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La Révélation de Sophie

Chapitre 9

En route vers l'impossible sodomie

Zoophilie
La prude, la bigote, se verrait sodomiser par une monstruosité qu’elle appelait Ange, un être hybride à l’extravagante métamorphose, aussi radicale qu’incomplète - puisqu’elle n’affectait pas le visage -. La blondeur des cheveux, le bleu acéré des yeux, la finesse des traits, tout cet idéal de beauté masculine, digne d’un casting hollywoodien, précipitait jusqu’au vertige l’aberration de la colossale déviance corporelle. Même les rêves ne génèrent pas de créatures aussi fantasmagoriques. Au croisement du bipède et du quadrupède, du bovidé et du simiesque, la masse couverte de poil se dressa sur ses pattes arrière. L’encolure butée et tous les muscles bandés, cette puissance sauvage sonna la charge. L’animal à la face séraphique grimpa sur la pauvre jeune fille. Et Phil, fasciné, regardait la scène et, grâce à l’écran géant tendu sur sa gauche, il n’en perdait pas une miette. Mais qui filmait et qui diffusait ? Toujours aucune trace de caméra et pourtant, la performance était projetée, en direct, sous tous les angles possibles.
Ce n’était pas crédible. Mais vrai ! Délirait-il ? Fallait-il attribuer ces visions à une ferveur communicative ? Un fantasme partagé avec les vingt-deux hommes en fauteuil roulant qui, en face de lui, de l’autre côté de la scène, observaient le même spectacle ? Le discernement altéré par l’émotion, avaient-ils tous basculé dans l’irréel ? Etait-ce une divagation de l’esprit ou un véritable rituel propitiatoire ? Et qu’en était-il de Sophie ? Ne craignait-elle pas pour son intégrité physique ? Croyait-elle vraiment que son amant était un ange ? Etait-elle envoûtée ? Au point de ne pas remarquer la métamorphose bestiale ? De ne pas s’en étonner ? L’attitude de la jeune femme était-elle la conséquence du traitement et des humiliations que Phil lui avait fait subir durant toutes ces semaines ? Fallait-il d’abord la rabaisser pour l’amener à un tel niveau de consentement ? Mais, au fond, le plus sensationnel, ce n’était ni la situation plus qu’improbable, ni l’adhésion de la salope, ni même les deux principaux protagonistes de cette incroyable adaptation zoophilique de La Bête et La Belle, non, une seule chose paraissait par-dessus tout irréaliste : le défi sodomite auquel se confrontait Sophie. Certes, offerte dans une pose éminemment immorale, les cuisses écartées et le postérieur dressé, elle demandait la saillie, mais si l’accès par le passage principal d’une chatte aux lèvres distendues, portes béantes d’une fente dégoulinante et largement ouverte par les ramonages répétés, paraissait relativement praticable pour le monstre, en revanche et en comparaison, la toute petite entrée de service était bien trop exiguë, pour tout dire, impénétrable à de telles proportions. Qu’un vit aussi monumental puisse s’enfiler dans un trou du cul aussi étroit : tel était, aux yeux de Phil, le véritable prodige. Le monstre se mit immédiatement à l’ouvrage. Hormis son visage à la grâce surnaturelle et ses pattes antérieures de singes, avec lesquelles il agrippait fermement les hanches de Sophie, cet être fantastique cumulait essentiellement des traits morphologiques typiques des bovins : un tronc au poitrail large avec un thorax profond et un ventre ramassé. Il frottait déjà sa pine contre la croupe de sa femelle. Comme pour attester du caractère parfaitement improbable de la sodomie d’un petit cul aussi tendre, l’appareil génital de l’ange-bête résultait d’un compromis difficilement acceptable par l’entendement. Dignes d’un trophée mythologique dérobé aux Dieux, deux couilles de buffles de plusieurs kilos pendaient entre les cuisses du reproducteur ; le phallus, relevait, lui, déjà plus de la physiologie humaine, mais il n’avait pas été pour autant épargné par la mutation. Le gland proéminent chapeautait une verge de forme courbée, à la chair à vif, rose criarde ; niveau proportion, elle était tout simplement titanesque.
L’engin, suite aux plongées successives dans le con de Sophie, pareil à un lutteur huilé, luisait de mouille. Face à un organe aussi aguerri, le combat s’annonçait particulièrement déséquilibré. Le dépucelage de la matrice avait déjà été stupéfiant, mais la démesure de la fouterie pouvait encore s’apparenter à la délivrance d’une naissance. Au lieu de mettre bas, elle s’était faite remplir. Mais dans le cul, les velléités de fécondation ne se résolvaient jamais par l’enfantement. Quelle résistance opposerait le minuscule anus ? Phil était prêt à prendre les paris :
— Ce n’est pas possible, il va la défoncer !
L’ange-bête tenait par les hanches son magnifique butin. La voie était toute indiquée il suffisait de suivre le tracé de la raie. La pine s’inséra donc dans le sillon en se contentant, tout d’abord, de copieusement enduire de mouille le cœur de la cible. L’animal tout en tirant avec ses grosses pattes velues sur la peau du cul pour écarter au maximum la rainure badigeonna l’œillet dans l’intention évident de l’attendrir. L’anxiété se lisait sur le visage crispé de Sophie. Et elle était compréhensive. Tout laissait, en effet, penser que les assauts de l’animal seraient dévastateurs. Mais, il ne faut jamais se fier aux apparences. Alors que l’on attendait à des grognements informes, l’être hybride s’adressa à elle d’une voix douce et mélodieuse :" Détendez-vous Sophie. Ayez confiance. A tout moment vous pouvez demander que l’on arrête la cérémonie.
— Il n’en est pas question. "
En gage de sa détermination, la jeune femme, accentua encore la pente offerte par son dos. La colonne vertébrale cambrée et les reins creusés à l’extrême, ainsi prosternée, elle ne pouvait pas soumettre plus son arrière train à l’enculage. Fort de cet entier consentement, la pine commença à pousser. C’était tellement prévisible ! Le nœud résistait. La jeune fille cria, une première fois en tortillant du cul, mais coopérante, elle persévéra dans la position. Alors, il poussa à nouveau. Elle hurla. L’ange-bête n’entendait pas la déchirer. Il n’insista pas. Bas les pattes, la gracieuse pu dégager sa croupe. Mais elle ne capitulait pas. Le temps de réarmer son courage et, malgré l’immensité du défi, elle présentait son postérieur avec encore plus d’application. Aussitôt, la pine reprit son incessant travail de sape sur l’œillet pour qu’il cède à la pression. Sophie serrait les dents, forçait autant que faire se peut ses hanches à ne pas esquiver l’abordage, les larmes perlaient à ses paupières, l’écorce brune de ses magnifiques yeux se couvrait de buée… Jusqu’à ce que la douleur devienne trop intense ! Décidemment, elle n’y arrivait pas ! D’un ravissant mouvement de rein, elle se soustrait une nouvelle fois à l’enculage. Le ballet de ses dérobades était terriblement suggestif, son bassin et son cul charnu, en s’esquivant, stimulaient les désirs, le con et l’anus jouaient ainsi à cache-cache avec la pine, les coquins provoquaient les regards des voyeurs présents dans la salle. Mais, l’essentiel, le cœur de la cible, restait toujours aussi verrouillé.Sophie découragée venait de s’assoir. Elle escamotait certes son postérieur à la sodomie, mais ainsi, nudité princière posée avec délicatesse sur son séant, elle irradiait de mille sensualités. Si bien que l’échec sexuel coïncidait avec un triomphe érotique. Quelle tristesse dans son regard. Quelle injustice ! La tension dans la salle était à son paroxysme. Tous rêvaient de la réconforter et surtout de la combler. Seul L’ange-bête savait raison garder. Il s’accroupit derrière elle et l’entoura de ses pattes protectrices. Accablée, la tête posée sur l’encolure réconfortante, elle s’abandonna, en toute confiance, contre le poitrail ; la soie de sa peau se confondait avec le pelage dru ; son cœur battait fort dans sa poitrine et ses grisantes dunes mammaires soulevaient au rythme d’un trouble infini les doux tétons hérissés de fébrilité libidineuse. Une abnégation totale mais une capitulation au gout inachevé, celle d’une fragilité extrême sublimée par la virilité et pourtant encore inaccomplie ; son ultime résistance contrariait la suprématie animale.
Elle jugea nécessaire de se justifier. La voix de la jeune femme était émouvante, chagrinée, mouillée de larmes :
— Je suis désolée ange, je n’y arrive pas. C’est trop gros pour moi.— Au moins vous vous serez efforcée.— Je vous déçois, n’est-ce pas ?— Il ne s’agit pas de moi, Sophie. — De qui alors ? De ces hommes qui nous observent dans leur fauteuil roulant ? — L’attente était immense. Peut-être démesurée.
L’ange-bête, sans doute pour maintenir son érection, frottait ostensiblement son énorme pine contre la délicieuse croupe rebondie. Son torse velu plaqué au dos de la limpide innocente, le satyre velu jouait ainsi des reins et, tel un pornographe, il profitait de sa position pour abuser du rembourré ; mais Sophie ne s’offusquait nullement, elle consentait à l’obscénité masturbatoire et même, en creusant volontairement sa courbure, elle l’encourageait.
— Mais vous pensez que je peux y arriver ?— Oui, vous en êtes capable. Si vous le voulez vraiment.— Mais je le veux, je vous jure !— De toute votre âme ? — Oui ! Je vais encore essayer !
Une décision irrévocable. Sur son doux visage de poupée candide, l’expression de la détermination ; les yeux brillants, presque aveuglants d’insouciance se constellent d’étincelles de gravité ; et, la beauté, les lèvres serrées par la résolution, se mit à nouveau en position.
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