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La Révélation de Sophie

Chapitre 10

A l'impossible un tel cul était tenu

Zoophilie
Quelle était attendrissante, dans son abnégation, la croupe ainsi dressée. Mais de ses deux orifices, un seul était en disponibilité immédiate, clairement prédisposé à la saillie. L’ange-bête n’avait qu’à se servir et de fait, pour conforter la résolution de Sophie et la préparer au mieux à cette nouvelle tentative, bref mettre toutes les chances de réussite du même côté, il s’enfila à la hussarde dans le con baveux. Elle ne s’y attendait pas. Elle ne cacha ni sa surprise ni sa joie. Les nymphes amoureuses engloutirent le membre. Et l’animal eut tout loisir d’énergiquement tringler les parois détrempées de la jeune salope. Le braquemard impérial forçait sans retenu le fourreau étriqué et, sur son passage, malgré l’extrême étroitesse, il ne rencontrait aucune opposition, juste de profonds couinements de satisfaction. A recevoir un tel traitement, le vagin en giclait d’enthousiasme ; une mouille épaisse et copieuse qui, en éclaboussant joyeusement les alentours, dénonçait l’absence de retenue.
Le ravissement triomphant s’incrustait vulgairement sur le sublime visage de l’ingénu qui, la bouche aussi ouverte que son con, bramait d’extase ; le rouge à lèvres accentuait crument la béance buccale et aggravait encore l’impudence du lâcher prise. " La chienne !!! Qu’est-ce qu’elle se régale ", en déduisit le perspicace Phil. Il reconnut bientôt les symptômes de l’orgasme : le corps pris de soubresauts, les beuglements qui redoublent. Mais alors que l’on s’attendait à ce que l’ange-bête sans donne à cœur joie et démonte sans vergogne la matrice de la femelle, il la frustra une nouvelle fois, extirpa son énorme pine et immédiatement l’appliqua sur l’orifice anal, il badigeonna ainsi copieusement le trou du cul de jus lubrifiant. Au vu de l’empressement de Sophie, il ne pouvait y avoir meilleure mise en condition à l’enculage :
— Ouiiiii allez-yyyyyyy, mettez-la-moi !!!!!!
Mais dès que la pine poussa, le bémol :
— Aiiiieeeeeeeeeeee. Ça fait trop mal, Aiieee…. Aiieeeee…
Dressée sur ses pattes arrière, tous les muscles bandés, la masse bestiale semblait prête à donner le coup de grâce. Il ne faisait aucun doute que l’animal avait largement la puissance nécessaire pour démâter ce petit cul. Mais d’une voix tendre et prophétique :
— Vous souvenez-vous de mon message la nuit où vous doutiez ?
Oui ! Elle s’en souvenait ! La phrase s’était incrustée dans l’esprit de Sophie. Elle vint avec une facilité déconcertante aux lèvres de la jeune fille :
— A l’heure de ta consécration, pour mieux L’accueillir, tu repousseras de toutes tes forces ce que tu désires. — En comprenez-vous maintenant le sens ?
Oui, elle avait compris. Et en exerçant une poussée inverse, comme pour expulser ce qu’elle accueillait, elle relâcha suffisamment son orifice anal, alors son œillet s’écarta, céda à l’impulsion et, miracle, le braquemard, péniblement mais effectivement, pénétra de quelques millimètres dans le cul suscitant un cri du fin fond des entrailles. Le gland disparu avalé par l’anus. Elle poussa un autre cri encore plus déchirant. L’ange-bête s’inquiéta :
— On arrête ?
— NONNNNNNN ALLEZ-Y AIIIIEEEEEEE ALLEZ-YYYYY METTEZ-LA MOIIIII…
La pine progressait, s’engouffrant millimètre par millimètre dans l’étau anal. A chaque va et vient un peu de terrain était gagné.
— ... AIIEEEEE MON DIEUUUUU OUHHŸŸOÖOHHOUYOUYEEEE ALLEZ-YYYY DOUCEMENTTT OUIIIII MON DIEU AÏÏÏIIYAAYÄÄAAIIIHHAAA….
Sophie n’était que hurlement et sanglot, car des larmes maintenant inondaient à flot son visage lisse et pur. Ainsi beuglante comme une truie et en pleure comme une sainte elle était l’archétype bouleversant de la lubricité ; la chiennasse la plus délicate et attendrissante que l’on n’ait jamais vu. Les spectateurs ne se méprenaient pas, cet enculage était tout sauf un viol, les beuglements étaient explicites, " OUIIIIII AÏIÏIEEEEEHHHHEEEE OÔHHHOHH MON DIEUUU OUIIIIIIIII ", la douleur décuplait la jouissance. Il était même de plus en plus évident qu’elle adorait se faire sodomiser :
— OUIIIIII AÏIÏIEEEEEHHHHEEEE OÔHHHOHH MON DIEUUU DOUCEMENT AYYEEHHOUIIIIII OHH MONNNN DIEUUU OUÏIYYYYIIII QUE C’EST BONNNNNN…
La barre de chair travaillait méthodiquement le fondement, remplissant toujours un peu plus son rôle. Sophie les poings serrés encaissait magnifiquement la charge. Les tressauts de son corps trahissaient l’intensité de l’invasion. Et toujours la litanie en larme, la beuglante d’enculée :
— AIIIEEEEEEE OUIIIII ALLEZZZZ-YYYY ÖÔÔÔÖHHHHAHHAAOUIIIII OHHH SEIGNEURRRR OUIIIIIIIIIIIIII…
L’ange-bête se fit confirmer ce qui ne faisait aucun doute :
— Vous pleurez Sophie ?— AIIIIEEEEE OÔÖÔHHH CONTINUEZZZZ OUYYEEHHÏÏEE OUIII… DOUCEMENT… OUIII… DOUCEMENT COMME ÇA … OHHH OUIII COMMME ÇAAAA… CE… CE… SONT… DES… DES LARMES DE… DE… BONHEUR… OUIIIIIIIŸŸÏII….
N’empêche qu’elle en bavait ! Le spectacle était fascinant. Et la question sur toute les lèvres : la bête réussirait-elle à s’enfiler jusqu’aux couilles dans ce petit cul idyllique ? La moitié du morceau installé dans la place, le plus dur était-il fait ? Sophie donnait des signes contradictoires, elle réclamait au deux sens du terme, c’est-à-dire qu’elle exigeait tout en s’insurgeant. A mesure que la dilatation anale s’intensifiait, elle levait de plus en plus souvent le bras en signe de capitulation puis elle l’abattait lourdement sur la couche comme un lutteur qui indique qu’il abandonne. Mais en même temps, elle gueulait comme la dernière des chiennes qu’elle en voulait encore. Maintenant la douleur devait être à la frontière du supportable car elle empoignât violement le drap entre ses doigts fins comme pour le déchirer et ses hurlements, ses larmes et ses grimaces de souffrances redoublèrent encore. Enfin, elle tourna la tête vers son enculeur et, en repoussant énergiquement de la main le bas ventre de l’animal, elle demanda grâce :
— AIIIIEEEEEEEE AIIIIEEEEEEEE AIIIIEEEEEEEE… ARRETTEZZZZ J’EN PEUX PLUSSSS OUYYOUYOUYEUUUEEEE CA FAIT TROP MAL…
Elle avait donc son compte !L’ange-bête obtempéra immédiatement et ses grosses pattes en appuie sur le délicat postérieur, avec un visible effort tant c’était serré et une remarquable lenteur pour ne rien abimer, il débouchonna le conduit anal.
— OUYYOUYOUYEUUUEEEE !!!!
En se tenant la hanche, sans pouvoir retenir une grimace elle s’assit le plus doucement possible sur son arrière train. Elle avait mal au cul. Mais elle ne se plaignit pas. Au contraire, elle exultait. Et, la douleur, de toute évidence, s’estompait vite. Son visage resplendissait, irradiait, ses traits n’avaient jamais paru aussi apaisés. Un sourire béat s’épanouit sur ses lèvres maquillées de rouge et elle jubila :
— Je vous remercie de toute mon âme. ÔÔÔHHHH MERCI !!!!! — Vous ne regrettez pas, Sophie ?— ÔÔÔHHHH NONNNNN…. Si vous saviez comme c’est bon ! Merci !! Merci !!! Mille fois MERCI !!!— C’est vous qui êtes enchanteresse, Sophie.— J’avais tellement peur de ne pas être à la hauteur ! De vous décevoir ! J’y suis arrivée !!!— Presque.— Pardon ?— Vous y êtes presque arrivée.— C’est-à-dire ?— Nous n’avons pas été au terme. Vous avez émis le souhait d’arrêter avant. Et sachez que c’est votre droit le plus absolu.— Vous voulez dire qu’il faudrait que… que je prenne tout ? — Pour que tout soit accompli oui.— Mais… C’est tellement gros ! Je crois bien que c’est impossible !— Vous ne vous en sentez pas capable, ne culpabilisez surtout pas.— Vous pensez que c’est possible ?— Sans aucun doute ! Vous avez des dispositions indéniables pour connaître cette extase. — Mais avec tous ces hommes qui nous observent ?— Ils ont foi en vous. Pour vous transcender, appuyez-vous sur leur ferveur.
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