Chapitre 4 : une semaine de vacancesAprès ce premier week-end de découverte, les échanges furent beaucoup plus chauds et toutes les occasions pour s’exciter étaient bonnes, SMS, photos, vidéos. Un soir elle lui envoya une photo d’elle dans son bain, de ses petits seins qu’elle caressait avec le gel douche, puis une autre en train de raser sa petite chatteLa distance ne faisait pas baisser l’envie, bien au contraire, et l’été arrivant, ce fût Jessica qui imagina un plan pour passer du temps avec son cousin :— Dis-moi, je me demandais ce que tu faisais cet été pendant le mois de Juillet ?— J’ai 2 semaines de congés, et je dois aller passer quelques jours dans le Berry dans la famille, pourquoi me demandes tu ça ?— Eh bien comme nous cette année, on n’a pas de vacances car on a pas les moyens de partir, je me demandais si tu accepterais que je vienne passer une semaine à Paris chez toi avec les enfants… ça nous donnerait l’occasion de se retrouver, j’ai trop envie de te voir…— Ah c’est une super idée, mais que va en dire Laurent ? Il ne va pas vouloir venir aussi ?— Non, lui il est en congés en Aout, et du coup, je trouverai les excuses de Paris, de plein de trucs à visiter pour les enfants !!— Tu es une filoute toi !! tu crois que ça peut marcher ?? il ne va pas se poser de questions ?— Non, tu sais ce n’est pas la première fois que je partirais, je vais souvent chez des copines, et puis t’es mon cousin !— Ok je te laisse voir avec lui et tu me tiens au courantUne semaine passa puis elle confirma que le plan avait marché et qu’elle arrivait la première semaine de juillet, soit 2 semaines plus tard !Le quai de la gare St Lazare était blindé de monde en ce weekend de juillet, il faisait chaud et Laurent attendait sur le quai. Il la vit arriver, dans sa petite robe légère qui mettait en valeur ses petits seins. Elle trainait derrière elle une grosse valise, suivie par ses deux enfants qui sautèrent au cou de leur « tonton Olivier »— Le voyage s’est bien passé ?— Oui très bien mais ils avaient hâte d’arriver, en plus avec cette chaleur, c’est étouffant !— Tu ne vas pas enlever ta robe ici, il va falloir attendre quelques minutes, le temps d’arriver à la maison— Je suis toute mouillée et collante, j’ai hâte de prendre une bonne douche fraicheElle venait de répondre en le regardant dans les yeux, elle n’arrivait pas à dissimuler son impatience de se retrouver dans ses bras. Ses tétons pointaient sous le voilage de sa robe et sa respiration était profonde.Ils partirent dans la voiture d’Olivier et après une vingtaine de minutes, il se garait dans la cour d’une maison avec une grande cour arborée. En entrant, ils sentirent aussitôt la fraicheur de la vieille bâtisse— Hummm il fait bien frais, c’est super agréable !! tu as une clim ?— Non c’est le frais des vieilles maisons, et tu n’as pas tout vu…— Ohh mais je ne demande qu’à voir, tu as surement plein de choses à me montrer, mais avant je dois m’occuper de ranger mes affaires et mettre les loulous au bain— Je vous montre vos chambres, c’est au premier, tiens, ici tu as la salle de bains, avec douche à l’italienne et baignoire à coté, juste après la chambre pour tes enfants, avec deux lits, ta chambre est juste en face de l’autre coté du couloir, et là-bas au fond, c’est ma chambre.— C’est très sympa ! tu dois être au calme, tu ne nous entendras pas… Et elle éclata de rire en rentrant dans la chambre des enfants. Les enfants chahutaient sur les lits pendant que la jeune femme rangeait les affaires dans l’armoire. Elle empila les vêtements des enfants, puis sortit les sous-vêtements qu’elle avait emporté pour la semaine :
De beaux ensembles string soutien-gorge en dentelle, un noir et rouge, un bleu électrique, un rose fluo, un autre blanc en voilage transparent puis encore d’autres tous très érotiques et sensuels. Elle les avait choisis pour lui faire plaisir, et lui donner envie d’elle, encore plus que lors de sa venue quelques semaines auparavant. Depuis ce jour, elle n’avait qu’une hâte, c’était de se retrouver à son contact, pour savourer à nouveau le goût de sa peau, de sentir les mains d’Olivier sur elle et de se livrer corps et âme à son cousin.La journée touchait à sa fin, les enfants étaient douchés et le repas se terminait. Les petits baillaient à tour de rôle, épuisés par la journée de voyage et la chaleur étouffante. Jessica les emmena se brosser les dents et ils allèrent se coucher, avec leur maman qui leur raconta une histoire.Laurent pendant ce temps en avait profité pour prendre une douche fraiche et se mettre en mode décontracté, short en toile et t-shirt ample. Il s’installa dans le salon au rez-de-chaussée et mit un peu de musique douce. Il appréciait beaucoup ces moments de détente, s’allongea dans son fauteuil, renversa la tête en arrière et ferma les yeux. C’est une sensation de chaleur sur son visage qui le tira de ses pensées, il ouvrit les yeux pour voir la bouche de sa cousine se poser sur son front, puis glisser doucement vers ses lèvres pour un baiser tendre et passionné. Les deux langues se cherchaient, s’enroulaient pour finalement se désunir le temps pour les deux amants de se regarder dans les yeux.— Tu peux pas savoir comme j’ai attendu ce moment !! Toute la durée du trajet j’étais excitée comme une puce à l’idée de te retrouver.— Humm, j’avais hâte que tu arrives, je dois l’avouer. Ça fait plus d’une semaine que je ne me caresse plus, j’ai laissé la tension sexuelle s’accumuler pour que tu en profites durant cette semaine !Elle éclata de rire, et se positionna à califourchon sur lui, puis avança son bassin jusqu’à entrer en contact avec le sien. Elle sentit la vigueur du sexe masculin s’appuyer sur son bas ventre, et commença à onduler d’avant en arrière. Son pantalon de pyjama s’humidifiait déjà, sa poitrine se gonflait au rythme de sa respiration lente et profonde.Olivier remonta ses mains le long des hanches, pour lentement empaumer les petits seins qui pointaient. Il déboutonna la veste et la fit glisser sur les épaules de sa cousine, dévoilant son joli corps à la lueur des bougies allumées. Il prit les tétons entre pouce et index, et pinçât doucement, faisant grimacer sa camarade de jeu. — Humm j’adore quand tu t’occupes de mes seins, je mouille ma culotte rien que d’y penser— Ils sont doux et bien fermes, j’ai envie de les manger— Oh oui, viens me les sucer, ils t’ont pas trop manqué ?— Je vais te montrer ça tiens !!!Il s’avança et goba le bout du sein gauche, tout en continuant à pincer le droit de sa main libre. Elle sentit sa poitrine s’enflammer, la langue tournait autour du mamelon tout en l’aspirant, c’était diabolique ! Relâchant la pointe du sein, sa main descendit lentement caresser son mont de venus, dans un geste rempli de douceur et d’envie.Jessica gémissait, son ventre bouillonnait et laissait s’écouler un liquide chaud et brûlant sur les cuisses de l’homme. Ce fut lui qui calma le jeu et la prit dans ses bras pour finalement se lever en la portant. Elle noua ses jambes autour de lui, et il l’emmena à l’étage, au bout de ce long couloir, pour la déposer délicatement sur son grand lit à baldaquin. Il fit glisser le pantalon et le string trempé, ôta son short et t-shirt et ils s’allongèrent dans les draps. Elle était comme une adolescente qui allait se livrer.— Tu te rends compte que ça va être notre première nuit ensemble ?— Oui c’est génial ! mais tu crois que l’on va dormir... ?— Je ne crois pas, en tout cas, je n’en ai pas envie— Je vais te faire l’amour comme tu le mérite, et je ne m’arrêterai que lorsque tu n’en pourras plus !— Alors j’espère pour toi que tu as de la réserve, Laurent ne m’a pas touchée depuis plus de 15 jours !!!Elle se positionna au dessus de lui, embrassant son torse, puis descendit vers le pubis en traçant un sillon de salive. Quand sa joue entra en contact avec le gland, sa langue sortit pour titiller le frein ce qui eut pour effet de faire dresser encore un peu plus le sexe déjà bien tendu. Elle ouvrit la bouche, et en le regardant droit dans les yeux goba le sexe centimètre par centimètre, jusqu’à ce que ça butte contre le fond de sa gorge. Il lui expliqua alors comment avaler le reste de son organe « inspire lentement par la bouche et continue d’avaler, tu vas voir ça passera tout seul » « mais je n’ai jamais réussi, ça me donne envie de vômir à chaque fois !! »Elle essaya une première fois, manqua de s’étouffer, puis comme il lui demandait de recommencer et de bien respirer à fond, elle tenta une autre fois. A sa grande surprise, son aluette vint se plaquer au fond de sa gorge, libérant le passage pour le baton de chair. Son nez touchait maintenant le pubis, lui prouvant qu’elle avait rentré l’intégralité de la bite dans sa gorge. Elle bougea sa langue, la fit sortir pour lécher les testicules, puis recula lentement— J’ai réussi !!! purée c’est énorme cette sensation, je l’ai fait !!!!!!— Tu es très douée ma puce, j’adore la manière dont tu m’as léché les boules aussi, tu es une sacrée coquine— Oh oui, et j’ai envie d’apprendre plein de choses avec toi cette semaine, tu vas être mon professeur de sexe— D’accord ! alors, on définit le planning de tes leçons ? que détestes tu faire, ou n’as jamais essayé ?— Alors, je n’avale pas, et sinon, je n’ai jamais apprécié la sodomie, j’ai toujours eu mal, mais avec un sexe gros comme le tien, je doute que ça puisse passer…— Humm, on verra, tu sais, bien excitée, je suis certain que tu peux en tirer beaucoup de plaisir ! Elle se plaça en position de 69, puis reprit lentement la queue en bouche, alternant les va et viens et les coups de langue sur le gland. Pendant ce temps, Olivier s’occupait du clitoris, provoquant des coups d’électricité dans le bas ventre tout en glissant un puis deux doigts dans le sexe féminin.Le bruit de clapotis que faisaient les mouvements lui confirmèrent l’état d’excitation de sa cousine, il glissa un troisième doigt, puis remonta lécher le petit anneau brun. Jessica reculait les fesses pour mieux sentir cette caresse subtile et encourager son cousin à continuer et aller plus loin. Elle n’arrivait plus à garder le sexe en bouche et dût reprendre sa respiration.— Oh purée, c’est trop boooooonnnnn, continue à me lécher comme ça, c’est une sensation étrange mais je me sens….. salope— Humm oui, tu es la mienne— Je suis ta petite salope, prête à faire plein de cochonneries avec toi— Tu aimes que je lèche ton derrière ? ça te fait quoi ?— Oh c’est carrément génial, j’en ai des fourmis, ça me démange— Je vois ton petit trou s’ouvrir sous ma langue… attends la suite, tu vas aimer !Il glissa son index contre l’anneau, puis poussa très lentement, tout en reprenant son cunnilingus. Elle se jeta sur le sexe d’Olivier et se mit à le sucer avec frénésie. Il fit aller et venir son doigt plus profondément, et quand il sentit qu’elle se détendait, introduisit un deuxième. Au bout de quelques minutes, Jessica était en transe, totalement absorbée par son plaisir et celui qu’elle donnait. Elle était maintenant prête à tenter l’expérience. Il la fit se redresser, tout en gardant ses doigts dans l’orifice anal, elle avança vers les pieds pour venir positionner le membre dur contre ses lèvres vaginales. Lentement, elle descendit pour s’empaler jusqu’à la garde et entama de lents aller retours.— Hummm c’est très très excitant, elle est bonne ta queue, bien grosse et dure— Tu es brûlante, je sens une chaleur dingue, tu es vraiment chaudeIl la prit par les hanches, la souleva lentement puis positionna le gland contre la petite rosette. Elle descendit avec précautions, et sentit que le bout venait d’entrer— Oh puréeeee je la sens passer, c’est tendu !!!Il ressortit puis réintroduisit son sexe à plusieurs reprises. Elle commençait à se détendre et sentir le plaisir naitre entre ses fesses— Tu es vraiment très adroit mon trésor, je n’ai plus du tout mal et ça me démange d’en rentrer encore un peu plus— Je te laisse bouger à ton rythme, ne vas pas trop vite et ne prends que du plaisir !!— Oh j’en ai envie de ta queue, c’est magique, j’ai envie de me faire défoncer le cul, c’est nouveau ça !— Alors vas y petite salope, prends ton pied comme tu le désiresElle descendit d’une longue traite jusqu’à sentir ses fesses se caler contre le ventre du mâle. Une chevauchée fantastique commença encouragée par les petits grincements du sommier. Olivier de sa main gauche, caressait le clitoris, pendant qu’elle se caressait les seins en gémissant de plus en plus fort. Il la prit dans ses bras pour rouler sur le côté tout en restant accouplés. Ce fût lui qui imprima alors les mouvements d’aller-retour d’abord doucement puis de plus en plus vite.— Vas-y mon chéri, prends-moi fort, j’adore ça, tu me rends folle— Oh oui, je prends ton petit cul, tu vois il avait peur mais maintenant il aime …— Continue, encule-moi mon chou, encore, encore, encooooreeee— Hummmm je vais pas tenir encore longtemps, tu es serrée et j’ai trop envie de jouir— Je sens que je vais partir mon chéri, oh oui, ça vient, ça vient, encore… plus fort, encore, viens, vas y, jouis en moiiiiiiIl accéléra encore pour finir par lâcher en elle de longues éjaculations brûlantes. Elle prit son pied en même temps que lui. Ils restèrent ainsi de longues minutes accouplés, puis se souhaitèrent bonne nuit dans un long baiser.Elle se réveilla le lendemain matin avec la lumière du soleil, et alla se coucher dans sa chambre pour ne pas que ses enfants ne se doutent de quoi que ce soit. Cette semaine commençait vraiment bien et s’annonçait palpitante et instructive. Une légère douleur à son derrière lui confirma qu’elle n’avait pas rêvé et qu’elle venait de découvrir le plaisir anal.
