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Retrouvailles bénies

Chapitre 1

Hétéro
Aujourd’hui, c’est le grand jour : je rentre enfin chez moi. J’ai été contraint d’accepter une mission de remplacement dans une autre région pendant douze longues semaines. Je ne pensais pas qu’ils manquaient à ce point de professeurs de Français pour devoir en délocaliser certains... Mais peu importe, ce soir, je retrouve enfin Lucille, ma compagne. Le train s’arrête enfin sur les quais de la gare centrale. Je m’empare de ma valise et descends du wagon parmi la foule de passagers pressés. Sur le quai il y a masse de personnes, entre les voyageurs et leurs proches qui attendent. Mais je l’ai repérée, la voici, ma chère et tendre. Elle a pensé à tout décidément. Elle est vêtue de sa belle robe bleue, au col en dentelles blanches, avec une fine ceinture de cuir noir et à boucle cuivrée. Ses longs cheveux bruns tombent en cascade, deux mèches de part et d’autre de son visage descendent jusqu’à couvrir une partie de sa poitrine. Quand elle me voit elle me sourit tendrement en baissant légèrement la tête vers le côté. Alors que j’arrive près d’elle, elle me fixe du regard, avec timidité puis brusquement, me saute au cou dans une étreinte puissante. Je l’enlace à mon tour, posant ma joue sur sa tête, m’enivrant du parfum boisé de ses cheveux. Du haut de son mètre soixante-dix et moi de mes centre quatre-vingt quinze centimètres, elle était blottie contre moi, comme une petite fille enlaçant un ours. Ce doux câlin ne dure hélas que trop peu de temps pour nous, les gens autour de nous étant si pressés qu’ils ne font guère attention aux autres, et vous en conviendrez, il est difficile de profiter d’un tel moment en étant sans cesse bousculés. Elle me prit par la main et avec un sourire enjôleur, elle me pria de la suivre. Dans l’élan, j’ai à peine eu le temps de m’emparer de la poignée de ma valise à roulettes.J’avoue que je m’attendais à un bon accueil mais pas à un tel point. En effet, elle jette presque mon bagage dans le coffre de la voiture, avant de continuer à me traîner par le bras. Mes questions restent sans réponse. La voir ainsi : déterminée et sûre de ce qu’elle veut, c’est nouveau pour moi. Elle qui a toujours été réservée et timide, qu’elle se montre si entreprenante n’est pas pour me déplaire. Elle m’invite à dîner dans notre restaurant chinois préféré.
« Tu peux manger à ta guise mais... mon chéri, je te conseille de ne pas abuser car ce soir... tu devras être en pleine forme... »
Je manque de recracher la feuille de salade que je venais de mettre en bouche. Je la regarde, voir si elle est sérieuse. Elle me fixe d’un regard tendre, un sourire complice au coin des lèvres. Je ne la reconnais pas. Où est passée celle qui osait à peine parler d’intimité et qui se refusait à tout jeu de rôle amoureux ? Je dois bien avouer que l’impatience me gagne. Je décide de zapper le dessert et de rentrer directement. Le chemin du retour me semble être interminable. Pour ne rien arranger, à chaque fois que je pose le regard sur elle, elle me fait un clin d’œil. En plus cette robe la met tellement en valeur... j’ai hâte de pouvoir la lui enlever enfin...Je pousse la porte de notre appartement, avec ma valoche. Je suis accueilli par nos deux chats qui me saluent de longs miaulements. Alors que je m’accroupis pour les caresser un peu, Lucille se pose à genoux sur le carrelage du salon et lève les deux mains à la manière d’un chat et miaule. Je partage alors mes caresses entre les deux vrais chats et une compagne qui visiblement a envie de jouer. D’un mouvement un peu brusque elle éloigne les deux minous de moi et m’enlace à nouveau le ventre en serrant fort.
« Miah ! Tu es n’à moi maintenant... hé hé ! »
L’élan et l’enthousiasme dont elle fait preuve amplifie davantage mon désir pour elle, toujours dans cette magnifique robe bleue. Elle se redresse soudain et m’embrasse avec fougue, en prenant appui sur mes cheveux. Ses baisers sont passionnés, à tel point qu’elle essaie plusieurs fois de gober ma langue entre ses propres lèvres. Je passe mes mains dans ses cheveux, pour saisir doucement sa tête par les tempes, me permettant de temporairement me libérer de son emprise.
« Et si... nous passions directement en chambre mon cœur ? Ce serait plus confortable... D’accord... vas-y... je te rejoins tout de suite. »
Aussitôt dit, elle court monter l’escalier en bois qui mène à l’étage, aux chambres et à la salle de bains. Je n’en reviens toujours pas mais ce n’est pas le moment de réfléchir. Les chats ont beau me regarder avec jalousie, mon choix est vite fait. Je monte les marches à mon tour et rejoins notre chambre. Le lit est fait, les draps sentent bon les vapeurs d’encens et la fraîcheur des lieux montrent que le ménage a été fait avec grand soin. Je ne peux m’empêcher d’éprouver une légère jalousie... d’habitude c’est moi qui fait le ménage mais je n’arrive pas à un si beau résultat... Mais ce n’est toujours pas le moment d’y songer, J’enfile ma tenue de nuit, mon t-shirt doux et mon pantalon de pyjama, ne gardant que mon caleçon en dessous. Alors que j’entends ma chère et tendre sortir de la salle de bains, je me jette sous les draps, ne laissant dépasser que mes yeux. Soudain elle apparaît, s’adossant à l’embrasure de la porte. Je suis si surpris par ce qu’elle me donne à voir que je m’assieds dans le lit pour m’en assurer. Mais oui, c’est bien ce que je vois : Lucille porte un déguisement noir et blanc de nonne. Elle a même poussé le vice jusqu’à porter un petit pendentif en croix chrétienne.
— Mais... mais enfin... Lucille...— Soeur Lucille, manant ! Je mérite le respect !— De... d...de quoi ?— Oooh... je vois... on refuse de remplir son devoir de chrétien ? Si tu m’y forces...
Elle sortit d’une petite poche une paire de menottes en peluche noire.

— Donne moi tes mains !
L’incompréhension laisse vite place à une grande excitation. C’est comme si pour nos retrouvailles elle avait décidé d’exaucer les fantasmes qu’elle m’avait toujours refusé jusqu’ici. J’obéis et me laisse attacher au rebord du lit. A genoux sur le lit, d’un regard sévère, elle saisit à deux mains mon pantalon et me l’enlève avec force. Puis, me fixant du regard, elle pose délicatement ses deux mains sur ma poitrine. Alors que sa main droite parcourt mon torse, effleure mes épaules et presse délicatement ma nuque, sa main gauche descend lentement le long de mon ventre. Arrivés aux limites de mon caleçon, ses doigts descendent encore un peu plus jusqu’à l’intérieur de mes cuisses. Elle ne me quitte pas du regard. Ses yeux bleus envahissent ma vue. Mes mains attachées, en ayant ce sentiment de vulnérabilité, mon désir ne fait que grimper, mon souffle s’accélère, ma peau devient de plus en plus sensible à ses caresses. Alors qu’elle sent mon érection devenir de plus en plus forte, elle remonte sa main jusqu’à se saisir de mon sexe à travers le tissu.
— Alors... ainsi ça te plaît d’être traité comme tel ? Tu ne m’as pas tout dit... il est temps de se confesser...— Comment ça ?— Comment ça... ma sœur ! Faut-il que je le répète encore ?!
Alors qu’elle me réprimande, son emprise sur mon intimité se renforçait.
— B... bien ma sœur...— Voilà... bien... commençons...
D’un geste presque violent, à nouveau, elle m’ôte mon sous-vêtement et le laisse tomber au sol. Elle s’empare à nouveau de mon membre durci par le désir. Alors qu’elle commençait un léger mouvement de va-et-vient, elle me fixe à nouveau.
— Alors mon fils... as-tu commis le pêché de chair alors que tu étais loin de ta femme ?— Non ma sœur... je vous le promets...— Allons... cela me semble bien difficile à croire... vu la façon dont tu me désires...— Mais je n’ai cessé de penser à elle ma sœur— Ah vraiment ? Et as-tu usé de ceci en pensant à elle ?— Eh bien...— N’essaie pas de mentir ! Dit-elle en serrant encore un peu plus fort.— Tous les soirs ma sœur.— Aaah... et... tu pensais seulement à elle pendant ?— Toujours ma sœur.
C’est alors qu’elle arbore un sourire triomphal, levant la tête de fierté. Elle accéléra un peu plus ses mouvements. De mon côté, totalement hypnotisé par le jeu, le plaisir m’envahissait, comme jamais je ne l’avais ressenti avec elle. Doucement, elle stoppe, éloigne sa main en effleurant ma peau au passage. D’un geste presque dédaigneux, elle relève le pan de sa robe noire, révélant l’absence totale de dessous.
— Ton dévouement mérite bien une récompense...
D’un mouvement félin, elle avance son visage de mon ventre, déposant de petits baiser sur le bas du ventre. Puis, levant son genou droit, m’enjambe et s’accroupit sur mon torse, me laissant voir ses magnifiques fesses.
— Et ne reste pas sans rien faire... donne moi à moi aussi du plaisir !
Alors qu’elle approche ses lèvres de mon pénis, elle en fait de même pour sa propre intimité. Elle sait bien que j’adore un bon 69. Hélas, avec mes bras entravés, je ne peux pas la saisir par les hanche pour assurer mon emprise mais je fais de mon mieux. Tout d’abord, le plus important est d’entourer les contours du clitoris avec de très légers coups de langue, afin de le laisser fleurir à son rythme. Puis, il faut longer les grandes lèvres langoureusement jusqu’à toucher les abords du vagin en lui-même. Visiblement, elle apprécie la manœuvre car sa cyprine se fait déjà abondante et chaque mouvement de langue la fait légèrement gémir. Je sens en même temps sa langue parcourir toute la longueur de ma verge, puis les contours du gland. Des frissons de plaisir électrisent mon corps tout entier. Cette sensation de donner et recevoir à la fois, tout en restant sous son contrôle me donne l’impression de flotter sur un nuage. Maintenant qu’elle est en condition, je passe aux choses sérieuses. Je passe ma langue tout le long de la fente du vagin, avant de m’arrêter tout au bout, à l’orée du périnée. Je sais que c’est une zone qui lui procure énormément de plaisir. Sa réaction ne se fait pas attendre, elle halète de plus en plus fort, à tel point qu’elle interrompt sa fellation pour laisser échapper un soupir de plaisir.Soudain, elle se relève, et me détache les mains.
— Debout ! Que je te voie un peu...
Je me lève alors, me tenant droit, au bout du lit. J’ôte mon t-shirt qui cache encore une partie de mon corps. Elle, s’allonge sur le dos, lève sa robe, et écarte les cuisse m’offrant une vue plongeante sur son corps. Puis, doucement, elle dégrafe les quelques attaches arrières de sa robe, et s’en débarrasse. Elle m’apparaît alors, entièrement nue, ses longs cheveux bruns en bataille cachant une partie de ses tétons, tombant en cascade le long de ses seins bien ronds.De sa main gauche, elle descend lentement son propre corps jusqu’à atteindre son sexe, et commence à doucement se masturber, toujours en me fixant du regard.
— Qu’aurais-tu envie de me faire ?— De vous prendre ma sœur.— Et c’est tout ? Je ne suis donc qu’un morceau de viande à tes yeux ?— J’aurais envie de vous dévorer... de vous consumer— Oh, serais-tu le diable venu me tenter ?— Si tel est votre désir ma sœur...
Elle me tend alors les bras.
— Alors je t’offre mon âme, toute entière... Je me dévoue à toi, seigneur des ténèbres... Fais de moi ton esclave...
Je me jette alors sur elle. Je commence par lui prendre les lèvres en un baiser puissant. Elle, tout en m’embrassant, s’assure que mon érection se maintienne bien en me caressant juste assez. Puis, elle me guide jusqu’à l’entrée de son intimité, puis je la pénètre enfin, lui arrachant des râles de jouissance. Elle me saisit par les épaules, plantant ses ongles dans ma peau et me serrant fort contre elle. Elle croise même les chevilles dans mon dos, afin de s’assurer que nous ne puissions pas nous séparer à nouveau. Alors que je commence à bouger en elle, je mordille le lobe de son oreille et lèche sa nuque de la pointe de la langue. Ses cheveux, sous l’excitation dégagent une odeur de braises, et de feu de bois. Une odeur qui ne fait qu’accroître mon plaisir de la voir si enthousiaste. J’accélère le mouvement progressivement, et ne laisse pas un seul centimètre carré de sa nuque sec. Elle gémit de plus en plus fort sous les coups de reins que je donne. Elle aussi, envoie une légère pulsation venant de ses fesses, me permettant d’aller encore plus loin en elle.Tout à coup elle plaque ses mains sur mes joues et aligne nos deux regards l’un dans l’autre.
— Attends... viens-là...
Elle m’éloigne légèrement d’elle, et se met à quatre pattes sur le lit, m’offrant ainsi ses fesses rosies par le plaisir.
— Prends-moi comme ça... comme un mâle prend sa femelle !
Je réponds à son désir tout de suite. Je la saisis par les hanches, la pénètre à nouveau et l’agrippe ensuite par les fesses pour lui faire l’amour un peu plus fort encore. Alors qu’elle gémit de plus en plus fort, criant presque son plaisir. Je lui assène de légères claques sur les fesses.
— Oui, vas-y ! Plus fort encore !
Je m’exécute et me fais plus puissant. Elle crie de plus en plus fort et son corps commence à se raidir par la jouissance. Je commence à sentir le plaisir monter en moi de plus en plus fort. Par ses cris de plaisir et sous les mouvements de plus en plus rapides, nous allons jouir ensemble.
— Viens ma chérie... avec moi...— Oui ! Oui mon cœur ! Ensemble !!!
La foudre de l’orgasme nous frappe tous les deux. Mes genoux tremblent comme des feuilles, mon emprise sur ses hanches est très forte. Nous restons ainsi, pendant un long soupir de plaisir, figés... Alors que je n’ai toujours pas repris ma respiration, je détends lentement mon corps pour permettre au sien de s’allonger sans risque de lui faire mal. Doucement, je me retire, et m’allonge à ses côtés. Elle a encore les yeux clos, et respire à grandes inspirations, laissant échapper de légers râles de satisfaction. Je sens alors des doigts effleurer le long de mon ventre. Je la rejoins avec les miens, et lui serre la main avec force. Alors qu’elle ouvre lentement les yeux, je lui sourit avec tendresse. Elle aussi. Je m’approche alors doucement et pose un bisou doux sur son front. Ça a l’air de la chatouiller légèrement, elle gazouille un peu et un frisson léger la parcourt. Elle vient encore plus près de moi et pose sa joue sur mon cœur encore tout fou. Entre deux respirations encore saccadées, elle susurre :
« Bienvenue à la maison... »
Je pose ma main sur le haut de ses cheveux et les caresse avec douceur. C’est alors que je vois que yeux grands ouverts dans la semi-pénombre : Ce sont les chats, qui nous observent.
— Oh ! Je crois qu’on est observés !
Elle tourne la tête, voit les deux minous nous dévisager avec leurs grands yeux ronds. Moi et Lucille échangeons un bref regard et éclatons de rire ensemble. Nus comme des vers, elle, recroquevillée sur moi, nous échanger un baiser amoureux et nous enlaçons encore...
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