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La Révélation de Sophie

Chapitre 11

Mission remplie ; femme accomplie

Zoophilie
Tuons tout faux suspens. Elle se fit sodomiser par l’ange-bête jusqu’aux couilles. Mais avant, mise en condition optimale, elle eut droit à un orgasme faramineux par le con. Elle adopta la position requise, prosternée, son splendide cul dressé, ses deux orifices soumis au bon vouloir de l’ange-bête. L’embarras du choix pour l’animal. Mais par sa pose, le dos presque à la verticale, Sophie semblait tendre plus particulièrement son vagin à la saillie. La cambrure prononcée insistait sur l’offrande des grandes lèvres baillantes d’impatience. La jeune fille marquait ainsi une indéniable prédilection pour cette forme de pénétration. Oui, il était plus qu’évident qu’avant de se faire à nouveau enculer, elle espérait en guise de motivation supplémentaire quelques bons coups de queues dans la chatte. Et elle ne fut pas déçue. Dans un grognement, l’animal s’enfila d’un coup sec dans le vagin qui, malgré la taille de l’engin, l’avala goulument. Véritable récompense par anticipation, la bête accorda ainsi à la belle une magnifique séance de tringlage public. Qu’est-ce qu’il lui mit !
Phil était maintenant persuadé que c’était l’excitation qui régissait la transformation de l’ange en bête. Et la mutation rendait la saillie encore plus sauvage. Hormis le visage toujours aussi raphaélique la métamorphose était arrivée à son terme. L’espèce de minotaure était clairement affublé d’un corps de taureau et de pattes de singe avec lesquelles il tenait fermement la femelle par les hanches et dans cette position idéale, son attribut stupéfiant labourait sans vergogne la matrice ; les couilles du buffle s’écrasaient en claquant sourdement contre les lèvres du con. Rien moins qu’un phénoménal et intégral bourrage de salope.
La jouissance de Sophie fut au diapason. Le traitement lui arrachait des beuglements. Elle vibrait sous les coups de boutoir. Sa poitrine, tels deux jolis melons pris au cœur d’une tempête, ballotaient à chaque assaut. Les spasmes étiraient les traits de sa face si lisse et si pure, mais la déformation était surtout intérieure et extrême ; un raz-de-marée qui emportait tout sur son passage, un débordement inimaginable, indescriptible… Alors que la bête pistonnait toujours, la jouissance, impossible à contenir, jaillit tel un geyser, du vagin… La pine s’extirpa précipitamment, déboucha du fourreau… qui gicla de plus belle… mais, sans transition, déjà la bête profitait de l’entière disponibilité sexuelle pour s’attaquer à l’autre orifice qui, d’une poussée vigoureuse, céda. L’œillet ayant déjà été défloré, la pénétration fut moins laborieuse. La bite connaissait le chemin. Le pilonnage en règle de ce délicat petit cul ne fut quand même pas une promenade de santé.
Effet saisissant de la perforation, entérinant un impossible retour à l’état de virginité originelle, la poussée implacable de l’engin suscitait l’impression de provoquer le délicieux sillon séparant les globes charnus ; la rainure innée devenait une faille sismique causée par un tremblement de terre, comme si la croupe, bien plus fragile qu’une coque de noix, était en train de céder sous la pression et qu’une barre à mine fendait impitoyablement, tel un coin, la chair tendre. L’animal n’en continuait pas moins à besogner méthodiquement le fondement. La progression était jalonnée de hurlements de plus en plus stridents, des vociférations en forme, non de lamentation, mais d’apologie, car, preuve que le supplice confinait bien à la béatitude, simultanément à l’empalement, le vagin continuellement giclait. Enfin, une ultime poussé et, comme un fétu de paille catapultée par l’ouragan, Sophie s’affala, clouée au lit, sur le ventre. Dans un grognement inhumain, la bête éjacula tout au fond du cul. Submergée, écrasée, pareil à un fruit que l’on presse jusqu’à la dernière goutte de pulpe, à la fois déchaînée et enchaînée, la salope forcenée envoya valdinguer sa croupe dans tous les sens comme pour désarçonner le cavalier arrimé à elle ; la violence des convulsions orgasmiques de la femelle paraissait justifiée par la virulence des spasmes éjaculatoires du mâle. Alors qu’elle se faisait remplir le cul de sperme, sa chatte coulait telle une fontaine, comme si, mu par un principe de vase communiquant, son con jutait, lui aussi, le trop plein d’extase.
Après les hurlements et les grognements bestiaux, les deux corps soudés dérivèrent encore, transportés par la tempête des sens, leur respiration haletante au diapason, ils finirent par s’échouer sur la plage apaisée, calme et radieuse, de leurs besoins assouvis.
L’ange avait retrouvé sa physionomie humaine. Toujours vautré sur elle, mais la pine extirpée, il enlaçait, caressait, tendrement la jeune fille, embrassait ses épaules, puis son cou. Du déluge sexuel aux doux frissons, une transition rêvée. Il se décolla enfin et indiquant les handicapés dans leur fauteuil roulant :" Le temps de la sanctification est venue. "
Sophie ne manifesta aucun étonnement, aucune hésitation. Elle savait exactement quoi faire. Elle se leva. En se redressant, la délicate Beauté, tout en posant d’un geste maniérée sa main droite sur sa hanche, esquissa une légère grimace. Elle fournissait ainsi la preuve concrète qu’elle n’était pas un personnage de fiction mais bien un être de chair et de sang, une jeune femme qui s’était sacrément faite démonter le cul et l’avait sacrément sentie passer. Une femme merveilleuse mais incarnée, tout en humanité, en fragilité, dans une enveloppe au contour parfait. Sa nudité intégrale dépassait toutes les espérances de volupté. Elle avait perdu sa virginité et pourtant elle était comme neuve. Accomplie. Purifiée par la luxure. Les traits à l’harmonie paradisiaques, les courbes accentuées par l’orgasme, elle irradiait. La regarder était presque douloureux, un soleil trop intense, une promesse paradisiaque, forcément inaccessible.
Dans un silence de cathédrale, elle se dirigea vers les handicapés. Elle claudiquait un peu. Cette gêne, loin de la desservir, focalisait, au contraire, l’attention sur ses hanches fécondes, sur la volupté de sa silhouette. La gaucherie rendait, s’il était possible, son postérieur encore plus sublime. Encore quelques pas et elle tomba à genoux, écarta les cuisses et les bras et harangua l’assistance :" Croyez-en moi, venez me consacrer et vous serez sauvés ". Et le miracle eut lieu !
L’un après l’autre, les handicapés s’arrachèrent à leur fauteuil. Vingt-deux hommes dans leur blouse blanche, tous animés, par le même désir irrépressible, aimantés vers cette déesse de la génitalité. Leur démarche était maladroite, hésitante, mais ils avançaient inexorablement vers Sophie. Ces paralytiques guéris étaient nus sous leur blouse et ils bandaient comme des taureaux. Guidés par l’érection, il suivait le chemin qui mène à la félicité.
Sophie les attendait sereinement, bouche ouverte, les doigts prêts à se refermer sur les turgescences. Le plus rapide enfourna sa pine entre les lèvres goulues, les autres s’amassèrent autour de la Beauté. Ils attendaient impatiemment leur tour. Elle suça et branla à tour de bouche et de mains. Les hommes étaient tellement excités qu’ils éjaculaient au premier contact. A peine refermait-elle ses lèvres sur une queue que déjà le mâle dans un grognement de satisfaction lâchait le foutre, si précieux qu’elle ne voulait pas en perdre une goutte ; tant que l’heureux élu ne s’était pas entièrement vidé les couilles, elle ne le lâchait pas des yeux, le regard de braise de la déesse accélérait encore l’éjaculation ; elle ne se laissait pourtant pas submerger par le flot de foutre et même si le trop plein de semence débordait de ses lèvres, coulait sur son menton, elle aspirait consciencieusement, avalait de larges rasades… un homme venait de se vider, s’extirpait des lèvres, à peine le temps de déglutir, un autre prenait la place… elle ne pouvait bien sûr pas tous les pomper, alors elle s’activait aussi avec ses deux mains, masturbant énergiquement, les unes après les autres, les bites qui l’encerclaient de toute part, elle était tellement sublime qu’en quelques secondes ça jaillissait de partout sur ses cheveux, son visage, ses épaules… sa beauté grandissait à mesure qu’elle devenait un réceptacle débordant, que sa peau brune, plus précieuse que tous les aurores boréals, absorbait la souillure ; un spectacle inoubliable, plus que prodigieux, cette féminité merveilleusement maculée, cette face aux traits parfaits éclaboussée, couches après couches, d’épaisses coulures de purée séminale, cette crinière noire recouverte de traînées blanchâtres, ces seins à la rondeur arrogante et pimentée jusqu’aux tétons saillants de jute, ce con, ce précieux baveux, si impudiquement offert, cette cambrure de reins vertigineuse, promontoire idyllique pour un cul que la sodomie semblait avoir encore musclé, magnifié… Et les hommes éjaculaient, éjaculèrent, jusqu’au dernier…
Quand les 22 mâles furent tous soulagés, ils s’écartèrent avec déférence, tellement reconnaissants qu’en signe d’allégeance, ils baissèrent la tête. La Beauté se leva. Face gavée de sperme, œil droit encollé par un paquet de semence et quasiment fermé, bulles de foutre se formant sous ses narines quand elle respirait, lèvres outrageusement maquillées par le fard poisseux, cette jeune femme, incarnation de de l’épanouissement, en était rendue à l’état de perfection par l’outrage sexuel.
Phil subjugué, était là, planté sur sa chaise... Maintenant, il n’avait qu’avait plus qu’un seul but dans l’existence : qu’elle lui pardonne. Il se leva, se précipita, se jeta à ses pieds. Il l’implora : " Sophie… je… Je t’en supplie… Je ferai tout ce que tu exigeras de moi… "Mais elle ne lui accorda pas la moindre attention. La jeune fille, béate, était éperdue d’amour pour l’ange qui, en retour, lui souriait avec tendresse. Jamais sentiments n’avaient paru aussi éclatants. Il était tout aussi facile de lire dans le regard de Phil, d’y lire le désespoir, l’accablement de celui qui est passé si près du paradis et n’a pas su le saisir et l’a laissé filer… L’infinie tristesse du paradis perdu. Perdu à tout jamais.
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