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La route des vacances, les toilettes de la nationale par Sophie

Chapitre 1

Trash
Nous sommes dimanche, il est 23 h, la nuit est tombée.Nous roulons depuis la fin d’après-midi, en route pour une semaine de vacancesAprès un weekend end chez des amis, nous rejoignons notre gite, qui n’est plus qu’à quelques kilomètresC’est toi qui l’as choisi car y ayant de la famille, tu connais bien la région
J’ai très a envie de faire pipi, cela fait 50 mn que je te le disTu n’as pas voulu, comme toujours, stopper dans un petit chemin et pourtant il fait doux, presque chaudJe répète — Yves, mon chéri il faut vraiment que tu t’arrêtes, sinon je fais faire sous moi Tu cherches une aire de repos, je te connais.Le long des nationales, c’est toujours, au mieux douteux, généralement sale et puantOn y fait régulièrement des rencontres de pervers, obsédés de sexeD’ailleurs tu me réponds d’une voix où je ressens ton excitation— Sophie, ne t’inquiète pas il y en a une dans quelques kilomètresJe la connais bien, j’y ai trainé étant jeune et j’en ai des très, très bons souvenirs
Tu m’as toujours contrainte à utiliser les toilettes publiques plutôt que les chemins creux. Dès notre première sortie ou j’avais été amené à les utiliser, tu étais venu avec moi jusque dans les WC, soit disant pour me protéger. Dès que je m’étais assise, tu avais baissé ton pantalon et ton slip exhibant ta queue déjà bandée à mortVicieusement, tu m’avais regardé faire mes besoins en branlant ta grosse bite odorante sous mon nezPuis tu m’avais expliqué que tu allais me forcer la chatte encore ruisselante et me bourrer le cul encore gras sans me laisser ni le temps, ni le soin de m’essuyerTu m’avais demandé de me tourner et de prendre appui sur le mur et de tendre mon cul vers ta trique et d’écarter moi-même à deux mains mes globes fessiersJe t’avais obéi dévoilant ma chatte trempée de pisse et mon œillet souillé de merdeTu avais alors mis tes plans à exécution me défonçant longuement les deux trous de ta matraque énorme
D’un côté,— J’avais peur d’être surprise dans ces WC public au verrou qui fermait mal— Je trouvais que cela puait.— Je trouvais ignoble que tu me prennes sale, le sexe plein d’urine et la raie beurrée d’excréments.— Je pensais que c’était amoral, extrêmement dégradant et terriblement perversMais de l’autre— J’avais bien conscience tout cela faisait partie de ton plaisir, la dureté de ta queue parlait pour toi— J’étais troublé à mort par l’odeur de ta bite et surtout celle des WC, beaucoup plus forte — J’étais, moi aussi, terriblement excitée par cette perversion et j’en avais extrêmement honte — J’avais très, très envie que ta bite s’enfonce dans ma chatte pisseuse et mon cul merdeux
Maintenant, moi aussi, j’adore ce type bien crade de toilettes, la faune qu’on y trouve parfois, les parfums puissants, sans compter les souvenirs dégueulasses qui s’y rattachent…Aujourd’hui j’assume sans soucis ma recherche de sexe sale et de situations perverses dans des lieus publics
L’imagination me travaille et ma culotte est toute trempée rien que de penser à ce qui va m’arriverJe te dis que je ne tiens plus et rajoute, qu’en plus, j’ai très, très envie de faire cacaJe sais que cette évocation est celle qui te fait bander le plusD’ailleurs, aussitôt, tu glisses une main sur mon genou et la remonte lentement sous ma jupe vers mon intimitéAfin de te faciliter le travail, j’avance sur le siège, pose mes pieds sur le tableau de bord, ouvre mes cuisses en grand et te laisse ainsi un accès total à mon sexe et mon cul Tu passes un doigt sous l’élastique de mon slip et le me caresse doucement le minou, écartant mes lèvres Vicieusement, je lâche une petite giclée de pisse qui détrempe ton doigt, ma culotte puis s’écoule dans ma raieTon majeur plonge en entier dans ma moule noyée d’urine et de jute.Une fois bien lubrifié, tu viens masser ma rondelle anale déjà mouillée puis la perfore. Tu l’enfonces jusqu’au moment où tu rencontres un objet chaud et mou Tu t’y attarde et je sens ton doigt touiller la matière dans mon intestin…Content, tu retires ton doigt et le suce. Tu te tournes vers moi et me souriTu sais que je suis bien pleine et que j’ai très envie….
Enfin tu aperçois l’objet de tes recherches : l’aire de nationale de ton enfanceLe chemin d’accès s’éloigne de la route principale d’une centaine de mètres. Nous n’allons pas être dérangés…Sur le parking deux voitures arrêtées : une Clio noire et une Mercédès grise Les toilettes sont à l’ écart, pas très grandes, mal éclairéesOn se gare. Tu m’accompagnes aux WC en me pelotant vicieusement les fessesTu dois, comme moi, te demander sur qui on va tomber, qui étaient dans ces deux autos : male, femelle, couple ?Je sais que tu réfléchis intensément à ce que tu vas me faire subir contre ou de mon plein gré. Je regarde par terre pour savoir à quel type de chiottes nous avons à faire : tranquille ou lieu de rencontre des lubriques du coin, comme nous en avons très envie tous les deux ?Tient tient : des bas déchirés, une petite culotte noire abandonnéeTu les vois aussi et je sais que cela t’excite. Je m’arrête et la prends, l’ouvre. Le gousset est taché de traces diversesJe la porte à mon nez et respire la forte odeur de baise qui s’en dégageD’une main je te la tends en souriant et de l’autre je te caresse les couilles à travers le tissu de ton pantalonTu écartes les jambes pour mieux me laisser faire et renifle longuement l’objet souillé que je tendsSous mes doigts je sens que l’odeur a fait son effet, ta bite n’est plus qu’une barre, promesse de plaisirs à venirTu me prends le dessous que tu glisses dans ta poche pour notre petite collections de dessous souillés
Nous repartons. Il n’y a pas de lumière côté homme. On pénètre donc côté femme. J’imagine que, comme d’habitude, tu vas vouloir te faire sucer, m’enfiler par tous les trous, m’exhiber faisant la salope si c’est possible devant des vicieuxJe sais aussi que ton fol espoir serait, comme cela arrive parfois, d’intégrer les éventuels voyeurs à nos jeuxÇa pue fortement la vieille pisse, la merde séchée. Visiblement la DDE ne passe pas souvent et c’est tant mieux, c’est ce que l’on recherche. L’odeur prégnante me fait mouiller de plus en plusTrois cabines dont deux fermées. Surement les personnes des voitures du parking.Comme nous le voulions tous les deux nous ne sommes pas seuls...A cette heure-ci, ce doit être des amateurs de ce genre d’endroit, des vicieux comme nous…Nous entrons dans celle du milieu, la plus grande. Elle a la taille de toilettes pour handicapésLa porte a un verrou, on le tourne
Comme toujours ou presque, des graphs obscènes plein les murs. Rien que du classique : des bites énormes dans des chattes, des bouches, des culs…Mais moi je recherche les textes, les petites annoncesJe les préfère et les lis toujours avec intérêt, cela dénote des pratiques locales et permet de se mettre au diapason de ceux que l’on croise et qui en sont souvent les auteursCeux-ci sont prometteurs :-CHERCHE VIEILLE OU TRES VIEILLE SALOPE POILUE POUR GROSSE BITE JEUNE ET JUTEUSE-COUPLE BI POUR TOUTE ENVIE - NOUS AIMONS TOUS LES DEUX LES BITES ET LES CHATTES-POUR INITIATION, MATURE VICIEUSE RECHERCHE PUCEAU, PUCELLE OU JEUNE COUPLE-COUPLE MATURE ET PERVERS SOUVENT PRESENT VERS 23 H – DONNEZ RDVDe la même écriture et très intéressant à mon goût :-JE MATE TA MOULE PISSEUSE, SI TU VEUX VOIR LA MIENNE REGARDE PAR LE TROU DE LA CLOISON-JEUNE FEMME TRES CRADE RECHERCHE POUR SUCER CHATTE OU BITE AU GOUT TRES AFFIRMEMon excitation continue de monter. Il se passe des choses ici, des comme j’aime…
Comme en écho, sur chacune des cloisons, il y a des trous, pas des petits, une bite d’âne y passerait. Des flèches faites d’une matière marron sur le mur blanc les mettent encore plus en évidence. Ils y en a à deux hauteurs : à environ 30 cm du sol, pile poil au niveau de la moule quand on est accroupie pour faire pipi et à 90 cm, la bonne position quand on est debout…Je vois dans tes yeux vicieux que, toi aussi, ton imagination s’emballe Tu te penches et regardes successivement à travers les orifices de chaque côté pour vérifier que nous sommes déjà regardés et surtout faire comprendre que nous aimons être vusTu te relèves, et m’apostrophe crument — Sophie, mon amour, nous avons bien fait de nous arrêter iciC’est ce que nous recherchionsNous sommes matés. Faisons plaisir à nos voyeurs— Oh oui Yves mon chéri, tu sais que je suis une grosse salope qui aime s’exhiber devant des inconnusTes yeux deviennent pervers, tu bandes comme un âne, je le sais. J’adore ce regard
Il y a un crochet qui tient tant bien que mal sur la porte, cela va servir pour nos habitsTu me fais ôter ma jupe et ma culotte. Tu la prends et, comme tout à l’heure, tu la renifles longuement en fermant les yeux. Je regarde ton sexe, très explicite sur le plaisir que tu prendsPuis tu me l’offre et me la plaque sur mes narines. Je comprends ton excitation Ma culotte est chaude et humide du pipi dont j’ai arrosé tes doigts et de la cyprine qui a coulée de ma fente à cause à mon excitationElle sent aussi notre jouissance d’hier : sperme et mouille mélangés, résultat de l’assaut rapide dans la salle de bain de nos amis. Tu m’as pris à la sauvage : un coup dans la chatte, un coup dans le cul où tu as lâché la purée. J’avais senti dans la soirée nos jus collants se répandre dans le fond de l’entrejambe, puis sécher lentement. Ce matin, en-là regardant, avec ses traces de foutre et son auréole marron au niveau de l’anus, là on tu avais jouis, j’ai décidé, presque comme toujours, de la garder sachant que nous trouverions surement l’occasion de profiter de son parfum bestial.
C’est un de nos grands plaisirs pervers l’odeur intime de nos sous-vêtements déjà portés depuis un moment.Je renifle à petits coups la trace marron, puis la blanche. Quel bonheur. Ensuite je la lèche avec plaisir, du côté avant au côté arrière et je te roule un patin baveux pour que tu puisses en bénéficier aussi
Je suis en chemisier blanc transparent, bas noir, porte jarretelles. Tu te déshabilles entièrement. Tu aimes le contraste : toi nu, en satire priapique, moi en chienne chic et lubriqueCe sont des toilettes à la turc, vieilles est sales. De la merde est incrustée dans les pas striés et macule les bords Je suis debout les jambes écartées à ta demande, exhibant ma fente sexuelle. Tu me fais tourner sur moi-même pour être face au trou de la cloison de gauche. Le voyeur va être juste en face, pile à la hauteur de mon con, à moins de 50 cm. Il va se régaler
Vicieusement tu t’empares de mon dessous souillé et odorant et tu me l’enfiles sur la tête. Je me laisse faireLe fond du slip est, comme j’aime, juste sur mon nez et ma bouche. Les effluves de sexe négligé, de baise et d’urine m’étourdissent de bonheurExhiber cette pratique dépravée devant nos voisins m’excite à mort.
C’est toi qui m’as fait découvrir ce plaisir qui a été le préambule à la déviance de nos pratiques sexuellesUn jour je t’avais avoué que j’aimais être prise attachée aux 4 coins du lit, ce côté « viol » me faisant fantasmerCela t’avais plu et tu avais acheté le matériel nécessaire pour que, régulièrement, je devienne ta soumise Un soir, immobilisée et impuissante, les quatre membres étroitement liés à notre lit, tu m’avais interpellé— Sophie tu aimes bien les surprises ?Tu aimes le sexe cru et cela t’excite, n’est-ce pas ?J’avais bien sur acquiescé et tu avais continué— J’ai remarqué que quand nous faisions l’amour alors que je ne sortais pas de la douche, ton nez trainait longtemps sur mes boules, ma queue avant que tu ne me pompesIl me semble que les odeurs d’un sexe très mâle t’excitent à mortD’ailleurs ce soir, comme par hasard, tu m’a longuement humé avant de me lécher, puis de me sucerOr je ne me suis pas lavé le bas ventre depuis deux jours, depuis que je t’ai prise, puis enculée. J’ai même complété avec un peu de l’urine que j’ai laissé séché pour que le gout soit plus salé. Je me suis préparé pour toi et ma bite pue très fort la pisse, la merde, le sperme et la baiseJe veux vérifier jusqu’où cela te plait.
Tu m’avais alors glissé ton slip dégueulasse et encore bien humide de ton dernier pipi sur le visage. Tu avais pris le soin de t’assurer que la partie de l’entrejambe la plus odorante soit juste positionnée sur mon nezA travers l’emplacement des jambes, je t’avais fixé, yeux dans les yeux en inspirant fortement pour montrer ma soumission à ton désirTu m’avais alors glissé deux doigts dans mon minou— Mon amour, ta chatte parle pour toiJe ne t’avais jamais sentie aussi trempée, une vraie fontaineMon slip parfumé de trois jours te fait un effet fou…Je pouvais dire ce que je voulais, les faits étaient làTu avais pris ma mouille, lubrifié mon trou du cul puis tu m’avais enculé sauvagement de ta bite énormeJ’avais joui en moins de 30 secondes sous la pénétration anale et surtout des parfums suffocants mais terriblement excitant de ton slip souillé
Après m’avoir laissé reprendre mes esprits et tout en continuant à me pistonner tu m’avais questionnée— Sophie, toi aussi, depuis peu, tu gardes tes dessous quelques jours n’est-ce pas ?Je l’ai vu et surtout senti ce changement récent qui me plait tant et me fait bander comme un fouJ’aime car ta chatte n’a plus gout de savon mais de pisse, de crevette faisandée, de femme en chaleurJe t’avais répondu en rougissant— Oui Yves, j’ai découvert que, comme toi, j’adore les odeurs troubles d’une culote longuement portéeUn jour où j’allais à la salle de bain, par la porte entrebâillée, je t’ai entraperçu sans que tu me voiesTu te branlais, le nez dans le gousset d’un mes slips salesTu étais tellement beau, ta bite était si grosse, tu prenais un tel plaisir que j’ai décidé d’essayerJe t’ai laissé jouir dans ton mouchoir, sortir de la pièce, puis je me suis précipitéeL’idée tabou de faire comme toi m’avais déjà excité comme une folle. J’ai saisi puis ouvert mon slip.J’ai regardé avec attention l’entrejambe un peu tachée puis l’ai porté à mon nez.L’odeur, mélange de pipi, de mouille, m’a immédiatement transportée et j’ai commencé à me caresserLa jouissance n’a pas été longue à venir et j’ai eu très vite envie de recommencerPour avoir plus de parfums, plus de sensation, j’ai alors commencé à garder deux mes culottes deux puis trois jours Quand j’en changeais, je commençais par me masturber comme une folle, en en respirant les effluves chargés qui m’étourdissait Après la jouissance, j’essuyais ma mouille avec mon dessous avant de mettre en évidence les fonds tachés sur le dessous de la corbeille de linge sale pour te donner une grosse envie de branletteJe savais que tu prenais ton pied car elles n’étaient plus au même endroit et surtout quand tu revenais de la salle de bain je t’embrassais et je retrouvais sur la peau et les lèvres un gout et une odeur que tu m’as fait découvrir et que maintenant j’aime tropJe ne savais pas comment te le dire, j’avais trop honte Ce soir tu me combles en m’obligeant à respirer ton slip puant et à t’avouer que j’aime cela
Tu avais accéléré tout en m’embrassant à travers le tissu souillé. Avec ma langue, je caressais la tienne de l’autre côté de la barrière du tissus odorant.Nos salives détrempaient le gousset, réveillant les gouts originauxJe complétais— Pour tout t’avouer, je vais même plus loin maintenant pour mon et ton plaisirJe ne m’essuie plus après pipi et caca et quand je me douche je ne me lave plus le sexeC’est ce que j’appelle « faire ma chatte de trois jours ». Je sais que cela te fait de l’effetQuand, dans les 69, je te suce et que tu baisses mon slip taché que j’ai laissé exprès pour concentrer les odeurs, je te sens frémir sous mon parfum puissant et ta queue gonfler encore et encore dans ma bouche. Souvent même, perle un peu de liquide salé, dont je me délecteCes nuits-là, tu me fais minette pendant une demi-heure puis tu me défonces sans finJe veux maintenant être ta salope, ta soumise J’aime tes envies perverses
A ces mots, tu avais joui en hurlant ton bonheur en m’honorant d’une longue salve de foutre chaud que je sentais envahir mes intestinsEn reprenant ton souffle tu m’avais prévenu— Sophie, que je suis heureux que tu m’avoues aimer ces plaisirs interditsJ’aime que tu oses me dire être ma salope, ma soumiseComme moi, tu aimes le sexe sans limites, le sexe sale Sophie, je vais te faire découvrir de nouvelles joies Tu es vraiment la femme dont je rêvais pour conjuguer amour et sexe sans tabous aucunsCette promesse, tu l’as tenue et tu m’as initiée depuis à tant de pratiques inavouables
Mais ce soir ce sont les odeurs irrésistibles de ma culottent qui me grisentTu te mets derrière moi et appuies avec tes mains de plus en plus fort sur le ventre, sur la vessie. Je sens ta bite bandée à mort entre mes fesses.J’essaye de me retenir juste pour le plaisir de me retenir. Mais je n’en peux plusJe commence à pisser. Vicieusement, tu prends mes mains dans les tiennes et tu me force à les mettre sous mon flot dru de champagne chaud. Puis tu commences à prendre cette urine et à m’en enduire ma chatte, mes poils pubiens, mon culJe t’aide et fais comme toi, doublant la dose de pisse sur mon corpsJ’écarte mes cuisses en grand pour que tu puisses m’en mettre bien partoutJe couvre aussi ton bas ventre, ta pine gonflée de désir et tes bourses de mon pipi odorant. Je m’arrête avant d’avoir fini, pour la suite que j’imagine chaude et bouillante
Tu me mets de profil, dégage mon visage de ma culotte souillée et me fais m’accroupir pour te sucer, ta pine bien en évidence pour nos voisins des deux côtésTa bite est pleine de ma pisse et du reste de mon enculade d’hier. Je n’étais pas toute à fait vide et j’avais un peu graissé ta hampe de traces de mon caca. Toi, mon salop, tu ne l’as pas nettoyée, tu savais que je m’en régalerai. En bref, ta queue pue le sale et j’aime graveD’ailleurs je la sens d’abord pour en apprécier le fumet : urine chaude, gout de sperme et de foutre plus une odeur plus forte, plus animale, celle de ma merde d’hierJe la hume encore puis commence à lécher tes boules puis ta hampe, rendant liquide les quelques traces marrons qui restaient. Quel gout sur ton prépuce. Humm mmJe suce doucement ton gourdin pour qu’il soit toute propre en me régalant de son goût. Je sais que cela ne va durer avec ce que je t’ai dit dans la voitureTu sais déjà combien je suis pleine et je suis certaine que très bientôt ta matraque en acier va pousser ma crotte toute molle au fond de mon boyau ou plutôt l’empaler, la malaxer, la touiller…
J’abandonne ta bite et me tourne vers la cloison de gaucheJ’ai décidé de regarder à mon tour par le trou dans la cabine gauche pour savoir qui a pu profiter de très près de ma petite exhibition salace et humide, espérant très fort que cela ait été appréciéJe me penche donc en avant pour ajuster mon œil au gloryhole et, naturellement, tu en profites pour pénétrer mon sexe trempé de pisse et de mouille de ton chibre bandé Surprise c’est un couple dans la bonne cinquantaine, plutôt BCBG et non un homme seul comme souventLa femme est à genou. Je vois ses yeux se tourner vers moi et elle se met à me sourire.Elle a clairement aimé.J’espère qu’elle va me rendre un spectacle en retour du mien Elle a enlevé sa robe, l’a posée sur son sac à cotéElle est petite, ronde, l’air distingué, grande culotte blanche, sous tif enveloppant de même couleur pour contenir sa poitrine imposante, au moins du bonnet ESon mari à la chemise déboutonnée, le pantalon sur les chevilles, la bite à la main.Elle lui fait signe qu’ils sont regardéIl commence à lui pisser à flots drus dans la bouche, elle continue de sourireOn a dû leur donner des idées.... Elle ne peut tout boire et une partie de l’urine coule sur son menton puis entre ses seinsIls sont de 3/4. Je vois aussi du pipi qui s’écoule à travers sa culotte. Quelle salope, elle pisse dans ses sous-vêtements en se faisant pisser dessus !Sa culotte en devient transparente et je vois qu’elle est poilue, genre long, touffu, de haut de sa raie culière au somment de son pubis. Mature hairy comme on dit dans les sites pornosElle glisse une main dans son slip et commence à se masturber dans sa pisse qui coule sous elleJe te raconte à haute voix. Tu me pilonnes plus fort
Soudain je vois le fond de la culotte de cette femme qui se gonfle, gonfle, gonfle et devient tout foncéCette salope est en train de chier dedans....Elle veut faire plus fort que moi…Je comprends l’intérêt d’un grand modèle « old school » : rien de débordeElle sort sa main trempée d’urine de son slip et commence à malaxer cette merde par l’extérieur.Visiblement elle en ramène plein dans sa chatte et en étale dans la raie des fessesComme elle est accroupie, jambes ouvertes, l’accès est parfait pour ses manœuvres perverses. Sa branle s’accélère, la situation obscène lui monte à la tête. Se savoir observée en plus…Ses doigts se font plus insistants entre ses cuisses, alternativement de sa chatte à son cul. Ils s’enfoncent d’une phalange entière dans son slip mou et souillé. Elle ouvre la bouche et geins de plus en plus fort. Sa jouissance l’emporte
Elle reprend son souffle et ses espritsSon mari a fini sa miction. Il lui demande à voix haute et intelligible— Josette ma chérie, viens me pomper le dard avant que je t‘encule à fond devant nos voisinsObéissante, elle commence à lui téter la pine encore trempé de pipi. C’est fait, il bande comme un étalon, très grosse bite, pas longue mais très large Au bout, sublime, un énorme gland en forme de champignon. Au moins 7 - 8 cm de diamètre à ce niveau. Jamais vu quelque chose de ressemblant mais franchement c’est terriblement mouillant.Quand ça passe tes trous ça doit être jouissif
Il la relève et se mettent de profil pour que je puisse mater parfaitementIls savent bien que je les regarde, la dame annonce le programme — Maurice, c’est la femme qui mate. Avant de me la mettre, fait ton cochon, ton gros sale comme tu sais si bien faireJ’en meurs d’envie et je suis sure que cela va plaire à notre voyeuseClairement elle veut me provoquerCe salopard, il glisse sa queue dans le slip merdeux de sa femmeElle écarte ses grosses fesses à deux mains puis les ressertAinsi, il se branle tout doucement dans la raie du cul engluée. Il sort sa queue. Elle est couverte de merde. Il la remet et recommence trois fois en me la montrant bien à chaque fois, bien luisante, bien grasse.Comme il a été maladroit, une grande trainée marron zèbre la fesse gauche de sa femmeIl prend bien son temps pour que je puisse imaginer leur perversitéQuel dégueulasse...Je te raconte…. tu me défonce comme une bête
Notre voisine demande à son homme— Maurice, montre à la dame comme mon cul et ma chatte sont bien garnis. Je suis sure qu’elle va adorerIl lui baisse sa culotte : somptueux, vraiment ignoble et dégradantSon slip est plein de caca. Je comprends pourquoi elle les préfère grands Il le descend sur ses chevilles, puis l’ôte complètementIl ouvre son cul à deux mains pour que je profite de la vue et quelle vue…Sa merde est collée partout. Plein entre les fesses, normal, sa main a été efficace.Son caca a été remonté sur sa chatte, a glissé entre ses lèvres. Son pubis couvert de poils est englué de merde Elle tourne sur elle tout doucement pour bien me montrer que c’est une vraie salope qui aime la vraie merde.
Son mari se prépare. La bite marron, grasse de sa branlette pointe entre les fesses embourbées de sa femmeC’a à l’air d’être juste la bonne consistance, ni trop dur ni trop liquide, souple, collant, gras…Il la plie en deux en la faisant s’appuyer sur la porte pour que sa bite soit à la hauteur du trou dans la cloison et que je ne manque rien du spectacleLà il l’encule direct. Je vois tout : son gland énorme force à peine, il perfore l’œillet sans effort. Il doit lui démonter le cul tous les jours. Ce n’est pas possible autrement d’accepter un tel engin sans un soupir même si tout glisse dans de la merde qui sert de lubrifiant.Il la ramone lentement, comme au ralenti, sortant entièrement son pénis souillé pour mieux y replonger Quand il l’encule à fond, son pubis vient se coller au cul merdeux de sa femmeLa purée nauséabonde lui colle partout sur son bas-ventre
Je te raconteTu me dis que tu te prépares à me faire subir la même chose. Tu arrêtes de me pinerTu me dis être en train de chier dans ta main droite pour pouvoir te branler et graisser ta bite en mettant plus sur le gland, là où ça va forcer. Ton gourdin sort de moi, laissant un vide dans ma fente qui baille. Mais je sais que c’est pour du mieux, pour ce que j’ai vraiment envie depuis que tu m’as initiée : une grosse enculade bien crade devant témoinsJe t’entends te préparer avec le bruit caractéristique de la branlette au caca. Dégueulasse à souhait....Je sens l’odeur de ta merde qui monte et me monte à la têteJe te sens essuyer ta main sur mes fesses et tes doigts dans ma raie puis te remettre derrière moi Ensuite la douce et tant attendue sensation de ton gland graissé sur ma rosette analeTu me prends par les hanches et tu pousses fort, en continuJe serre les fesses car mon cul est plein et j‘adore essayer de t’empêcher de me pénétrer. Comme si je ne voulais pas, comme si je me refusais, comme si tu te violais, comme la première fois…Mais tu es trop excité, ta queue est trop dure, trop bien préparée. Tu rentres inexorablement. Ca y est, je te sens à fond, ton pubis collé à mes fessesMa boite à caca va exploserJe me sens comblée, pleine de ta pine et des excréments que je retiens depuis ce matin. Ma chatte jute par terre tellement je mouille. Tu ne bouges plus. Je suis bien, je serre mon sphincter par à coup pour branler la base de ta queue gonflée à mort. Je pousse vers toi pour que ton pal s’introduise encore, et encore plus loin Tu geins mais tu te retiens de juter dans ma merde chaude et amoureuse qui t’excite tantNous sommes à égalité avec nos voisins : les bites des hommes dans les culs pleins de leur femmeNotre voisin se décule, la queue n’est pas trop marron, nettoyée par l’œillet, sauf sous son gland qui fait parasol. Là il en reste plein, comme une couronne fétide et fascinanteSes poils sont couverts des excréments gluants de sa moitié dépravée
Il regarde sa femme. Elle lui fait signe vers la cloison qui nous sépare et déclare— Je suis sure que notre voisine a très envie de gouter à ton champignon vénéneux. Je l’ai vu dans ses yeux. Elle est comme moi, elle aime les bites qui ont du goût. Là elle va être gâtée…Il m’exhibe longuement sa bite souillée et l’avance vers le gloryhole.Je la vois arriver. Je commence à la sentir. Quel bonheur....Je chope son gland. Il est énorme. Ma bouche en est pleine, pleine aussi du gout de la merde de sa femme. Je le savoure comme un énorme Chuppa Chupp au caca. Je salive, je suce, j’avale. C’est un parfum que je préfère à ceux du commerce…Je lui fais tout le tour du gland avec ma langue, joue avec le méat urinaire, insiste en dessous pour ne rien laisser
Toi tu m’encules de plus en fort car tu sais ce que je fais. Tu as tout entendu et tu me connais trop bienJ’ai de plus en plus de peine à me retenir.Ma rosette lâche doucement et je sens ma merde qui commence à s’immiscer entre nous deux. L’odeur d’excréments et de pisse se renforce. Je commence à reconnaitre le bruit gluant quand tu ressors ton sexe de mon anus, ce bruit, ce « slurppp »ignoble et tellement excitant
Mon invité se retire et là, bien en vue, il prend la culotte bien pleine de merde de sa femme et s’en tartine la queue genre Nutella épais comme le ferai un enfant gourmantSi c’est pour moi, je vais en avoir plein la gueuleJe te raconte ce qui se prépare. Tu m’écoutes puis me coince de force la tête sur la cloison, la bouche face au trou. Je ne peux plus bouger. Cela me plait d’être parfois soumis à tes caprices salacesEn même temps, tu m’encules si fort que je pisse à nouveau sur tes boules, tes jambes et les miennesMa jouissance monte, monte, entre ton sexe qui me défonce dans ma merde, la scène perverse que je vois, le fait que tu m’immobilise pour devoir subir, je me laisse aller à mon plaisir, mes jambes tremblent et la volupté me saisit et m’emporteMais j’ai à peine le temps de reprendre mes esprits que ça y est, son gros gland est dans ma bouche. Le reste suit. Je suis gâtée, là il y a à manger…Je mâche, je suce, j’aspire. Trop bon Je continue. Bientôt son sexe est presque présentable
Il se retire de ma bouche, s’accroupi et me chuchote— On peut venir avec vous, mon épouse a envie de continuer avec vous et moi aussiPour lui montrer mon accord, je tends mes lèvres toutes barbouillées du caca de sa femmeIl m’embrasse avec fougue, sa langue jouant avec la mienne dans ma bouche au gout si spécialJe me relève et t’explique, ton membre toujours en moiTes yeux brillent de vice. Bien sûr tu es d’accord. Les jeux à quatre c’est ton péché mignonLà, tu te désengage de moi, le sexe toujours bandé, marron de mon enculade saleOn ouvre la porte. Ils arrivent. Ils sont beaux d’envies lubriques. Ils se présentent : — Josette et Maurice— Nous c’est Sophie et YvesElle, la chatte et le cul englués, sa robe et son sac à la main, son sous tif est resté encore blancLui sa bite énorme à tête de champignon en rut, propre sur la longueur que j’ai pu lui nettoyerIl tient dans sa main son pantalon et la grande culotte blanche de sa femme toujours pleine Pour se saluer j’embrasse la « belle ». Son haleine est chargée du gout d’urine de son mari. Il n’a pas du boire beaucoup avant car c’est puissant, concentré, fort. Sa langue me fouille à la rechercher de quelques restes bien dégueulasses en provenance de son cul.Elle s’arrête et me dit— Sophie, tu es une vraie salopeJ’ai adoré quand Yves t’as enfilé ta culote sur la têtePar les emplacements des cuisses, je voyais tes yeux briller de plaisirTu m’as tellement donné envie d’être à ta place, l’odorat saturé de parfums bestiauxAu départ Maurice voulait me sauter et me faire sauter dans ces toilettesIl voulait faire comme la semaine dernière où, un petit jeune à bien voulu de ma chatte et de mon cul et en échange a offert à mon mari son anus de puceauIl trouve mes trous trop élastiques et un cul de jeune, bien serré, il adoreMais vous ce soir vous estes partis dans nos vices les plus sordides : le très saleOn a voulu vous montrer que nous aussi on aime la pisse et la merdeMoi je rêve d’une cravate de notaire améliorée, à la graisse d’anus avec ton mariJe peux ?— Oui il va aimer aussi Moi je sais ce que je veux : l’énorme bite de Maurice dans mon cul Trop fort n’a jamais manqué comme disent les marinsJe peux aussi ?— Oui régale toi !!!
Visiblement tu as entendu notre conversation Tu as enlevé le soutien-gorge de Josette et tu lui étales entre les loches le contenu généreux de sa culotteElle se laisse faire, te souris et se met à genou. Tu prends aussi de ma merde molle tombée par terre et la mélange à la sienne entre ses seins. Puis tu y mes ton pieu et tu vas et viens dans cette graisse chaude et odoranteJosette serre ses nichons pour mieux te masturber la bite et quand tu es tout en haut, elle lèche le sommet de ton gland ou plutôt le sommet de la merde qui est sur ton gland.Maurice se branle en vous regardant. Il a pris la culotte de sa femme et la sent en se massant la queueL’odeur dans la cabine est bouleversante. Ça ne sentait pas la rose en entrant, surtout la vieille pisse. Là c’est un mélange de cette même odeur, plus du plus chaud, urine et caca frais
Je propose à l’homme de remplacer la culotte de sa femme par mon sexe. Il est d’accord. Il se met à genoux et se met à me humer puis me lécher la chatte. J’aime ce mini gant de toilette qui me nettoie et me rafraichi. J’écarte mes fesses pour qu’il puisse continuer son travail. Sa femme se branle pendant ce temps-là, la menotte dans son con embourbéJe demande — Maurice je veux ta matraque dans le cul, elle est trop tentante. Ton gland est trop fascinantIl acquiesce et ôte sa chemise, la pose avec leurs affaires et s’allonge par terre dans la merde et l’urine du sol, la bite en l’airJe viens sur lui en pose mon cul sur son monstrueux champignonJ’essaye, je force mais cela ne passe pas malgré la préparation que mon chéri m‘a fait subirYves vois que ça coince alors il appuie avec force et sans ménagements sur mes épaules pour que ça rentreJe hurle, puis d’un seul coup son énorme gland entre. Calme et volupté. Je n’ai jamais été aussi pleineTu pèses de tout ton poids pour que je l’ai totalement à fond et en moiC’est trop bon. Pour finir de me combler, tu me donne tes doigts sales à lécher
Tu abandonnes les seins de Josette et tu lui demande — Josette je suis sûr que tu es comme Sophie et que tu aimes les bites toutes dégueulassesViens gouter à la mienne !!Elle sourit, s’accroupis devant ta queue dressée et ton bas ventre couverts de marron et commence son léchage. Tes boules rasées d’abord, puis ta hampe et ton gland.Au fur et à mesure que ton sexe devient couleur chair, sa bouche, ses lèvres la langue foncent.Elle a beau saliver, avaler, les traces de son vice dévoyé sont évidents. Elle doit avoir une haleine de chacal. D’ailleurs elle se relève, te roule un patin lubrique et gouteux et se remet à son ouvrage
Tu as une grosse envie depuis le début. Enfin tu oses et lui propose— Josette, je vais te rincer le gosier à la pisse, pour te remercierContinue de me sucer en même tempsTête-moi, le champagne va venirElle te prend en bouche, à fond et tête goulument.Quand les premières gouttes arrivent, elle lève les yeux, un sourire vicieux éclaire son minois. Tu ouvres les vannes en grand et elle boit ta pisse comme on boirait au robinet Tu lui demande de s’interrompre, de te montrer sa bouche pleine de pipi.Tu adore regarder la bouche d’une femme pleine de ton urine, cela t’excite à mortElle le fait, puis tu y glisses un petit morceau visqueux et dur à la fois que tu as trouvé dans les poils de sa chatte Elle se laisse faire et avale tout... Incroyable chienne, en plus elle sourit et te regarde avec douceur...
Tout à coup une voix— Excusez-moi ! Arrêt complet de tous de nos activités de débauchésMerde la cabine de droite….Complètement oubliéeLa voix est celle d’une femme, jeune. Nous voilà déjà un peu rassurés— Je vous regarde avec envie en me branlant la moule depuis une demi-heure Ce que vous faites est dégueulasse, vicieux, ignobleMais j’ai trop envie de vous rejoindre, vous avez l’air de prendre tant de plaisir
On se regarde et on se sourit. Chic une jeunette à initier me dis-je. Visiblement on pense tous la même chosePervertir une femme dans le sale, le sordide, quel plaisir communJosette répond — Tu peux nous rejoindre, tu es la bienvenue
Je reste enculée, bien à fond et Josette se remet à sucer la bite de mon chéri pour lui montrer que sa venue ne change rien pour nousTu lui ouvres la porteJolie plante, la trentaine, grande, 1m 70, large d’épaule, petits seins qui doivent tenir dans la main, bonnet B ?Yeux marron, cheveux mi courts, châtain avec des reflex roux. Un doux et joli sourireUn chemisier rouge, une jupe bleu marine, des bas ou des collants, un grand sac noir Longchamp.Rien de vulgaire, au contraire, plutôt classique, l’air normal, très normale, trop ? Elle se présente— Je m’appelle Sylvie Une partie des graphes sont de moiJe suis une voyeuse, je viens dans la journée mater les filles qui font pipi J’aime les voir, cuisses écartées, découvrir si elles sont rasées ou pas et voir leur lèvres intimes s’ouvrir pour laisser s’échapper l’urineJ’ai vu tout type de chattes, des poilues au glabre en passant par toutes les options, des petites lèvres qui sortent, des petits abricots fendus, des grosse pèches juteuses…J’en découvre parfois qui ne s’essuient pas volontairement et leur culotte est toute mouillée en partantJ’en ai vu qui mettent leur doigts sur ou dans leur chatte et qui les sentent, les yeux ailleursD’autres qui se font une branlette rapide, ouvrant leurs lèvres, décapuchonnant leur clito avant de l’astiquerParfois, c’est plus rare, elles chient. Leur œillet qui s’ouvre sous la poussée, la pisse qui, généralement, gicle en même temps me fascinentDe temps à autre je tombe sur une vicieuse comme moi qui prend le temps de lire mon texte et recherche une moule à découvrir de l’autre côté de la cloison. Alors je me mets face au trou, face à elle, pour qu’elle puisse bien voir mon sexe ouvert et mon anus et je me branle la chatte béante et bavante. Si je peux, je pisse en même temps, les doigts dans mon pipi pour qu’elle jouisse de ma perversité
Le soir, je viens à la recherche de ceux qui fréquentent ce genre d’endroit, ceux qui matent ou s’exhibent, ceux qui viennent mettre ou se faire mettre Je viens ici aussi car je suis excitée à mort par ces odeurs de sale, de pisse, de cacaMon petit texte sur le mur m’a déjà permis, comme je le demande, de sucer des bites au goût de baise, de pisse et de merde, de déguster des moules qui foxaient la crevette avancéeLa plupart m’ont avoué, quand je les questionnais, avoir pris un vrai plaisir malsain à laisser mariner leur bite ou leur chatte plusieurs jours avant de venirMa bouche avide, ma langue agile et le fait de voir que je me délectais de leur préparation interdite et puante les faisait jouir en peu de tempsMais des dégueulasses comme vous je n’avais jamais vu
Nous l’écoutons, attentifs, pour savoir où elle en est dans notre vice si particulierJe lui demande : — Toi qui aimes le crade, qu’as- tu fais dernièrement pour te faire plaisir — Je ne suis pas complètement innocente, ma tante Christiane m’a initiée avec ma sœur MarieJ’adore les odeurs fortes, très fortes, celles des autres d’abord mais aussi les miennesJe me suis faite une petite préparation spéciale. Le week end, c’est plus discret et plus facile J’y travaille depuis jeudi. Je me suis douché tous les jours sauf le bas ventre, la chatte et le culPas de savon et le minimum d’eau sur ces endroits secrets pour le commun des mortelsJ’ai conservé la même culotte, celle de Mercredi en l’occurrence pour garder au chaud tous ces relentsA chaque pipi : j’en prends plein la main que je l’applique sur mes lèvres rasées, mon pubis poilu, mon bas ventre et entre mes fesses. Je laisse un peu sécher avant de sortir histoire que la culotte n’essuie pas toutSi je me branle, je fais la même chose avec ma mouilleQuand je fais caca, d’abord j’applique la procédure pipi puis, avant que cela sèche j’en prends un peu de merde (genre noisette) et je beurre sur le chaque côté de mes lèvres, sur mon bas ventre. Puis re procédure pipi pour faire fondre ce qui permet de mettre de la pisse "améliorée" dans ma petite touffe pour qu’elle sente bonPlus essuyage incomplet de mon œillet, plus beurrage qu’essuyage en vrai, histoire que ce soit bien marron autour de mon anusJe l’ai fait de vendredi à ce soir, au moins 10 pipi, 4 caca et 3 branlettes j’en suis sureJ’adore le contraste pervers entre l’odeur distinguée de mon Miss Dior que l’on sent au 1er abord et le remugle bestial du fond de ma culoteJ’ai fait ce qu’il fallait pour que ce soit très, très puissant ce soir car j’avais trop envie de vice et je savais que j’allais venir. Je voulais que le parfum de mon sexe soit accordé à celui de ces toilettes qui puent et à mes envies dégueulasses. Je rêvais de tomber sur des amateurs de crade et je ne voulais surtout pas les décevoir
Quand je suis rentrée dans les WC et que j’ai baissé ma culotte et relevé ma jupe : mon odeur intime m’a saisie. J’en ai pris plein les trous de nez. La vue en plus de ma culotte plus très blanche, l’idée de ces chattes, ces culs que j’allais voir à travers le trou, j’étais trempée, dégoulinanteJe me suis direct caressée et doigtée mon petit trou. De temps à autres, je le suçaisQuand vous êtes arrivés, presque en même temps et que je vous ai vus, vous dénudant, j’ai enlevé ma culotte et, accroupie, vous matant à travers le trou j’ai porté ma culotte au nez et je me suis masturbéJ’aime bien le changement entre l’odeur chaude du côté marron et l’odeur plus sexe, plus agressive du côté jaune...et sans doute et surtout le côté tabou de sentir à plein nez l’odeur de ma chatte et mon cul, surtout préparés pour la vicieuse que je suis...Ma chatte était trempée de mouille, je me suis fait jouir deux fois, le nez dans mon slip puant, mes doigts dans ma cramouille, branlant mon clito comme une folle.La première fois quand votre ami vous a obligé à sucer la queue couverte de merde du voisin à travers la cloison en vous immobilisant la têteLa seconde quand vous vous êtes empalée sur cette bite énorme, dégueulasse et que votre mari vous a appuyé sur les épaules pour que ça passe en force
Clairement ce n’est pas une oie blanche mais une vraie salope qui ne demande qu’à compléter son expérience. Je lui demande— Montre-moi et fait moi apprécier à sa juste mesure ton savoir-faire pour la préparation de ce soir. Comme sur ton graff j’adore les chattes pisseuses et les culs merdeux et je suis à la bonne hauteur Elle soulève sa jupe toute simple, bleue marine, très sageEn dessous, des Dim-Up noirs et une culotte blanche. Enfin blanche… Elle ne nous a pas mentiElle vient au-dessus de moi et rabat vicieusement sa jupe sur ma tête. J’adore cette situation perverse. Cela concentre les odeurs et avec le noir, l’imagination travaille encore plusQuel bonheur. J’ai le nez sur le devant de son slip à la hauteur de la tache jaune et humide que j’ai entraperçueMes jambes en défaillent presque de la puissance perverse qui se dégagent de ce bas ventre avilis D’abord pisse et cyprine fraiches et faisandées, puis une odeur plus musquéeJe la fait se baisser un peu pour qu’elle ouvre ses cuisses et pour accentuer l’odeur foxée qui vient du fond de sa culotte souillée de ses pratiques perversesMes narines s’enfoncent entre les lèvres de sa chatte puis ses fesses.Je prends un vrai pied. Je la branle avec mon nez pour l’exciterJe lèche ce slip, un coup de jaune, un coup de marron. Je recommence, je mouille de ma salive. Quelle harmonie de goût de sale, de honteux et de pervers dans les dessous de cette Sylvie. Elle devait être au bord de la jouissance quand elle se barbouillait d’urine et du reste. Un vrai talent, c’est sûrJ’aime le côté salope d’être sous les jupes de cette fille qui sent bon en haut, qui a l’air si sage, le nez sur son bas ventre si sale, enculée à fond, les narines débordées de ces senteurs volontaires qui me font tant mouiller
Sylvie se redresse et se déshabilleElle ôte son chemisier rouge, laisse apparaitre un soutien-gorge blanc, tout simple, assorti à son slipPuis elle enlève sa culotte avec délicatesseSuperbe chatte, lèvres volumineuses et rasées, suintante de désir, touffe de poils mi- longs sur le pubisOn voit la préparation spéciale à la noisette dont elle nous parlé car ses lèvres intimes sont un peu trop brunes pour être honnêtesElle écarte ses fesses. L’œillet est tout marron ainsi que 5 cm de chaque cotéElle ne nous a pas menti. C’est du réel, pas du fantasme. Beau savoir-faire…..
Elle tend sa culotte à Maurice qui ne peut bouger, coincé sous moi, dans mon anus amoureux.Il la saisi et la respire, non la sniffe Je sens sa queue et son gland de qui enflent encore, presque comme un plug gonflable. A lui aussi ça fait un effet bœufJosette lui enlève délicatement son soutien-gorge et le pose avec ses affaires, sur son sacSylvie est maintenant nue, sauf ses Dim Up. Nous la regardons, elle a l’air si sage, si douce, si classique si ce n’étais ces yeux qui brillent d’envie et de vice. Josette lui caresse les seins et lui pince les tétonsElle a l’air se s’y connaitre en femme et comment leur donner du plaisir. Sylvie aime ça, elle gémit et ses tétons bandentJe décide de lui nettoyer les fesses pendant que mon chéri s’occupe de son sexeYves préfère l’odeur et le gout de la pisse à celle du culLà il est heureux. J’ai gouté avant, le mélange pipi, jus de femme, un poil de caca est comme il aimeQuand j’ai un peu de temps et que je me sens chienne je me fais à peu près la même chose et mon chéri adoreMoi je suis comblée, ma langue fouille et farfouille dans ces effluves qui me grisentMa langue descend doucement vers l’anus chargé de matières fécales qui bordent les plissures de son œillet. Je prends de petits morceaux de merde qui marinent depuis deux jours. Je les aspire et les avale goulument Le gout est amer et chaud, comme du bois fumé et saleJe suis une vraie salope, cochonne et vicieuse et bouffer sa merde m’excite au plus haut point
Sylvie écarte elle-même ses fesses pour que je sois à l’aiseJe sens son jus couler de sa moule ouverte sur mon mentonSoudain, Sylvie se redresse elle nous annonce— J’ai envie d’un petit pipiJe cherche une bouche accueillanteQui veut me gouter ?
Je me propose d’être la premièreElle se met face à moi, écarte ses lèvres pour que je puisse voir le trou d’où cela sortJ’aime la vue de cette chatte béante et brillante de cyprine, prête à me donner son champagneJe suis aux premières loges. Son méat s’entrouvre.Les 1éres gouttes apparaissent, j’avance ma bouche gourmande pour les boireElle se laisse un peu plus aller et me délivre l’équivalent d’une grosse gorgéeElle s’arrête et me regardeJe fais comme Josette et ouvre la bouche pour lui montrer son liquide doré, chaud et goutéJe lui fais mes yeux de biche et de vice. Pourvu qu’elle ose m’embrasser, ce sera un pas de plus dans la débaucheSylvie se décide, se penche et m’embrasse. Nos lèvres se soudent. Je lui donne ce qui vient d’elle. Sa langue se mélange à la mienne. Je la sens qui aspire sa propre pisse. Je bois le reste avec délectationElle se relève et me dit— C’est bon, trop bon. On recommence. Encore !Et nous recommençons.Mais cette fois, en m’embrassant elle glisse une main vers ma chatte, me l’ouvre délicatement, commence à me caresser le clito avec talent puis descend à la queue souillée de Maurice toujours en moiJe sens qu’elle lui branle la bite puis traine sur ses poilsNos lèvres se séparent et elle me tend ses doigts maculés de ma merde et celle de Josette Je lui souris et entrouvre la bouche pour lui montrer mon accord. Je prends son index et le suce comme une petite bite. Je l’aspire à fond puis le recrache doucement jusqu’à le ressortir et je recommenceIl faut que je lui donne envie, qu’elle aille plus loin, que je l’excite à mort, que ses derniers tabous tombentLes autres ont compris que nous sommes au point de bascule. Mon chéri lui écarte les fesses et branle son anus.Josette lui pince les tétons d’une main et a glissé trois doigts dans sa chatteSylvie a les yeux qui commencent à tournerJe glisse ma main sur la bite de Maurice qui mate comme un salop et m’enduit légèrement les doigts de ma propre merdeJe tends à Sylvie mes doigts tout en continuant à sucer son indexElle ouvre la bouche et gobe mon majeur. Elle le nettoie à fond puis va chercher deux autres doigtsNous avons gagné. Pour m’en assurer, je prends de la merde entre les fesses de Josette, en tartine ses tétons. Josette se jette sur euxJe lui tends de nouveau cette main, qui cette fois n’est pas juste un peu souillée mais bien dégueulasseSes yeux sont sans équivoque, la perversité a tout balayée. Elle prend ma main et la lèche
Une idée me vient. Je lui propose — J’ai un jeu pour toi. Toute les femmes en ont envie mais peux osent se l’avouer et encore moins l’avouer publiquementJ’ai bien entendu que c’est de me voir forcer par Yves, d’être obligé de sucer la queue dégueulasse de Charles puis enculée de force sur sa bite qui avait déclenché tes orgasmes.Donc tu ne peux nier que tu aimes le sexe imposéOn va te le faire découvrir et je suis sure que cela va te plaireOn va faire comme si on te violaitTu pourras tout arrêter quand tu veux. Un seul mot existe pour cela STOP. Les « non », « NON », les « JE NE VEUX PAS », les « ARRETEZ » et autres ne comptent pasJe suis d’ailleurs sure que tu ne le prononceras pas
Elle me regarde, rougis, hésite, rougis encore un peu plus, puis un grand sourire s’illumine sur son visage. D’une petite voie hésitante elle avoue— C’est vrai, j’ai aussi ce fantasme Mais pire, je rêve d’un viol scatoSes yeux révèlent ses désirs ultimes. Elle ne sait plus que dire et baisse les yeux. On sent bien qu’elle est prête à plus, à tout, que cela fait des années qu’elle a envie mais il manquait l’occasion.— Faites-moi tout Violez-moi !!!Souffle-t-elle avant de s’allonger par terre contre ce sol pisseux et poisseux...
Maurice se décule de mes entrailles. Il lui saisit les cheveux et tend sa bite avec ce gland si énorme vers elleSes yeux hallucinent. Elle voit ce champignon si gros, la merde sous le gland. Elle hésite, puis crie soudainement en reculant la tête— Non, NON, NON »Nous décidons d’aider MauriceJosette bloque la tête de Sylvie, Yves ses bras dans le dos et je lui immobilise les jambesMaurice passe le gland entre ses lèvres si délicates et s’enfonce un peu pour la faire taireSylvie étouffe mais rapidement, elle commence à travailler cette bite dégueulasse avec sa langue agile puis démarre le va et vient le long de la hampe souillée. Comme prévu, Sylvie apprécie d’être forcée : les faits sont là
En complément, je décide de lui travailler la moule. J’y glisse 2 puis 3, puis 4 doigtsElle est trempée de mouille. Elle se laisse aller et pisse un peu, car elle n’avait pas fini tout à l’heure. Je profite de ce complément d’humidité pour la forcer et glisser ma main toute entièreElle geint sous mon fistJe l’ouvre à fond en ouvrant et fermant mon poing dans son vagin. Je ressors, y remet la main en long, puis en bouleElle ne s’arrête même pas de sucer Maurice.Josette, cette salope, décide de corser le jeu, et se met à pisser sur la queue de son mari et sur la bouche de la jeune vicieuse qui en redemandeSylvie lâche la queue pour se mettre sous le jet d’urine de Josette. Celle-ci pisse à petit coup et notre jeune affranchie boit tout. Elle ne laisse pas une goutte. Elle est souriante visiblement elle connait et adore l’uroElle abandonne Josette et se met à lécher la pisse et la merde fondue sur les boules et les poils de MauriceIl est aux anges, la bite dressée, son champignon luisant de salive et de pipiYves relâche les bras de Sylvie qu’il maintenait encore et sa queue rejoint celle de MauriceDeux bites différentes, celle de mon homme est plus normale : épaisse et longue, rasée Sylvie passe de l’une à l’autre, Josette continue d’arroser ces deux vits de son champagne odorantSylvie lève de temps à autre son regard lubrique vers eux pour montrer le plaisir qu’elle prend
De voir cette scène, je mouille comme une fontaine et des idées encore plus perverses me traversent la têteJe vais lui fister le cul Je commence, prends le pipi de Josette qui coule de ces deux sexes et commence à lui travailler l’œilletMon index rentre tout seul dans cet anus, il a dû déjà servir. Son petit trou m’aspire, m’invitant à fourrer un autre doigt puis un autre.J’en suis à trois et je sens tout au bout une matière souple et chaudeCette salope a le cul plein, comme j’en rêvais.Je mets mes doigts en crochet, touille dans sa merde et les ressortJe lui beurre entre les fesses ce que j’ai sorti et en profite pour bien graisser ma main de cette matière chaude et dégueulasseQuatre doigts, elle couine — NON, NON, ARRETEZ, JE NE VEUX PAS... Je continue sans me laisser attendrirHeureusement que j’ai de petites mains. Je glisse le pouce et je forceSylvie me dit plus rien bâillonnée par la queue de Maurice qui a tout compris…J’insiste, un spasme de cet anus et je suis au fond, jusqu’au poignetElle doit avoir des sensations folles. Je sens un étron énorme qui me comprime la main. Elle doit l’avoir depuis au moins un jour. Quelle salope, elle a tout envisagéElle a les entrailles explosées entre ma pogne et sa merde. Ça doit lui remonter dans le boyau.Elle doit être comblée d’être fouillées ainsi, une envie de chier monstrueuse et même si elle pousse, rien de sortD’ailleurs elle a la bouche ouverte, les yeux exorbités, seule à sa jouissance perverse
Je sens ma main enserrée, engluée de sa merde.J’ouvre et ferme mes doigts, je malaxe ses excréments en une purée dégueulasseJ’en prends le maximum, ressort ma main et lui fourre dans sa moule détrempéeJe recommence, jusqu’à lui vider l’intestin et remplir son trou à biteMa main va de l’un à l’autre sans plus aucune résistanceJe lui fiste ses deux trous. Son cul est bientôt vide et son vagin plein comme un rectum qui a besoin de se viderSes lèvres intimes sont barbouillées de ses excréments. J’en profite pour lui tartiner le pubis. Un peu comme si elle était poilue comme une portugaise, mais ce n’est pas des poils…Mes mâles bandent comme des fous à l’idée de fourrer dans le gras sa chatte béante
C’est Maurice qui commence, son énorme gland violacé s’introduit dans cet antre plein de son autre trouMalgré la largeur de son outil, il passe comme dans du beurre, preuve que je l‘ai bien travailléeQuand il pousse, la merde sort de tous les côtés. Sylvie couine de plaisir. Il la travaille, machine à plaisir, machine à purée de caca. Quand leurs pubis se séparent, un bruit, un « slurpp » collant et gras se créeUn nouvel orgasme terrasse notre salope lubriqueNos yeux ne peuvent quitter la vue de ce spectacle si pervers de la bite de Maurice qui rentre, sort entièrement et replonge dans ce vagin transformé en anus sale
Mon homme veut en profiter aussi. Il demande à Maurice de se mettre sur le dos, Sylvie allongée sur lui.Maurice s’exécute sa pine toujours en placeJe me demande ce que tu veux faire puis je comprends. Mon chéri veut mettre ta bite avec celle de notre ami dans la même chatte merdeuse.Elle va le sentir passer même si je l’ai bien ouverte tout à l’heure. Je connais aussi ses petits penchants homos et sentir ta bite contre celle de Maurice te tente diablement. D’autant plus que son gland spectaculaire va te masser la hampe dans vos mouvements synchronisésTon sexe peine à rentrer dans sa chatte malgré le lubrifiant naturel que s’y trouveSylvie ne veut pas et recommence à protester — NON, NON, PAS A DEUX, PAS CA !!!!Je m’assois sur sa tête pour la faire taire et lui bloque les brasElle se calme et commence à manger ma minette et me faire une feuille de rose au chocolatElle doit avoir envie d’être forcée à faire ce dont pourtant elle rêve. Je la pense assez chienne pour çaJosette décide de nous aider en écartant de force ses lèvres pour aménager un passage plus grand. Elle va vraiment avoir ces deux pines en elle
Tu pousses, tu forces et, une fois ton gland passé, tu te glisses tout au fondAu fur et à mesure de ton avancée, la pâte molle sort de sa chatte et glisse sur les couilles velues de MauriceJe vous vois vous mettre en branle, en même temps, ou chacun votre tourSylvie ne me suce plus. Je me soulève un peu, elle halète, la bouche ouverte, les yeux renversés de bonheur.Son visage est maintenant maculé de ce qui se trouvait sur ma chatte et mon cul. Je vois que sa langue et ses lèvres ne sont plus roses mais ocres, tachés de notre vice communJe vois aussi à ton regard que tu prends ton pied, ta bite serrée dans ce conduit puant et branlée par le mandrin de Maurice
Pendant que vous bourrez Sylvie je décide de m’occuper de JosetteJe m’assieds entre ses jambes, commence par humer ce bas ventre immonde, puis lui écarte ses grandes et petites lèvres. Son clito darde. Il est gros, long. Je le décapuchonne et commence à le branler entre mes deux doigts sales.Il sort presque de sa chatte. Il a la taille d’une petite bite. Je caresse, puis serre, puis pince. Ses jambes tremblent Ma langue se glisse sur ce bouton d’amour. Je l’aspire, le pompe, le caresse, le butineJe glisse ensuite ma langue sur les bords jonchés de ses excréments, puis retourne à son clito qui se colore de ma salive souilléeJe sens son jus coloré couler de sa chatte ouverte, et je décide de m’approprier ce liquide visqueux qui s’écoule peu à peu dans ma bouche qui se remplit progressivementElle jouit une fois. J’insiste. Un nouvel orgasme la transporte
En parallèle, n’oubliant pas les envies de mâle perverti de mon chéri, j’insinue ma main entre ses fesses ouvertes et je glisse deux doigts dans son œillet. Je sens que ma caresse te plait. Je sens que tu pousses pour mieux t’ouvrir. J’en profite pour te pénétrer profondément le cul. Je sens bien qu’il n’est d’ailleurs pas très propre car mes ongles se plantent rapidement dans un objet à la texture douteuse, cela me fait sourire. Toi aussi tu as été prévoyant au cas où l’occasion se présenterait de te faire mettre.Tu te retournes vers moi pour m’embrasser
J’abandonne la chate gluante de mouille et de merde de Josette et je déverse dans ta bouche le fruit de la jouissance de cette vieille salope. Tu es surpris, mais tu m’embrasses langoureusement en avalant progressivement ce précieux nectar et je complète mon action en introduisant de nouveau deux doigts merdeux tout au fond de ton cul. Tu n’en peux plus, tu veux jouir, mais je te l’interdis. Je lèche un de mes doigts en te regardant de ce regard pervers qui dit que j’ai une idée. Je mets alors mes autres doigts dans ta bouche et tu sais que tu n’as pas d’autre choix que de te laisser faire. Tu lèches donc ces doigts qui auront fouillé bien des culs ce soir, cela te dégoute et mais tu aimes que je te force à le faire.
Maurice a surveillé mes manœuvres : mes mains entre tes globes fessiers et le fait de te forcer à lécher mes doigts. Je vois que ça le tente de t’enculer. Je lui fais signe que oui. Il peut se farcir Yves mon chéri, au sens propre et figuré. Tu ne saurais t’y opposer. Maurice abandonne Sylvie, toi aussi
Sylvie remplaces vos sexes par ses menottes et se branle en gémissant se fistant elle-même. Ses mains se vautrent dans la fange de son sexe, le pénètre, le caresse….Sa jouissance est toute proche
Tu te mets à genou, Josette, pour ne rester inactive, engloutit ton dard souillé dans sa bouche et te pompe comme une vraie salope. Elle arrive à te prendre en entier, son visage frottant contre ton pubis merdeuxElle écarte tes fesses au maximum pour son mari qui s’apprête à te mettre. Maurice avance et cale son champignon vénéneux sur ton anus. Il te prend par les hanches et te tire vers lui pour t’empaler sur son pieu géantTu grimaces. Tu n’en pas envie et même temps si. Nous avons été si loin dans le vice que ton cul réclame ce dernier plaisir, se faire prendre comme nous les femmes, devant nous par cette bite monstrueuse
Tout à coup ton œillet cède sous la poussée bestiale de ce sexe graissé. Tes yeux s’arrondissent, ta bouche fait un hoquet : Maurice est à fondIl ne bouge plus pour que tu puisses profiter de cette sensation fabuleuse que j’ai connue tout à l’heureTu laisses Josette continuer de te tailler une plume.Tu te souviendras toute ta vie de ces sensations intenses : une énorme chose dans le cul et une pipe de rêveMaurice te travaille avec méthode. Par moment il ressort complétement pour que ton anus puisse se refermer puis céder de nouveaux sous l’assaut. Cette intermittence d’ouverture et de fermeture est jouissive. Je le sais trop bienTu prends ton plaisir car maintenant tu accompagnes les mouvements, te déculant, t’enculant pour mieux sentir de nouveau cette bite déshonorer ton cul de mâle
Je me caresse, contemplant le spectacle que nous offrons. Chacun dans son délire : toi enculé comme une demoiselle, Josette suçant ton vit dégueulasse, Maurice prenant son plaisir de vrai mâle dans tes fesses souillées de petit PD, Sylvie toujours à son branle
Je sens que la fin approche. Je vois les jambes de nos deux hommes trembler sous le désir. Tu saisis la tête de Josette et l’emprisonne contre toi. Les mouvements saccadés de ton bassin sont sans équivoques : tu jouis. D’ailleurs une partie de ton sperme coule de la bouche de ta suceuseMaurice lui aussi t’accompagne et, dans un rugissement, il se vide dans ton fondement. Il reste collé à toi pour garder encore la sensation de serré, de chaud qui l’a amené à l’explosion
De mon côté aussi l’extase me surprend, me laissant pantelante, la vulve dégoulinante. Trop bon, trop fort toutes nos saloperies de vieux vicieux obsédés de sexe, d’odeurs, de sale Les corps se désunissent. Nous reprenons notre souffle, les yeux toujours troublés de la violence de notre jouissance et de la perversité de nos actes. En réplique, Sylvie jouis enfin dans un long hurlement
Nous nous regardons d’un même regard et, sans dire un mot, la même idée nous vient et nous vidons à tour de rôle ce qui reste dans nos vessies sur ce corps tout tremblant. Tu inonde ses cheveux pendant que je fais de mon mieux pour qu’elle suffoque dans mon urine. Maurice vise sa chatte et Josette ses seinsJe déplace mes hanches avec grâce pour gicler à tour de rôle sur son visage et dans sa bouche. Elle boit ce qu’elle peut et ses mains continuent sa besogne dans son sexe trempé de pisse
Josette en profite pour torcher nos culs poisseux de ses doigts afin de badigeonner le corps de cette salope
Sylvie explose une dernière fois. Ses yeux redeviennent clairs. Elle nous regarde. Elle nous sourit de ce sourire si doux. Tout simplement, elle nous remercie— Merci. Encore mieux que dans mes délires les plus fousJe rêvais de vrais gros dégueulasses et là, je suis comblée
Même si sa tante Christiane l’a initiée, ce soir elle aura été au bout de ses folles envies.Elle aura exploré tous ses ultimes interdits en compagnie de deux couples dévoyés dans des toilettes publiques
Comme moi il y a déjà longtemps, la jolie fille aux habits discrets, au sourire doux et timide est devenue une vraie femme, assumant pleinement sa part de sexe pervers et de vice sordide enfouies en elle
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