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Retour de vacance

Chapitre 1

Hétéro
Chapitre I (partie 1/2)
Les vacances sont terminées, nous avons passé mon épouse et moi trois semaines merveilleuses dans les calanques de Cassis sur le bateau que nous a prêté un ami. Nous sommes sur la route du retour, la journée est splendide, le soleil darde ses rayons bienfaisants. Dans le cabriolet, Aline mon épouse en short et dessus de bikini s’octroie une dernière séance de bronzage. Elle est très belle et très désirable malgré ses 41 ans et ses deux maternités, son visage entouré de cheveux bruns mi longs n’a pas une ride, ses yeux gris bleu lui donnent un regard profond et terriblement expressif, ses seins ronds et fermes remplissent agréablement le soutien gorge de son bikini qui sépare les deux globes et offre une vue superbe sur le sillon et les deux faces internes. Son ventre est plat, le short épouse superbement les rondeurs de ses jolies fesses et met en valeur le galbe de ses jolies jambes fuselées.Sa peau est dorée par le soleil, aucune trace de maillot ne marque son corps, pendant nos trois semaines passées sur le bateau, bien que réticente au départ, c’est entièrement nu qu’elle effectuait ses séances de bronzage.
Tout en roulant, je la regarde, malgré nos vingt ans de mariage je suis toujours fou d’elle, nos rapports sexuels un peu moins fréquents sont toujours aussi intenses. Des images de son corps vibrant sous le plaisir défilent devant mes yeux, je rêve éveillé, mais la tension qui naît dans mon sexe est loin d’être un rêve.
Une voix me ramène à la réalité.
« Dis papa tu veux bien t’arrêter, je meurs de soif ! »
« Euh, oui ma puce, à la prochaine station, à dix kilomètres »
C’est ma fille Jenny, vingt et un ans, toujours aux études et très papa maman, elle n’a pas de petit copain et est très complice avec sa mère, quand je la regarde, je vois en elle la jeune femme que j’ai épousé, elle ressemble à sa mère comme si c’était sa sour jumelle, la différence d’âge mis à part, elle a la même taille, 172 centimètres, la même couleur de cheveux, les même yeux, le même corps souple aux formes parfaites. Beaucoup plus libérée que sa mère, se mettre nue devant nous est pour elle une chose tout à fait normale et souvent un sujet de discussion avec ma femme.
A ses côtés, affalé sur le siège et récupérant de sa dernière nuit en boîte, il y a Benoît, 19 ans, mon fils, le Don Juan de la famille, toujours prêt à flirter, draguer, mais courageux et sérieux dans son travail. Si ma fille ressemble comme une sour à sa mère, mon fils me ressemble aussi, même yeux bleus, même cheveux châtains foncés, même taille, 188 cm, une carrure athlétique mais une dizaine de kilo en moins que moi. Nous sommes toujours ensemble et sommes très complices, nous travaillons dans une petite entreprise que j’ai créée. Avec une quinzaine d’ouvriers nous nous occupons de tout ce qui est installation électrique et air conditionné en entreprise et chez les particuliers.
Sur la bande d’arrêt d’urgence, une voiture est à l’arrêt, les deux occupants font des signes de détresse. Je décide de m’arrêter et stoppe la voiture une cinquantaine de mètres plus loin. Dans le rétroviseur, je vois la dame longer les barrières de sécurité et venir dans notre direction. Arrivée à la voiture, elle nous salue et nous explique que leur voiture est en panne et qu’ils n’ont pas de réseau sur leur GSM, je regarde le mien et effectivement, je n’ai pas de réseau non plus.
« Pourrais-je vous demander de bien vouloir me déposer à la prochaine station service d’où je pourrais demander le dépannage de mon véhicule. Mon mari restera ici pour attendre les secours ».
Avant que je ne puisse répondre, Aline sort de la voiture, monte derrière avec les enfants et invite la dame à prendre place sur le siège passager. Une fois les présentations faites, je remets la voiture en marche et reprends la route. Claire, c’est le prénom de la dame, est du genre BCBG, elle doit avoir tout juste la quarantaine, blonde, les yeux bleus, un joli minois avec des lèvres pulpeuses et un sourire enchanteur. Du coin de l’oil, je regarde ses jolies épaules où des fines bretelles retiennent une robe au dos nu et au décolleté plongeant jusqu’à la taille offrant à la vue le côté de deux seins merveilleusement galbés. La robe ample sous la taille descend à mi mollet et ne laisse apparaître que deux pieds mignons et parfaitement soignés surmontés par des chevilles fines qui laissent présager de la beauté de ses jambes. Le contraste entre mon épouse et cette femme assise à mes côtés est de nature à émoustiller mon instinct de mâle, je me surprends à fantasmer comme un ado, l’imaginant nue sur le capot de ma voiture me suppliant de la prendre. L’arrivée à la station me ramène à la réalité, une fois la voiture garée, nous nous dirigeons vers le centre commercial. C’est là, que nous nous séparons, la dame après nous avoir remercié, se dirige vers les cabines téléphoniques.
« Si on mangeait un bout avant de repartir, la carte du restaurant n’a pas l’air mal »Tout le monde ayant un petit creux, j’accepte et prenant mon épouse par le bras me dirige vers le restaurant suivi des enfants. Profitant de leur éloignement momentané, Aline s’approche de mon oreille et chuchote :

« Eh bien mon cochon tu te rinçais l’oil tantôt dans la voiture, j’ai failli lui demander d’enlever sa robe pour t’éviter un torticolis ».
« Arrête, je ne peux même pas te dire comment elle est habillée ! »
« Menteur »
Aline passe sa main dans ma nuque et m’attire à elle pour me donner un baiser. Elle me connaît, elle sait que je suis toujours en admiration devant une beauté féminine, elle sait aussi que je lui suis fidèle, que depuis notre rencontre, aucune femme n’a pu me détourner d’elle. Il en est de même pour moi, je sais qu’elle est toute à moi, et que c’est notre confiance réciproque qui a soudé si parfaitement notre couple.
Nous sommes à la fin de notre repas quand Claire suivie de son mari entre dans la salle, elle s’approche, nous présente Henry son mari et nous les invitons à s’asseoir à notre table.
« Alors » dis-je « Vous avez pu vous faire dépanner ? »
Henry explique qu’un véhicule de secours a emporté sa voiture et qu’il attend maintenant que la compagnie, où il a souscrit son assurance, vienne les prendre pour les ramener à leur domicile. Nous prenons un verre ensemble, échangeons nos cartes et après une petite demi heure, prenons congé et repartons pour rentrer chez nous.
La vie à repris avec le boulot, les obligations et le traintrain de tous les jours, mon carnet de commande est rempli, j’ai engagé trois ouvriers supplémentaires et j’ai donné un peu plus de responsabilité à mon fils, il s’en sort très bien, j’ai un peu plus de temps libre et j’en profite pour choyer mon épouse, elle est ravie du changement, nous sortons plus souvent, je l’accompagne parfois quand elle fait des courses, elle adore avoir mon avis sur les petites choses qu’elle s’achète, sa façon de s’habiller s’en ressent, ses décolletés sont plus profonds, la longueur de ses jupes et de ses robes est passée du genou à quinze centimètres au dessus. Je suis parvenu à ce qu’elle ne porte plus de soutien gorge quand elle est avec moi, réticente au départ, elle glousse maintenant quand subrepticement la prenant par la taille, je remonte doucement sur son flan pour venir lui caresser le côté de sa poitrine.
Aujourd’hui, nous allons au super marché faire les grosses courses du mois, elle est heureuse que je l’accompagne pour l’aider à porter ses paquets et pousser la caddie remplie à ras bord.
« Je monte me préparer, tu viens choisir ma robe ? »
Pendant qu’elle retouche son maquillage, je sors une petite robe sobre, légèrement décolletée qui descend à mi cuisse, elle sort de la salle de bain en string, enfile la robe, l’ajuste sur ses seins tendus et me regarde fièrement.
« Chérie, tu veux me faire plaisir ? »
« Oui mon chéri que veux-tu ? »
« Je voudrais que tu ne mettes rien en dessous, que tu sois entièrement nue sous ta robe ».
« Mais tu es fou ! »
Le rouge empourpre son visage, sa respiration est devenue plus rapide, un combat se livre en ce moment entre son éducation sévère et le désir de me plaire, elle se retourne, fait quelques pas, pose les mains sur ses cuisses et remonte sa robe jusqu’à la taille, saisit l’élastique du string et le fait descendre le long de ses jambes. Son corps a beau ne plus avoir de secret pour moi, la vue de ses fesses rebondies et du galbe de ses cuisses électrise mon bas ventre, dès qu’elle se penche en avant pour le ramasser, la vue de son minou fait tendre mon sexe jusqu’à son paroxysme. Elle redescend sa robe, se retourne vers moi et me lance son string à la tête.
« Tiens, t’es content, vicieux, cochon, tu as encore gagné, faut-il que je t’aime pour me laisser faire ainsi ».
Je m’approche d’elle, la prend dans mes bras et la serre très fort contre moi, ma hampe tendue à l’extrême presse contre son ventre, elle glisse la main, la saisi au travers de mon pantalon, la serre très fort, une irrésistible envie s’empare de moi, c’est à cet instant qu’elle s’écarte, me regarde, ouvre la porte de la chambre et me dit : « viens, on y va »
Je reste là, une douleur lancinante parcours mon sexe, je vais à la salle de bain, passe un peu d’eau sur mon visage et la rejoint près de la voiture. Elle y est déjà assise, elle me regarde avec un sourire moqueur et des yeux pétillant de malice, elle a remonté sa robe suffisamment haut pour que tournée vers moi, les jambes écartées je ne puisse rien rater de son exhibition, je ne peux détacher mon regard de son entre cuisses, j’ouvre la portière comme un automate, j’ai de nouveau mes sens exacerbés, mon érection est de nouveau au zénith, je m’assied, la regarde les yeux suppliants, elle referme les jambes, se soulève, baisse sa robe et le plus naturellement du monde, me dit :
« Allons-y mon ange, j’ai encore le souper à préparer avant que les enfants ne rentrent »
Je souris, elle se venge, elle sait que maintenant c’est elle qui me domine, elle sait que pour pouvoir pénétrer son corps, je suis prêt à me damner, je connais cette femme sur le bout des doigts, mais son charme naturel, son regard pénétrant, sa silhouette fine et racée m’apporte le même désir, le même plaisir qu’au premier jour.
A suivre.
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