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En route pour la joie

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Elle lisait beaucoup et avait entrepris pour le voyage un roman qui semblait la captiver. Nous avions environs 600 km à faire depuis Paris direction la mer, c’était l’été il faisait beau dehors et chaud dans ma vieille voiture. Nous ne parlions pas, je l’observais du coin de l’œil elle me regardais lorsqu’elle tournait sa page. Se n’était pas dans ses habitudes de lire des romans érotiques mais ce jour la elle en lisait un.Elle avait été abandonnée à l’âge d’un an et son enfance n’avait été qu’une suite de brimades et d’abus. A 15 ans elle s’était enfuie de chez sa famille d’accueil et avait fugué de tous les foyers ou elle fut placée jusqu’à sa majorité. Elle était magnifiquement belle, forte et fragile. On s’était rencontré durant des vacances sur la cote d’azur grâce à des amis communs. Elle sortait avec un garçon que je connaissais et malgré ma méfiance quand elle a jeté son dévolu sur moi je suis tombé totalement amoureux pour la première fois de ma vie. Elle était cette fille belle et romantique que j’appelais de mes vœux depuis toujours. J’étais clean, fils aimé et équilibré, contrairement aux gens qu’elle fréquentait, j’étais sa porte de sortie vers la normalité qu’elle recherchait. Caroline avait maintenant 23 ans, elle était faite de rage et d’amour et nous étions ensemble depuis 5 ans.Nous n’avions pas fait 100 km qu’elle avait déboutonné mon jeans et me suçait goulûment, j’ai joui distraitement dans sa bouche, mais pas elle, malgré ma main qu’elle avait fourré dans sa culotte elle était loin d’être rassasier, elle avait envie de baiser et n’avait rien d’autre à faire. La pauvre se languissait sur son siège. Elle me grogna dessus et entrepris de se caresser vindicative, m’aguichant, moi et les chauffeurs de poids lourds que je doublais, pas trop vite pour leur faire coucou en passant, nous rions quand on entendait leurs puissants klaxons. Nous étions joueurs. Elle avait retiré son short en jean, les pieds nus sur le pare brise, les jambes écartées elle se faisait plaisir avec ses doigts. Elle ne pouvait pas se masturber sur le ventre comme elle aimait le faire, malgré ça elle avait l’air de bien profiter. C’était magnifique. J’étais d’humeur taquine et je décidais de ne pas répondre à son pied qui se promenait entre mes jambes et sa mou boudeuse. Sa frustration m’amusait, elle était m’a prisonnière bouillonnante. Je lui proposais de lui trouver un auto-stoppeur pour s’occuper d’elle. J’en avais vu au départ de Paris, c’était le début des vacances. Elle m’a mis au défis de le faire, agacée que je ne m’arrête pas.Depuis quelques temps nous avions franchis un cap dans notre relations nous avions eu quelques expériences « libertines » nous étions échaudés et sur la route comme Bonnie and Clyde. J’ai alors entrepris de visiter toutes les aires de repos. Elle à remis son short sans sa culotte, réajuster le mini haut qu’elle portait sans soutien gorges et cherchait avec moi sa proie à défroquer.Quelques aires plus loin un jeune types brun la vingtaine avait le pouce en l’air. Je l’ai interroger du regard en levant les sourcils, elle a relevé le menton pour seule réponse. Elle n’était pas genre à se débiner. Je me suis arrêté, il est monté a l’arrière, il allait je ne sais ou, j’ai redémarré, allure de croisière lente. Il avait l’air sympa. Je lui ai rapidement dit qu’on avait de la route à faire, que ma femme était excitée et qu’on l’avait pris pour qu’il s’occupe d’elle. Surprise et incrédulité sur son visage. Elle le regardait amusée, visiblement il ferait l’affaire. On à attendu sa réaction qui n’est pas venue. Au bout d’un moment elle à pris son embarras pour un consentement. Elle a enjambé le siège avant en prenant bien soin de lui proposer une vue plongeante sur ses seins. Un homme normal pouvait difficilement refuser ce genre de service. Elle était mince et gracieuse, les cheveux mi long auburn à cette époque, de grands yeux verts. Elle s’est assise tout près de lui, il n’était pas à l’aise mais il se laisserait faire, elle se chargerait de tout. Il m’était difficile de tout voir, c’est elle qui me raconta en détail se qui allait suivre. Elle l’approcha plus près encore et l’embrassa doucement, glissant ses lèvres sur sa bouche, elle promenait sa main sur son torse en direction de son entre jambe, il comprit très vite que c’était du sérieux, je me faisais oublier. Quand elle senti son captif rassuré elle se recula, retira son petit débardeur offrant ses seins à la caresse de sa main, puis de ses 2 mains elle déboutonna le jeans et libéra le sexe en érection, joli et de belle taille, elle le caressa un moment puis en approcha ses lèvres en regardant sa victime dans les yeux.Après quelques coups de langue sur le bout de son gland elle le pris profondément dans sa bouche et se mis à le sucer goulûment lui aussi. Son message était clair, et pour lui et pour moi. Vois comme je te suce, je veux que tu me baises de la même façon. Malheureusement elle senti très vite que le jeune homme allait jouir, elle continua quand même, intensifiant sa fellation, il se raidit encore un peu plus et éjacula en silence dans sa bouche la tête en arrière, elle ne me le dit pas mais je crois qu’elle avala tout son sperme. Elle se rassis à coté de lui et sans dire un mot elle entreprit de le faire rebander rapidement. Elle se redressa sur ses genoux, déglutie plusieurs fois et je l’ai vu lui faire un clin d’œil complice. Elle fit glisser doucement son short sur ses cuisses qu’elle écarta, lui montrant ses lèvres qu’elle avait généreuses, son pubis pour me plaire n’était pas rasé, joliment taillés ses poils étaient doux et soyeux comme sa peau. Elle pris sa main et la posa en faisant le tour de ses hanches sur ses fesses, la guida jusque dans sa raie brûlante et lui fit toucher l’entrée de son sexe qui mouillait maintenant depuis des heures, enfonçant ses doigts pour qu’il la caresse profondément, je voyais dans le rétro son cul onduler sur la main à moitié engloutie, elle présentait le bout de ses seins à sa bouche pour qu’il les tètent, lui se laissait aller enfin et donnait de ses doigts et de sa langue. Elle se cambrait offrant le meilleur angle possible à sa main, j’ajustais mon rétroviseur essayant de suivre l’action, elle lui caressait d’une main le sexe guettant une raideur qui ne tarda pas à venir, elle redescendit alors le faire bander complètement en le reprenant dans sa bouche. Mais avec la tête penché de l’autre coté cette fois, s’est moi qu’elle regardait a travers le rétro en le suçant et en lui caressant les cuisses d’une main. Quand il fut suffisamment dur à son goût elle se redressa se débarrassa de son short et l’enfourcha, lui présentant ses fesses. Elle était dans mon dos, elle se faisait enfin baiser un autre orifice que la bouche. Elle passa ses bras autour du siège et de moi et m’enlaça, je lui proposa ma mains libre qu’elle serra, j’avais son visage tout à coté du mien, je sentais son souffle qui s’accélérait au fil de ses coups de reins. Je l’ai entendu gémir de plus en plus fort, j’effleurais parfois sa joue, ses cheveux humides battaient mon cou. Quand elle commença a jouir ses mouvements devinrent désordonnés et il lui était difficile de garder le rythme, heureusement notre nouvel ami eu la bonne idée de prendre le relais pour qu’elle jouisse enfin. Campée sur ses jambes elle lui tendait son sexe grand ouvert. J’ai vu ses yeux se fermer et sa bouche entrouverte à gémi doucement à mon oreille. Peu de temps après et sans se retirer il a éjaculé en elle en lui pétrissant les seins, complètement hypnotisé, elle l’a laissé faire reprenant l’initiative à son tour pour qu’il jouisse parfaitement, elle lui était reconnaissante de s’être laissé abuser, c’était sa façon de le remercier.J’ai débarqué le stoppeur à l’air suivante. A son air dubitatif je pense qu’il a du mettre du temps à réaliser ce qu’il lui était arrivé. Elle a repris sa place à l’avant et a dégouliné quelques minutes de sueur et de sperme. Je lui ai demandé si c’était bon ? elle a répondu, pas mal en allumant une cigarette. J’ai rapidement parcouru les 20 km qui nous séparait de la prochaine aire de stationnement.
Je me suis garé à l’écart des autres voitures et me suis installé à l’arrière, je l’ai invité à me rejoindre. Elle s’est retrouvé nue en une seconde, collée contre moi elle sentait délicieusement la sueur et le sexe, ce parfum est un puissant aphrodisiaque. Elle me débarrassa de mon tee short je descendis mon jean sur mes chevilles, je bandais comme un taureau, elle s’empala d’un coup entièrement sur moi me brûlant littéralement la queue, il coulait de la lave de son sexe, elle colla son ventre et ses seins contre moi, nos corps glissait l’un contre l’autre, chaque mouvement devenait une caresse immense. Assise sur moi je ne pouvais que lui tendre mon sexe pour qu’elle le chevauche. Plus elle s’agitait plus nous étions dégoulinant, je me régalais des gouttes de sueur qui perlaient sur son corps, entre ses seins. Je maintenais ses bras en l’air pour lui lécher les aisselles, quand nos bouches se trouvaient elles se dévoraient. Son goût comme son odeur m’enivraient. Je ne saurai dire combien de temps nous avons glissé l’un sur l’autre mais quand je l’ai senti venir je n’ai pu que la suivre, j’ai éjaculé dans ce vagin brûlant qui me recouvrait. j’ai senti mon corps et mon âme se vider longuement en elle. Elle maintenait fermement ma tête entre ses bras et je subissais les assauts rythmés et sans pitié de son corps en train de jouir. Jusqu’à ma dernière goutte elle me maintint dans cet étau. Puis elle me délivra, se lova sur moi, redevint tendre à nouveau, se faisant petite et légère sur mon torse. Nous avons repris nos souffles respectifs et nous nous sommes endormis, toujours elle sur moi et moi en elle.Jusqu’à ce que je me débarrasse de cette voiture, il y eu sur le pare brise coté passager des traces de pieds, que jamais je n’ai eu le cœur d’effacer.
2012
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