plaque sur le bureau.
— Tends ton cul et penche-toi en avant, je vais te baiser.— Non, s’il te plaît, pas ça…— Ta gueule, salope, penche-toi et écarte bien tes cuisses ou je t’empale de force !
Je me penche, j’écarte les cuisses au maximum, j’obéis, je n’ai pas envie d’avoir mal… Mais lui si… Il me rentre sa bite d’un coup dans la chatte, même si je mouille un peu ça me fait très mal, je hurle de douleur, d’autant plus qu’il me la met au fond …
— Aïe, tu me fais mal, s’il te plait vas-y doucement.
Il me claque le cul.
— Ta gueule, tu as fait doucement quand tu m’as latté les couilles ? Ferme ta gueule et prend ça.
Il me donne des gros coups de rein, c’est brutal et douloureux, j’ai la chatte en feu !Il me prend les cheveux et tire dessus, m’obligeant à me cambrer d’avantage.Je sens ses couilles qui claquent contre ma chatte, et bizarrement je commence à apprécier, il faut dire que ça fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour, mais là c’est quand même violent. Malgré sa carrure fluette il est vigoureux…
La douleur s’estompe petit à petit. Je ne peux rien faire, je suis bloquée et obligée de subir ses coups de rein virils… Si je ne veux plus avoir mal, je vais devoir y mettre du mien, j’essaie de me vider la tête, je ferme les yeux et repense à des moments agréables, je repense à mon ex, à mes relations sexuelles passées.
Je glisse ma main le long de mon ventre et commence à me masturber. Je joue avec mon clito, écarte mes lèvres et y fais glisser un doigt, je commence à mouiller…Je sens une main qui me prend fermement le menton et m’oblige à redresser la tête… j’ouvre les yeux et me retrouve nez à nez avec Céline qui me fixe d’un regard pervers et amusé…
— Eh bien, j’ai l’impression que tu commences à prendre ton pied, ça te plait de te faire baiser sauvagement sur un bureau ?
Je la regarde dans les yeux, des larmes coulent sur mes joues.
— Réponds ! (elle me claque la joue).— N-non.— Menteuse ! Donne-moi ta main.— Mais… — Obéis !
Je lui tant ma main pleine de mouille…
— Regardez-moi cette petite cochonne, elle se fait plaisir…
Elle me prend le poignet et présente mes doigts devant la bouche.
— Suce tes doigts, et goutte-moi ça.
Je glisse deux doigt timidement dans ma bouche et commence à les lécher, c’est salé et légèrement acide.
— Tu vois, tu es trempée, et le but est de te punir, non de te procurer du plaisir. N’est-ce pas Madame la directrice ?— Tout à fait, jeune fille. Un instant monsieur Laurent, pouvez-vous vous retirer ?— Oui.
Il retire son gros sexe sans ménagement, laissant couler un filet épais de mouille sur mes cuisses.La directrice me prend les bras et me fait me retourner.
— Dans cette position, nous pourrons vous surveiller. Monsieur Laurent, je vous en prie, elle est à nouveau à vous…
Alban se rapproche de moi, il me saisit les chevilles et m’écarte les jambes au maximum, qu’il relève également. Il vient frotter son gland entre mes lèvres et contre l’entrée de mon vagin. Enfin un moment de douceur et j’apprécie ce qu’il me fait… Mais ce plaisir est soudainement interrompu par sa bite qui m’empale à nouveau d’un coup, il me met des grands coups jusqu’au fond, ce qui me fait à nouveau souffrir…
Une masse se dessine au-dessus de mon visage, c’est la frangine qui vient de monter sur la table, elle est en chemiser légèrement entrouvert et cul nu.Elle place ses cuisses de chaque côté de mon visage et je vois sa chatte qui se rapproche de ma bouche.
— Lèche-moi la chatte, je veux que tu me fasses plaisir.— Mais je n’ai jamais…— Tais-toi !
CLAC ! CLAC ! Elle m’assène des grands coups sur les seins, mains tendues !
Sa chatte s’approche de plus en plus, et une odeur puissante me caresse les narines. J’ai une vue en gros plan de sa chatte, des grosses lèvres charnues pointent sous une toison blonde épaisse. Elle place ses mains sur sa touffe et écarte ses lèvres tout en s’asseyant presque sur mon visage.Je sens alors ses lèvres chaudes et humides se poser sur ma bouche. Son goût ressemble au mien, mais est plus sauvage et prononcé.Je sens ses doigts qui écartent ses lèvres et ma bouche se fait engloutir entre elles.
— Allez, utilise ta langue, lèche mon clito et glisse-la entre mes lèvres.
Très vite ma langue effleure son petit bouton et je commence à le titiller. Puis je lèche ses lèvres et sens l’entrée de son vagin. De la mouille commence à couler le long de ma langue et glisse jusqu’à la commissure des lèvres. Je sens ses cuisses se resserrer et j’ai du mal à respirer, d’autant plus que sa toison est épaisse.
— Mmm, mais c’est qu’elle est douée ! Continue, c’est si bon, bouffe-moi la chatte cochonne ! Glisse ta langue dans ma chatte !
Les coups de reins du frangin se font de plus en plus forts, il me pilonne la chatte qui est en feu. Mon dos me fait mal. Chaque va et vient intensifie naturellement les mouvements de ma langue.Céline resserre de plus en plus ses cuisses. Elle prend mes seins et les serre très fort, elle les malaxe et joue avec mes tétons.
CLAC ! CLAC ! Elle me les claque à nouveau, j’ai mal putain ! Elle commence à entamer des mouvements amples avec son bassin, m’obligeant à lécher sa chatte avec plus d’ardeur.
— Baise-moi avec ta langue, bordel !
Je viens cherche l’entrée de son vagin et commence à y glisser facilement ma langue, mon visage est inondé de mouille qui coule sur mes joues. Elle glisse ses mains le long de mes cuisses et me prend les chevilles. Elle écarte encore plus mes jambes et les plaque sur moi.
— Écarte au maximum, je veux voir la grosse bite de mon frère de défoncer la chatte. Mmm mais elle est encore trempée ! Tu n’es qu’une traînée ! Même sous la contrainte et la douleur elle prend son pied cette salope !
Les mouvements d’Alban s’accentuent d’un coup et il me prend la peau sur les hanches et serre très fort, il râle comme un animal, et se retire. Céline vient placer ses doigts sur ma chatte et écarte mes lèvres au maximum, je sens ma chatte se dilater et l’air frais la chatouiller, puis très vite un flot abondant de sperme chaud vient m’arroser le vagin et le ventre. J’ai l’impression qu’il gicle pendant une éternité ! Au même moment je sens sa sœur trembler et resserrer ses cuisses. Elle gémit et explose à son tour, j’ai la bouche et le visage recouverts de mouille et de bave.
Elle me libère enfin et je prends un grand bol d’air…Ils s’habillent et sortent de la pièce sans rien dire.
Je repose mes jambes endolories et me redresse, j’ai l’impression qu’un train m’est passé dessus. Au moment où je commence à me redresser pour descendre, la directrice pose ses mains sur mes cuisses et se penche vers moi, elle me regarde droit dans les yeux d’un air lubrique.
— Oh non, mademoiselle, je n’en ai pas fini avec vous.
Je m’aperçois avec horreur qu’elle est en sous-vêtements, un string en dentelle noir, des bas et un porte-jarretelle… Elle m’écarte les jambes et me repousse en arrière sur le bureau…
A SUIVRE…
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