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Un réveil paternel

Chapitre 4

Inceste
Jacques vint la rejoindre au bout d’un moment, et s’assit près d’elle. Il effleura son avant-bras de ses doigts, y dessinant lentement des arabesques, des formes géométriques, de haut en bas et de bas en haut. De tout temps il lui faisait sur les bras et dans le dos ces « bedous » purement paternels, et Chloé adorait ça. Elle se tourna sur le ventre pour lui permettre de le faire dans son dos, et Jacques s’exécuta, comme toujours. « Ma fille adorée… est une sacré cochonne… » Lui murmura-t-il.« Mon papa d’amour… est un gros pervers… quelle famille ! » lui répondit-elle. Jacques rit doucement en continuant à lui passer ses doigts dans le dos. « Je continue de penser que ce n’est pas bien ce que nous avons fait, tu sais ! » Il marqua une pause puis poursuivi : « mais c’est tellement bon… » Ce à quoi sa fille lui dit simplement « Oui, je suis bien d’accord avec toi. C’est trop bon pour s’en vouloir à mon avis ! Et surtout trop bon pour ne pas le faire ! ». Son père fit descendre ses doigts sur ses fesses et Chloé soupira de contentement. Il poursuivit sur le haut des cuisses, puis glissa entre ses jambes, pour remonter poser simplement sa main sur sa chatte. Chloé se mis alors sur le côté, et se mit à caresser sa verge au repos, la massant et la faisant rouler dans ses doigts. Jacques senti dans sa main que la chatte de Chloé s’humidifiait de nouveau… « Aaah… » dit-il « on dirait que ça ne t’as pas suffi ? ». Chloé, pour toute réponse, passa une jambe par-dessus sa tête et pris en bouche ce sexe encore mou, sentant de nouveau la bouche et la langue de son père s’activer sur sa vulve et son clitoris. Elle émit un grognement de plaisir et senti son sexe se mettre à grossir et à s’allonger dans sa bouche, et elle encouragea cette érection naissante en commençant à le sucer. Rapidement, son père se mis à bander entièrement, et Chloé continua pendant un petit moment son jeu de bouche avant de se relever et de se retourner, pour chevaucher son père.
« Tu veux la prendre comme ça ? Pas de problème, vas-y. » « Oui comme ça, j’adore » Chloé saisit sa bite pour l’orienter vers son vagin, et s’empala dessus avec un soupir étouffé. « Je sens bien ta grosse bite dans ma chatte de cette manière ». Elle mit en mouvement son bassin d’avant en arrière, en le bougeant de droite à gauche de temps en temps, quand le sexe de son père était entier dans son ventre. « Oh ma chérie, c’est bon ça… » Jacques laissait faire sa fille, la tenant par la taille la plupart du temps, quand il ne lui caressait pas les fesses ou les seins. Chloé continuait de s’activer sur cette queue qui lui arrachait des soupirs et des gémissements à chaque fois qu’elle la sentait la pénétrer à fond au gré de ses mouvements. Elle s’appuya de ses deux mains sur la puissante poitrine de Jacques afin de faciliter ses ondulations. « Tu aimes ça, hein ? » lui lança son père. « T’enfiler ma queue comme une petite trainée ça te plaît, hein ? Ok, vas-y, continue, fourre la toi bien comme il faut, là comme ça c’est bon ça, oh que c’est bon ». Ses mots crus avaient visiblement de l’effet sur Chloé, qui en rajoutait : « oh oui j’aime ça, j’aime te grosse bite, la sentir me bourrer, là, voilà, comme ça, comme ça ». Elle se mit à faire aller son bassin d’avant en arrière à une cadence élevée, toujours appuyée sur sa poitrine, la tête relevée, la bouche grande ouverte, haletante et gémissante. Son père la tenait par la taille d’une main, et de l’autre à claquer les fesses. « Oh ma chérie, oh oui, chérie, ma salope, tu me baises comme une chienne, tu vas me faire jouir, t’arrête pas ! ». S’appuyant sur ses coudes ramenés près de son corps, il se redressa à moitié, pendant que sa fille donna un dernier coup de reins avant d’être secouée d’un nouvel orgasme. « Chloé ! » cria-t-il avant de se mettre à gicler lui aussi dans un râle de plaisir. Chloé s’était laissée tomber sur lui, les bras autour de son cou, sa tête reposant sur son épaule, joue contre joue, pendant qu’elle vibrait sous les assauts des vagues de jouissance qui la parcouraient. Sentir le sexe de son père se vider dans son ventre en palpitant, sentir son sperme s’écouler dans son vagin renforçait encore son plaisir. Les deux amants immoraux restèrent enlacés longtemps, sans rien dire…
Dans les semaines qui suivirent cet épisode, ils s’adonnèrent bien des fois à toute forme de jeux sexuels, dans pratiquement toutes les pièces de la maison. La mère de Chloé avait un rythme de travail particulier : elle accomplissait des gardes de nuit de 12 heures, entrecoupées d’un repos de 36 heures. Lorsqu’elle rentrait d’une nuit de garde, au matin, elle restait donc à la maison toute la journée, la nuit suivante, et ne reprenait son service qu’au début de la soirée suivante… Trois fois par semaine. Ainsi, trois nuits par semaine, Jacques et Chloé étaient seuls, et en profitaient copieusement. Une nuit de garde, Chloé s’éveilla et jeta un coup d’œil à son réveil, qui indiquait 4H30… Plutôt que de se rendormir, elle se dit qu’elle irait bien réveiller son père de manière érotique… Il était rentré si tard de son travail ce soir-là que Chloé était déjà couchée et endormie à son retour. Mais elle savait qu’il était là, dans sa chambre, et elle se dit qu’il apprécierait la surprise…
Chloé se leva, n’allumant aucune lumière, et se dirigea à tâtons dans l’obscurité de la maison, totalement nue, jusqu’à la chambre de ses parents. Elle ouvrit doucement la porte et se glissa à l’intérieur, la refermant derrière elle le plus silencieusement possible. Elle entendait la respiration profonde de son père endormie, mas ne distinguait qu’un vague forme sous la couette, tant la pénombre était dense. Elle se dirigea vers le pied du lit avec l’idée de le contourner et de se faufiler sous la couette par le côté. Un bruissement de tissu résonna soudain dans le noir. C’est incroyable comment dans le silence le moindre bruit se trouve décuplé. Mais un autre son fit se figer tout net Chloé au pied du lit : elle entendit une inspiration profonde, suivi d’un doux grognement et reconnu de suite la voix de sa mère ! Saisie par la surprise, Chloé fit plusieurs pas en arrière, ce amena son dos contre les portes KZ ajourées du placard de la chambre. Elle se tint immobile, retenant presque sa respiration de peur de trahir sa présence. Elle entendit encore des mouvements dans le lit, et sa mère murmurer un grognement de plaisir, le type de son qu’on fait lorsqu’on mange quelque chose de très bon. La respiration lente et régulière de son père s’interrompit, et celui-ci pris une profonde inspiration à son tour en répondant à sa femme par une faible plainte. Chloé se rendit à l’évidence : sa mère était rentrée inopinément cette nuit pendant qu’elle dormait, et elle était en train de réveiller son père en pleine nuit… Non, elle avait réussi à réveiller son père. Chloé l’entendit dire doucement d’une voix trainante « chérie… », et sa femme lui répondre d’un soupir admiratif. Peu de temps après, elle entendit sa mère bouger de nouveau dans le lit, et farfouiller sur la table de nuit : elle allait allumer la lampe de chevet ! La jeune fille, nue dans la chambre de ses parents, se réfugia alors dans la penderie derrière la porte du placard, et referma celle-ci tout doucement. Son corps coincé entre les vêtements pendant sur leurs cintres, elle vit alors la lumière jaillir dans la chambre, en même temps qu’elle entendit le déclic du bouton de la lampe de chevet.
A travers les persiennes de la porte KZ, Chloé vit alors sa mère rejeter la couette au pied du lit, et venir tout contre son père, l’embrassant pendant que sa main saisissait son sexe qui bandait déjà. La mère de Chloé, Sophie, était une blonde de 45 ans. Chloé l’avait toujours trouvée très belle, et la vue de son corps nu ne venait pas la démentir. Ses cheveux coupés courts, blonds foncés, illuminés par des mèches plus claires, encadraient joliment un visage rond, aux grands yeux bleus et à la bouche sensuelle. Chloé regardait éberluée les deux époux, nus, se caresser mutuellement en soupirant. Elle eut une petite réaction de jalousie en voyant sa mère se pencher sur le sexe de son père, ce sexe bien dressé, si épais, qu’elle connaissait si bien. Mais cette réaction passa bien vite : il y aurait d’autres gardes de nuit… Et elle était surtout préoccupée de sa situation précaire présente… Comment allait-elle faire pour sortir inaperçue de cette chambre ? Allait-elle devoir assister aux ébats amoureux de ses parents jusqu’à ce qu’ils tombent de sommeil ? Sans doute. Cette perspective, peu réjouissante de prime abord, voire dégoutante, se fit progressivement plus intéressante. Elle regardait sa mère s’activer de la bouche et des mains sur le sexe de Jacques, et s’imaginait très bien être à sa place, ce qui fit naître en elle une excitation croissante. Elle observa son père se glisser par en dessous entre les jambes de Sophie et commencer à lui brouter la chatte, et là aussi, elle s’imagina à la place de sa mère sans problème. Ses parents continuèrent leur 69 pendant un long moment, leur plaisir allant croissant, comme leurs gémissements, et elle ne rata rien du spectacle. Puis son père se dégagea de dessous sa mère, qui se redressa ; tous deux, à genoux au milieu du lit, s’embrassèrent de nouveau fougueusement, pendant qu’elle branlait lentement sa queue. Sophie se laissa tomber sur le dos, la tête vers le pied du lit, et Jacques vint sur elle, la dominant de son corps musclé, la pénétra d’un mouvement sec du bassin, et commença à la sauter à grands coups de reins, faisant grincer le lit. Aucun des deux ne disaient mot, ils se contentaient de prendre du plaisir l’un de l’autre, haletant et gémissant en se regardant dans les yeux.
Depuis sa cachette, Chloé voyaient son père de face, sur sa mère, appuyé sur ses deux mains. Elle voyait clairement son sexe pilonner l’entre-jambes de Sophie, entrant et ressortant de sa toison bonde à un rythme endiablé, et entendait leur souffle court. Elle-même ressentait une vive excitation et presque malgré elle sa main vint caresser sa chatte doucement, tout en ne ratant pas une miette du spectacle. Elle voyait les seins sa mère secoués de vagues au gré des coups de reins de Jacques… Celui-ci ralentit l’allure et s’appliqua à fouiller le fond du ventre de Sophie de son sexe, par des mouvements de bassins latéraux, et vit sa mère rejeter sa tête en arrière, et regarder la porte du placard où Chloé se tenait. Bien que se sachant à l’abri, elle ne put s’empêcher de reculer un peu plus dans les vêtements. La respiration de sa mère devient soudain plus profonde, et alors son père redoubla de vigueur et se mit à la baiser comme un chien en rut, une grimace de plaisir sur sa face. Chloé regarda le visage de sa mère et vit celle-ci se raidir et jouir dans un cri étouffé, les yeux grands ouverts comme si elle la regardait. Son père également se mis à jouir avec un « han ! » sonore suivi de quelques halètements rauques. La jeune fille se masturbait copieusement, et sentant son plaisir monter, elle s’interrompit de peur de faire trop de bruit. Elle se couvrit la bouche de sa main en se mordant la lèvre et l’odeur de sa chatte emplit ses narines.
Peu après, son père se dégagea de sa mère et alla s’assoir dans le lit à sa place, le dos au mur. Sa bite encore à moitié bandée était posée sur son ventre, luisante, et Chloé ressenti l’envie de la tenir dans ses mains… Sa mère se leva et alla dans la salle de bain de la chambre. On entendit couler l’eau un moment. Chloé se dit qu’avec un peu de chance ses parents allaient se rendormir et qu’elle pourrait retourner dans sa chambre sans bruit. Sa mère revint dans la chambre après s’être nettoyée, et se pencha sur son père pour lui chuchoter à l’oreille. Son père lui répondit tout aussi bas, puis, Sophie le pris par la main, il se leva et tous deux se rendirent au pied du lit, et se dirigèrent alors vers le placard de Chloé. « Oh non c’est pas vrai ! » se dit-elle, paniquée. Et pourtant, si, c’était bien vrai : ses parents arrivèrent tout droit devant le placard et Jacques ouvrit la porte KZ, révélant une Chloé toute nue à moitié caché entre les vêtements de la penderie. « Ca alors ! » fit son père. « Bah ? Chloé, qu’est-ce que tu fais-là ? » Demanda sa mère, étonnement calmement.
« Papa ! Maman ! Je vais tout vous expliquer ! » Répondit Chloé, gênée comme jamais elle ne s’était sentie gênée de toute sa vie.
La suite, bientôt !
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