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Road trip aux U.S.A.

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Le lendemain, nous devions partir visiter une réserve indienne. Pour l’occasion Aurélie avait mis une petite robe légère, sans soutien-gorge comme elle aime bien le faire. Je ne sais si elle l’avait fait exprès, mais les deux boutons du haut étaient défaits, laissant entrevoir un peu plus que la naissance de ses sublimes seins. Hubert nous avait préparés un petit déjeuner gargantuesque, œuf, bacon, céréales, fruits, pan cakes, sirop d’érable…il y avait de tout ! Il nous demanda si la nuit s’était bien passée et si le lit était confortable, en esquissant un petit sourire. Feignant de m’en apercevoir, je lui répondis que oui, nous avions parfaitement dormi.Durant tout le petit déjeuner, notre ami lorgna de manière peu discrète dans le décolleté de ma belle, se levant pour lui servir du jus d’orange par derrière et ainsi mieux profiter de la vue. Aurelie sembla ne s’apercevoir de rien. Pour ma part ça m’excitait de savoir qu’il allait peut-être encore se masturber en pensant à ma fiancée.Il fût alors l’heure de partir et, laissant notre hôte à ses fantasmes, nous prîmes la route pour la réserve Indienne. En chemin j’évoquais l’attitude d’Hubert, qui la reluquait à profusion. Elle dit qu’elle n’avait pas spécialement remarqué, enfin pas plus que les autres hommes glissa-t-elle dans un sourire mutin. Par contre elle me confirma qu’au niveau longueur de sexe, il était certainement en dehors de la norme, si elle ne s’était pas trompée dans ce qu’elle avait entrevu la veille. Et sur cette remarque, elle éclata de rire.Il faisait une chaleur torride et, après plusieurs heures à visiter, nous avons décidé d’aller nous rafraichir sur le bord d’une rivière. L’herbe était douce, l’eau fraiche, Aurélie sublime dans sa robe printanière. Nous étions seuls. Je l’embrassais, ma main posée sur son sein à travers la robe, puis par l’ouverture de cette dernière. Je sentis son téton se durcir sous la caresse de mes doigts.De sa main agile, elle défit ma ceinture, ouvrit mon pantalon et en sortit mon sexe déjà durci par le désir. Elle commença quelques va-et-vient, puis, lâchant mes lèvres, l’englouti dans sa bouche dans une douce et humide caresse. Sa langue habile s’enroulait sur mon gland, ses lèvres pulpeuses se resserraient sur ma hampe. Mon excitation était alors à son paroxysme quand…j’entendis un chien et des cris d’enfants ! Une famille était en train de débarquer ! Rapidement je renfournais mon sexe dans mon pantalon et Aurélie se rajustait. Nous faisions mine de rien, et je ne pense pas qu’ils aient remarqué quoi que ce soit. Mais quelle frustration ! Nous décidâmes alors de rentrer à la chambre au plus vite pour pouvoir finir ce que nous avions commencé.
Arrivés à la maison d’Hubert, celui-ci nous attendait assis à sa table de cuisine. Mais ce n’était pas la figure rieuse et sympathique que nous avions l’habitude de voir. Il avait le regard noir et un rictus de colère barrait son visage.Je compris instantanément les raisons de sa colère quand je vis, posé à côté de lui sur la table, le sachet contenant notre réserve de Marijuana.
— Asseyez-vous ! nous intima-t-il sur un ton qui ne laissait place à aucune contestation.
Nous obtempérâmes sans oser rien dire.
— Voici ce que j’ai trouvé en faisant votre chambre. Moi qui vous faisais confiance, vous avez amené de la drogue chez moi !— Nous sommes désolés, dis-je, mais ce n’est pas si grave non ?— PAS GRAVE ? Vous ne savez peut-être pas que la détention et la recèle de drogue est un délit fédéral dans cet état ! Non seulement vous êtes coupables aux yeux de la loi, mais je le suis également puisque cette drogue est cachée chez moi ! Vous risquez et je risque de la prison ferme et une grosse amende pour ça !— Nous sommes désolés…— Et vous croyez que vos regrets me suffisent ? Je vais être obligé de vous dénoncer à mon ami le Shérif— Nous dénoncer au Shérif ? Mais vous n’y pensez pas !— Je vais me gêner tiens ! Je ne vais pas prendre le moindre risque, payer une amende, faire fermer ma chambre d’hôte ou pire perdre mon permis de résidence pour un couple de Français drogués !— Mais nous ne sommes pas drogués !— Pour moi ceux qui consomment de la drogue sont des drogués. Je vais de ce pas vous dénoncer.— S’il vous plait non ! Si vous le désirez, on peut partir tout de suite, comme ça vous ne risquez rien.— Ça ne suffit pas comparé au risque que vous m’avez fait prendre…mais à bien réfléchir, il y a peut-être un moyen que je ne vous dénonce pas.
Je voyais là une ouverture possible dans la situation inextricable dans laquelle nous nous étions fourrés. Aurélie était atterrée, n’osant pas ouvrir la bouche dans la conversation que nous menions, Hubert et moi
— Que voulez-vous ? de l’argent ?— De l’argent non…mais vous avez quelque chose qui pourrait m’intéresser.
Et en prononçant ces paroles, il tourna un visage concupiscent vers Aurélie, toute tremblante sur sa chaise.
— La petite dame est bien appétissante, mais beaucoup trop vêtue…j’aimerais bien en voir plus. En fait j’aimerais bien en voir beaucoup plus— Mais vous n’y pensez pas ? Jamais je ne laisserai Manon se déshabiller devant vous !— Bah, alors c’est simple, j’appelle le Shérif tout de suite, je fais mon devoir de citoyen, je suis bien vu par toute la communauté, et vous allez passer quelques semaines ou quelques mois en prison, suivant l’humeur du juge.— Mais ce n’est pas possible ! juste pour quelques grammes de marijuana !— Ce n’est pas moi qui fais les lois, mais ici on n’aime pas bien les jeunes étrangers qui ne savent pas les respecter…je ne suis pas sûr que le juge a beaucoup d’indulgence…Bon alors je n’ai pas que ça à faire…vous vous décidez ?— La réponse est n..— Si, je vais le faire
Aurélie venait de me couper la parole de sa petite voix. D’une voix tremblante, d’une voix apeurée.
— Mais enfin Manon, tu ne peux pas faire ça !— On n’a pas bien le choix. On ne peut pas se permettre ni de payer l’amende ni d’aller en prison.— Voilà des paroles pleines de sagesses, rétorqua Hubert en se léchant les babines par avance. Allez petite, lève-toi et déshabille-toi !— Après vous nous laisserez nous en aller tranquille ?— Si elle fait ça bien, vous pourrez déguerpir !
Aurélie se leva lentement, tremblante et soumise, et commença à défaire le premier bouton de sa robe. Rapidement, elle attaqua le deuxième bouton.
— Eh pas si vite ma belle…tu vas faire ça doucement, pour faire monter l’excitation, comme les meilleures effeuilleuses du strip de la ville. Si vous voulez pouvoir déguerpir, il va falloir que tu arrives à me faire juter…— En prononçant ces mots d’une vulgarité inouïe, il défit son pantalon et en extirpa son sexe déjà semi-bandé. Même si visiblement celui-ci n’avait pas atteint sa taille maximale, il paraissait déjà disproportionné, avec un gland énorme recouvert encore de son prépuce. Il commença un lent va-et-vient et aussitôt le sexe grossit encore. Son énorme paluche n’arrivait pas à en faire le tour, et une grande partie en dépassait.
Pendant ce temps-là, consciente que de sa « prestation » dépendra notre sort, Aurélie entama un déhanchement lascif et commença un effeuillage digne des plus grandes professionnelles.À suivre...
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