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Ma révélation sexuelle

Chapitre 2

Le jouissance la plus rapide du monde et le baiser le plus coquin

Hétéro
Il passa à côté de moi et s’allongea sur le lit, sur le côté, en me regardant. « Oui très » répondit-il. Il voulait s’assurer de mon consentement, de ma détermination, de mon envie, et ne fit rien, il me laissait la main.Cela me força à confirmer ce que je voulais. Et puis j’appréciait la délicatesse. Il me regardait avec envie et j’osais alors enlever mon débardeur. Je me tenais la plus droite possible de façon à réduire le nombre de mes honteux bourrelets. Bourrelets que je n’allais pas tarder à apprécier un peu mieux grâce à JM. Puis j’ai enlevé mon soutien-gorge et je me suis dirigée vers lui.« Où en étions-nous ? » dis-je en amenant ma lourde poitrine au niveau de sa bouche, un peu surprise d’être aussi à l’aise. Hmm, ce coup-là, mes seins libres, il en profita longtemps, il se noya dedans. Et puis l’une de ses mains se posa sur ma cuisse, remonta sur ma hanche et glissa sur mes fesses. Il m’attira tout contre lui en frayant un chemin à sa cuisse entre les miennes.J’oubliais vite qu’il s’occupait de ma poitrine. J’oubliais vite sa main aventureuse qui jouissait de mes fesses voluptueuses. Non, en fait tout cela passa au second plan, comme une cerise sur le gâteau, alors que ma petite chatte tendre et douce, s’humidifiant rapidement, se frottait sur le jean sec et rêche.Lorsqu’il me sentit mûre, il roula sur moi. Sa cuisse entre les miennes, son poids, ses mains immobilisant mes poignets au-dessus de ma tête, j’étais à sa merci. Il sembla se repaître une fraction de seconde de la situation, en tous cas ce fut mon cas. Puis il m’embrassa avant de libérer mes poignets et de descendre sur ma poitrine, mon ventre. Il releva ma jupe.
Holala, j’avais les cuisses relativement écartées et j’avoue que j’étais gênée d’offrir ainsi mon intimité et, plus par pudeur que par excitation, je glissais un doigt entre mes lèvres et ma main sur mon sexe. Mais il l’enleva gentiment. Cinq secondes après, j’oubliais toute gène. Mon dieu, on ne m’avait jamais fait un tel cunni. En fait on ne m’en avait jamais fait beaucoup, mais celui-là, … !! Au début j’essayais de suivre ce qu’il faisait, sa langue, ses doigts, son, …, son nez !! Mais très rapidement je ne parvins plus ni n’avais vraiment envie de savoir ce qu’il faisait, comme avec un morceau de musique complexe, il faut savoir simplement écouter l’œuvre dans sa globalité.J’aurais pu jouir, sans conteste, mais j’avais envie de lui, de son sexe, je lui devais bien ça. J’apprendrais par la suite que faire jouir une femme en cuni est quelque chose qu’il apprécie particulièrement. Quoiqu’il en soit, je préférais et même après, jouir avec lui, si possible ensemble. Je finis donc, fiévreuse, par tirer sur sa tête. Il me regarda, coquin.« Fait moi jouir » lui demandais-je suppliante. « Vos désirs sont des ordres madame » rigola-t-il avant de baisser à nouveau la tête. « Non vient » l’implorais-je en l’invitant à nouveau à monter vers moi. Ce qu’il fit. Il cala à nouveau sa cuisse contre mon sexe. Quel supplice. J’attirais sa tête pour qu’il m’embrasse. Il sentait fort mon excitation. Un peu rassasiée par un baiser fougueux je récupérais suffisamment de lucidité pour lui demander s’il avait des capotes. « Scout toujours !! » rétorqua-t-il. C’était trop nul, mais ça m’a fait sourire. Il s’est levé, a ouvert le tiroir et a sorti une boite. Encore une fois, je me demandais combien de femmes s’étaient couchées là. Et puis encore une fois, je m’en moquais, cette fois c’était moi et moi seule.Il se mit tout nu. Je ne fis même pas trop attention à son sexe, j’étais en fait focalisée sur son torse, un torse d’homme de 50 ans, entretenu quand même, et puissant. Moi qui n’avait jamais aimé les poils, sa toison grisonnante sur sa poitrine m’envoutait.Une fois la capote mise, il grimpa à quatre pattes sur le lit, félin, au moins dans ma tête, le regard gorgé d’envie et de désir. Il s’installa au-dessus de moi, senti mon odeur dans mon cou. C’était animal. Je saisis son sexe avec ma main. Cela le surpris, lui qui depuis le début menait si bien la danse et savait si bien m’envouter.
« Doucement s’il te plaît » lui murmurais-je. Cela faisait, longtemps, très très longtemps que je n’avais pas accueillis d’homme. Il cligna des yeux en signe d’assentiment. Je dirigeais alors son sexe vers l’entrée du mien. Les premiers centimètres furent aisés, déjà ouvert par ses doigts auparavant. Et puis je me sentis, si étroite. Il s’arrêta. Il me laissa bouger moi-même, m’ouvrir à mon rythme.Je l’attirais pour qu’il m’embrasse en même temps. Je m’ouvris finalement assez rapidement, j’étais excitée comme jamais, pucelle mais sans les appréhensions qui vont avec. A peine commença-t-il à pouvoir bouger librement que je jouissais, incapable de me retenir.« Hé bien, je savais que je suis bon, mais là je dépasse tous les records » s’auto-congratula-t-il sur le ton de la plaisanterie. Je rougis. Confiante, relaxée, je lui avouais ma petite traversée du désert d’un an. Il me dit qu’il n’en revenait pas que ce fut possible.Après, et malgré le plaisir que je continuais à prendre et que je lui laissais comprendre, cela n’était pas suffisamment torride pour lui. Il justifia le fait qu’il ne parvenait pas à jouir à cause de la capote. « Du coup, heu, …, ça te dérange de me branler ? ». Je secouais la tête, bien sûr que non. « Aller vient là mon grand » dis-je en lui faisant un petit signe de la main. Tout sourire il grimpa sur moi et s’agenouilla au-dessus de mon ventre, son sexe, que je regardais avec attention maintenant, juste au-dessus de ma poitrine.Je me rappelle que je fus surprise de le trouver si semblable à une bite de jeune. Certes ses poils étaient grisonnant et cela se voyait que ce n’était pas une bite d’un homme de 25 ans, mais bon, elle n’était pas défraichie du tout. En fait même, un peu comme l’allure général de JM, elle semblait juste mature, pleine de cette assurance que confère la force et l’expérience de l’âge. Et puis, au-delà de ça, elle était particulièrement jolie, pas de courbure bizarre, une taille raisonnable, des veines saillantes et un gland, …, parfaitement dessiné.
Elle était chaude et dure entre mes doigts. Je l’ai branlé un peu mais l’envie de sentir cette si jolie queue dans ma bouche n’a pas tardé à m’assaillir. Je me suis donc redressée sur mes coudes. JM ne s’est pas fait prier, il s’est avancé un peu et me l’a offerte. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas sucé un homme, tellement longtemps que je n’avais pas senti le goût salé de son pré-sperme se répandre dans ma bouche. Je prenais vraiment plaisir à le sucer et je pense que cela l’a autant excité que le fait même de se faire sucer.Très excité il s’est retiré de ma bouche, a calé son sexe entre mes seins, les a resserrés et s’est mis à jouer du bassin. Hm, j’adorais voir son gland apparaître et disparaître entre ma poitrine. J’ai levé la tête vers lui. « T’es un petit cochon en fait !! » dis-je en le taquinant. « Ha oui tu trouves ? » s’est-il amusé, en me regardant.« Et tu aimes ça ? » a-t-il rajouté en commençant à se branler à la main au-dessus de l’un de mes seins et en reportant son attention dessus. Il était hardi, et je n’avais pourtant encore rien vu, et cela me plaisait. Il était sûr de lui et, tout en étant délicat et attentionné, prenait ce qu’il voulait.« Je ne sais pas trop » ais-je répondu honnêtement. Il me jeta un bref coup d’œil et sourit. « Tu vas voire, tu vas aimer » a-t-il répondu. Et il a jouit, précisément, sur un sein. C’était la première fois que l’on jouissait sur moi. Je croyais que le sperme serait chaud, mais en fait non, pas tant que ça. Je sentais les gouttes tomber sur mon sein, un peu comme n’importe quel liquide. Mais surtout, je les sentais couler. Ce n’était pas vraiment dégouttant en fait, juste un petit peu, juste ce qu’il faut pour que ce soit excitant.Par contre, qu’il essuie les doigts de sa main qu’il lui avait servi à se branler sur mon sein, juste sur mon téton, comme sur un torchon, je trouvais cela dégouttant, désobligeant même. Mais encore une fois il me surprit. Il me surprit en se penchant pour, du bout de la langue, lécher mon téton. Puis il commença à me téter et, plus généreusement, à croquer et lécher à moitié mon sein, en remontant et en passant particulièrement là où il avait joui.Ebahie, je le regardais faire sans même prendre conscience de ce qui arrivait ensuite. Dès lors qu’il fut arrivé en haut, il releva la tête vers moi et m’interrogea du regard. Là. Je compris. Je ne sus que dire ni que faire, alors, doucement, délicatement, de façon à me laisser tout le temps pour accepter ou refuser, il s’approcha pour m’embrasser. Et je me laissais faire. Le goût de son sperme envahit rapidement ma bouche. Que c’était bon. Pas le goût en lui-même, mais avec le baiser.
Quand il eut terminé il regarda sa montre. « Hola, je te ramène ? » me demanda-t-il. « Hm, …, tu sais quoi, vu l’heure et vu que tu habites à côté de mon boulot je pense que c’est plus pratique si je peux rester dormir ici » lui répondis-je faussement détachée. « Ho ben si c’est d’un point de vue strictement pratique, bien sûr » répondit-il d’un air entendu. « Par contre je n’ai qu’un lit » continua-t-il en me taquinant. « Oh, zut, mais où vas-tu dormir alors ?!! » m’exclamais-je. « Hm, ben, je me disais que nous pouvions, …, partager mon lit » dit-il sur le ton de la confidence en se rapprochant de moi. « En tout bien tout honneur » ajouta-t-il. « En tout bien tout honneur » abondais-je. Et nous nous embrassâmes à nouveau.
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