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Rêve américain

Chapitre 4

Hétéro
CH 4 – Le Texas, ou la naissance d’une Cow-girl.
Après un long voyage mouvementé depuis Vegas, à travers le désert jusqu’à Houston, Lydia se retrouvait enfin au Pays des Cow-boys. Elle se trouva un motel pour passer la nuit et ce n’est que le lendemain qu’elle contacta celui qui lui avait acheté sa marchandise. Durant cette nuit, elle se remémora toutes les péripéties qui avaient émaillé le trajet.
Tout d’abord il y a eu la chaleur du désert. La climatisation du bus étant plus que sommaire, tout le monde suait à grosse goutte. Ensuite il y a eu la patrouille de flic qui les a arrêtés pour un contrôle de routine. Cette patrouille c’était un gros flic obèse avec de la bouteille (non il n’était pas bourré, il avait de l’expérience et n’était plus tout jeune) et un petit nouveau en formation. Voyant qu’elle était française et ne pouvant montrer que son VISA était en règle (rappelons qu’il ne l’était plus et que c’était pour ça qu’elle quittait le Nevada et éviter de croiser le service de l’immigration). Après avoir contrôlé les passagers, les flics firent remonter tout le monde dans le bus qui reparti sans elle. Ils la firent monter dans leur voiture et s’arrêtèrent à l’ombre d’un gros rocher ocre comme on en trouve dans le désert américain. Ils ressortirent de la voiture, les deux flics dévisageant la petite frenchie dont les gouttes de sueur lui donnaient l’impression de sortir d’un concours de T-shirts mouillés.
— Alors comme ça on est clandestine ?— J’ai juste oublié mon Visa …— Bah voyons. Tu ne serais pas la première qui viens chez nous en touriste et qui aurait décidé de rester, même après expiration du Visa.— ……— J’ai visé juste on dirait. Bon écoute je suis quelqu’un de raisonnable. Y a toujours moyen de s’arranger. Hein ? Avec une belle petite poulette comme toi ?
Avant de se faire dépuceler par Mitch, elle leur aurait surement craché au visage. Maintenant que c’était fait, elle avait moins de scrupule car elle avait offert sa première fois à un homme qui, à ses yeux, le méritait. Visiblement ces deux salopards comptaient profiter de la situation. Si elle pouvait gagner un peu d’expérience dans le domaine tout en évitant les ennuis ….
— Quand vous dites s’arranger, vous voulez du fric ?— Ah non. Ce qu’on veut c’est ton cul.— C’est bien ce que je craignais. Si j’accepte, vous m’emmenez à Houston ?— Ah oui c’est faisable… et peut-être que … on pourra remettre ça sur la route ?— OK mais vous faites attention. Je ne veux pas me retrouver avec une mauvaise surprise.— Marché conclu.
Le flic ouvrit son coffre pour en sortir une couverture. Ils comptaient la prendre à deux sur le capot de la voiture seulement il était brûlant, ils ne voulaient pas qu’elle cuise comme un steak sur le grill. Elle se déshabilla et se mit à genou pour sucer le gros, celui qui avait l’autorité. Il la fit s’arrêter pour la mettre en position levrette sur le capot de la voiture.
— Tu vois Jimmy, avec les clandestins pas la peine d’être violents. Il faut juste trouver un terrain d’entente. Bon toi tu lui prends la bouche et moi je m’occupe de sa rondelle.
Lydia se retrouvait prise en sandwich avec une queue à chaque bout : le petit goupillon du stagiaire dans la bouche et le gros mandrin de pachyderme dans le cul. Heureusement ça n’a pas duré longtemps et ils ont très vite terminé leur affaire. Une fois reparti, Lydia pu enfin dormir dans cette voiture climatisée. Sur la route de Houston le gros flic fit une petite halte à une pharmacie, en revint avec une boite de capote et s’installa à l’arrière avec Lydia laissant son stagiaire prendre le volant.
— Allez Frenchie, il est l’heure de se réveiller.— Mmmh ….. Mais que faites-vous à l’arrière ?— Je te l’avais dit qu’on allait remettre ça durant le trajet, souviens toi. Du coup j’en profite pour réaliser un fantasme. Faire ça dans une voiture qui roule. Au fait Jimmy, va pas trop vite. Faut quand même que j’aie le temps de faire ce que je veux.
Ce flic avait l’air un peu dérangé mais elle a préféré obtempérer plutôt qu’il ne décide de la laisser sur le bord de la route en plein soleil sans rien pour s’en sortir. Lydia se déshabilla et commença à sucer son partenaire. Ensuite, elle s’allongea sur la banquette et laissa le flic la recouvrir de toute sa masse. Depuis le siège du conducteur, le jeune Jimmy voyait son formateur en train de profiter de Lydia. Il voyait ses fesses grasses s’activer entre les jambes de leur passagère et avait tendance à plus focaliser son attention sur ce qu’il se passait derrière lui plutôt que sur la conduite. Ce qui a presque failli provoquer un accident, la voiture s’étant déporté sur la gauche alors qu’un camion arrivait en klaxonnant.
— Bordel mais regarde la route au lieu de regarder ce que je fais. Tu veux nous tuer ou quoi ?— Désolé monsieur.— Ne recommence pas. Bon … nous deux où en étions-nous ? …. Ah oui la sodomie. Allez retournes toi…..
Ce type termina son petit quart d’heure baise en l’enculant sauvagement et en la plaquant allongée sur le ventre. Ce type n’avait eu qu’une politesse à son encontre : mettre un préservatif. A ses yeux, elle n’était rien de plus que de la viande fraîche. Ils la larguèrent au terminus de la gare routière, en banlieue de Houston, où elle parvint à retrouver son sac, resté dans le bus qu’elle avait pris au départ, sac qui avait été conservé sachant qu’une des passagères avait dû sortir. Ouf, il le lui avait gardé dans les objets trouvés.
Dans sa chambre d’hôtel, elle commença à s’imaginer travaillant dans un Ranch, à s’occuper des chevaux et pourquoi pas se trouver un beau Cow-boy, …..Bon il était peut-être préférable de ne pas se faire trop d’illusion. Jusque-là, tout ce qu’elle avait prévu s’était mal terminé. Le lendemain rendez-vous fut pris avec l’homme qu’elle avait côtoyé chez Mitch. Ils se sont vus dans l’après-midi et ayant besoin de monde au quotidien, pas que pour s’occuper des chevaux, elle fut invitée à faire un bout d’essai.
C’est le lendemain qu’une voiture est venue la chercher : Un gros Hummer recrachant plus de CO2 à la minute qu’un pays du tiers monde en une année. Elle fut logée, nourrie et blanchie durant toute une semaine, le temps pour eux de voir ce qu’elle valait. Pour ce qui est des chevaux, elle était comme cet acteur américain, séducteur des années 90, blond avec un physique de gendre parfait, dans le film où il leur parlait à l’oreille. Elle savait les calmer quand ils s’énervaient (un truc que ses grand parents lui avaient appris). Elle était rigoureuse, organisée et belle comme un cœur, ce qui n’était pas pour déplaire à tous ces hommes. Le domaine où elle se trouvait, était constitué d’un terrain de plusieurs centaines d’hectare. Il y avait l’élevage de chevaux certes mais également des bovins ainsi que des champs où étaient cultivés de nombreux arbres fruitiers. C’était vraiment une ferme immense comme on se l’imagine. Depuis qu’elle était là, elle n’avait pas encore rencontré le propriétaire car il était parti en voyage avec sa femme.
C’est lors de ce qui devait être son dernier jour de teste, alors qu’elle refaisait les litières des chevaux à la fourche, qu’elle vit arriver vers elle un homme, pas beaucoup plus grand qu’elle, approximativement la quarantaine, forte corpulence, une veste en velours, une chemise à carreaux dont le col était fermé par un lacet noué autour du cou, le nœud recouvert par un Camay à l’effigie d’un fer à cheval. Cet homme portait fièrement un large Stetson sur le crane, des bottes en cuir et de grosses bacantes aux bouts recourbées de part et d’autre de son visage.
— Bonjour monsieur, je peux vous aider peut-être ?— En fait c’est moi qui vais vous aider. Je me présente Jefferson Russel Malloy. Je suis le propriétaire des lieux. Appelez-moi Jeff c’est plus simple— Ah, Ok … Jeff ….! C’est vous le patron donc. Ravi de pouvoir mettre un visage sur votre nom.— Ainsi donc c’est vous la petite française dont on m’a parlé ?— Il semblerait.— A ce qu’il parait vous savez y faire avec les chevaux ?— Visiblement. Quand j’étais petite, je passais mes vacances chez mes grands-parents qui tenaient un haras.— Ça explique tout. Dites-moi vous faites la cuisine ?— Euh oui ça m’arrive pourquoi ?— J’adore la cuisine française. Il m’arrive d’aller à Paris pour des courses de chevaux, j’en ai acheté plusieurs là-bas. Quand j’y vais-je profite de la gastronomie locale. — Je vois, vous voudriez que je vous prépare quelque chose ?— Si possible. Mon cuistot est très bon pour les burgers et les travers de porcs, bref la bouffe américaine bien grasse mais pour la cuisine « exotique » ….— Ça doit pouvoir se faire.— Bon, moi je vous laisse finir. On se verra demain pour la signature de votre contrat.
Il venait de dire « la signature de votre contrat ». YES ! ça voulait dire qu’elle était engagée. Elle était ravie. Visiblement l’intendant lui avait parlé d’elle et lui avait fait son rapport. Bon Ok au début elle était chargée des basses besognes mais quand même. Ce boulot lui rappelait ses vacances quand elle était gamine. Seule chose qu’il n’y avait pas : cette sensation qu’elle avait senti quand Jeff l’a frôlé. Elle n’en était pas certaine mais elle avait cru sentir qu’il avait rapproché sa main d’un peu trop près de ses fesses …. Non ! …. Ça devait juste être une impression. Les premières semaines, tout s’est super bien passé. Une fois son contrat signé, elle signifia qu’elle devait faire prolonger son Visa à Jeff qui lui répondit « Ok je m’en charge on va voir ce qu’on peut faire pour arranger ça ».
Etait-ce uniquement avec elle ou était-il comme ça avec tout le monde ? Aussi conciliant ? Pas moyen de le savoir en tout cas elle était logée sur place et ça se passait bien. Ne voulant pas le décevoir, elle s’est très vite rendue utile un peu partout. Elle aidait parfois à l’entretien de la maison. Anna, la bonne avait parfois beaucoup à faire, trop peut-être. En parlant avec elle, elle en apprit un peu plus sur ses patrons. Jeff et Kimberly, son épouse, était un couple sans enfant. En fait Kimberly, en a eu un il y a plus de dix ans. Malheureusement il est mort-né et elle a eu des complications qui ont entraîné une hémorragie intra-utérine, ruinant toute chance d’en avoir un autre. C’est pour ça que nulle part il y avait de photo, ne voulant pas en savoir plus, Lydia lui conseilla de garder le reste pour elle. Elle le savait par expérience, il est préférable de ne pas trop se mêler des affaires des autres.
Au fur et à mesure du temps, elle a fini par se faire apprécier par tous. Elle avait vraiment l’air d’une fille de l’ouest Américain avec ses bottes, son chapeau et sa chemise à carreau. Certes il y avait toujours les remarques grivoises des employés, et surtout celle du patron, mais c’était bon enfant. Le seul truc qui la dérangeait s’était la propension naturelle du patron à la coller d’un peu trop près. Un jour alors qu’elle lui préparait un Pot au feu, elle a pu apercevoir son reflet dans la cuisine. Il était en train renifler ses cheveux. Ça plus les quelques mains frôlées sur son postérieur, elle sentait qu’il la trouvait à son gout. Dommage qu’il soit marié et qu’il ait tous ses défauts sinon il aurait été tout à fait « consommable ». Le plus amusant avec lui c’était ses prénoms : Jefferson Russell. Prenez les initiales et rappelez-vous qu’ils sont au Texas. Ça ne vous rappelle pas une série à succès des années 80 ? Jeff était l’archétype du cow-boy, avec des armes à feu chez lui, montant à cheval … Mais il était surtout américain, et de surcroît du sud. Imbu de lui-même, prétentieux, bourré de préjugé, parfois un peu grossier … Par contre sur le plan professionnel, il était réglo. Son Ranch c’est son Bébé, à défaut de ne pas en avoir à lui, il le bichonnait et prenait soin de ses employés à condition, bien sûr, qu’ils respectent leur boulot.
Ça faisait plusieurs mois maintenant que Lydia travaillait pleinement au Ranch et elle avait remarqué pas mal de choses. Tout d’abord qu’Anna fricotait avec le cuistot (c’était une histoire naissante) mais aussi que Madame ne se gênait pas pour s’envoyer en l’air, dans les box à chevaux, avec de beaux et fringants jeunes hommes travaillant pour son mari. Combien de fois, alors qu’elle changeait les litières des chevaux, elle en trouvait un fermé à clé d’où s’échappait des « Oh oui encore, plus fort plus vite …. ». Mais surtout, et ça ce n’était plus une supposition, elle remarquât que Jeff s’intéressait à elle et pas que de manière professionnelle. Un jour, elle devait préparer un plat type : la choucroute. Elle avait eu carte blanche pour trouver les ingrédients et suivait la recette trouvée sur internet. Alors qu’elle était seule au fourneau, le cuistot s’étant éclipsé avec Anna dans un coin tranquille, elle vit Jeff arriver et, sans se cacher, il lui mit la main aux fesses ouvertement.
— Monsieur, que faites-vous ?— Pas la peine de tourner autour du pot. Vous me plaisez.— Peut-être que vous l’avez oublié mais vous êtes marié.— Et alors ? Je sais pertinemment que ma femme couche avec Jason, mon intendant et d’autres surement. — Ecoutez monsieur, je ne veux pas vous manquer de respect, je vous remercie de ce que vous faites pour moi mais contrairement à la rumeur et à ce que vous pensez, toutes les françaises ne sont pas des filles faciles.— Et alors ? Un beau Cow-boy comme moi ça ne vous plait pas ? En couchant avec le patron vous pourriez avoir une augmentation et plein d’autres avantages. Dit-il en la coinçant contre la porte du frigo.— J’ai refusé de passer à la casserole avec mon agent quand j’étais à Hollywood parce que je voulais mériter ma paie autant que possible (en omettant le fait qu’elle le suçait à chaque contrat mais bon on ne va pas chipoter sur les détails).— OK … Dommage …. Tant pis, j’aurais essayé. En tout cas, même si je repars la queue entre les jambes, j’aime bien votre état d’esprit.— Merci Jeff.— Vous savez où me trouver si vous changez d’avis. Moi je retourne à mon bureau.
Pendant un moment, elle avait cru se retrouver avec un autre pervers qui allait tenter d’abuser d’elle mais il était resté correcte et avait lâché l’affaire, Ouf. « Bon aller ce n’est pas tout ça mais j’ai un repas à préparer, monsieur à des invités » pensa-t-elle. Quand elle s’est mise à préparer la table, elle voyait bien que Jeff la regardait de loin avec un air coquin, surtout quand elle se penchait en avant mais … rien, il ne tentait rien. Pour Lydia ça voulait dire qu’il la respectait et ça elle appréciait. Ah ! Ça sonne. Elle partit ouvrir et se retrouva devant …. L’ancien président des USA au moment des attentats du 11 septembre. C’est vrai que, maintenant qu’elle y pense, on lui avait dit qu’il avait un Ranch à quelques dizaines de kilomètres au nord. Il en connait du beau monde, Jeff.
Plus tard dans la soirée Anna est revenue et a assuré le service. Ce dîner était un repas d’affaire. Jeff était là avec ses invités, des personnes issues du monde industriel et politique. Lydia est repartie faire une dernière inspection de routine des box des chevaux, ajuster deux ou trois petits trucs …. Et quand elle eut terminé, la soirée de Jeff étant visiblement achevée, elle reparti en direction de la cuisine pour se préparer un petit goûter et ensuite aller se coucher.
Au moment de sortir de la cuisine pour rejoindre sa chambre, elle entendait du bruit depuis le passe plat qui donnait directement à l’étage, là ou dormait le patron. Elle semblait reconnaître des mots, ainsi que les bruits d’un couple qui s’envoyait en l’air. Chose curieuse car Madame était parti le matin même pour affaire en Californie. En tendant mieux l’oreille, elle parvint à entendre des voix. L’une d’elle était celle de Jeff qu’elle entendait dire « Ouais ! C’est bon, va z y donne toi bien. T’es vraiment bonne. Tu vaux bien le prix que je te paye ». L’autre voix, elle avait du mal à la reconnaître. C’était une voix aiguë qui passait son temps à prononcer des « Oh oui monsieur, monsieur, encore, plus vite plus fort, …». Pour que cette fille l’appelle « monsieur » c’est que ça devait être une des employées du Ranch et à sa connaissance, à part elle, il n’y avait qu’Anna. Elle a attendu dans la cuisine jusqu’à la voir repartir dans sa chambre, quelques billets à la main, une petite larme à l’œil.
Le lendemain, au moment du déjeuner, Lydia voulu en savoir plus et elle lui révéla l’avoir vu sortir de la chambre de Jeff avec de l’argent. Anna lui demanda de ne rien dire à qui que ce soit et lui révéla qu’elle faisait ça occasionnellement quand le patron était seul. Elle a un enfant, qu’elle avait confié à sa mère et si elle faisait ça, c’était uniquement pour le fric. Le fait qu’elle commence à fréquenter le cuisinier c’était plus pour se caser, ne plus avoir à coucher avec Jeff pour l’argent et pouvoir récupérer son fils qu’elle ne voyait que les weekends. Troublée, Lydia promit de garder le secret.
Au final, ses activités était diverses. Son principal boulot était d’assister le responsable de l’entretien des chevaux. Elle les nourrissait, refaisait leurs litières, contrôlait le matériel, bref s’occupait des basses besognes. Tout ce qu’elle faisait en plus, à savoir l’aide au ménage ou encore ses activités culinaires, c’était du bonus rémunérés par des primes supplémentaires. Elle gagnait bien sa vie et faisait des économies car logée à tarif préférentiel. Professionnellement, elle commençait aussi à se faire connaitre car lorsque les chevaux participaient à des concours, il était mentionné le nom des entraîneurs ainsi que le staff du propriétaire. Dans ce milieu plus que fermé, la présence d’une française eut vite fait de se rependre. Ce qui fait que parfois elle se faisait draguer lors de salon, comme le salon de l’agriculture mais exclusivement consacré aux chevaux.
Lydia avait sa petite vie, elle partait une fois l’an pour Noel en France où elle retrouvait sa famille et notamment ses grand-parents qui s’étaient mis à l’informatique pour pouvoir dialoguer avec elle à distance. Tous étaient fiers que finalement elle travaille dans un milieu classique plutôt que dans le domaine artistique. Elle avait su rebondir et, pour ses parents, elle leur avait montré qu’elle avait gagné en maturité et qu’elle s’épanouissait dans ce qu’elle faisait. De retour au Ranch, elle reprenait ses petites habitudes bref tout semblait tourner. Tout semblait tourner jusqu’à un événement qui allait avoir certaines conséquences.
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