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Roadtrip

Chapitre 5

Igoumenitsa, Grèce - Athènes, Grèce

Hétéro
Jour #5Igoumenitsa, Grèce - Athènes, Grèce454 km 
La chaleur dans la voiture m’a réveillé tôt, en regardant ma montre, je me suis rendu compte qu’il n’était même pas 7h30. J’ai alors pensé que chacune de nos nuits dans la voiture serait une épreuve. Mais peut-être était-ce aussi la faute de Nina avait son corps collé au mien. Encore profondément endormie, je la sentais qui se frottait à moi, sûrement en plein rêve érotique. Je l’ai d’abord décalée lentement de moi afin qu’elle soit mieux installée, mais lorsqu’elle a inconsciemment posé sa jambe contre mon sexe, je n’ai pas pu m’empêcher de bander, ni d’avoir envie d’en profiter.
J’ai posé ma main sur ses fesses, le plus doucement possible pour qu’elle ne se réveille pas, et tout aussi doucement, j’ai glissé mes doigts entre ses jambes, à la recherche de son sexe. Nina mouillait déjà abondamment, me confirmant la thèse d’un rêve érotique en cours. La situation m’excitait de plus en plus, et sans lâcher son entre-jambes, je me suis retiré de sous son corps, l’allongeant sur le ventre, de son côté du lit. Ses jambes restaient écartées, me laissant tout le loisir de la masturber tranquillement. Elle a recommencé à onduler du bassin, son souffle s’accélérait, et mes doigts s’enfonçaient plus facilement en elle. Cinq minutes plus tard, j’en avais trois en elle, tandis que de mon autre main, je branlais son clitoris. Elle gémissait, maintenant, et j’avais bien du mal à croire qu’elle dormait encore. Mais c’était excitant d’imaginer que si, alors j’ai fait comme si de rien n’était. J’ai fini par retirer mes doigts, gluants, et les ai remplacés par mon sexe, bandé à souhait. Je n’ai pas perdu de temps et une fois bien en elle, j’ai commencé à aller et venir en elle, sans y aller par quatre chemins, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Nina avait remplacé les gémissements par des grognements, et s’agrippait maintenant aux draps. Je l’ai baisée de plus en plus fort, jusqu’à éjaculer en elle quelques minutes plus tard, en grognant moi aussi. Nina est restée inerte une minute, le temps que je me retire, avant de me lancer un "coucou", la tête enfoncée dans son petit oreiller.
_ Je savais que tu ne dormais pas, lui ai-je dis en caressant ses fesses._ Je me suis réveillé au troisième doigt, m’a-t-elle répondu en rigolant. Tu peux me réveiller comme ça tous les jours si tu veux.
Elle s’est retournée sur le dos, et je l’ai regardée passer une main entre ses cuisses, récupérer le sperme qui y coulait déjà, et porter ses doigts à sa bouche innocemment. Elle ne le faisait même pas pour m’exciter. C’était simplement devenu la norme. Elle a ensuite enfilé sa jupe et son tee-shirt de la veille, pas de sous-vêtements bien sûr, et a coiffé ses cheveux en chignon, rapidement. Même dans la plus grande simplicité, Nina était magnifique à mes yeux.
Je me suis habillé également, aussi rapidement que Nina, et nous sommes sortis de notre van avant de monter sur le pont. Nous étions sur le point d’arriver. Penchés contre la balustrade, on regardait la côte, et le port au loin. Parfois, la jupe de Nina se relevait avec le vent, mais elle ne prenait pas la peine de la retenir, trop occupée à profiter du soleil et des quelques gouttelettes qui éclaboussaient parfois son visage. Puis un haut-parleur nous a craché des instructions et nous sommes repartis vers la voiture. Un peu plus d’une demie-heure plus tard, nous sortions du ferry. Au moment où nous allions sortir du port, nous avons croisé à nouveau la voiture de nos amis de la veille. On leur a fait un signe avec la main, et l’homme a ouvert sa fenêtre. 
_ Où est-ce que vous allez maintenant ? nous a-t-il demandé._ Athènes d’abord, et ensuite on ne sait pas encore trop._ Vous allez dans les Cyclades ?_ Peut-être. Vraiment on ne sait pas où on va exactement._ Alors quand vous serez à Naxos, appelez-nous.
La blonde à côté de lui a pris un bout de papier et a noté un numéro de téléphone avant de me le passer. Je n’ai pas eu le temps de les remercier, encore moins de leur demander leurs noms, qu’ils démarraient déjà et partaient devant nous.
_ Et bien, m’a dit Nina, je crois que la suite du voyage se profile bien.
Une fois sortis du port, on a pris la route, direction Athènes. Pendant un long moment, le GPS nous a fait longer la côte méditerranéenne, puis le golfe Ambracique, rien que de magnifiques paysages, à droite et à gauche, que Nina observait, la tête collée à la vitre. En fin de matinée, on venait d’emprunter le pont Rion-Antirion qui nous menait au Péloponnèse. Un peu fatigués par la route et la chaleur, on s’est arrêtés dans une superette pour acheter de quoi pique-niquer, puis on s’est arrêtés dès qu’on a pu. On a réussi à trouver un coin tranquille, sur une plage de galets au bord du golfe de Corinthe. Le paysage était magnifique, et l’eau était quasiment transparente.
_ Je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir, m’a dit Nina tandis que nous sortions de la voiture.
Elle avait raison, il faisait une chaleur à crever, et ce point d’eau ressemblait à un oasis au milieu d’un désert. On a mangé notre pique nique à l’ombre, face à la mer. Nina m’a reparlé de l’expérience de la veille, et m’a dit qu’elle avait vraiment très envie de rejoindre nos partenaires éphémères à Naxos. J’avais de toutes façons prévu qu’on irait faire un tour dans les Cyclades, la prochaine destination était donc validée. Puis, à peine avait-elle terminé son repas que Nina s’est levée.
_ Je n’en peux plus, a-t-elle dit en faisant passer son tee-shirt au-dessus de sa tête. J’ai trop chaud, je vais me baigner.
Elle a regardé rapidement autour de nous avant de faire glisser sa jupe le long de ses jambes. Une fois entièrement nue, elle a parcouru les quelques mètres qui nous séparaient de l’autre et s’est presque jetée dans l’eau.
_ Tu ne viens pas ?
Bien sûr que si, que j’allais venir. J’ai enlevé tous mes vêtements à mon tour, et ai rejoint Nina dans l’eau. Elle était fraîche sans être froide, c’était parfait. Nina batifolait déjà dans l’eau comme une enfant, et je l’ai prise dans mes bras. Instinctivement, j’ai posé ma main sur ses fesses, et elle a posé la sienne aux abords de mon sexe. On s’est embrassés longuement, se laissant bercer par le rythme de l’eau, qui rendait nos baisers un peu plus salés. Puis sa main a glissé un peu plus sur mon sexe, et dans les secondes qui suivaient, Nina commençait à me masturber. J’ai donc commencé à faire pareil et j’ai glissé ma main entre ses cuisses. Mais à peine avais-je glissé une phalange entre ses lèvres que Nina s’écartait de moi, ne tenant que mon sexe, et me tirant ainsi vers le bord. Nous avions maintenant de l’eau jusqu’à mi-cuisses, et Nina s’est agenouillée pour faire face à mon sexe. Sans plus attendre, elle l’a pris en bouche, puis directement dans sa gorge, comme elle le faisait si bien. Elle me prenait le plus profondément possible, prenant soin de bien s’étouffer sur mon membre, laissant couler le surplus de salive sur sa poitrine. J’ai posé ma main sur l’arrière de son crâne, lui faisant comprendre que j’allais prendre le contrôle, et elle a posé les siennes sur ses cuisses. Nina a alors encaissé mes coups de reins comme une pro, crachant et toussant, mais sans jamais se défiler. Elle me regardait de ses yeux noisette remplis de larmes, et cette simple image m’a mené au bord de l’orgasme. J’avais encore envie, et je me suis donc retiré. Un filet de bave reliait mon sexe à sa bouche.
_ Retourne toi, lui ai-je dis.
Nina s’est retournée et s’est mise à quatre pattes, les coudes et les genoux sur les galets. J’ai immédiatement glissé entre ses cuisses, mais à peine avais-je mon gland entre ses lèvres qu’elle a saisi mon membre, et l’a remonté de quelques centimètres.
_ Encule moi, m’a-t-elle dit dans un souffle, les yeux fermés, tenant maintenant ses deux fesses écartées.
Je me suis enfoncé dans son fondement lentement mais profondément. Nina grognait, la tête posée à même le sol. Alors que je la sodomisais sans ménagement, je me suis surpris à me demander comment elle pouvait encore être aussi étroite, alors que je n’avais plus aucun mal à entrer en elle. Puis, tandis que mes mains agrippaient fermement ses hanches, allant et venant en elle, j’ai tourné la tête à droite, et j’ai vu cette terrasse de restaurant au bord de la mer, à deux cent mètres, pas plus. Quelques personnes étaient en train d’y déjeuner. J’ai attrapé Nina par la crinière, et lui ai fait tourner la tête en leur direction.
_ Tu crois qu’ils nous voient ? lui ai-je dis._ Je ne sais pas. Peut-être. Tant mieux pour eux. Encule moi encore!
Elle m’excitait quand elle me parlait comme ça. Ça me rendait plus virulent encore, plus brutal dans son cul, et je pense qu’elle le savait, et que c’est ce qu’elle cherchait. Dans un tel état d’excitation, je n’ai pas tardé à sentir la sève monter à nouveau. Je me suis retiré au dernier moment, arrosant de sperme son anus encore ouvert, et ses fesses qu’elle tenait encore écartées.
Bien que vidé physiquement, j’étais encore très excité mentalement, et le fait que Nina soit nue et recouverte de sperme à la possible vue de tous y était sûrement pour quelque chose. Alors avant même que j’ai pu débander, j’ai glissé ma main entre ses cuisses poisseuses. Deux doigts sont allés entre ses lèvres, à la rencontre de son sexe trempé de désir, puis sont descendus un peu plus, et ont vite commencé à branler son clitoris. La tenant fermement avec mon autre main, je l’ai masturbée ainsi, au bord de l’eau, jusqu’à ce qu’elle jouisse comme je venais de le faire. Elle a crié, tremblé de tout son corps, et seulement après qu’elle se soit calmée, j’ai retiré mes doigts et nous nous sommes relevés. 
_ On ferait mieux de ne pas trop tarder, lui ai-je dis après l’avoir embrassée. On a encore de la route devant nous.
Nina est allée dans l’eau pour se rincer tandis que je me rhabillais et rangeais nos affaires dans la voiture. Quand elle est revenue, elle a simplement posé une serviette sur son siège pour ne pas le mouiller, mais n’a pas jugé utile de remettre ses vêtements. C’est donc nue qu’elle s’est endormie, tête contre la vitre, tandis que je reprenais la route pour Athènes.
Un peu moins de deux heures plus tard, j’ai dû la réveiller. Nous approchions d’Athènes, la circulation devenait de plus en plus dense, et les routiers étaient de plus en plus nombreux à klaxonner, très intéressés par le corps nu de Nina dans la voiture qui les doublait. C’est à contre-cœur que Nina a donc remis sa jupe et son tee-shirt. Plus nous nous enfoncions dans la ville, et plus la route devenait infernale. Entre les bouchons, et les règles de conduite qui devenaient aléatoires, je devenais fou, et j’ai été bien heureux lorsque, enfin, j’ai garé notre bolide près de notre Airb’n’b. Une vieille dame nous a accueilli et montré l’appartement. Elle ne parlait rien d’autre que le grec, aussi nous n’avons strictement rien compris, mais nous nous sommes contenté de sourire et de hocher la tête, et moi de dire "efkharisto" pour la remercier à la fin, seul mot grec que je connaissais et dont j’ai dû massacrer la prononciation. Comme à Rome, l’appartement possédait une superbe terrasse, avec cette fois-ci une vue incroyable sur l’Acropole. Mais le vis-à-vis sur les terrasses environnantes rendrait cette fois les séances de bronzage intégral plus délicates. Dès qu’on s’est retrouvés seuls, Nina a posé ses affaires dans la chambre et a immédiatement retiré ses vêtements. Je lui ai souri, en pensant qu’elle ne perdait pas une seconde pour se foutre à poils.
_ Ne me regarde pas comme ça, m’a-t-elle dit, j’ai grand besoin d’une douche.
Et elle s’est éclipsée dans la salle de bain. Pendant ce temps, je me suis installé sur la terrasse, admiré la vue un instant, et essayé de trouver un programme pour la fin de journée. Bien sûr, la très grande majorité des activités conseillées à Athènes concernait l’archéologie, et j’avais prévu d’aller faire quelques visites durant notre séjour. Mais pour l’heure, j’étais plus fatigué que curieux, et une fois Nina sortie de la douche, nous sommes allés nous balader dans le quartier, nous avons acheté deux-trois trucs dans le supermarché du coin, et en fin de journée, nous nous sommes préparé un repas que nous avons mangé sur la terrasse. Comme des locaux. Un peu plus tard dans la soirée, nous avons regardé un film sur la tablette de Nina. Film dont je n’ai vu que les quinze premières minutes, avant de m’endormir profondément contre le corps nu de ma belle brune.
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