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Retour de plage

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cette histoire s’est déroulée il y a quatre ans au mois de mai dans le sud de la France.C’était un samedi après-midi. Mon épouse Anne et moi avions comme presque tous les ans décidé d’aller choisir un maillot de bain dans une ville de la côte. Nous avions laissé nos trois enfants à nos parents.Mon épouse est blonde, cheveux longs et bouclés, grande, avec un beau 95c. Elle était plutôt d’une nature sage à l’ordinaire. Mais, notre anniversaire de mariage approchait, et nous avions l’habitude de nous accorder parfois, à cette période, quelques coquineries.Nous allions donc de magasins en boutiques, d’essais en déshabillages, en tentant de trouver le compromis entre un maillot deux pièces très sexy (mon souhait), et le une pièce bleu marine de la mère de famille.Au fil des déshabillages, je me mis à caresser les seins d’Anne. Celle-ci régissait au début plutôt sévèrement, me disant que cela n’était pas convenable. Puis elle se laissa faire devant mon insistance.En désespoir de cause nous nous mîmes d’accord sur un maillot "sage" et sur l’achat d’un maillot qu’elle ne porterait qu’avec moi. Je m’empressai alors de lui choisir un deux pièces très échancré, couvrant difficilement ses fesses et un haut à balconnet, qui faisait ressortir ses seins à la limites des aréoles. Elle me dit qu’elle n’oserait jamais sortir avec ces "confettis", qu’elle avait les seins à l’air et que dès qu’elle se pencherait, ils sortiraient et quelle aurait les bouts dehors. Je lui dis que c’était comme elle voulait, qu’elle était très sexy ainsi, mais qu’elle pouvait mettre aussi son maillot "mémère".Plus par défi que par envie, elle accepta de porter le mini deux pièces et, après avoir payé les achats, nous traversâmes l’avenue pour aller sur la plage.Son paréo défait, elle rajusta ses seins dans ce qu’elle pouvait du maillot, tendit le triangle pour couvrir ses fesses et alla dans l’eau.Je la rejoignis aussitôt.J’ai senti que ces essayages nous avaient émoustillés.Nos jeux entrecoupés de bisous, ses seins qui tentaient de s’échapper sans arrêt, firent que ses tétons se mirent à durcir et que petit à petit, elle les laissa hors du maillot. Elle se mit à entourer ma taille avec ses jambes, ce qui eut pour effet de créer une bosse sur le devant de mon maillot. D’un commun accord nous décidâmes de sortir de l’eau car des hommes commençaient à s’approcher de nous et cela inquiétait Anne. Après nous être séchés, nous rejoignîmes la voiture sur un grand parking. Nous avions l’habitude de nous changer, mais je fus surpris par l’attitude d’Anne. Au lieu de s’entourer d’une serviette, elle se mit complètement nue entre les voitures, puis enfila sa robe et me dit : — je suppose que tu préfères sans culotte.Pour me faire plaisir, Anne se promenait parfois, en effet, avec moi sans culotte.Elle boutonna sa robe sur le devant mais laissa celle-ci ouverte à vingt centimètres de son minou.Nous traversâmes la ville pour rejoindre l’autoroute.Pendant que nous conversions, au fil des feux rouges, je glissai ma main entre ses cuisses.Elle me dit que cela pouvait être dangereux et que l’on pouvait nous voir. Je lui expliquai que notre véhicule de type 4X4 ne permettait pas de voir facilement le fonds de la voiture sauf bien sûr pour les camions qui étaient très hauts. Mais le W.E. il y en avait peu.Anne était inquiète mais laissait faire.Je lui enlevai un puis deux puis trois boutons. Au point que son sexe, puis son ventre apparurent, la robe s’écartant naturellement.— Tu te rends compte, tu m’exhibes ! j’ai le sexe à l’air!A ces mots, ma main qui était déjà sur son minou épilé, écarta ses jambes. Nous entrions à ce moment sur l’autoroute.Anne, malgré ses craintes commençait à réagir à mes caresses.Nous étions à peu près seuls sur ce tronçon peu fréquenté le samedi.Je lui demandai de mettre ses jambes sur le tableau de bord. Elle refusa d’abord mollement, puis mes caresses aidant, elle s’exécuta. Je lui écartai à nouveau les cuisses pour mieux la pénétrer avec mes doigts.
Je laissai ensuite sa chatte pour continuer mon effeuillage.J’arrivai bientôt au dernier bouton, celui qui cachait ses mamelles. Elle me dit :-Non, sinon je suis à poil complètement.Je repris les caresses sur son minou, puis je lui dis :— C’est toi qui vas enlever le dernier bouton et te prendre les bouts.Elle regarda ma main aller et venir sur son sexe, regarda à l’extérieur pour voir si elle pouvait être vue : rien. Elle fit sauter le dernier bouton. Elle se prit les seins et se les caressa comme demandé.Elle me dit — J’ai l’impression de me transformer en salope, avec mon cul à l’air, en train de me caresser la poitrine.Prétextant une envie pressante, Je m’arrêtai sur une aire que je savais être peu fréquentée. En arrivant derrière le bloc WC, je constatai qu’il n’y avait personne, aucun véhicule.Je sortis, Anne me dit qu’effectivement elle aurait aussi bien aimé aller aux toilettes. Je fis le tour de la voiture et alors qu’elle essayait de se reboutonner, je la stoppai, fis tomber ses bretelles. Elle était complètement à poil. Elle me dit :-Je ne peux pas y aller nue tout de même!Je lui enfilai ma chemise et la sortit de la voiture. Elle serra les pans et regardant alentours, inquiète, — J’ai l’impression d’être une tapineuse dans cette tenue.Je l’entrainai vers les toilettes sans mot dire.— J’espère que personne ne viendra, car on me voit le cul. Si on se fait surprendre ce sera de ta faute!Sans l’écouter, je l’entrainai vers les WC hommes.-tu es fou, à poil et chez les hommes en plus, comment vais-je faire ?Sans l’écouter, j’enlevai mon short et lui ôtai la chemise afin qu’elle ne ressorte pas.Je me mis à pisser contre le mur servant d’urinoir tout en l’obligeant à s’accroupir à côté.— C’est dégoûtant, çà sent la pisse et c’est sale par terre.— Montre-moi qu’une femme peut aussi se servir de ces urinoirs, dis-je.Par défi ou par envie, elle finit de s’accroupir et commença à uriner.J’allai au lavabo et me rinçai la queue à grande eau (j’étais nu).Je revins vers Anne et alors qu’elle finissait de s’essuyer avec un mouchoir, je lui mis le sexe devant la bouche. Elle me regarda et comprit. Elle l’enfourna et se mit à me sucer très vite en me tenant les testicules.Sentant l’éjaculation proche, je la relevai, l’appuyai les bras contre le lavabo, écartai les cuisses et la pénétrai.Elle était trempée, son entrejambe dégoulinait de mouille.Je la pistonnai très fort, lui prenant les bouts de seins et les triturant. Elle soufflait de plus en plus fort lorsque le bruit d’une voiture se fit entendre. Anne s’affola :— Sors de mon ventre, je n’ai pas envie d’être vue à poil en train de me faire mettre dans un chiotte d’hommes!Je lui dis :— ouvre-toi que je te le mette profond, tout en lui attrapant les seins à pleines mains pour la bloquer.Est-ce le danger, ou l’excitation, peut-être les deux, Anne se mit à jouir, remuant son sexe pour que je la finisse en éjaculant.Des voix féminines s’approchaient, Anne me dit, vite gicle dans mon ventre. Au contraire, je lui fis écarter les fesses avec ses mains, lui tins les hanches et sortant brusquement je lâchai mon jus à gros jets sur sa raie ouverte et sur sa chatte.Je lui remis la chemise sautai dans mon short. Puis nous sortîmes juste au moment où deux jeunes femmes en paréo, donc venant aussi des plages, entraient dans l’autre WC. En un éclair elles virent ma femme tourner l’angle du bloc pour aller vers la voiture, et stoppèrent leur conversation net. C’est en suivant Anne que je compris : la chemise était relevée derrière et elle avait effectivement le cul à l’air, lequel dégoulinait de sperme et de mouille.Adossés à l’arrière du bloc, je tendis des mouchoirs et la robe à ma femme après les avoir récupérés dans la voiture.En nous rhabillant nous entendions les voix de l’autre côté dans les WC. — tu te rends compte, elle vient se faire sauter à poil dans des chiottes hommes.— Ouais, j’ai pas vu sa tête mais elle avait le cul plein, encore un peu et on la voyait en train de se faire mettre bien profond dans une pissotière, quelle salope.Anne, rouge jusqu’aux oreilles se reboutonnait en silence.Nous repartîmes. Sur la route, Anne me demanda d’arrêter la voiture devant un marchand de légumes. Nous entrâmes et choisîmes quelques fruits pour le soir, toujours dans un silence un peu lourd.Alors que nous attendions pour payer, Anne tournant le dos à la marchande et à la cliente proche de la caisse, me regarda fixement, elle releva le panier pour le prendre contre elle en haut de son ventre et mit une jambe sur une caisse. Je la regardai intrigué. Elle me sourit et des yeux me montra son geste de l’autre main: discrètement elle avait ouvert sa robe et les jambes écartées exhibait son minou. Elle chuchota :— tu vois moi aussi je suis capable !Ces propos devaient par la suite m’ouvrir d’autres horizons.
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