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La route

Chapitre 3

Zoophilie
Je souhaite bien du plaisir à ma maman qui va se retrouver collés par le nœud du chien pour quelques minutes.J’ai à peine le temps de comprendre ce qui m’arrive lorsque Valentin me pousse sur le lit les fesses en l’air qu’il descend et le pantalon avec le slip et qu’il plonge en moi me pénétrant la chatte pour mon plus grand plaisir.La vision de ma mère se faisant monter par le chien a dû l’exciter au plus au point lorsqu’il m’envoie la totalité de son sperme au fond de mon corps.Je me rajuste, il passe dans sa chambre et alors que je repasse devant, je l’entends dire.
• C’est bien Médor, tu sais que j’aime ce bon moment ou je suis collé à toi et que je sens ton sperme remuer dans mon ventre.
J’en ai assez entendu sur ce que maman semble faire depuis longtemps avec notre chien disparu et le transfert qu’elle a fait sur Atos persuadé qu’il est revenu pour elle. Nous nous éclipsons pour rejoindre les filles qui nous enguirlandent de les avoir faite attendre une bonne heure.Le lendemain, ils partent et je me sens triste que Brutus me quitte, lorsque Valentin prend la parole.
• Annabelle et Véronique, les filles et moi nous vous remercions de la manière que vous nous avez accueillie. Nous avons discuté tous les trois cette nuit et pour vous récompenser, nous avons décidé à toi Annabelle de te confier Atos, avec ta fille, nous t’avons vu hier te faire prendre par lui et à toi Véronique de te confier Brutus, car nous avons la certitude que ces deux chiens ont trouvé leurs deux chiennes.Quant à nous, aucun problème, Valérie, va rapidement retrouver des chevaux dans les prés surtout que notre route va croiser les haras des purs-sangs qui se reposent avant d’aller courir dans les champs de courses et pour Gaëlle, je suis sûr que rapidement un chien souhaitant sa compagnie nous suivra comme les deux chiens que nous vous offrons, ont su croiser notre route.
Maman rouge de honte, qui comprend que je l’ai vu se faire prendre par Atos les regarde prendre le chemin et s’éloigner de nous.Les deux chiens, qui sont libres, car aucun n’a de collier, restent assis à nos pieds.Je suis contente, car ils font voir qui sont leurs femelles.Dès qu’ils ont disparu maman gênée semble vouloir trouver ses mots.Je la prends l’initiative.
• Suis-moi dans ta chambre, nous parlerons de ce que j’aie découvert hier et ce que tu ignores de moi quoique je sois et je reste ta petite fille.
Dans la chambre, je m’agenouille et je prends le coupe-papier pour faire sauter les lattes de parquet.
• Pourquoi, casses-tu le parquet ?• Surprise.

Je sors la boîte où la moitié des billets sont rangés et je sors une boîte avec des lingots.Maman tombe à genoux à mes côtés.
• Peux-tu me dire ce qu’ait tout cela ?• Regarde, il y en a d’autres.
Je lui raconte, comment j’ai vu Alfred un jour où je suis rentré du collège inopinément à quatre pattes près de la cheminée.Je lui raconte, comment je suis venu dès qu’ils sont partis à Paris afin de voir ce qu’il faisait et c’est ainsi que j’ai découvert qu’elle était riche.Dans mon dos, je suis loin de penser à ce qu’il se prépare.Atos et Brutus ont suivi leur femelle et lorsque nous prenons la position à genoux dans leur cerveau, leur femelle se positionne pour qu’ils les saillissent.Je sens une langue passer sur mon pantalon tapant pile à l’endroit où son simple contact déclenche en moi des ondes de plaisir.
• Brutus arrête, laisse-moi me déshabiller.
Je me permets cette privauté lorsque je vois Atos faire la même chose sous la jupe de maman où il a placé sa tête.En prenant l’initiative avec mon chien en me relevant pour me mettre nue au niveau de mon bas-ventre, je veux faire voir à maman qu’elle pouvait recommencer ce qu’elle avait fait hier, car moi aussi j’ai appris le plaisir donné par mon compagnon en me défonçant ou la chatte ou l’anus.
• Lèche bien maman, Médor, oui tu vas m’avoir jamais, je me refuserais, tu pourras me prendre autant de fois que tu le voudras comme tu le faisais avant de partir pour mieux revenir.Oui, lèche profond, tu peux attendre que je soulève ma robe pour mieux te regarder dans la glace de mon armoire lorsque tu vas entrer en moi.Tu sais que je jouis deux fois plus fort lorsque je te regarde m’enfiler.
Je suis médusé que ma petite mère est autant d’appond avec son chien devant moi.Les années qu’elle a dû compenser son mariage avec Alfred avec son chien ont créé en elle une envie irrésistible de sentir le nœud de son Médor en elle élaguant toute forme de culpabilité.J’en profite dès que mon corps est disponible pour me repositionner pour que Brutus reprenne son léchage en direct sur mon sexe.L’avantage, c’est que nos amis sont plus des baiseurs que des lécheurs et il faut qu’ils nous fassent voir que nous sommes leur chose et qu’il est impossible pour nous de dire non tellement leur force est supérieur à nôtre.
• Véronique ma petite fille, je vois que tu as goutté à nos compagnons à quatre pattes et tu m’en vois très heureuse.Profite en bien, je t’expliquerais après avoir joui tout notre saoul comment j’ai commencé.
Dans un même mouvement, ils sautent sur notre dos et leurs tiges entrent en nous.
• Véro, j’ignore où il te l’a mis, moi, c’est dans l’anus et je le sens déjà grossir en moi, regarde, je suis sa chienne, il me baise et j’en redemande.Aie, il me laboure le dos avec ses pattes en s’agrippant à moi, mais j’aime souffrir pour le plaisir qu’il me donne.Endor Médor pousse à fond et grossi encore, dilate-moi l’anus même si je reste infirme, c’est tellement bon d’avoir mal pour toi et par toi.
Je profite du moment ou le sexe de son chien est profondément ancré en elle et qu’elle doit respirer après ce flot de paroles pour moi aussi donner mon sentiment sur ce que je ressens.Brutus a pris cette fois le chemin de ma chatte et comme maman me laboure les flancs avec autant de griffure qu’elle en subit.Moi aussi j’aime lui faire voir par mes cris de jouissance même si plaisirs et souffrances se mélangent, pour rien au monde je lui demanderais d’arrêter de me piner comme une bête pour faire exploser en moi en même temps que son sperme ma position de femelle entièrement dévouée à son plaisir.
• Le salaud, Véro, il a éjaculé et je suis sûr que je vais ramasser lorsqu’il va se retourner, une seconde de douleur pour de longues minutes où il fait tout exploser dans mon ventre.Tiens, passe ta main sous le ventre, tu vas sentir comme il est gonflé de sa semence qui bouge dans mon cul.Il me comprime les ovaires et ma chatte profite, elle aussi du plaisir qu’il donne à mon anus, j’ai l’impression qu’il me prend des deux côtés.Un jour j’aimerais que tu m’aides à ce que ton chien pratique sur moi une double pénétration.
Des visions de maman prises par nos deux chiens vont me hanter, je le sens tant que ce fantasme restera fantasme.Et pourquoi serait-elle la seule à profiter de deux queues en elle, si elle réussit, je ferais pareil après que nos amants récupèrent.En attendant nous sommes collés par nos dominants et nous attendons en profitant du moindre mouvement de nos chiens pour gémir de souffrance ou de plaisir.Avec nos queues toutes souffrances se terminent inexorablement en plaisir, car l’amour est l’aboutissement du mélange de ces deux phases de la sexualité. Maman est libéré la première, mais me surprend encore lorsque avant que la queue d’Atos entre dans son fourreau protecteur, elle se couche sous lui et la suce consciencieusement. Ce que j’ai vu faire dans la grange par la copine et ce que je vois faire par ma mère à une autre dimension pour la jeune fille qui reste en moi.
• En attendant qu’il sorte de toi, je vais te raconter pourquoi j’ai pris l’habitude et aimez me faire prendre par Médor.Un jour où Alfred s’était absenté, il y a deux ans, le facteur est passé et sans que l’on ait calculé quoi que ce soit, ce nouveau préposé de vingt ans ma prise sur la table de la cuisine.Tu jouais dans ta chambre, car c’étaient les vacances et j’étais seulement couvert de mon peignoir.Il y avait des mois qu’Alfred à force de picoler était dans l’incapacité de me baiser, sa queue restant flasque même lorsque je faisais l’effort de le sucer.Excuse-moi d’être si franche et grivoise, mais tu es assez grande pour comprendre ce que j’ai enduré.
• Tu peux-y aller, moi aussi je commençais à supporter son harcèlement.• Il a voulu te sauter.• Pire, il avait envisagé de me prostituer, le voisin voulait être mon premier client.• Le salop, je suis contente qu’il soit dans son costume en bois, car je l’aurais tué.• Non, tu serais passé à côté de la belle vie avec tout ce qu’il y a sous ce parquet.• Je reviens à mon récit. Le facteur m’a baisé, et même sodomisé sur la table pendant des jours avant qu’Alfred nous surprenne un matin où mon amant avait des envies de doubler chatte et anus.Il s’est sauvé le pantalon à ses pieds tombant deux fois avant sa voiture et me laissant les seins sur la table le cul encore plein de son sperme qui venait de me lâcher.• Tu veux de la queue, tu vas en avoir.
Alfred après ces mots est sorti et est revenu avec Médor.
• À quatre pattes, mon chien va me venger.
En pleurs, j’ai refusé, il a affirmé que ce serait toi qui serais à ma place si je refusais de me faire prendre.Pour ton bien, j’ai cédé, mais rapidement la punition est devenue un moment de pur bonheur jusqu’à la mort de Médor.J’ai tout fait pour qu’il le remplace, mais fumier comme il l’était, il a bien vu le plaisir que son chien me procurait alors il a tout fait pour me priver de ces moments de pur bonheur.C’est le moment que Brutus a trouvé pour me libérer.Voulant imiter la belle salope que j’avais comme mère, je me suis couché sous lui, mais avant que j’aie eu le temps de l’avaler, elle m’avait devancé pour récolter les dernières gouttes de semence de mon chien.Tu m’excuses comment résister à ce nectar dont je suis privé depuis si longtemps…
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