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Le retour de soirée de Nadège.

Chapitre 1

Trash
Cette histoire a été inspirée d’après une aventure à choix multiples érotique que j’ai rédigée sur un autre site. J’en ai sélectionné un extrait que j’ai réécrit pour le poster en tant qu’histoire indépendante. ___________________________________________________________________________________________________
Il y avait une ambiance d’enfer dans le bar, des dizaines d’étudiants faisaient la fête en abusant largement des boissons alcoolisées en promotion. Il était à peine minuit mais la soirée battait son plein, le barman et le dj ne chaumaient pas. Les étudiants, qui venaient de sortir d’une période d’examen et avaient besoin de se défouler. Et parmi eux, Nadège ne faisait pas exception.
Jeune étudiante de taille moyenne, elle avait accompagné ses amies dans cette soirée organisée par une école de commerce pour se changer les idées. Irradiante d’une beauté naturelle qui rendait jalouse pas mal de filles, Nadège avait de longs cheveux bruns et lisses, des yeux bruns également et petit nez mutin. Bien que n’ayant pas de problème de poids elle était parfois un peu complexée par son corps voluptueux, ses hanches et ses fesses généreuses lui ayant déjà valu quelques moqueries de la part de lycéens stupides mais ceux-ci eurent toujours tôt fait de se reconcentrer sur ses seins plantureux (un bon 90D) dont elle ne pouvait s’empêcher de tirer une certaine fierté.
La jeune fille avait dansé une bonne partie de la soirée et elle commençait à fatiguer quelque peu. Par ailleurs, elle commençait à en avoir marre de tous les mecs qui l’abordaient plus ou moins lourdement. Elle avait hésité à choisir un haut aussi décolleté que celui qu’elle portait mais après tout c’était pour une fête non ? Si elle s’était doutée du nombre de boulets qui la remarquerait… Elle portait une jupe légère qui lui descendait juste au-dessus du genou et un haut noir qui simulait les coutures d’un bustier et dont le décolleté révélait une bonne partie de sa poitrine généreuse. Oui elle avait eu envie d’être sexy mais là elle n’en pouvait juste plus.
Après qu’un dernier boulet soit venu lui empoigner un sein en prétendant la connaitre, elle alla voir ses amies et leur dit qu’elle était fatiguée et qu’elle voulait rentrer. Celles-ci lui proposèrent de la raccompagner mais Nadège ne voulait pas qu’elles loupent la soirée à cause d’elle. Elle s’éloigna rapidement du bar, les bruits de la fête diminuant rapidement. La jeune étudiante louvoyait d’une démarche mal assurée. Elle se dit qu’elle devait aussi avoir plus abusé des cocktails qu’elle ne pensait. Elle ne fut qu’à moitié surprise de se planter de chemin et de se retrouver paumer dans une ruelle qu’elle ne connaissait pas. Décidément bien imbibée, la jeune fille glissa, essaya de se raccrocher à une poubelle et se retrouva par terre avec celle-ci, à râler contre l’alcool, les mecs trop lourds et les trottoirs tordus.
Alors que Nadège se tâtait pour savoir si dormir sur le sol était une bonne idée, elle entendit une voix :
« Et ba ma jolie, on a trop picolé? »
En relevant la tête elle arriva à distinguer un homme dans l’obscurité. Ça devait être un SDF et une odeur de vinasse écœurante lui prit brusquement le nez. Alors qu’il se dirigeait d’un pas mal assuré vers elle, Nadège ressentit soudain une poussée de panique. Elle tenta de se relever tant bien que mal pour échapper à ce clodo mais son équilibre et ses jambes la trahirent et elle alla s’écraser lourdement sur le sol. La chute la sonna et la jeune fille ne put que sentir une poigne de fer se refermer sur sa cheville. Avant de pouvoir faire quoique ce soit, le SDF la traina avec force vers le fond de la ruelle d’où il était sorti. Nadège tenta d’appeler à l’aide mais la voix lui manqua et elle se retrouva finalement transportée dans une ruelle sinistre derrière un bar quelconque. L’étudiante recula maladroitement contre le mur et arriva à se forcer à dire:
« Lai-laissez moi tran-tranquille!— Bin quoi? J’vois une fille qui s’casse la gueule j’viens l’aider moi! zozota le SDF d’une voie alcoolisée.— J… Je… J’dois rentrer chez moi… »
L’homme semblait avoir la quarantaine mais son visage était ravagé, creusé par la rue et l’alcool. Ses yeux étaient petits et rouges, tout comme son nez. Il avait une barbe poivre et sel, mal entretenue et hirsute, qui laissait apparaître un sourire mauvais aux dents pourries dont plusieurs manquaient. Il portait de vieilles fringues usées et puantes, ainsi qu’une vieille casquette de l’OM jaunie par la crasse. Il puait à un tel point que Nadège crut qu’elle allait vomir. Même à moitié saoulée et consciente elle pouvait voir qu’il était encore plus torché qu’elle et qu’il ne semblait pas trop aimé ce qu’elle venait de dire…
« Comment ça t’veux rentrer chez toi? Même pas merci ni rien??? J’ai même pas de récompense!!!??? »
Encore une fois la jeune femme tenta de répondre mais sa voix l’abandonna et elle ne put rien dire.
« Pas grave! rigola-t-il. J’vais m’servir! »
Il prit le sac qu’elle tenait faiblement et commença à farfouiller à l’intérieur. Nadège le vit qui embarquait son argent et son téléphone avant d’observer attentivement son trousseau de clef.
« Quelle merde! Y a que 10 euros et même pas une caisse à refourguer à un manouche… »
L’étudiante se faisait toute petite dans son coin mais le regard de l’homme lui retomba dessus et elle ne put s’empêcher de frissonner. Il la regarda comme si elle était un morceau de viande. En grommelant, il vint lui faire une fouille corporelle tout en palpant allégrement ses seins. Son haleine puait le rouge bon marché, le tabac de mauvaise qualité et d’autres choses que Nadège ne préférait même pas imaginer. Il finit par abandonner sa quête d’objets précieux et se redressa juste au-dessus d’elle. Il la dominait complètement, largement plus grand qu’elle.
« La misère putain! J’ai plus qu’à m’payer en nature… »
Il baissa son pantalon et un slip qui avait dû être blanc et planta son engin devant la bouche de Nadège. Elle protesta faiblement mais il lui foutait une baffe en la menaçant:
« Suce-moi où je te refais le portrait avec ma lame sale bourgeoise de merde! »
Son sexe était de taille moyenne, un peu tordu, sale et sentait encore plus fort que lui. Mais ce qui inquiétait le plus l’étudiante c’est surtout les espèces de petites pustules qui le recouvraient. Sans se préoccuper de ses hésitations, il lui enfourna sa bite immonde dans la bouche.
« Oh putain ouais c’est bon… continue ma chienne… » souffla-t-il tout en faisant des aller et retour dans sa bouche.
Il lui avait attrapé la tête pour la forcer à le prendre entièrement et Nadège commençait à tousser et à s’étouffer. Son bourreau prenait le temps de savourer ce moment alors que son truc au goût infect était en train de rendre malade sa « partenaire ». Pendant une éternité, il se contenta de ça, puis elle finit par ne plus pouvoir se retenir et la bile lui envahit la bouche. Il le sentit et se retira brusquement pour la laisser vider ses entrailles sur la neige.
« Putain fais pas ta mijaurée sale pute! » râla-t-il en essuyant ses chaussures sur sa jupe.
Nadège l’écoutait à peine, occupée à finir de gerber le contenu de son estomac sur le sol. Mais brusquement elle le sentit qui lui arracha sa jupe puis faire de même avec ses escarpins.
« N-n-non! Pi-pitié!!!»
Sa voix était déjà faible et en plus elle hoquetait. De toute façon il ne l’écouta même pas, lui arracha son haut et Nadège se retrouva en sous-vêtements dans la ruelle. Sans même s’arrêter, il fait glisser l’élastique de la culotte et il lui enfonça ses gros doigts dans la chatte en lui arrachant un cri de douleur.
« Je vais te faire mouiller moi sale bourge…»
Il attrapa le premier objet qui lui tomba sous la main, un bout de barre de métal, et après avoir craché dessus, il lui enfonça dans le sexe. A nouveau l’étudiante cria de douleur. C’était rugueux et ça la brûlait mais l’autre s’en foutait et commença à triturer l’intérieur de sa chatte. Dans le même temps, il lui arracha son soutif et libéra mes seins généreux qui retombèrent lourdement. Il enfourna un mamelon dans sa bouche, le mordit et le téta comme un nouveau-né affamé. Mais très rapidement, il se lassa de ce nouveau jeu.
«On va passer aux choses sérieuses maintenant…»
Il balança le bout de métal par terre, retira la culotte de la jeune fille et la foutait à quatre pattes. Nadège pleurnichait comme une gamine et tentait encore de le supplier d’arrêter mais il se contenta de le fesser de toutes ses forces. L’étudiante hurla de plus belle. Puis, il enfonça sa bite dans la chatte de Nadège. Sa queue sembla brûlante à la jeune fille et, sans autre forme de procès, il entreprit de pilonner son sexe de toutes ses forces. Nadège grognait, criait et gémissait, ses avant-bras et ses genoux raclaient sur le sol de bitume et il lui semblait avoir déjà récolté plusieurs coupures. Tout en la baisant, les mains du clodo vinrent saisir ses hanches, remontant parfois sur sa poitrine pour malaxer rudement un de ses seins. En même temps, il la complimentait sur son «beau cul de salope» et ses «gros seins de pute». Nadège ne savait pas si c’était à cause de cette saloperie de vin ou quoi mais, sans s’en rendre compte, elle sentit des ondes de plaisir qui commençaient à naitre dans sa chatte et la jeune fille se mit à haleter. Il l’attrapa par les cheveux et tira brutalement sa tête en arrière, la forçant à cambrer les reins.
« T’es ma chienne, ma jolie chienne, ma grosse pute!!! » lui beugla-t-il dans les oreilles.
Puis, alors que Nadège pensait ne pas en voir le bout, le plaisir qui naissait dans sa chatte atteint son apogée et un orgasme forcé la submergea. Ça inonda son corps et l’étudiante se retrouva la bouche grande ouverte à chercher de l’air. L’autre se bidonna et lui dit que puisqu’elle avait pris son pied c’était à lui. Il lui donna des coups de reins monstrueux qui vinrent éclater jusque dans les entrailles de Nadège et qui remontèrent le long de son dos. Finalement, il l’attrapa par les hanches et l’enfonça de toutes ses forces sur son pieu. Nadège ne put que sentir son sperme brûlant se déverser dans sa chatte meurtrie avant que l’action conjuguée de son orgasme et du vin n’aient raison de ses dernières forces.
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La jeune fille se réveilla en sursautant. Nadège haletait encore et mourrait de chaud. Regardant tout autour d’elle, l’étudiante comprit qu’elle n’était plus dans la rue mais dans sa chambre. Tout n’avait été qu’un cauchemar alors ? Mais était-ce un cauchemar ou un rêve ? Elle se souvenait encore de la puissance de l’orgasme qui l’avait terrassée et en glissant sa main entre ses cuisses elle y sentit une moiteur familière. Nadège eut un petit sourire, il semblait bien qu’elle venait de se découvrir un nouveau fantasme et il lui restait largement le temps de se faire plaisir avant de partir en cours…
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