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Révélations incestueuses

Chapitre 1

Gay
J’ai 60ans, et une fois de plus je me retrouve dans les salles obscures d’un sex-shop. Je me promène la queue à l’air, bien dressée, dans l’espoir d’un contact. Un minet d’à peine 20 ans s’approche de moi pour me dire qu’il a envie de se faire mettre. On cherche une salle libre et il s’installe à quatre pattes sur le lit. Je le fouille, le lèche, le broute, puis je me relève pour lui planter ma trique dans le cul. Je le lime, le ramone de mon mieux, et il gémit à n’en plus finir. Il aime trop ça et me préviens que je vais le faire jouir. Je lui demande de se retenir, il ne va pas pouvoir, et je me retire pour le pomper. J’ai à peine le temps de le prendre en bouche qu’il jouit généreusement; j’avale tout, ça aurait été dommage de gaspiller une si bonne sauce. Il s’est soulagé jusqu’à la dernière goutte, et je reviens entre ses reins. Je l’encule sans ménagement, il m’y encourage, puis je viens dans sa bouche pour terminer. Il me suce et boit tout ce que je lui donne.On est ravi de cette séance et on décide de remettre ça dans un moment, après s’être un peu reposé. Le lit est libre, on se fout à poil et on s’allonge pour un câlin. On se caresse, on s’embrasse, on discute, et il tient à me faire des confidences.C’est son histoire que je vais vous raconter, telle qu’il me la dite:
J’ai 19 ans, et j’ai un cousin qui a un an de moins que moi.Tout a commencé il y a un peu plus d’un an, pour mon dix-huitième anniversaire. J’ai fêté ça chez moi, et mes parents m’ont gentiment laissé l’appartement pour aller passer un week-end chez la sœur de ma mère. Je n’ai invité que des copains et mon cousin, et pas de filles, pour pouvoir boire et fumer sans être contrôlés. Un de mes meilleurs copains aime les garçons. Il a essayé de tous nous draguer, sans succès, et n’a pas insisté. Il est très gentil, sympa, fêtard, déconneur, et on l’aime tous. Il est beau, collectionne les conquêtes, et me demande s’il peut emmener son dernier petit ami en date. On l’a déjà rencontré lors de nos sorties et j’accepte. On se retrouve à huit, six copains, mon cousin et moi.Ils ont amené de quoi de quoi boire, fumer, passer le temps. Les bouteilles se vident, et sans être ivres, on est tous un peu éméchés. Un de mes potes a porté des dvd de films X, et on en passe un sur le très grand écran plat de mes parents. On est tous installés autour, sur les deux canapés, les fauteuils, les chaises ou par terre. Il y a une superbe jeune femme qui baise avec quatre mecs, et elle en prend de partout. Chacun y va de son commentaire, et chacun bande, au vu des bosses qui déforment nos pantalons. Notre copain gay demande à son ami de s’approcher et lui glisse quelques mots à l’oreille. Ce dernier s’agenouille devant lui, et défait son pantalon. On regarde, hébété, sans dire un mot pour les faire stopper. Il a descendu son froc et son caleçon aux chevilles, et caresse la belle queue de son amant. Puis il approche ses lèvres, et la bite disparaît entière dans sa bouche. On a le regard qui se promène entre l’écran et nos deux potes dont le spectacle, réel celui là, ne nous laisse pas indifférent. Notre ami dominateur s’en aperçoit:— S’il y a des amateurs pour une bonne pipe, il suffit de déballer vos queues et ma petite salope va se faire un plaisir de vous pomper.Personne ne bouge, ni ne réponds, un peu embarrassé par la situation. Seul on se laisserait tenter, mais devant les autres............ Il reprend avec des arguments:— Allez, vous n’allez pas mourir idiots. Il suce super bien, mieux que vos copines; et lui il pompe à fonds et avale tout, mieux qu’une pute et en plus c’est gratuit. Je vois deux copains échanger des mots, se motiver, et ils enlèvent le bas en même temps, par solidarité dans cette expérience. Leurs bites sont fièrement dressées, et le soumis s’en approche. Il en prend une dans chaque main, coulisse dessus en douceur, puis se penche d’un côté puis de l’autre pour les engloutir à tour de rôle. Les deux échanges des mots avec notre pote, confirme le savoir faire de son petit ami, et nous encouragent à participer nous aussi. On se regarde avec mon cousin, on se fait un petit signe, et on y va. Il est souvent chez moi, moi chez lui, et on s’est déjà vu à poil, mais avec les bites au repos complet et sans pensée coquine. C’est la première fois que l’on exhibe notre virilité, mais l’atmosphère est trop chaude pour que l’on se pose des questions. On est tous la trique éveillée, comme des mâles en rut, à attendre les bienfaits de notre invité et de sa bouche gourmande et experte. Il nous pompe tous, à fonds, avale, nous nettoie, pour notre plus grand plaisir.On a tous joui, et on range notre matos, avec un sentiment partagé, comme une amère victoire ou une glorieuse défaite. On reste encore à déconner puis un des invités sonne le départ et tous le suivent. Je reste seul avec mon cousin.On range tout, on nettoie, mes parents m’ayant prévenu qu’ils voulaient retrouver l’appart nickel. Le copain qui a apporté les dvd m’en a laissé, et on décide de les regarder. Les acteurs sont canons, autant les hommes que les femmes, les gros plans sont hard au possible, et on rebande sans tarder. J’ai les yeux rivés sur l’écran, oublie la présence de mon cousin, et libère ma queue pour me masturber. Je réalise alors sa présence, et le voit qui se branle lui aussi:— Elles sont bonnes ces salopes! Ces bites qu’elles se prennent! — Oui, et l’ami de ton copain aussi il en a pris.— Il suce trop bien, mieux qu’une fille, tu ne trouves pas?— Je ne peux pas te dire, j’ai jamais eu l’occasion. — Tu ne t’es jamais fait sucer!— Oui et nonJe suis intrigué par sa réponse, et il me confie qu’il se suce lui même. J’ai toujours rêvé d’une auto fellation sans jamais y parvenir; j’arrive juste à poser la pointe de ma langue sur le bout de mon gland. Je lui demande une démonstration , veux voir comment il s’y prend, et il accepte. Il enlève son pantalon et son caleçon, et s’installe. Il est souple, grand et mince, et je le vois passer sa jambe derrière son épaule et sa tête. Il se penche sur sa longue tige et parvient à se gober le gland tout entier. Je m’accroupis devant lui pour mieux voir, lui dit qu’il a de la chance, que j’aimerais être à sa place. Puis il me vient une pulsion, et je me saisis de sa queue, la retire de sa bouche pour la mettre dans la mienne.— Mais tu es fou! Qu’est ce que tu fais?— Je n’en peux plus. Toutes ces queues qu’il a sucé ce salaud, les films, et maintenant toi qui te pompes, ça me donne trop envie. Humm, elle est belle ta queue.— Mais tu te rends compte, tu es mon cousin! Si les parents nous voyaient!— Aucun risque, et ils n’en sauront rien. Laisse toi faire, elle en a envie ta queue, je la sens qui durcit encore plus. Il ne dit plus rien, rebaisse sa jambe et n’ose pas bouger. Je le suce comme je peux:— Ca te plait? Je ne suis sans doute pas aussi doué que notre copain.— Oui, c’est bon. Tu as déjà sucé?— Non, et toi?— Non plus, mais si tu veux je peux te sucer moi aussi. Je lui dis que oui, continue à le turlutter encore un peu, puis me lève. J’enlève le bas, et pointe mon dard devant son visage. Il me prend sans hésiter, et s’applique à me donner du plaisir. Je me retire et on va à ma chambre. On est nu et on s’allonge sur le lit, en 69. On décide de se pomper à fonds, de goûter du sperme autre que le notre. On s’attend pour éjaculer en même temps, et on avale tout sans aucune hésitation. Mes parents ne rentrent que le lendemain après midi, et on passe la nuit ensemble à se sucer plusieurs fois. Le matin on s’offre une grasse matinée, et on se suce encore. On se promet de recommencer, tout en sachant que les occasions seront rares. On prends de plus en plus de plaisir à chaque fois, et il nous tarde qu’arrive l’été, et les vacances.
A suivre................
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