Le retour d’Hélène et le garçon, 4 J’ai fait l’amour avec mon amie Laure et mon fils Eric, excité par la situation, ma prise en levrette. Ce fut un moment délicieux gâché par mon angoisse de tomber enceinte de lui.
Quand je me réveille, la panique m’envahit à nouveau. Eric dort encore et je n’arrive pas à avaler quoi que se soit. Je me force à boire un jus de fruit et file sous la douche. Je laisse couler une eau presque brûlante sur mon corps et finis par me détendre un peu.Une fois habillée, j’appelle mon amie Laure pour partager mon souci. Entendre sa voix posée me redonne un peu confiance. Elle va appeler une de ses ex qui est gynécologue pour prendre un avis et me promet de rappeler au plus tôt.Eric se lève dans l’entre temps et s’approche de moi avec empressement. Son érection matinale déforme son slip et même si je n’ai pas le cœur à ça, mon regard met un peu de temps à s’en décrocher.Voyant mon état chafouin, il s’en inquiète et se cherche des reproches infondés.Je lui explique la situation, j’ai oublié de prendre une pilule contraceptive je ne sais plus quand et je courre le risque d’avoir été fécondée par lui. « Tu vas être enceinte de moi … !» Il en est fier et heureux.« Non mon chéri, ce n’est pas possible. On trouverait ça louche, surtout ton père. Et puis génétiquement, c’est vivement déconseillé ! »Il me prend dans ses bras et me réconforte tout en m’effleurant le dos. Le téléphone sonne et je l’abandonne avec précipitation pour répondre. Laure me rassure, il faut attendre mes prochaines règles pour statuer. Elle en profite pour nous inviter à déjeuner le midi. Elle a bien senti mon besoin de me changer les idées. Quand Eric et moi arrivons chez Laure, mon amie me fait une bise amicale tout en me pressant délicatement le bras. C’est fait avec tant de douceur que ce petit geste me trouble.Aurélie, sa fille est présente et je remarque qu’elle regarde mon fils différemment. C’est vrai qu’Eric a pris beaucoup d’assurance depuis que nous faisons l’amour ensemble. Je me détends de plus en plus et Laure à le chic pour me charmer. Tout le long de l’apéritif et du repas, elle me lance des petits regards complices et je finis par y répondre. J’en oublie mon amant qui semble s’éprendre d’Aurélie. Il faut dire que c’est une jolie fille qui ressemble beaucoup à sa mère. Quand nous repassons au salon, Laure propose aux deux jeunes de nous laisser parler seule à seule et apparemment ça n’est pas pour leur déplaire. Aurélie prend la main de mon fils et tous deux s’éloignent vers sa chambre.
Laure et moi dégustons un café tandis qu’elle s’allume une cigarette. Si la fumée me dérange un peu, je ne peux m’empêcher d’admirer la grâce dans les attitudes de mon amie. Elle revient sur mon sujet de préoccupation et me propose d’appeler son ancienne copine gynéco, pour que je puisse lui parler en direct. Ce que nous faisons. La femme est charmante et me rassure pleinement en évoquant toutes les possibilités qui me sont offertes, au cas où je sois effectivement enceinte.Tout le temps que je passe au téléphone, Laure en profite pour caresser ma cuisse. Quand je raccroche, elle se penche vers mes lèvres et je détourne la tête par réflexe. Malgré l’attachement que je lui porte, mon inquiétude est plus forte.Elle n’insiste pas, par contre, elle s’agenouille à mes pieds et se met à me masser les chevilles puis les mollets. Si je suis surprise au début, je finis par apprécier ses massages. Malgré tout, je tends l’oreille et Laure me dit en souriant :« Tu veux voir ce qu’ils sont en train de faire ? C’est ça ?» J’acquiesce et nous voilà parties toutes les deux vers la chambre d’Aurélie. Mon amie ouvre la porte sans toquer et je reste ébahie par le spectacle.Eric est couché sur la belle brune qui a les jambes écartées pour accueillir le membre de mon fils. Tous deux nous lancent un œil, mais n’interrompent pas leur union pour autant. La petite soupire quand mon amant entre en elle, il faut dire, je le rappelle, qu’il est très bien proportionné. J’éprouve un curieux mélange de sentiments, de la jalousie tout d’abord, puis de la fascination d’observer, par voyeurisme, ce couple en action.Maintenant, Aurélie geint à chaque coup de rein et j’aimerais tant être à sa place. Cette coquine de Laure se place derrière moi et m’enlace la taille d’une main alors que l’autre et sous ma robe à chercher mon pubis. Ses doigts furètent entre mes cuisses et très consciemment, j’ouvre les jambes. Je suis en train de me faire caresser par mon amie pendant que mon fils fait l’amour devant moi. Laure me chuchote :« Viens, laissons les ! »Je referme la porte, puis ma partenaire me plaque le dos au mur avant de m’embrasser fougueusement. J’oublie instantanément tous mes soucis et je réponds avec une ardeur inconnue à ce baiser passionné. Comme elle sait bien s’y prendre avec moi ! Quand, quelques minutes plus tard, elle m’allonge sur son lit pour mieux m’embrasser, je lui suis totalement soumise. Après moult caresses, elle descend enfin sa bouche sur ma vulve et entreprend un cunnilingus mémorable, auquel je ne résiste pas. Alors que je reprends mon souffle, elle se lève, va dans une armoire dérobée à ma vue et revient avec un petit coffret. Elle l’ouvre et en ressort un objet en forme d’œuf avec une petite cordelette. Avant que je n’aie réalisé, elle écarte mes lèvres et m’enfonce la chose dans le vagin. Je le sens passer, puis m’envahir. Je peux protester, mais en même temps, je suis curieuse de savoir ce qu’elle projette. La réponse ne se fait pas attendre, elle sort du coffret une télécommande qu’elle actionne. Je sens vibrer en moi le sex-toy, car c’est de ça qu’il s’agit.« Tu vois, Hélène, j’ai le contrôle sur toi ! Tu aimes ça, pas vrai ? »« Humff !! Ouiii » Elle change le rythme de la vibration, puis l’interrompt brusquement, puis le remet en marche pour l’arrêter à nouveau. Comme la chose est étrange, non par les sensations que l’objet me procure mais plus par le fait d’être à la merci de ma maîtresse, à tous les sens du terme. Elle me propose de retourner au salon, non sans m’intimer de laisser l’œuf en place et de m’envoyer de petites pulsions tandis que j’essaie de marcher naturellement. Une fois assises, elle me montre les commandes disponibles et me laisse les essayer avant de reprendre la télécommande pour m’envoyer quelques secousses supplémentaires. Les jeunes réapparaissent encore un peu rouges de leur ébat récent. Nous buvons quelques rafraîchissements quand Laure me fait vibrer à puissance maximum. Je suis si surprise, que je saute littéralement en l’air quand la vibration m’envahit.Aurélie déclare :« Oh maman t’a mis l’œuf ! C’est génial ! Surtout quand c’est quelqu’un d’autre qui est à la commande ».Laure ajoute :« Hélène, je te le prête, mais tu devras le garder jusqu’au coucher, c’est ton fils qui décidera quand te l’enlever !»Elle tend l’appareil à Eric, qui en comprend vite l’usage et qui se fait un malin plaisir à jouer de moi. En me tortillant sur les fesses, je me sens honteuse d’être la cible de leurs regards quand Aurélie vient me chuchoter à l’oreille :« Tu sais, maman à plein de trucs géniaux, tu vas beaucoup apprécier ! » Elle accompagne ses mots d’un baiser sur mes lèvres.Je suis abasourdie par tous ces évènements. Aurélie, que je connais depuis longtemps, ne se serait jamais permise de faire ça il y a peu, mais ça ne semble choquer personne d’autre que moi. Même Laure en sourit. Elle a du raconter à sa fille la relation que nous avons eue et certainement des dimensions du sexe de mon fils, dignes d’intérêt.Nous prenons congé de nos amantes respectives et quand Eric fait vibrer l’oeuf alors que je conduis, je le reprends en lui disant que c’est trop dangereux en roulant. Aux premiers feux rouges, il s’en donne à cœur joie, puis, par une sorte de sadisme me laisse attendre les vibrations, les arrêts suivants. C’est à un stop qu’il réactive son appareil. Je mouille atrocement maintenant, mais le chauffeur qui nous suit s’impatiente et je dois redémarrer. Arrivés à la maison, j’ai un mal fou à ouvrir la porte tant l’œuf bat en moi. « Oh, je t’en supplie ! Arrête Eric, je n’en peux plus »« Tu dois le garder jusqu’à ce soir, n’oublie pas ! »« Oui, mon amour ! »Je me soumets et il me laisse en paix le temps que nous échangions un baiser »Je retrouve mon amant infidèle. Le coquin bande contre mon ventre et ça ne me laisse pas indifférente. Je m’agenouille, libère son sexe et le gobe. Il a le goût de la cyprine de sa partenaire récente, mais ce n’est pas pour me déplaire, même si je préfère celle de sa mère.Lui joue avec la télécommande, ce qui me fait sursauter à chaque fois. Il se dégage et me fait mettre à quatre pattes, soulève ma robe, baisse ma culotte et pointe son dard sur mon anus. « Non chéri ! Tu vas me faire mal ! »Il mouille abondamment de salive ma corolle et force mon entrée. Il entre plus facilement que je ne le craignais. Malgré tout, je le sens bien passer. Il ajuste l’appareil sur vibration lente et me saisit par les hanches. « Ouah, je le sens vibrer aussi, c’est super ! » Déclare-t-il.Il attarde son gland là où se trouve la vibration maximale, tout en écartant mes chairs.Il entame alors un long, long mouvement de va et vient qui me perfore de part en part. A chaque passage sur l’œuf, je sens la pression s’accentuer dans mon vagin.Je ne sais pas ce que je préfère des deux intrusions dans mon corps. L’une vibre, l’autre coulisse de plus en plus vite. Eric se saisit de la télécommande et cherche la pulsation qui nous convient le mieux à l’un et à l’autre.Et il reprend son va et vient, comme c’est bon ! J’aime tant, désormais, quand il me sodomise. Je libère toute la tension des heures précédentes et l’encourage :« C’est bon mon chéri ! Va plus vite ! Ouii comme ça ! »Il me tient par les épaules pour mieux me sabrer, mais ne profère pas s’insultes à mon égard, dommage !C’en est trop, je ne peux me retenir, l’orgasme monte. Il se couche sur mon dos et cherche ma bouche, je cherche la sienne en tournant la tête. Nous n’arrivons pas à nous embrasser surtout que je crie ma jouissance. Moins d’une minute après, c’est lui qui jouit en moi. Quant à moi, je ne peux plus supporter la présence de l’œuf et tire sur la cordelette pour le ressortir alors qu’Eric est toujours en moi. « Dis mon chéri, tu aimes encore ta maman ? »« Tu es mon amour pour toujours ! Je ferai tout pour toi et pour ton plaisir » Même si c’est inconvenant, je veux garder mon fils comme amant et la promesse qu’il vient de formuler, me regonfle de bonheur.
