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Retour de mon voyage incestueux

Chapitre 1

Trash
Pendant tout le voyage du retour, je n’arrive pas à me calmer. Je repense à cette soirée et surtout à cette nuit inimaginable. Delphine est normalement partie chez ses parents amener notre fille pour les vacances. Je lui envoie un texto pour savoir où elle en est. Elle me répond qu’elle est chez ses parents et qu’elle se prépare à rentrer car elle veut éviter les bouchons.
  Je lui demande de venir me chercher mais je veux qu’elle prenne la voiture car je la veux habiller en chienne. Sur ces mots, Delphine me dit qu’elle est d’accord et qu’elle mouille déjà à l’idée de me revoir. Sur ce dernier texto, j’essaie de dormir un peu pour être en forme lors de nos retrouvailles.
  A l’approche de Paris, je reçois un sexto de Delphine, dessus je la vois dans la voiture en train d’écarter ses grandes lèvres, avec le message "je suis arrivée et impatiente de t’accueillir". Je lui demande où elle m’attend. Elle me répond dans le parking souterrain de la gare au 3ème sous-sol place Jaune 321. Regardant plusieurs fois la photo de Delphine, je ressens des tensions dans mon boxer. Il me tarde d’arriver.
  Le train enfin en gare, je commence à descendre et après quelques mètres sur le quai, je vois Delphine courir vers moi. Elle a mis une robe légère qui se boutonne sur le devant. Arrivée à quelques mètres de moi Delphine se jette dans mes bras. Entre deux baisers pleins de fougue, je lui dis qu’il y avait mieux comme robe pour exciter son coquin de mari. Elle me répond qu’elle n’avait pas besoin de s’habiller comme une pute pour m’exciter et de la laisser faire. Je lui prends donc la main et nous descendons à la voiture.
  Dans l’ascenseur pour descendre au 3ème sous-sol, je pose mon sac par terre pour l’enlacer et l’embrasser. Mes mains se promènent sur son corps et je m’aperçois qu’elle ne porte aucun sous-vêtement. Je lui fais la remarque et avec un regard coquin, Delphine me lance :
— Je te l’avais bien dit que je t’exciterais.
  En effet, la savoir nue sous sa robe m’excitait au plus haut point. Tout en continuant à l’embrasser, ma main remonte sur sa cuisse et passe sous sa robe. Delphine me retient la main et me dis d’attendre. L’ascenseur s’ouvre sur le 3ème sous-sol. Elle me précède pose une main délicate sur mon sexe et me dit de la suivre. Je la suis de près. Pas de peur de la perdre mais pour bien profiter de sa démarche qui lui fait rebondir son joli fessier libre de tout mouvement sous sa robe. Arrivés à la voiture, je mets mon sac dans le coffre et me mets au volant. Delphine se place à côté de moi. Assise, elle remonte légèrement sa robe me dit
— Tu ne veux pas lui dire bonjour?
  Mon regard se baisse sur le bas de son ventre et je m’aperçois que Delphine a écarté les cuisses me laissant voir sa jolie chatte toute épilée. Ne me faisant pas prier, mon visage se précipite sur ce jardin d’Éden pour y déposer quelques baisers et des coups de langue aussi. En me relevant, je constate que Delphine pointe. Après avoir démarré la voiture je pose ma main sur le haut de sa cuisse.
  Arrivés à la maison, je gare la voiture sur notre place dans un parking souterrain. Le contact à peine coupé, Delphine se jette sur ma bouche pour y déposer un de ses baisers fougueux dont elle a le secret. Sa main se promène sur mon corps pour terminer sa course au niveau de mon sexe dur de désir. D’une agilité inégalable, elle sort ma bite de ses entraves vestimentaires et commence un délicieux va-et-vient. Ses lèvres quittent les miennes pour venir se poser sur mon gland rouge et dur de plaisir.
  Delphine me suce comme ci on ne s’était pas vu depuis 6 mois alors que ça ne faisait que deux jours. Une de mes mains vient lui peloter ses fesses. Tout en continuant de me sucer, elle se cambre comme pour m’inviter à aller visiter son intimité. Mes doigts pénètrent sa fente humide de plaisir. Malgré sa bouche pleine, Delphine lâche quelques gémissements. Mes allers-retours dans son vagin produisent des bruits obscènes de plus en plus perceptibles. C’est dans ces clapotis obscènes et dans un effluve de cyprine que je me répands dans sa bouche. Elle avale toute la semence que je lui offre et me nettoie avec de grands coups de langue avant de me remettre dans mon boxer. Elle se redresse et se regarde dans le miroir de courtoisie de son pare-soleil. Je me rhabille et nous sortons de la voiture. Je prends mon sac et ma femme me suit en direction de la maison.
  Malgré cette merveilleuse fellation, j’ai encore envie d’elle. L’ascenseur à peine ouvert que je la pousse dedans pour l’embrasser. Tout en appuyant sur le 8ème étage, je me mets à genoux devant elle et je mets ma tête sous sa robe. L’instant d’après, mon visage s’écrase sur son pubis. Elle met une jambe sur mon épaule et avec ses mains, elle appuie sur ma tête pour m’écraser encore plus le visage sur son intimité. Ma langue lèche sa fente mouillée. Je lui mordille son clitoris quand l’ascenseur s’ouvre. Je me relève et prends Delphine par la main. J’ouvre la porte de l’appartement et la pousse dedans.
  La porte à peine claquée, que j’arrache sa robe. Delphine se retrouve robe ouverte plaquée sur le mur de l’entrée. Mon visage se perd dans son opulente poitrine. Je lui malaxe ses fesses tout en dirigeant mes doigts vers sa fente. Elle pose une jambe sur mon bassin pour me faciliter l’approche. Suivant les coulures de cyprine sur ses cuisses, mes doigts entrent dans son vagin aisément. Delphine se mord les lèvres de plaisir. Seul des feulements de bonheur et des "baise-moi" sorte de sa bouche. J’attrape sa 2ème jambe et Delphine agrippe mon cou. Je la porte jusqu’à notre chambre pour la déposer sur le lit. Elle finit de retirer sa robe et pendant que je retire mon T-shirt, Delphine s’occupe de mon pantalon, embrasse mon sexe a travers mon boxer avant de le retirer aussi. Il se présente devant elle, droit et dur. Elle ne résiste pas à le prendre en bouche pour lui administrer quelques va-et-vient. Une fois bien enduit de sa salive, Delphine se recule et se met à 4 pattes sur le lit. Elle me regarde par dessus son épaule et en me lançant un de ses regards de chienne, et elle me dit :

— Choisi ton trou, ils sont à toi tous les 2.
  D’habitude ne refusant jamais une sodomie qui se présente que trop rarement à moi (même si Delphine est très coquine, elle n’aime pas trop cette pratique), je commence quand même par lui pénétrer le vagin. Ma bite ne rencontre aucune résistance à son entrée dans ce paradis de la luxure. Alternant entre les rythmes de mes va-et vient, j’admire ses orifices se dilater par mes coups de boutoir et son plaisir. Elle dégouline, sa cyprine ruisselle entre ses cuisses et goutte sur le lit. Je l’ai rarement vu dans cet état d’excitation sans même l’avoir chauffée auparavant. Je pense du coup que c’est dû aux sextos de la veille au soir.
  Étant endurant grâce à la pipe du parking, je me retire d’elle et lui demande de venir s’empaler sur ma bite. Je me couche sur le dos à ses côtés. Elle ne tarde pas à m’enjamber pour venir sur moi. Elle prend ma bite et commence à la remettre dans sa chatte. Je lui dis :
— Non, non, non, je veux que tu t’encules toute seule sur ma bite.
  Delphine me regarde sans dire un mot et les yeux ronds. Elle se redresse sur ses jambes fléchies, reprend ma bite dans sa main et la présente devant sa rosette. J’ai envie de mettre un coup de bassin pour la pénétrer d’un coup sec. Je me retiens car mon désir le plus fort c’est de la voir faire seule cet acte qu’elle n’aime guère. Après quelques secondes d’hésitation, Delphine commence à s’asseoir sur mon gland lubrifié de sa cyprine. Il rencontre une légère résistance, mais d’un coup cet anus si serré, cède et accepte cette intrusion. Elle reste encore dans cette position avant de continuer sa descente. Après plusieurs arrêts, je suis enfin entièrement ancré en elle. Ma bite est là, serrée dans son rectum bien au chaud. Ma femme commence à faire des petites ondulations sur mon bas-ventre. Je sens que sa rondelle se détend un peu et je vois que Delphine commence à apprécier les sensations qu’elle ressent. Je lui caresse les seins, ses flancs, ses fesses, ses cuisses et son clitoris pour l’encourager dans sa démarche. Je constate que mes encouragements fonctionnent quand je vois son visage se détendre de nouveau pour faire place à un visage serein et des petits gémissements recommencent à se faire entendre.
Elle pose maintenant ses mains sur mon torse et prenant appui dessus, elle commence de léger va-et-vient sur cette tige. Ces mouvements me procurent un plaisir intense et à elle aussi. Le rythme s’accélère, son vagin dégoulinant de cyprine claque sur mon bas-ventre. Ma bite lime son rectum avec une fougue qui me procure une jouissance énorme. À grandes giclées de foutre, je lui remplis son cul si serré au début mais qui est maintenant complètement relâché. Cette sensation de chaud dans ses entrailles lui fait lâcher un orgasme qui lui parcourt tout le corps. Delphine se couche sur mon torse et cale sa tête dans mon cou. Toujours en elle je commence à ramollir, ma bite se dégage toute seule laissant derrière elle une semence légèrement brunâtre ruisseler entre ses jambes. Delphine se pose à mes côtés et m’embrasse sur l’épaule. Tout en caressant ses cheveux, je l’embrasse à mon tour sur le front et après quelques instants de silence, nous nous endormons dans cette position.
  Je me réveille une heure après à cause de fourmis dans le bras. Delphine dort encore. Je me lève doucement et sors de la chambre sans faire de bruit pour aller me laver dans la salle d’eau. Une fois ma douche prise, je constate que notre dernière joute m’a laissé quelques marques de griffures et de morsures sur le corps. En retournant dans la chambre, je me rends compte que Delphine s’est levée à son tour et qu’elle est en train de prendre un bain. J’entre dans la salle de bain, et je la trouve recouverte de mousse ne laissant apercevoir que ses merveilleux seins tout luisants grâce à l’eau. Je prends un petit banc qui se trouve là et m’assois près de la baignoire. elle me regarde et me demande :
— Alors, je t’ai assez excité?
  Mettant ma main sur le haut de sa cuisse, je lui réponds :
— Oui, mais toi aussi tu étais très excitée!
  Faisant allusion à la séance de sexe et surtout à la sodomie qu’elle s’était prodiguée. Delphine me répond qu’elle n’avait pas réussi à redescendre de son excitation de la veille au soir et que de me voir me branler en vidéo n’avait qu’amplifié son état. Ma main remonte sur son sexe, une fois arrivée à destination, j’éprouve l’envie de lui dire ce qui s’est passé la veille au soir avec Erika.
  Je lui explique qu’au fil de la conversation avec ma sœur, cette conversation avait tourné sujet cul. Je lui avoue qu’Erika avait vu des photos des sextos mais aussi des photos de nos ébats. Elle me regarde sans dire un mot. Pour seule réponse, elle relève et écarte légèrement ses jambes me laissant plus de liberté pour lui caresser son clitoris. Je continue mon récit en lui avouant que ma sœur n’était pas au lit lors des sextos et que la demande de la voir avec le concombre ne venait pas de moi mais d’elle. À cette annonce, Delphine sert les cuisses m’emprisonnant la main et me regarde droit dans les yeux :
— Je m’en doutais que tu n’étais pas l’auteur de ce message!— Comment ça?— Tu es plus direct et plus cru dans tes SMS, en plus tu mets jamais de smiley dans tes sexto— Si tu le savais, pourquoi tu l’as fais?— Je trouvais ça excitant d’être votre jouet à distance.— Je vois ça que tu étais excitée de la situation. Erika n’en est pas revenue de ta vidéo!— Et toi ça t’as plu?— Bah oui, tu as reçu ma vidéo, non?— Oui, d’ailleurs ta sœur était encore là quand tu l’as faite?
  Me trouvant dans l’impasse et ne pouvant plus reculer, je me lance à lui parler de mon inceste. Même si je ne sais pas comment Delphine va réagir, j’espère qu’elle comprenne car elle m’a déjà avouée qu’elle s’était perfectionnée dans la fellation en la pratiquant sur ses deux cousins jumeaux qui passaient tous les étés avec elle en Bretagne. En contrepartie, eux se lançaient des défis à qui des deux la feraient jouir le plus vite avec un cunnilingus. Après le récit avec tous les détails de ma folle nuit incestueuse, Delphine desserre les cuisses et comme pour m’inviter à reprendre mes caresses clitoridiennes, elle fait quelques mouvements de bassin.
— Vous avez fait des photos de vos performances?— Non, on s’est juste amusé à prendre la pose devant son miroir nu.— Je peux les voir?— Je ne les ai pas, mais je vais les demander à Erika, si tu veux?— OK, mais ne lui dis pas que je suis au courant.— OK
  Je retire ma main de son intimité, l’essuie et sors de la salle de bain pour aller passer un message à Erika. Dans le couloir, je souffle et souris de la bonne réaction de Delphine. La réponse d’Erika ne se fait pas attendre. Une fois les clichés en ma possession, je commence à retourner vers Delphine et là j’entends qu’elle est en train de prendre sa douche. Je décide donc de retourner sur le canapé pour l’attendre. Patientant gentiment, je me mets à regarder les photos les unes après les autres. Tout cela me redonne de la vigueur. Delphine arrive dans le salon habillée d’une petite jupe de tennis blanche et d’un top rose.
  Elle me demande si je les ai reçues. Lui faisant signe de s’asseoir à côté de moi, je tourne mon téléphone pour lui faire voir. Elle me prend l’appareil des mains et les regarde une à une en les décortiquant. Après de longues minutes sans bruit, Delphine me lance sur un ton envieux
— Tu t’es bien fait plaisir avec ta sœur mon cochon?
  Je lui réponds que oui et que même si Erika ne l’égalait pas niveau pipe, elle savait très bien s’y prendre aussi et je rajoute que de me rappeler la sensation de mon poing serré dans le vagin de ma sœur me redonne le gaule immédiatement. Delphine pose sa main sur ma verge et me regarde droit dans les yeux.
— Tu dis vrai en plus!— Tu sais que je ne mens jamais là-dessus.— Tout ça me donne des bouffées de chaleurs et des idées cochonnes.
  Je glisse ma main sous sa jupe pour me rendre compte à quel point les photos et mon récit l’ont excitée. A ma grande surprise je constater qu’elle n’a pas mis de sous-vêtement et qu’en plus elle a mis ses boules de geisha dans son vagin. Effectivement elle ne mentait pas, son entrejambe est chaud, ses grandes lèvres n’arrivent plus à contenir toute la cyprine qu’elle produit à cause de son excitation. Mes doigts sont comme un détonateur, à peine ai-je effleuré ses grandes lèvres, qu’elle se jette sur moi et m’embrasse langoureusement. Je ne mets pas longtemps à lui ôter son top pour lui libérer ses seins voluptueux. La bouche de Delphine quitte la mienne pour aller se balader sur mon cou mes lobes d’oreille y déposant quelques morsures. Mes mains empoignent ses fesses sous sa jupe et les malaxent. Elle commence à onduler sur la bosse que forme ma bite sous mon short.
  D’un coup de bassin et de buste, je me relève du canapé tout en gardant Delphine dans mes bras. Je la dépose sur la table basse sur le dos. Elle prend un coussin et le met sous sa tête. Pendant ce temps, je me présente entre ses jambes qui se sont déjà repliées comme par automatisme. Je dépose quelques baisers sur son mont de Vénus avant de laper ses grandes lèvres déjà toute mouillée de cyprine. Sous ces coups de langue, elle lâche quelques feulements de plaisir. Ma langue entre et sort de sa fente. Je mords la ficelle de ses boules de geisha avec les dents et tire dessus jusqu’à en faire sortir une des deux. Je la gobe et approchant ma bouche de ses lèvres intimes, je la repousse à l’intérieur de son vagin. Mes mains lui malaxent sa poitrine, Delphine se cambre de plaisir. Ma bite me fait mal tellement elle est dure. Tirant d’un coup sec avec les dents sur sa ficelle, je lui retire dans un bruit de succion ses boules de geisha et les dépose sur le sol. Je me relève, baisse mon short, lui relève ses jambes serrées l’une contre l’autre et les pose sur mon torse. Lui agrippant les cuisses pour bien la plaquer contre moi, je lui pénètre le vagin d’un coup sec. Cette intrusion au plus profond de son intimité, lui fait lâcher un cri court et très aigu. Je lui ramone le vagin sans aucun ménagement. Les claquements indécents de mon pubis sur son sexe dégoulinant, ne me font rajouter que du cœur à l’ouvrage. Delphine se mord les lèvres et se masturbe le clitoris d’une main. De l’autre, elle se pince les tétons. Sentant la fin arriver, je me retire d’elle, l’attrape par le cou, et lui enfourne ma bite dans la bouche. Après deux ou trois va-et-vient, elle agrippe ma bite, la sort de sa bouche et tout en la masturbant, elle me demande de vider tout mon jus sur son visage et ses seins. De sa main experte et de ses coups de langue complices, je ne mets pas longtemps à me répandre sur elle. Après ces giclées qui l’ont maculée, j’éprouve le désir fou de l’embrasser à pleine bouche. Nos salives se mélangent à ma semence chaude et légèrement salée. Après ce doux baiser, je laisse Delphine aller se rafraichir et par la même occasion j’en fais de même.
  Une fois de nouveau rhabillés, nous décidons de manger. Pendant le repas, Delphine me dit:
— J’aimerais bien jouer un peu avec Erika.— Comment ça? En sexto ou en vrai?— Les 2! Mais pour les sextos, il ne faut pas qu’elle soit au courant que j’en suis l’auteure.— Tu veux en gros jouer à l’arroseur arrosé!— Oui, une petite vengeance à ma sauce.— Ça me va.
  Et je lui donne mon portable.
  Delphine lit les derniers messages que j’ai envoyés à ma sœur. Puis elle commence à écrire.
— Ça va, pas trop mal depuis hier.— Non, pas trop, juste une sensation bizarre, comme si j’avais un bleu au fond du vagin.— N (mon fils) est au lit?— Non, il est à la salle de bain en train de se laver les dents, il ne va pas tarder.— OK, bipe-moi quand il sera couché j’ai envie de te voir en photo.— Delphine n’est pas là?— Non, elle finit tard.— OK, à toute!— C’est parti, on attend qu’elle soit dispo. Me dit-elle.
  Je prends mon téléphone et lis ce que ma femme a envoyé. Nous nous dépêchons de finir de manger et nous nous installons sur le canapé dans l’attente du message de ma sœur. Elle n’est pas longue à reprendre contact. Elle m’envoie une photo de sa chatte avec marqué dessous "enfin seule!". Delphine me prend le portable des mains en me disant que c’est elle la maitresse du jeu ce soir. Elle lui envoie un smiley clin d’œil et ses premières revendications.
— Je veux jouer à "Jacques a dit", t’es partante?— OK— Jakadi a dit "mets-toi à poil!
  Erika envoie la photo d’elle nue debout devant son miroir.
— Jakadi a dit "mets-toi a 4 pattes et lèche le sol!
  Erika s’exécute. On la voit léchant le sol de son salon le cul bien en l’air. Je m’imagine me postant derrière elle pour admirer son vagin et son anus s’ouvrant.
— Tourne-toi !
  Erika envoie la photo montrant son cul en premier plan.
— Perdu, je n’ai pas dit " Jakadi ", tu as donc un gage.
  Delphine me regarde et me demande si Erika a des sex-toys. Je réponds par l’affirmative et elle rebaisse la tête sur le téléphone.
— Pour ton gage tu devras te mettre un maximum de god dans la chatte.— D’accord— D’accord qui?— D’accord ... Maître?— J’aime mieux ça!
Delphine me regarde et me dit :
— Elle est dans mes filets, je ne la lâche plus. Ta sœur est aussi perverse que toi!— J’ai pu le constater hier, oui!
  Après plusieurs minutes, Erika envoie le résultat de son gage. Je découvre ma sœur allongée sur le dos jambes écartées sur une couverture devant son miroir en train de se prendre en photo avec 3 godes bien insérés dans sa chatte. Je me mets à bander comme un âne, et Delphine ne reste pas de marbre non plus. Elle a les yeux pleins d’étoiles, un sourire au coin des lèvres et une respiration plus profonde. Delphine me demande de baisser mon short. Je m’exécute et elle prend ma bite en photo pour l’envoyer à ma sœur avec le message qui suit
"Voilà l’effet que tu fais à ton grand frère, vivement une prochaine séance de sexe comme hier pour que je jouisse dans ton cul ma sœurette."
  Pour toute réponse je reçu un "HUUMMM" avec une photo de son visage. Erika était en train de se mordre l’index. Delphine lui envoie un dernier message:
— Je vais me soulager avant l’arrivée de Delphine — Bonne branlette !
  Delphine pose le téléphone sur la table basse et se jette sur ma bite encore à l’air et dure. Elle est chaude, elle me prodigue des gorges profondes comme jamais. Je commence à lui peloter son cul, mais Delphine retire mes mains. Je compris que seule elle doit faire quelque chose. Je ne mets pas longtemps à cracher au fond de sa gorge. Elle avale tout sans en perdre une goutte. Une fois fini, elle se lève du canapé, m’embrasse sur la bouche et me souhaite bonne nuit. Arrivant peu de temps après elle au lit, je me rends compte qu’elle dort déjà.
A suivre…
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