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Rêveries particulières

Chapitre 2

Le champagne plaisir

Avec plusieurs hommes
Je saute sur mes pieds, direction la douche. J’ai besoin de me refaire une beauté de me sentir propre après vos attouchements divers. Pendant ce temps, vous vous êtes servi une flûte de champagne. J’entends vos voix qui me parviennent étouffées malgré le bruit de l’eau. Alors qu’il fait irruption dans la salle de bain, pour se laver les mains, Jean-Michel me trouve impudique et nue, la douche « à l’Italienne » ne cachant rien de moi. Il vient, me regarde un instant et me murmure :
— J’ai encore envie de te baiser, tu es une sacrée belle salope, et si ton mari le permet, je me ferai un plaisir de t’enculer avec force.
Bien sûr je ne réponds rien, je continue à frotter ma peau avec le gel douche. Je sais bien que tu seras entièrement d’accord et que je ferai selon tes désirs, tes ordres. Je me frotte avec le drap de bain, vous rejoins dans le salon. Vos regards accrochent ma silhouette qui avance vers vous. La serviette nouée sur le bas de mon corps semble attiser votre convoitise et vos yeux ne la lâchent pas. Je sens au creux de mes reins une chaleur douce qui remonte de mon ventre et j’ai l’impression qu’elle est perceptible par tous les deux. Assise entre vous, je bois du champagne.
Je n’attends guère avant que l’un de vous tire sur le chiffon qui me ceint le corps et que je sois entraînée par les pieds, recouchée encore une fois sur le divan. J’ai maintenant notre invité qui présente sa queue tendue à mes lèvres. Beau mélange, que cette bite alliée au champagne dans ma bouche. Je recommence à sucer avec plaisir ce gland doux comme du velours, mes doigts montent le long de la hampe et puis parcourent les deux couilles gonflées. La pointe de ma langue suit ma main et lèche le sexe raidi, puis s’aventure plus en arrière, laissant une trace de salive qui va des bourses à l’anus et elle se fait un malin plaisir à venir titiller le trou qui frémit sous la caresse.
Je sens bien que cela plait à Jean-Michel pendant que toi, tu as relevé mes deux jambes pour les placer sur le torse de notre complice. Ta bite frotte contre ma chatte, elle va sur toute la longueur et vient butter sur mon clitoris. Elle repart vers l’arrière et remonte très vite, plusieurs fois de suite et je sens que la mouille revient elle aussi m’inonder les fesses.Le gland prend appui sur mon bouton et il le caresse en tournant, c’est géant, c’est génial. Je prends un pied d’enfer. Je n’arrive même plus à me concentrer sur la fellation et je vois bien que Jean-Michel tente désespérément de me ramener dans le droit chemin.
Maintenant, le bout de ton sexe est sur l’entrée de ma chatte. Il pénètre juste de quelques centimètres, ressort pour mieux réinvestir les lieux. Je projette mon bassin en avant pour que la queue me remplisse entièrement mais tu me maintiens de telle façon que je n’arrive pas à faire ce que je veux. Je crie, je hurle mon envie, et la bite de notre invité vient me clore le bec en entrant de force dans ma bouche. Je ne maîtrise plus rien et mon envie reste intacte, complète et impérative. Mes mains sont plaquées sur le sofa et retenues pour que je bouge le moins possible. Enfin tu me pénètres toute entière et j’en frémis de la tête aux pieds.
Puis tu retires ta verge tendue, et sur le tapis, devant le divan tu te couches en m’attirant sur toi. Alors que nos lèvres se soudent, tu réintroduis ton sexe dans le mien et Jean-Michel se positionne sur moi. Je n’ai pas le temps de comprendre que déjà, il est entré lui aussi et vos deux bites se touchent dans mon vagin. Vous avez un petit moment pour vous mettre au diapason puis vos allées et venues se synchronisent. Maintenant, vous allez ensemble dans ma chatte et je suffoque, je suis entièrement remplie, je ne m’attendais pas à cette manière de me prendre, mais bon sang, que c’est bon. J’ai l’impression que j’ai une queue énorme entre les cuisses et qu’elle va m’exploser la foufoune. Les lèvres sont distendues au possible et je ressens chaque passage, chaque mouvement, il me tire des sensations nouvelles et inconnues.
Ils soupirent mes deux mâles en poussant ensemble leur engin en moi et je me sens tellement bien que je voudrais que ça ne s’arrête jamais. J’ai l’impression que je me liquéfie entièrement, tant je mouille d’être prise ainsi. La position ne doit pas être aisée pour notre invité et finalement après un long intermède où vous couplez vous deux queues en moi, Jean-Michel ressort. Toi tu continues, et tes va-et-vient sont un délice. Puis je sens la pression sur l’œillet brun. L’anneau cède presque tout de suite. Là encore, je me sens entièrement investie par ce sexe qui entre en moi comme s’il était chez lui.
Michel est aussi bien présent dans mon ventre et vos queues se croisent sans aller de concert. Vous avez besoin d’un temps d’adaptation pour enfin parvenir à vous mettre d’accord sur le rythme. C’est reparti pour un tour et à nouveau claque dans la pièce le bruit des coups de bites qui viennent frapper mes fesses. Je recommence à être chaude comme de la braise et je rue moi aussi pour que vous me pénétriez plus profondément, pour avoir un maximum de sensations. C’est toi mon mari qui éjacule le premier, je ressens la décharge au fond de moi et sans doute que Jean-Michel perçoit lui également ce frisson qui me parcours. Il gicle aussi, sa marchandise se déverse dans mon rectum et vos soupirs se mêlent aux miens.
Je laisse onduler mon bassin pour faire durer ce plaisir, pour que vous ne débandiez pas immédiatement. Après quelques minutes, le sexe qui est dans mon cul se ramolli et sort de moi, suivi en cela par celui de mon mari qui lui aussi devient mou. Nous restons cependant empilés encore quelques minutes, savourant le bonheur d’avoir jouis tous ensemble.Notre invité roule sur le côté et je suis désarçonnée par sa fuite. Me voilà de nouveau entre vous deux, bien calée, au chaud. Tu te relèves pour aller jusqu’à la cheminée remettre une bûche dans l’âtre. Les flammes crépitent, s’élèvent vers le conduit et j’ai la douce impression que j’ai encore plus chaud. Tu me demandes un café et notre invité en désire lui aussi un.
Dans la cuisine, je m’affaire et vous prépare la boisson, je la corse un peu avec le secret espoir que vous n’aurez pas un coup de fatigue prématurément. Quand je reviens vers vous, je vous trouve sagement assis, un sur le canapé, l’autre sur le fauteuil qui lui fait face. Nos regards se croisent et toi et moi savons bien que la soirée n’est nullement terminée. Les tasses sont déposées sur la table basse et vous vous servez. Je me mets à genoux entre vous deux comme pour attendre votre bon vouloir. Quand tu me fais un clin d’œil complice, je comprends que c’est à moi de reprendre les choses en main, où ailleurs du reste. Lentement, je pose ma main sur la cuisse de Jean-Michel, puis mes doigts remontent pour enserrer le mat qui est flaccide.
Au contact de ceux-ci, je sens comme un frémissement, un tressaillement qui le parcourt et il recommence à monter. Toi, confortablement installé sur ton canapé, tu te contentes d’observer la scène et tu sembles apprécier. Puis c’est ma bouche qui vient encore faire grossir le bâton de chair qui n’en attendait pas moins. Il devient conséquent et il palpite entre mes lèvres. Ma main elle, se déplace sur ce mat, retrousse le gland que j’aspire et je malaxe les testicules qui me prennent toute la paume. L’homme a posé ses mains sur mon cou et les laisse errer sur ma nuque, me forçant ainsi à le prendre plus profondément. La bite entre dans ma bouche pour se coller au fond du palais, jusqu’à la luette sur laquelle elle prend appui.

Et le bassin remue lentement, je sens les vibrations en étoffant un peu. Les mains baladeuses viennent d’atteindre mes seins et les pointes sont prises en étau entre les doigts qui les pincent fortement. Je fais mine de me relever et toi qui t’es approché, me donne une tape sur les fesses, en me disant :
— Laisse faire, laisse-toi aller.
Mais la douleur irradie mes tétons et j’ai encore un mouvement de recul. Alors sans rien dire, tu te lèves et je sais où tu te rends. Tu viens d’ouvrir notre coffre, celui où tu ranges les engins de tourments dont tu aimes te servir sur moi. C’est avec des bracelets que tu reviens vers le couple que nous formons. Tu es très rapide et en deux secondes, je me retrouve avec, sur les poignets et les chevilles, les pièces de cuirs annelées que tu tenais.C’est au tour des chaînettes d’être arrimées aux anneaux des bracelets. Je lis dans ton regard cette envie de me voir souffrir que je connais si bien.
Je ne cherche pas à résister, j’aime aussi ces plaisirs inavouables. Vous venez de me coucher sur la table du salon. Elle est suffisamment spacieuse pour que j’y sois parfaitement à l’aise. Je suis sur le dos et mes membres sont tirés par les chaînes que vous reliez aux pieds de cet autel improvisé. Tu es certain que maintenant je ne bougerai plus d’un pouce. J’attends les supplices, ils vont arriver, je le sais bien. De nouveau, tu es assis sur ton sofa pour regarder ce qui va suivre. Les doigts de Jean-Michel sont de retour sur la pointe de mes seins et il les triture sans aucun ménagement.
Il se fait un devoir de passer autour de chaque téton une cordelette que tu lui as remis. A l’extrémité de celle-ci, un nœud coulant vient serrer et emprisonner le bout sombre du mamelon. Puis, il tire vers le haut sur la corde qui entraîne le sein tout entier et relie la ficelle à la chaîne qui me retient un pied à la table. Même opération pour le second sein, me voici bizarrement ligotée. Tu me demandes d’ouvrir la bouche, ce que je fais sans rien dire. Tu sors du creux de ta main un petit objet que tu cales entre mes dents, une sorte de ressort puissant qui m’interdit de refermer les mâchoires. Là, je panique un peu mais je n’ai plus le choix. C’est toi qui décide et tu ne t’en prives aucunement.
J’ai toujours eu peur d’être ainsi à ta merci, mais les fois précédentes, tu étais seul avec moi et là j’ai la trouille de savoir que vous êtes deux. Tu donnes des ordres maintenant et Jean-Michel les suit. Tu lui demandes de mettre son sexe dans ma bouche et de l’enfoncer le plus loin possible. La bite est sur mes lèvres et elle pénètre sans trouver d’obstacle. Elle est très profondément dans ma bouche ouverte. J’ai juste de la chance c’est qu’elle ne soit pas en érection totale, mais est-ce une chance ?
— Puisque tu voulais les toilettes, et bien vas-y soulage toi !
C’est que je t’entends dire à notre invité. La panique me gagne mais comment l’exprimer puisque je ne peux ni parler ni broncher. Je ne peux que supporter et il me semble que le temps est extrêmement long entre l’ordre et l’accomplissement de celui-ci. Soudain, je sens couler dans ma bouche un liquide chaud, il me submerge, me suffoque comment faire pour ne pas le boire ? Je ne peux pas, il me faut respirer et j’avale le breuvage, c’est horrible, c’est dégueulasse, c’est immonde. La pisse me coule dans le fond de la gorge, puis je bois une première rasade, mais la miction n’est pas terminée. Elle a été longue à venir et elle dure longtemps.
J’en ai bu plusieurs fois et j’ai des hauts le cœur, si je ne l’absorbe pas assez vite le liquide me ressort par le nez et c’est une horreur, alors vaincue, je bois à grandes gorgées pour en finir le plus vite possible. L’invité secoue les dernières gouttes sur le bord de mes lèvres, rien ne m’est épargné. Il replonge son bout de chair tout mou dans mon bec grand ouvert.Penché sur moi, le sexe pendant dans ma bouche, il me touche les seins. Ceux-ci meurtris par les ficelles qui les étirent me font mal et il rajoute à ma douleur une autre souffrance. Il les fait ballotter en les remuant de gauche à droite. J’émets des sons inaudibles, mais c’est des hurlements de douleurs qui s’expriment en bruits incompréhensibles.
J’entrevois ton regard sur moi et tu sembles fier de ce que je ressens. Les doigts de Jean-Michel viennent de frôler mon clitoris et c’est avec une force inimaginable que je jouis soudain. J’ai l’impression qu’un jet de mouille jaillit de ma chatte et asperge tout ce qui se trouve autour de moi. Plus il me touche et plus je jouis, je crois que c’est maintenant comme une fontaine qui coule de mon ventre. L’homme a les mains trempées et il les passe et repasse sur mon sexe qui dégouline de partout. Moi au creux des reins, j’ai cette envie de baise, d’être remplie, je voudrais hurler, vous dire de me baiser, de me mettre une queue, là où vous voulez.
Je me moque bien de savoir qui me sautera, je veux, j’ai envie d’une bonne bite qui me prendra, qui me fera du bien. Oh ! Je vous en supplie prenez moi, prenez-moi s’il vous plait. Comme je ne peux pas le dire clairement, ma tête va de gauche à droite et un son rauque sort de ma gorge, je ne peux rien faire d’autre que de subir. Les doigts continuent et je suis encore secouée par des spasmes incessants. Je sens que mon clitoris est pincé lui aussi et il doit être gonflé, énorme, roulé entre des doigts qui me font mal. Nouveau départ pour un autre orgasme, je le sens monté du fond de mon ventre, je veux l’empêcher de sortir, le garder en moi, mais c’est peine perdue et me voici encore secouée.
Je me cambre sur la table, mes fesses se soulèvent et retombent pour remonter encore ce qui tire sur les cordes qui retiennent mes seins, la douleur me donne encore plus envie de sexe. Je deviens comme folle, Je rue de partout, tendant les chaînes qui me meurtrissent les poignets, qui m’abîment les chevilles. Ma bouche aussi se tord sous la contraction des muscles et mon voyage au pays de la jouissance reprend de plus belle. Ma poitrine se soulève, m’arrachant des soupirs, je ne gère plus rien, je suis crucifiée, bandante et bandée, je ne suis plus rien d’autre qu’un énorme orgasme.
Vous ne me touchez plus, vous vous êtes justes écartés pour regarder ce spectacle que je vous offre. Tu retires l’objet qui maintient mes mâchoires écartées et je hurle comme jamais. Je veux vous sentir !
— Je veux vous sentir ! Caressez-moi, touchez-moi, j’ai besoin de vos mains, de vos bites, je veux du cul, je veux être baisée, je veux que vous me preniez partout.
J’implore pendant que roule en moi le tonnerre de mes désirs, la foudre de mes envies.Quand enfin s’apaise le feu qui me dévore, je suis en nage, trempée de sueur de la tête aux pieds. J’ai l’impression que mon ventre s’est vidé, que j’ai perdu tout ce qu’il contenait, que mes tripes sont sorties de moi. Vous ne me quittez pas du regard et tu me délies pieds et poings. Je reste pourtant dans cette position d’écartelée un long moment. Quand j’arrive à m’asseoir de nouveau, je vois sur le tapis qui se trouve sous la table, une auréole sombre, c’est ma mouille qui a fait cette flaque, absorbée par les fibres tissées.
C’est un chemin de croix pour me rendre à la salle de bains. Mes jambes me portent à peine et je suis toute molle. J’ai des vertiges et je me dirige comme je peux vers l’eau réparatrice. Sous les jets tièdes, je reprends peu à peu mes esprits. Je n’ai sans doute jamais joui de la sorte et je comprends le sens de « Petite mort » employée parfois pour désigner l’orgasme. Tu m’as suivi, peur que je perde connaissance et tu sembles soulagé de voir que je suis revenue sur terre. Quel pied, quelle tripe j’ai pris, c’était fabuleux…
Je retourne vers vous deux qui, au salon, buvez à nouveau du champagne. J’ai droit aussi à mon verre que tu me sers dès mon arrivée. Je m’étends près de toi sur le divan. Ma nuque repose sur tes cuisses et tu caresses mon front, écartant les mèches de mes cheveux bouclés.Jean-Michel soulève mes pieds et les mets sur ses cuisses aussi. Il me masse les pieds. Je me sens bien, je m’endormirais pour peu que vos câlins ne s’arrêtent pas. Je décide que pour moi il est l’heure d’aller me coucher.
Je vous laisse en pleine discussion dans notre salon pour me rendre dans notre chambre à coucher. Je me glisse dans la soie que j’affectionne tout particulièrement et mes yeux se ferment. Les images qui se reforment derrière mes paupières closes sont celles de cette incroyable soirée. Je suis passée en quelques heures du statut de femme respectable à celui de salope que tu donnes à qui tu veux. Le plus étrange dans tout ceci, c’est que je suis déjà dans ma tête, prête à recommencer. J’en suis là de mes pensées quand le sommeil me serre dans ses longs bras. Dans une demie torpeur, j’ai l’impression que quelque chose frotte sur mes fesses. Je ne bouge absolument pas et je sens tes mains qui sont posées sur mon postérieur et le velours de ta queue bandée se colle à ma raie culière.
Tu ne cherches pas à me pénétrer, tu veux juste te masturber ainsi. Je te laisse faire, feignant juste de dormir encore. Tes mains montent de mes fesses à mon dos, lissant la peau de ma colonne vertébrale en prenant bien soin de ne pas trop appuyer, de peur de m’éveiller sans doute. Ton sexe est doux et ta respiration m’indique que tu commences à prendre un certain plaisir à me toucher de cette façon. Tu pousses plus fort la bite qui est gonflée, j’en suis tout alanguie. Dans les mouvements que tu fais pour te soulager, je remue imperceptiblement et mon bras touche un autre corps.
Celui-là est bien endormi et ma main qui vient de se positionner sur le pubis enserre le truc chaud qui dort sur le ventre de son propriétaire. J’enroule mon doigt dans les poils longs qui s’y trouve et je réalise soudain que la queue qui se frotte sur mes fesses n’est pas la tienne. En effet, Jean-Michel est rasé et toi non. Donc, c’est notre invité qui me tripote gentiment, pour son plaisir. Je joue le jeu à fond et en continuant de faire semblant de dormir, j’adopte une position qui permet au sexe derrière moi d’avoir un angle de pénétration plus adéquate.
Et sans forcer, le bout du sexe vient cogner sur les grandes lèvres. Tout doucement, le loup entre dans la bergerie. C’est le gland qui écarte les chairs, puis par petits coups de reins, notre invité arrive à être en moi, juste en me tenant par les hanches. Nous sommes comme deux petites cuillers, imbriquées l’une dans l’autre. Bien au fond, il ne bouge plus, se contentant de contracter son pénis. Il relâche la pression, recommence et j’ai une étrange sensation. J’ai envie de rouler des hanches, d’aller avant en arrière, de sentir taper ses couilles contre mes fesses, mais je ne bronche pas. Toi, tu as la respiration paisible de l’homme qui dort alors que la mienne s’accentue légèrement et je suis certaine que Jean-Michel vient de comprendre que je ne dormais plus.
Ma main se crispe sur ton sexe et il commence à monter, enfler dans le creux de celle-ci.Te voilà en érection à ton tour et j’ai l’impression que tu cherches à savoir si tu rêves ou si tu es réveillé. Bientôt, tu fais la différence entre l’inconscient et la réalité et tu bouges de manière à amener cette queue bien raide vers mes lèvres. J’entrouvre celle-là et ton oiseau est bien au chaud dans son nid douillet. Ma langue parcourt le prépuce, passe entre lui et le gland, je sais que tu adores cela.  Tu ondules maintenant et j’aime aussi cette façon de bouger qui montre combien ma caresse te ravit.
Tu t’enfonces avec délice au fond de ma gorge et je laisse aller mon bassin sur le nœud qui le lime. Très vite, je suis d’abord humide et je commence à mouiller abondamment, comme toujours quand l’envie me submerge. Je ne sais pas me retenir et c’est ce que tu préfères sans doute chez moi. Cette mouille que je t’offre, comme si je ne pouvais pas cacher ce désir, pas faire taire cette jouissance. Je feule désormais en me laissant prendre par le haut et par le bas, secouée par les signes avant-coureurs d’un orgasme encore hésitant. Salope au possible, baisée par cet homme encore inconnu de nous il y a trois jours et qui se sert de mon corps comme si j’étais sienne. Mais ne le suis-je pas vraiment ? 
Finalement non, je ne suis pas à lui, c’est toi qui me fais l’amour aux deux endroits en même temps et j’apprécie au plus haut point cet état de fait. Si c’était un autre, je jouirais de la même manière sans aucun doute, c’est toi qui instrumentalise l’acte sexuel avec un sextoys vivant. N’importe qu’elle bite aurait ce soir fait l’affaire, tu as su m’amener là où tu voulais, me donner ce plaisir décuplé qui m’envoie dans un autre monde. Je repars pour un long couloir rempli de soleil, pour un ciel bleu sans nuage, je rue encore, bougeant mon cul au rythme des coups de queue qui me percent le ventre, comme sur une musique douce qui ferait monter ma température.
J’ai la fièvre, la fièvre baiseuse, j’ai l’envie d’une salope chevillée aux tripes et je ne peux plus m’en passer. Tu tentes désespérément d’arrêter ma fellation mais je retiens ton sexe entre mes lèvres et tu laisses partir ta liqueur dans ma gorge, je la bois, j’aspire les dernières gouttes, je lèche les restes comme si j’en avais rêvé depuis des lustres. Tu n’en reviens pas, moi qui jusque-là t’ai toujours ou presque toujours refusé d’avaler ton sperme, j’en redemande, gourmande et affamée. Quant à l’autre qui bataille avec mes reins, je sens que sa flûte enchantée se raidit, arrive au paroxysme de sa forme et je m’arrache d’elle juste au moment où le jet puissant sort de sa tête rougie par l’envie.
La semence m’atteint les fesses, s’étale partout, descend le long de ma raie culière et coule sur les draps. Il me passe les doigts dans le sperme qui finit de se vider de ses couilles et amène ma main à ma bouche. Puis il se met à genou et me demande de nettoyer la bite souillée. Toi tu regardes ma langue aller et venir sur le capuchon où perle encore le liquide que je lèche goulûment. Dans ma gorge, ton sperme se mélange au sien et tu es stupéfait par ces images que tu n’aurais jamais rêvé voir.
Ta main caresse ma joue et tu tentes de me calmer, mais c’est peine perdue, maintenant je suis chaude, braise incandescente qui ne demande plus qu’à être consumée. J’ai besoin d’être encore prise, par où vous pourrez, là où vous voudrez, je m’en moque mais je veux du sexe. Je me couche sur toi, prend ton vit à pleine main, puis avec la bouche je lui redonne assez de vigueur pour m’empaler dessus. C’est moi qui mène le bal, c’est moi qui dirige les assauts, c’est moi la maîtresse du jeu. Quant à notre invité, pendant que je me baisse sur ta queue, il s’empare de mes seins et tire sur les tétons. Il s’est mis debout dans le lit et me présente sa bite à sucer. Je m’exécute avec plaisir. Elle durcit presque immédiatement. Il passe derrière moi et me donne quelques gifles sur ma croupe qui se dandine, des claques plus sonores que douloureuses.
Puis il m’emmanche d’une seule poussée et je suis prise en sandwich et le ramonage commence ! Je voulais du sexe et bien je suis servie, secouée de gauche et de droite, de haut en bas. J’ai des mains sur les fesses, des dents qui me mordent les seins et je hurle comme une damnée, que je ne veux plus que ça s’arrête. Et mes deux hommes jouissent encore au fond de mes trous qui sont bien huilés, bien graissés, alésés au calibre des pieux qui me percent.  Quelle soirée, quelle nuit ! Je ne suis pas prête à l’oublier. Ils usent de moi jusqu’à midi bien sonné et je n’arrive plus à compter combien d’orgasmes j’ai eu.
Douche et petit encas pris sur le pouce et Michel est reparti avec un Jean-Michel enchanté, espérant bien d’autres invitations. Tu es rentré vers quatorze heures et je suis dans le salon. J’ai droit à un baiser fougueux, tu me dis avoir aimé me voir ainsi me donner corps et âme à cet homme, mais également à toi. Tu m’expliques que tu voudrais encore recommencer et je ne réponds pas, puisque je sais déjà que mon avis ne serait pas respecté en cas de refus. Ce monde dont nous venons d’ouvrir une porte, me fascine peut-être plus que toi encore. Jusqu’à cette nuit, nous n’avions que fantasmé sur d’éventuelles rencontres, mais là nous avons mis un pied dans le libertinage.
J’ai aimé cela, trop sans doute et j’ai peur de ne plus pouvoir m’en passer si nous allons plus en avant sur ce chemin. Je suis certaine que me voir jouir pareillement t’a fait saisir l’importance de ce que nous faisions. L’après-midi se passe en discussions animées sur ce que nous pourrions faire et tu cherches vraiment à savoir jusqu’où je veux aller.Tu désires que je me laisse bander les yeux, que d’autres hommes que je ne verrai pas me prennent, que je sois fessée, fouettée, que je te suive finalement les yeux fermés dans un univers de perversité. Je réfléchis à tout ce que nous avançons comme théorie, à ce que tu me demandes. Tu me veux salope, soumise et je crois que j’aime cela.
J’ai envie d’avoir honte, d’être souillée, bafouée par des mains inconnues, d’être sautée par des queues dont les propriétaires ne seront finalement que tes jouets. Tu veux que nous commencions à fréquenter des clubs échangistes, que je dévoile, que je sois impudique, ouverte aux caresses furtives d’hommes excités. Au fur et à mesure des explications de tes désirs, je sens que je fonds, que je suis sur la même longueur d’onde. Mon ventre se crispe de t’entendre énumérer les fantasmes que tu voudrais que je réalise pour toi. Je résiste à l’envie de me blottir contre toi, j’écoute ce que ta voix me dit, j’apprends aussi beaucoup de toi, je découvre une facette ignorée de ta personnalité.
Et celle-là me donne des frissons, fait courir sur ma peau une chair de poule qui en dit long sur la suggestivité de tes propos. Tu me racontes combien tu aimes que je sois fessée, que tu aspires à une autre déchéance, plus morale pour moi. Je bois littéralement ces mots qui coulent de toi, je m’ouvre à ce monde ténébreux, me retenant de te dire ce « oui » que tu quémandes avec véhémence et insistance. Notre dialogue dure jusqu’au soir. Tes mains m’ont plusieurs fois touchée, effleurant ma poitrine, s’attardant parfois entre mes cuisses. Tu ne peux pas ignorer que je suis trempée, que tes paroles me liquéfient entièrement.
Du reste, tu as porté quelques fois tes doigts à mes lèvres et j’ai léché ceux-ci avec mon jus sur eux. Tu reviens sur certains arguments, optant pour la douceur, privilégiant la discussion au rapport de force. Je sais que tu as gagné, que je suis vaincue, convertie, pervertie aussi. Tu sens bien que je suis pratiquement prête après la séance de cette nuit à aller beaucoup plus loin dans l’offrande, le don de moi. Une brèche est entrouverte dans cette édifice que nous avons construit ensemble, un pas est franchi, irréversible, un cap est passé, je vais fermer les yeux et te suivre partout, mon corps le veux, le réclame.
Nous nous aimons à nouveau, ton appel est le plus fort et pendant que ton bassin creuse le mien, pendant que ton sexe m’arrache soupirs et plaintes, c’est au creux de ton oreille, juste au moment où je vais chavirer que je m’entends te dire :
— Mon Amour, emmène-moi sur ces chemins où tu veux que je te suive, je suis à toi, fais ce que tu penses être bon pour nous deux. Offre-moi encore et toujours des moments inoubliables, tu es mon maître pour toujours.
C’est à cet instant-là, précisément que nous jouissons ensemble et que nos corps autant que nos cœurs sont à l’unisson. Nos dernières paroles avant de sombrer dans l’oubli de la nuit sont éloquents.
— Je t’aime !
Mots doux dits par nos lèvres qui ensuite se soudent dans un ardent baiser amoureux.  A toi mon Michel pour l’éternité…Claude
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