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En route pour la joie

Chapitre 5

Gay
La grève
Malgré le préavis de grève j’étais parti en métro ce matin là confiant, sur qu’au pire je pourrais rentrer à pied en traversant le bois qui séparait Boulogne ou j’habitais de Neuilly-sur-Seine ou je travaillais. J’avais souvent fait ce trajet et je connaissais bien l’avenue de la reine Marguerite.Passe la journée. Bien sur en raison d’un mouvement de grève le trafic est interrompu pour une durée indéterminée. Je traverse Neuilly en croisant une foule de travailleurs en perditions, j’arrive à l’orée du bois, je m’engouffre. J’abandonne les lumières de la ville pour la foret sombre et un sol de terre, changement radicale d’ambiance. De nombreux travestis monstrueusement siliconés me sourient. A toute heures il y en a dans le bois j’en ai souvent croisé la journée en vélo ou en voiture. A pied la nuit c’est différent et j’avoue que j’étais mal à l’aise. J’ai tendu mon pouce aux trafic qui s’écoulait lentement pour tenter de m’extraire à cette faune.Quelqu’un s’est arrêté, je vais à Boulogne, moi aussi. J’ai pris place à coté du conducteur, seul dans sa voiture familiale. Je devais avoir 30 ans, l’homme était plus âgé la quarantaine passé. Je lui racontait mes péripéties de transport et ma rencontre avec les habitants nocturnes du bois, ça nous a fait sourire, j’ai ajouté que je n’étais pas un prostitué, il a assuré aussi que le voyage serait gratuit. De sous entendu en sourires complices la tournure de la conversation dévia étrangement et ce soir ce type qui m’avait offert un refuge m’attirait. Il m’arrivait de fantasmer de faire la femme pour un homme et Il correspondait à l’idée confuse que je m’étais fait d’un partenaire éventuel, il n’était pas efféminé, pas spécialement beau mais grand et bien fait, il pouvait être moi.Sans jamais le dire et sans malice il me faisait entrevoir des possibilités pour nous 2 ici maintenant. Ce type était open, sa position même m’autorisait à le toucher à l’endroit qui m’intéressait. Je voyais le voyage bientôt se terminer et lui me déposé sur le bord de la route avec mes regrets.J’ai lentement tendu le bras et posé ma main sur la bosse à son entre jambe et j’ai attendu sa réaction. Calmement il s’est garé et a coupé le contact, dans la quasi obscurité il n’a rien dit s’est calé dans son fauteuil et m’a laissé faire. Je lui ai palpé le contenu de son slip qui durcissait sous mes doigts, j’étais comme possédé, je m’efforçais de ne pas penser, mais ressentir. J’ai toujours été un hétéro convaincu, pourtant il était convenu dans mon esprit qu’un jour je reproduirai ce que j’aimais tant qu’on me fasse et que cruellement je ne pouvais me faire. De nombreuses femmes mon sucées avec plus ou moins de talent, Victoire elle, depuis le temps que nous étions ensemble savait parfaitement me faire jouir avec sa bouche et ses mains et j’avais envie de connaître la sensation, le touché d’un sexe d’homme autre que le mien. Je me suis penché sur ma main et j’ai libérer son sexe, il m’a aidé en faisant passer son pantalon sous ses fesses. J’ai découvert sa queue dressé et une paire de couilles grosses et sans poils que j’ai pris d’une main. Je faisais a peine le tour de son membre rigide mais pas complètement dur, j’ai été surpris par sa lourdeur, je l’ai décalotté pour voir son gland brillant, puis je l’ai recouvert de sa peau, puis fait réapparaître, la masse de chair chaude sentait la queue mais au lieu de me dégoûter sa me donnait envie... Je l’ai massé des 2 mains. Je me suis penché sur son entre jambe, mes lèvres s’approchaient irrésistiblement du point de non retour. je l’ai englouti dans ma bouche grande ouverte sans pratiquement le toucher, quand je l’ai refermé, j’ai senti son gland emplir ma langue et mon palais, il était incroyablement doux et étrangement sans goût, je me suis mis à coulisser de haut en bas ma tète sur sa queue. Je l’ai léché reconnaissant au touché une anatomie familière, j’ai passé le bout de ma langue là ou j’aimais qu’on la passe, j’ai alterné succion et caresse de la langue, ses grosses couilles dans ma main m’excitaient et en lui caressant je m’aventurais entre ses cuisses. Je ne sais pas si j’étais doué ou s’il était très sensible, mais a chacune des caresses de ma bouche répondait un souffle ou un étirement, si bien que je compris que pour profiter longtemps de la queue que j’étais en train de sucer il fallait que je calme le jeu. Je retirais ma bouche et lui diverti la bite et l’entre jambe comme je le faisais moi même pour retarder ma jouissance parfois, puis je reprenais ma torture plus ciblé, aux endroits que j’avais l’impression de ressentir moi aussi, sous le gland, sur le frein, je me faisais insistant puis je l’avalais d’un coup, et je disparaissais quelques secondes. Quand je le reprenais sur ma langue après l’avoir branlé je sentais du jus doux légèrement salé lubrifier un peu plus ma bouche en train de mimer une pénétration.Il me fallait le faire jouir mais comment ? Me retirer et le branler ou le laisser jouir dans ma bouche conscient qu’il me faudrait le pomper sans sourciller alors que je ne savais pas comment j’allais réagir lorsqu’il me juterai dans la bouche, j’en étais à me poser cette question de midinettes quand son gland devint dur et doux comme de la porcelaine. Il éjacula dans ma bouche et je l’ai branlé vigoureusement. La première giclé envahit ma langue, la deuxième transperça la première plus violente inonda mes dents, ma gorge, la troisième Je la laissais échapper sur ses couilles et disparaître entre ses jambes. son sperme âpre et chaud coulait sans arrêt de ma bouche qui continuait ses va et vient.Quand il eu fini de jouir ; il me caressa le cheveux, je me suis redressé. Il a soupiré et m’a remercié. J’ai saisi l’opportunité de m’échapper, j’ai du lancer un blême « de rien, salut » et je suis sorti sans lui laisser le temps de me proposer quoi que ce soit. J’ai repris ma route d’un pas rapide avec un goût de sperme dans la bouche. Plus je me rapprochais plus je voulais toucher un corps de femme. J’avais besoin de sentir la peau, le parfum de Victoire qui m’attendait.Quand je suis enfin rentré je l’ai longuement enlacé et lui ai raconté mon aventure. Allongé l’un contre l’autre je lui ai chuchoter tous les détail et tous se que j’avais pu ressentir doucement à son oreille, comme si il s’agissait d’un grand secret. Elle voulait tous savoir, elle me posa des tas de questions, sa l’excitait terriblement et une fois rassuré, moi aussi. Elle a insisté pour que la prochaine fois que j’ai envie d’un homme elle devrait être là.
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