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Retrouvailles avec ma cousine

Chapitre 5

Inceste
Jessica passe une semaine de vacances chez son cousin Olivier à Paris. Le premier soir a été très chaud après ces semaines d’abstinence et d’envie, tout comme le lendemain où ils avaient profité de la sieste des enfants pour prendre un bain tous les deux et faire l’amour dans l’eau.
Le samedi était arrivé et la mère d’Olivier était venue manger le midi. Après le repas, elle avait proposé aux enfants d’aller au cinéma avec elle et une amie. Les enfants avaient accepté tout de suite, et tout ce petit monde était parti vers 13h pour un film et une salle de jeux pour enfants.Pendant ce temps les deux cousins montèrent à l’étage dans la chambre d’Olivier pour une séance de caresses. Il se mit dans le dos de Jessica, la prit dans ses bras et commença a lui caresser les seins à travers le tee shirt, sentant les pointes se durcir, il les prit entre pouce et index et les pinça doucement, puis de plus en plus fort, la faisant grimacer.— hummm j’adore quand tu me fais ça, je me sens fondre— je te sens tres excitée tu as envie de jouer ?— j’ai très envie d’être ta petite salope, on est seuls, j’ai envie de me lâcher— alors je pense que tu vas aimer…Il avança dans le fond de sa chambre pour écarter un rideau qui donnait sur un petit escalier étroit. Il lui prit la main et l’emmena dans ce passage qui montait au dessus de la chambre. Ils arrivèrent dans le grenier, où se trouvait un grand lit en fer. A coté, se trouvait une sorte de cheval d’arçon en cuir vers lequel il l’entraina. Lentement il ota ses vêtements, en commençant par son soutien gorge de dentelle rouge, puis sa petite jupe en toile. Elle se retrouva en string, tremblante et impatiente de continuer son éducation.— Je te sens toute chose, tu as envie de quelquechose ?— Oui…. MaitreElle avait lâché ce mot comme une déclaration d’abandon, prête à se laisser aller et guider.Il la retourna pour lui faire face, vit la poitrine se soulever avec envie, puis il glissa une main entre ses cuisses pour remonter vers le string qu’il trouva très humide— Tu mouilles, ça te plait hein ?— Oh oui ! j’ai très envie de découvrir ce que tu comptes me faire subir mon maitre— Retire ta culotte, maintenant !!Elle obtempéra et glissa ses doigts sous les côtés du sous vêtement pour le glisser le long de ses cuisses— Donne-le moi ! ordonna t il d’un ton sec— Tiens, voilà, que veux-tu en faire ?Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il lui enfourna son string dans la bouche afin de la faire taire. Il l’emmena devant le cheval d’arçon et elle découvrit ce qui allait lui arriver : c’était un Sybian, et du milieu dépassait un sexe de plastique d’une taille plutôt fine et longue.
Elle souleva sa jambe gauche comme il lui ordonnait, puis enjamba l’appareil. Elle descendit lentement son bassin où le gode entra sans peine tellement elle était trempée.Il la regarda dans les yeux, puis se saisit de la télécommande. Il tourna le premier bouton et le sexe de mit à vibrer lentement. Elle se mit à gémir en sentant son sexe fourmiller, et son ventre entama de lents mouvements de rotation. Olivier tourna le deuxième bouton d’un coup et les vibrations se firent plus amples et elle sentit son sexe se remplir et s’ouvrir. Elle cracha l’étoffe de sa bouche — Oh mon dieu, c’est trop bon, je coule comme une fontaine— Tu n’avais jamais connu ça, n’est ce pas ? et encore je suis à peine au quart de la puissance de l’appareil !— Quoi ? j’ose à peine imaginer ce que ça serait… déjà je sens mon sexe hyper excité— On va voir jusqu’où tu vas resister avant de demander grâce— Tu rêves !Il tourna violemment les deux boutons simultanément, ce qui la fit bondir en avant pour s’embrocher encore plus fort. Elle criait maintenant, lui souriait en la voyant trembler et se caresser les seins d’une manière insolente. Elle haletait fort en soufflant des « encore, vas y, purée c’est trop fort, arrête, je vais exploser »
Cela faisait une bonne demi-heure qu’elle perdait la notion des choses, le cuir de la machine était trempé de son plaisir ruisselant, et ses yeux se révulsaient. Il appuya sur les épaules de sa cousine pour la faire pencher en avant. Elle prit appui sur ses avant bras et il vint se positionner dans son dos. Elle sentit le sexe masculin bien raide contre le bas de son dos, descendre entre ses lobes fessiers et s’appuyer contre sa rondelle déjà entrouverte par le plaisir.Lentement il se glissa entre les fesses de sa cousine jusqu’à ce que son pubis touche le bas des reins. I recula jusqu’à la limite puis s’engouffra d’un bond en avant. Elle poussa un hurlement bestial, suivi d’une succession de grognements rythmés par les aller retours du baton de chair dans son anus.
Il s’arrêta planté profondément en elle, puis tourna à nouveau lentement les boutons jusqu’à sentir les vibrations à travers la fine paroi entre les orifices de la jeune femme. Elle se mit à trembler, prise de spasmes incontrôlés.— Oh mon dieuuu, j’en peux plus, j’en veux encore, je ne peux plus me retenir, je brûle— Alors tu aimes ce petit jeu ? comment te sens tu ?— Humm j’adore, tu me fais perdre le contrôle de moi, je suis ta petite salope, tu peux disposer de mon corps comme tu le veux, je veux jouir encore et encore— Ça te fait quoi d’être prise des deux cotés en même temps, tu avais déjà essayé ?— Non, jamais c’est nouveau pour moi mais c’est terrible !! ça a toujours été un fantasme— Alors pour les 5 prochaines minutes, je vais te pousser à la limite, tu perdras la notion du temps et ton corps va exploser
Il reprit ses mouvements du bassin, et tourna lentement les boutons jusqu’à la puissance maximale. Le corps de Jessica se mit à faire des aller retours d’avant en arrière, s’empalant encore plus sur la verge qui lui brûlait son petit anus depuis peu défloré. Ses yeux se révulsaient et sa poitrine se tendait, mettant les pointes durcies en avant pour se faire caresser. Olivier les prit entre ses doigts et les roula de plus en plus fort, faisant encore monter la tension.Et puis la jouissance arriva comme une tornade dans le corps de Jessica, elle sentit un coup de tonnerre lui frapper le ventre et perdit connaissance.Quand elle rouvrit les yeux, elle était endormie dans un fauteuil du jardin, habillée, et les enfants accouraient vers elle. L’espace d’un instant, elle crut avoir rêvé, ce fût quand elle se redressa qu’elle sentit une sensation étrange entre ses fesses… Un plug d’une dimension plus qu’honorable se trouvait bien calé dans son derrièreA suivre
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