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Un rêve prémonitoire...

Chapitre 1

Inceste
Depuis très longtemps, il m’arrive de faire des rêves érotiques. Celui qui a connu ça, sait de quoi je parle quand je dis que c’est une extase énorme. Je me réveille couvert de sperme, car oui, j’ai éjaculé tant la sensation paraissait réelle. Je ne sais pas si je cri ou gémis quand je joui pendant mon sommeil, mais je sais que je prend un plaisir immense.Plusieurs rêves différents, rarement le même, souvent des situations impossibles. Je ne contrôle pas bien sur, je subis totalement. On peut dire presque passif, même si pendant mon songe, je suis plutôt actif. J’ai fais des rêves sur ma femme, voisines, amies, inconnues, même des rêves homo, mais un est plus marquant que les autres et revient souvent, c’est avec ma petite sœur. Alors le plus étrange, c’est celui qui me procure le plus de sensation, je me rappel le moindre détail, au matin je reste un long moment à me demander pourquoi je rêve d’elle.

Je vais vous la décrire, peut être arriverez-vous à vous faire une idée:
Elle châtain blonde, suivant les saisons, les yeux bleus, elle mesure 165 cm , et pèse autour des 52 kgs. Elle est sportive et elle a un corps plutôt ferme, bien qu’elle a eu 2 grossesses. Elle a une jolie poitrine, un 90c, à croquer.

 Elle est belle, je vois souvent qu’elle fait tourner la tête aux hommes quand on marche ensemble. Elle est souvent en robe ou jupe, talons, très féminine. J’aime beaucoup son style, c’est aussi celle avec qui je m’entend le mieux dans la famille, nous sommes les derniers du grande fratrie. Je vous ai pas dis son prénom, Muriel, je sais aussi plusieurs de ses histoires amoureuses, malgré qu’elle soit mariée depuis des années avec Vincent. Un mec gentil, mais elle a beaucoup de caractère et lui parait trop docile à mon gout. Je sais quelle porte le pantalon, souvent on en rigole quand on est tous les deux. 

Elle m’a parfois parlé de ses aventures extraconjugales, surtout une fois ou son cœur a battu fort pour un homme. Elle avait faillit quitter son mari, mais j’ai réussi à la calmer et de prendre le temps pour ne pas faire une grosse bêtise. Au final, après quelques mois, son idylle s’est arrêtée quand elle su que son amant avait une autre maîtresse. On a une relation assez intime, je lui parle aussi de mon couple, mais je ne peux pas tout lui dire. Elle sait qu’on est un couple libre et qu’on s’amuse, mais je suis obligé de garder pour moi certaines aventures, car je risquerai de la choquer.

Les rêves que je fais sur elle, sont toujours les mêmes, ça ne change pas d’un iota. Elle est à genoux, la tête posée sur le lit, le cul  en l’air, offerte. Je suis derrière elle, debout, les jambes pliées et je l’encule comme une chienne. Elle gueule, m’encourage, je la traite de tout, il n’y a rien d’érotique en fait, plutôt trash. Mais je la défonce en lui tenant les fesses et je la lime jusqu’à que je jouisse d’une façon incroyable. Ensuite je me retire et je regarde mon sperme qui a pris une couleur plus sale, sortir de son anus. Elle fait la salope en me suçant la bite et me matant dans les yeux. Incontrôlable, à chaque fois j’envoie pendant mon sommeil des puissantes giclées et me réveil en filant aux toilettes me laver.

Je la vois souvent, mais je n’ose pas lui en parler, mais il m’arrive de la mater d’une manière peu fraternelle. Plusieurs fois on est parti sur des sujets de cul, on rigolait en se racontant des expériences perso, elle me faisait bander parfois tant elle allait loin, mais je n’osais pas lui dire. Et ces rêves me masturbe le cerveau, car souvent dans la journée j’y repense, même je me suis branlé en imaginant la baiser. Plusieurs fois j’ai pris la décision de lui avouer, mais arrivé au moment  propice, j’ose pas, pourtant c’est pas l’envie qui m’en manque.                                   Un jour, nous étions tous les deux en train de parler de nos petits secrets, on se mit au défi de raconter ce que personne savait. Petit jeu qui m’a tout se suite plu. Je l’ai mis en garde que je vais aller loin et qu’elle devra me rendre la pareille; elle m’a dit ok! Alors sans hésiter, je lui raconte qu’avec Valérie, ma femme, on va souvent en club échangiste. Qu’il nous arrive de nous éclater avec des autres personnes ensemble ou séparément. Je la vois qui me regarde avec des yeux grands ouvert. Mais je continu mon  récit, sans pousser loin dans les détails, mais quand même je lui dis que Valérie est très libérée et que rien ne lui fait peur. Elle commence à me poser des questions logiques, sur la jalousie, si on a pas peur de se séparer si on tombe amoureux, etc. Je lui dis qu’on en se cache rien et que la plupart du temps on est ensemble quand on s’amuse, que l’on fait ça pour le sexe et pas pour se faire du mal. 

Je lui demande si je l’ai choqué, elle me dit non, qu’elle s’attendait pas à ça, jamais elle n’avait été dans un club pareil, qu’elle en avait entendu parler sans plus. Je saute sur l’occasion et lui propose un jour de venir, qu’elle n’aura rien à craindre, que dans ces endroits, personne n’oblige personne. Elle me sourit mais ne répond pas. Je suis certain d’avoir piqué sa curiosité. Quand elle a fini son questionnaire, que dis-je? Son interrogatoire plutôt, je lui demande de me raconter à son tour son gros secret. Je vois qu’elle est perturbée, je lui demande si elle a honte? Elle me dit non, mais que il vaut mieux que personne ne sache jamais ce qu’elle va me raconter. Je lui dis évidemment, il en est de même pour moi, personne comprendrait dans notre entourage.

Du coup elle se met à me raconter une expérience vécue le jour de son mariage, pendant la fête le soir, il y avait beaucoup de monde, l’alcool avait bien coulé et elle avait fait un truc de dingue. Je suis tout ouï car j’étais là ce fameux soir et rien ne me semble bizarre. Il faut dire que ça fait plus de 20 ans déjà. Nous étions une bonne centaine ce soir là, malgré que je réfléchis, je ne vois rien, aussi j’étais bien pompette, comme la plupart des hommes. Elle avait bien bu aussi, sans être habituée, du coup quand elle dansait, elle s’était lâchée un peu, surtout avec un ami de la famille qui était très collant. Vincent était fin saoul, du coup elle avait passée la soirée à faire la java sans lui. Coupe après coupe de champagne, elle riait de bon cœur à tout et n’importe quoi. Gilbert était un ami de nos parents, il devait avoir plus de la cinquantaine, très speed et fort en gueule.

Je me souviens de sa présence, un vrai bout en train, en plus il savait comment faire rire tout le monde avec ses conneries. Je la laisse parler, ça m’intéresse, je suis pressé de savoir. Donc il l’a fait danser, rock, salsa, slow, enfin tout y passe. Petit à petit il s’est mit à la caresser en dansant, il a commencé doucement par la nuque, elle voyait pas le mal car en plus ça la soulageait de cette dure journée. Puis il a été plus entreprenant tout en lui disant que c’est cool, elle l’a laissé faire, elle sait pas pourquoi. Ses mains se sont glissées dans son dos, sa robe était belle, dos nu. Elle a eu envie qu’il continu, elle a rien dit quand il l’a entraîné à l"extérieur dans le parc. on était au début de l’été et on avait loué une salle à la campagne. Là il se sont éloignés, il y avait des arbres, il faisait sombre. Quand elle me raconte, je la vois qu’elle ferme les yeux, je lui prend la main doucement, ses doigts se referment sur les miens.

Elle raconte qu’il lui pris la bouche sans hésiter et qu’elle lui a rendu le baiser, qu’elle était plus elle même, mais que ça lui plaisait. Il l’a plaqué contre l’arbre, lui a enlevé sa culotte et la retourné et l’a prise debout contre l’arbre. Elle ne m’a pas raconté ça tout de suite, mais je l’ai questionné ensuite et du coup j’ai su pour les détails croustillants. Il a relevé la robe, elle était face à l’arbre, les jambes écartées, ses mains posées contre le tronc de l’arbre. Il s’est mit à la défoncer pendant un long moment. Elle a eu plaisir à le faire car c’était interdit, dangereux, surtout inattendu. Sa main était chaude, je caressais délicatement ses doigts, elle me le rendait bien. Il a continué à la prendre ainsi, elle le regardait pendant qu’il lui claquait les fesses. Jamais on l’avait prise ainsi, si bestialement, sans douceur.

Je me rapproche d’elle, je la prend par l’épaule pour qu’elle pose sa tête contre ma poitrine, comme on fait souvent. Je bande comme un fou, j’imagine la scène en même temps qu’elle me le dit. je ne cherche pas à cacher la bosse dans mon pantalon, je veux qu’elle le sache. Je   tiens toujours sa main dans la mienne, elle est brûlante, la mienne aussi. Elle me dit qu’il a jouit en elle, puis lui a dit qu’elle était parfaite et que ça faisait longtemps qu’il en avait envie. Il a encore joué un peu avec elle et lui a pas rendu sa culotte, du coup elle a eu du mal en sentant son sperme couler sur ses cuisses. Ils sont rentrés ensuite dans la salle, personne n’avait remarqué leur absence, qui avait pas du durer plus de 15 minutes. Elle me raconte même qu’elle est venue vers moi juste après, qu’on avait dansé.

 Mais surtout elle me dit qu’elle a gardé une relation pendant 5 ans avec Gilbert. Qu’elle a été sa chose, qu’il a fait d’elle son jouet, qu’elle a accepté tous ces caprices, ses délires. Là c’est moi qui reste sur le cul! Je n’imaginais pas ma sœur être dominée, par un vieux en plus. Pendant qu’elle me parlait, j’ai glissé ma main sur sa tête et je lui caresse les cheveux doucement, je suis en train de lui envoyé une tonne de tendresse, car plus que jamais, je sais que c’est le moment pour lui avouer les rêves que je fais et ce que ça a provoqué en moi.

Mon cœur bat plus fort, plus vite, elle doit l’entendre et elle enlève sa main de la mienne et la pause sur ma poitrine. Doucement en parlant, me racontant son aventure, elle me caresse le torse en glissant sa main à l’intérieur de ma chemise. J’en peux plus, je suis prêt à exploser tant je bande, impossible qu’elle ne voit pas la bosse qui déforme mon pantalon. La coquine commence à me détailler une scène précisément, surement pour ma taquiner en voyant l’effet que ça me fait. Elle me raconte que Gilbert aimait venir dans le lit conjugal dès que Vincent le quittait. Il attendait qu’il sorte pour venir la rejoindre dans le lit. Elle devait toujours être habillée comme il lui avait ordonné. Il aimait qu’elle mette du rouge à lèvre, et qu’elle le suce avec, il aimait trop ça. Ce jour là, il lui avait demandé de mettre une mini jupe et de préparer le café dans la cuisine. Il est arrivé 5 minutes après le départ de son mari.

Il lui a dit bonjour en lui glissant sa langue dans la bouche et en prenant son sein à pleine main. Il était toujours chaud pour une baise, jamais il venait pour autre chose. Elle aimait ce jeu, il lui rendait la vie agréable malgré son manque de tendresse.

 Je sentais sa main descendre doucement sur mon ventre...Ma main est descendue sur son dos...J’ai relevé son tee shirt et glissé ma main sur sa peau...Sa main est encore plus bas... Je suis sur son sous tif... Sa main caresse ma queue bien dure...Elle me raconte toujours sa baise ce matin là...Elle ouvre mon pantalon... Sort ma queue...
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