Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 18 J'aime
  • 15 Commentaires

Un rêve à la con

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Bonjour toi,J’aurais pu trouver un titre plus élégant, c’est vrai. Mais lis d’abord et on en reparle après.J’ai passé une nuit mouvementée, merci de demander. J’ai fait un rêve à la con, il n’y a pas d’autre mot. Nos conversations y sont manifestement pour beaucoup. Il est 5h du matin, je me suis réveillée en sursaut il y a une grosse demi heure et me suis empressée de coucher sur le papier ce fantasme qui n’en est pourtant pas un ! Je te préviens, si tu me dis d’aller consulter, je me vexe !
 « Le ciel d’hiver est resté désespérément bas toute la journée. Aucune trace du soleil, il semble avoir disparu pour de bon. Il fait maintenant nuit noire, les flocons continuent leur ballet féérique, recouvrant rapidement les traces de mes pas devant la porte. Je suis gelé, le feu meurt dans l’insert, je voudrais pouvoir y ajouter une bûche. J’adore être là en son absence, son parfum flotte encore dans la pièce, le silence règne en maître. Elle ne devrait pas tarder. Je m’installe sur le cuir froid de son canapé, tout est à sa place, parfaitement ordonné, harmonieux. Je me demande ce qu’elle fait en ce moment même et me rappelle qu’elle devait prendre un verre en ville avec ses copines. Pense-t-elle à moi ? Me fera-t-elle l’honneur de ses caresses expertes à son retour?Je quitte le salon et gravit dans l’obscurité les escaliers qui mènent à l’étage. La porte de sa chambre est entrouverte. Je ne devrais pas être là, elle déteste que j’entre dans sa chambre en son absence. Ça fait longtemps que je ne m’y suis pas aventuré. Nous sommes en  froid ces derniers temps, je ne me rappelle même plus pourquoi. J’hésite un peu, je suis exténué, j’ai passé la journée dans le froid à courir à droite, à gauche, si jamais je m’endors et qu’elle me surprend ici à son retour, la situation empirera notoirement. Oh aller, juste cinq minutes, elle n’en saura rien…Je pousse la porte, les gonds grincent un peu, me voilà dans son antre. Le réverbère communal, en plus de servir de pissotière à tous les chiens du quartier, diffuse une lumière orangée dans la pièce. Tiens, sa nuisette de soie sombre traîne par terre, le lit n’est pas fait, elle devait être sérieusement pressée ce matin. Je m’installe sur son lit, me faufile sous sa couette moelleuse et me recroqueville. Son odeur est omniprésente, elle me grise, un mélange de parfum et d’odeur animale, de transpiration, de sexe. Une odeur reconnaissable entre toutes, l’odeur enivrante de ma maîtresse.
Un claquement de porte suivi d’éclats de rire me réveillent. Je me suis endormi. Elle n’est pas seule ! La peur me saisit, mon cœur se serre, mes tripes se nouent. Je suis pris à mon propre piège. Leurs semelles font craquer le bois des marches, ils viennent ici. Je panique. L’armoire, vite ! Je me tapis dans l’ombre espérant dissimuler ma présence.Ils déboulent avec fracas dans la chambre. Un grand brun lui dévore la bouche, elle glousse en faisant mine de se débattre pour mieux se jeter dans ses bras l’instant d’après et lui rendre son baiser. Leurs lèvres se pressent, leurs langues se mêlent. Ils ne sont qu’à une enjambée de moi, mon palpitant s’emporte, j’ai l’impression de l’entendre raisonner dans toute la pièce.Elle allume une bougie sur la commode pendant qu’il s’assoit sur le lit, me permettant ainsi d’observer son visage. Je ne le connais pas, jamais vu celui là, un nouveau trophée. Elle allume une bougie, farfouille rapidement dans son téléphone et propose:
— "Amparanoïa ?"
Il hausse les épaules d’ignorance, elle penche la tête de dépit. Va pour Amparanoïa, pas de soul cette fois ? Ouh je la connais, elle a envie de s’amuser, elle a certainement un peu bu. Une voix chaude accompagnée de rythmes latinos inondent la pièce. Elle le rejoint et s’installe à califourchon sur ses genoux. Ils s’enlacent, s’embrassent, se découvrent à coups de langue, à coups de caresses. Elle commence à onduler au rythme de la chanson tandis que ses doigts d’homme prennent possession de son corps, s’insinuant sous sa robe, découvrant la chaleur de son intimité. Les escarpins vernis valsent, suivis des vêtements dans une chorégraphie brouillonne et sensuelle. La flamme de la bougie fait danser des ombres fantasques sur sa peau, soulignant le galbe de ses seins, la minceur de sa taille, la cambrure de ses reins. D’une brutalité maitrisée, il passe habilement un bras autour de sa taille et la renverse sur le lit. Elle se laisse faire, ses cheveux auburn s’étalent sur l’oreiller autour de son petit minois adorable. Elle est sacrément bandante. Ma queue me démange. Elle l’embrasse encore, s’accroche à sa nuque et l’attire à elle en lui saisissant les fesses. La bite imposante s’empare alors d’elle, son dos se cambre, elle gémit de contentement plus que de plaisir. Il la remplit totalement, comble son vide de femme avide de plaisirs. Il se laisse entrainer par le rythme effréné de la musique, il la prend fort, elle adore ça, je la vois enfoncer ses ongles laqués dans la chair de son dos, elle ferme les yeux et tourne la tête vers moi. Elle est toujours sublime dans ces moments d’abandon. Le menton tendu, elle se mord la lèvre inférieure déjà gonflée par leurs baisers fougueux, elle serre les paupières, retrousse très légèrement son petit nez. Il lui attrape les poignets et les lui tient fermentent au dessus de la tête. Son dos est zébré. C’est étonnant qu’elle se laisse faire ainsi, ça ne lui ressemble pas. Elle entrouvre la bouche, elle s’oublie, halète, gémit, le flatte. Il redouble d’ardeur et prolonge encore cette samba endiablée. Quelle endurance, elle a eu du nez !Sans qu’il s’y attende, en un coup de rein, elle se retrouve sur lui. Vu son air effarouché, il ne se doutait pas qu’elle a été championne de lutte gréco romaine il y a quelques années! Il faut bien avouer que rien en elle ne permet de le deviner. Elle le domine de toute sa splendeur, un sourire radieux illumine son visage, ses longs cheveux retombent en cascade sur ses seins et son dos, taquinant les petites fossettes qui ornent le haut de ses fesses. Elle le chevauche langoureusement, ne le quittant pas des yeux. Elle joue du bassin, se déhanche, se frotte. Il la saisit par les hanches pour amplifier ses mouvements. Elle soupire, elle gémit. Ma belle cavalière laisse le contrôle de la situation lui échapper, absorbée par son plaisir grandissant.Je n’en peux plus, ma queue me démange trop. Je ne peux pas résister plus longtemps, je la lèche frénétiquement. Elle sursaute et lance un regard noir dans ma direction. Et merde !Elle s’immobilise, il ne comprend pas. D’un bond je quitte le haut de l’armoire et atterris élégamment sur mes coussinets. Je dresse la queue, leur offrant une vue dégagée sur mes attributs manquants et quitte la pièce comme un prince.          - « Ce chat me rend dingue ! »Sur le palier, un escarpin vole au dessus de ma tête, je déguerpis et vais continuer ma toilette sur le fauteuil prés du feu. »
Diffuse en direct !
Regarder son live