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La route

Chapitre 2

Zoophilie
Je viens d’accepter pour la première fois que Brutus mon gentil toutou blanc me fasse sauter mon pucelage.Je suis collé depuis bientôt une demi-heure lorsque dans une dernière giclée juste pour son plaisir, il sort de moi.C’est à ce moment-là que Bourriquot hennit.
• Tu as un cheval.• Oui, Bourriquot, pourquoi.• Tu as déjà pris un bain de foutre de ton cheval.• Un bain non, mais des giclées sur le corps oui.• Tu m’emmènes près de lui.• Oui, il va être content de nous voir.
Celle qui m’a demandé cela c’est Valérie, la petite un peu boulotte, mais sans être disgracieuse.Je sors nue. Malgré le mois de mars, on se croirait déjà au printemps, c’est pour cela que j’ai mis un short ce matin.Valérie me suit avec Valentin laissant Gaëlle garder les chiens afin d’éviter d’effrayer notre cheval.Dans l’écurie mon cheval en me voyant sort sa queue.
• Valentin regarde un percheron, ce sont les mieux montés, on va s’éclater.• Tu vas t’éclater.• Non, chez la fermière l’autre jour, tu t’es dégonflé et tu as dit que tu le sucerais, la prochaine fois que l’on en croisera un, c’est maintenant, il va falloir que tu t’exécutes.Tu as perdu ton pari et la clause était de sucer un cheval pour toi et moi de me faire enfiler.• Tu as oublié de te présenter.• Véronique.• Véro, tu as déjà fait joujou avec ton cheval.• Oui, souvent mais j’attendais de perdre mon pucelage pour le mettre dans mon vagin, je le mets seulement dans ma bouche.• Tu vois Valentin, elle en a, alors à toi de jouer, regarde, il bande en la voyant.

C’est vrai, comme chaque fois qu’il me voit, Bourriquot, montre des dispositions à vouloir faire passer sa douche à qui prendrait la position.Je m’agenouille entre les jambes du cheval, je prends la main de Valentin et la pose sur la verge.Il me rejoint dans ma position.• Tu vois ces doux, tu as bien pris le vit de Brutus dans ta main dans la grange pour me la placer dans l’axe de ma fente lorsqu’il loupait l’entrée.Fais-la manœuvrer avec tes deux mains maintenant.Regarde, il aime, il a pris dix centimètres de plus.
Valentin astique la verge avec application sans un mot, il semble subjugué par le morceau qu’il a en main.
• Vas-y met le devant la bouche, je sens par les pulsions sur ma main qui s’accélère approche du moment où il va jouir, tu as fait les trois quarts du chemin, c’est aussi facile et aussi bon que ce que vous procurent Atos et Brutus.
Je vois mon nouveau copain placé la hampe à la hauteur de sa bouche et c’est le moment que choisit Bourriquot pour lâcher une première salve de foutre qui emplit la bouche entrouverte et inonde le visage du garçon.Valentin dégluti et semble apprécier, car c’est de lui-même qu’il fait pénétrer plus profondément au fond de sa gorge le gros morceau. Un deuxième get est à la limite de l’étouffer, mais il le tient fermement.
• C’était bon.• Surprenant.• Tu as sucé le cheval de Véronique, c’est bien, tu as payé ton pari perdu, c’est parfait. Mais laisse la place aux autres.Apporte cette botte de foin, pour que je sois à la hauteur.
La botte positionnée, Valérie s’allonge dessus et la verge en main commence à se caresser la fente.Elle a de très grandes lèvres qui lui permettent lorsque le morceau est bien dans la place de le recouvrir et ainsi exciter plus intensément son compagnon de baise.
• Véronique, vu que Brutus t’a ouvert la chatte, vient, à côté, je vais te la mettre.Sylvain aide nous, notre fermière va te démontrer ce qu’est une belle salope, en se faisant monter dans la même journée et pour la première fois par un chien et un percheron. Lorsque le cheval sera en place court après le coq peut-être qu’elle lui trouvera de l’intérêt.
Valérie rigole avec le coq, mais c’est bien moi les jours précédents dans cette journée mémorable qui a souhaité perdre rapidement mon pucelage pour que Bourriquot me la mette.
• Peux-tu écarter ta chatte avec tes doigts ?• Oui, mais attention, il est gros.• C’est normal, c’est un bourriquot.
Valentin place la tige qui, lorsque je la saisis avec mes deux mains, glisse en moi.Il est tellement gros que je le fais pénétrer d’une dizaine de centimètres. Comparé à la queue d’Alfred, c’est énorme la sienne lorsqu’il la sort doit avoir à peine deux centimètres.Pour sa défense, il est vrai que je ne l’ai jamais-vu après excitation et qu’il a intérêt à éviter de vouloir le faire, car un grand coup de pied dedans le ramènera à sa longueur de base.Dix centimètres, c’est suffisant pour caresser mon clito et les vibrations que je ressens chaque fois que Bourriquot fait battre ses flancs, ce qui donne des secousses sur la verge et qui fait monter en moi une vague de plaisir.Une vague qui éclate sur ma plage et dans ma plage me submerge et au moment où j’ai peur de me noyer l’orgasme qui me submerge me fait voir que je suis bien vivante. Dommage que Brutus doive repartir avec mes nouveaux copains un jour, car avec de tels amants mes journées risquent d’être chaudes pour mon intimité.
Le soir, j’installe tout le monde sans la maison et la soirée est agréable.J’ai repris mon travail surtout la traite des vaches aidées par les filles pendant que Valentin comme un pacha prend le fauteuil d’Alfred sur la terrasse pour se faire bronzer.Bronzer, en mars, le réchauffement climatique est en marche comme il est souvent dit à la radio.Brutus dort au pied de mon lit et dès le matin, je le masturbe pour faire sortir sa tige de son fourreau.Il a un mouvement pour me faire comprendre que sa femelle est tenue de se mettre en position pour se faire prendre. Sa chienne doit aller au boulot et être assurée de perdre une demi-heure lorsque l’on sera collé. Il faut soulager Brutus aussi tout naturellement j’avance ma bouche et j’avale mon chien qui apprécie rapidement me remplit la bouche de ses traits toujours renouvelés.Je me lèche les lèvres lorsque je pars m’occuper des litières de nos bovidés.
C’est dans l’après-midi que la nouvelle me parvient par l’intermédiaire du maire que je vois arriver à la maison alors que nous finissions de manger sur la terrasse.Alfred est mort d’une crise cardiaque au salon devant tout le monde lorsque les responsables du salon ont annoncé que son taureau était le gagnant pour l’année.Comme je l’ai dit, nous vivons d’une façon très spartiate pas de télé, pas de téléphone, c’est pour cela que le maire est venu me prévenir, maman, l’ayant appelée pour que l’on me prévienne.C’est en pleine forme que la journée se passe. Comme tous les jours je fais le travail en étant contente. Maman hérite des biens d’Alfred et surtout des petites boîtes en fer que je connais bien, caché dans leur chambre sous des lattes du parquet.Je connais l’existence de ces boîtes depuis mes premières règles. Un jour au collège, j’ai senti que j’arrivais au moment dont maman m’avait parlé où je passerais du monde des enfants dans celui des femmes.C’était à quelques jours du salon de Paris où Alfred avait décidé de présenter pour la première fois son taureau déjà gagnant de tous les prix régionaux. En cette fin février, il gelait à pierre fendre et j’étais avec mon pantalon de jeans qui était taché.Je suis entré à la maison et lorsque je suis passé devant leur chambre, j’ai vu Alfred à quatre pattes dans le coin de la cheminée.Je suis passé fort étonné de sa position et je suis allé me changer et me laver dans ma cuvette d’eau froide.Lorsqu’ils sont partis avec la bétaillère quelques jours plus tard, j’ai couru à la chambre et j’ai cherché. J’ai rapidement trouvé qu’avec la pointe du coupe-papier posé sur la cheminée, il était possible de faire sauter la première latte du parquet et pouvoir comme un puzzle enlever les cinq suivantes découvrant une cavité assez grande pour que cinq boîtes de fer soient rangées côte à côte.La première contenait un billet de cent francs. Certainement la nostalgie.La deuxième et la troisième des billets bien rangés et la quatrième et la cinquième étaient très lourdes et remplies de petits rectangles dorés qui semblaient bien être des lingots.Alfred nous faisait vivre dans une maison pourrie alors qu’il était riche à millions.J’ai compté les billets, il y en avait environ pour cinq cent mille euros.Pour la première fois de ma vie, j’étalais devant moi des billets de cinq, deux et cent euros. J’ai tout remis en place comprenant qu’il m’était impossible de faire savoir à quiconque le secret d’Alfred.À cette découverte, il m’est apparu plus sympathique, mais en ce jour de sa mort, je descends dans la cave voûtée sous la maison pour récupérer deux bouteilles de vin pétillant l’un des seuls plaisirs qu’il aimait se faire. Il va sans le dire que je cache l’héritage de maman à mes nouveaux copains qui comprennent simplement que, lorsque les bouchons sautent, c’est pour fêter la mort de cette carne d’Alfred qui me libère des risques sur ma personne.
C’est le lendemain que maman revient conduisant la bétaillère avec notre champion.Alfred revient de son escapade définitive dans son costume en sapin dans un corbillard directement à la morgue de la ville voisine où il va être incinéré.Je présente les copains à maman qui est contente que je l’aie est invité.Voyant Brutus et Atos, les chiens semblant l’adoptée dès qu’ils la voient sentant son chagrin, elle se baisse prend Atos par la tête et pleure dans sa fourrure.
Deux jours après, Alfred part en fumer, sauf son magot bien sûr.Maman et moi avons beaucoup pleuré nous permettant de passer pour des femmes respectueuses de celui qui avait su nous recueillir.Lorsque nous revenons du crematorium avec les cendres du disparu, nous ouvrons l’urne et nous les étalons dans le champ où son taureau pesse tranquillement.
Je suis obligé de rester sage étant donné les circonstances, mais sans aucun souci car Brutus très intelligent sent nos tensions et évite de se conduire en mâle dominant avec moi.Deux jours après, maman est convoquée chez le notaire pour parler de la succession.Valérie et Gaëlle profitent de la voiture pour aller en ville faire des achats au super marché.La pluie tombe enfin, j’ai fini mon travail et je rêvasse presque nue sur mon lit lorsqu’il entre.Non pas Brutus qui est avec Atos enfermé dans la grange mais Valentin.Il s’assoit sur le lit et me place sa main directement sur ma cuisse.
• Tu sais que tu es belle Véro, je voulais te remercier de m’avoir aidé à pomper ton cheval l’autre jour. Sans toi je l’aurai jamais fait et resté parjure.
Sa main nonchalamment monte et descend le long de ma jambe. Ma petite chatte vierge d’une bite d’homme s’échauffe et c’est moi qui l’attire lui donne ma bouche dans un baiser pour moi étant une découverte.Lorsque sa queue sort de son boxer, il est tendu à fond et sans mal après avoir arraché mon string, il est en moi.Plus gros que Brutus et moi gros que Bourriquot le garçon me donne du plaisir commun entre les deux lorsqu’il décharge et que je pars dans un orgasme étincelant lorsque j’ai des paillettes qui passent devant mes yeux.Il se repose à mon côté lorsque je prends sa queue en bouche comme je le fais avec Brutus et lorsqu’il est tendu, je me place en levrette et nous rééditons la pénétration faite avec moi quelques minutes plus tôt et en recommençant à jouir simultanément.Ma chatte est bien remplie lorsqu’il part précipitamment la voiture avec les femmes s’étant faite entendre.Pendant ces jours, je vais souvent avec Valérie cajoler Bourricot chaque fois que je le nourris.Pour la première fois après l’hiver, je le lâche dans son pré où il retrouve avec envie l’herbe grasse qui pousse après les trois jours de pluie. Une fois alors qu’avec une fourche, je fais descendre du foin pour les deux vaches qui vont nous donner des veaux alors que les autres retrouvent le pré avec leur taureau qui en tête à tête va s’occuper de les saillir allègrement.Ce matin-là Valérie vient m’aider.
• Véronique, tu crois que l’on pourrait faire avec ton taureau, ce que l’on fait avec ton cheval.
Je l’en dissuade surtout quand je vois le regard qu’elle porte sur les testicules de la bête qui pendent presque à toucher le pré.Un cheval a des sabots et un taureau possède en plus des cornes acérées.Un cheval peut ruer un taureau excité peut encorner, elle comprend que le jeu est trop inégal.J’ai la chance de pouvoir profité de Brutus deux fois dont la deuxième qui se trompe de chemin et qui pour la première avant que je m’en aperçoive et que je réagisse m’enlève le pucelage de mon anus.Sensation différente de celle que j’ai ressentie dans mon sexe de fille mais sensation quand même qui demande à être répétée.
Alors que mes amis parlent de nous quitter demain matin pour poursuivre leur route, nous partons avec la voiture de maman conduite par Valentin qui est le seul à avoir son permis faire des achats pour leurs jours prochains. J’ai emmené Brutus avec moi et en roulant je lui caresse nonchalamment le fourreau, ce qui le fait bander.Arrivé au super marché Valentin s’aperçoit qu’il a oublié son portefeuille dans la chambre que j’ai mise à leur disposition.En mâle dominant du groupe des filles, il distribue les rôles.
• Valérie et Gaëlle, vous allez commencer les courses, Véronique vient avec moi nous retournons chez toi, tu as les clefs quelquefois que ta mère se soit absentée.
Arrivé à la maison Brutus s’agite.Nous descendons et entrons du bruit de halètement comme le fait Brutus lorsqu’il saillit parvient à nos oreilles. Discrètement je pousse la porte et maman porte Atos sur son dos qui lui pénètre la chatte.
• Oui, Médor, tu es revenu, tu sais que tu m’as manqué…
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