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Rut dans le bush, bouche en rut.

Chapitre 1

Où tout commence

Trash
Cet été austral caniculaire qui n’en finit pas ! Les premières heures de la nuit à peine moins chaudes que le jour. Le ciel bleu profond déchiré par l’aveuglante lumière du soleil au zénith.
La chaleur qui tue tout. Pas de végétation, pas d’air, pas de vie. Les hommes atones qui ne remuent qu’à la tombée du jour, qui boivent de la bière pour se rafraîchir, qui pissent dans le sable en s’éloignant de quelques pas dans le désert... fausse pudeur.
Et puis la fraîcheur, le froid parfois, qui vient dans la nuit étoilée avant que la lueur de l’aube n’annonce une nouvelle fournaise dont les feux s’allument dès que l’astre du jour luit sur l’aurore écarlate de l’est.
Plaines du bush d’Australie, où les arbustes sont des arbres, enfer terrestre, solitude brûlée de l’âme.
Chaleurs australiennes. Les cheveux qui collent... la sueur qui dégouline, l’eau qui mouille les débardeurs, les gouttes qui perlent au bout de seins... les seins... gonflés du  désir inassouvi, le sexe mouillé, la toison humide, les entrailles humectées de désir, d"un désir qui ne veut rien dire, qui n’ose pas, qui se tait.
Et pourtant, ces hommes doivent avoir envie. Qu’est-ce qui les retient de me culbuter dans la baraque, sur la banquette d’une camionnette dans l’habitacle surchauffé, dans la chambre de mon logement. Qu’est-ce qui me retient d’aller chez eux que la honte de passer pour une femme trop facile ?
Il sont 30, ni plus ni moins.
Deux ingénieurs, un suédois Karl, aussi scandinave qu’on peut l’être, grand blond aux yeux bleus, athlétique, trentenaire à peine. Un canon. Son chef ne l’est pas moins. C’est le seul australien avec le contremaître. Il s’appelle Phil; ses ancêtres devaient être irlandais ou écossais si j’en juge par son poil roux. Il n’est pas très beau de visage mais il sourit toujours. Il est assez trapu et tout en muscle. Il a la confiance des hommes qui respectent ses ordres précis et clairs et sa juste sévérité.... ses poings aussi, gros comme des marteaux et qu’il sait utiliser.
Le contremaître n’en parlons pas. Australien aussi, jeune aussi, beau aussi, mais il est de la fanfare. Il ne cache pas la relation, souvent très bruyante, qu’il entretient avec l’un des latinos qui servent de main d’œuvre.
Car les autres sont tous des latinos ou presque. Sud américains, chiliens, péruviens, équatoriens, boliviens... le peu d’espagnol que je comprends m’indique tout de leurs désirs obscènes, de leurs histoires de femmes lascives et d’étreintes infinies et hautement pornographiques. La plupart se vantent, c’est sûr.
Restent deux congolais, plus noirs que minuit, avec lesquels j’échange quelques mots dans leur français approximatif, solides gaillards bien campés qui sont les seuls à rester presque tout le temps torses-nus et deux aborigènes, qui ne se mélangent pas au groupe, ou très rarement et qui assurent les repérages des lieux où le chantier avance, éloignant les nuisibles de toute sorte, notamment les serpents.
A part les gays qui ont eu à souffrir des sarcasmes des autres avant qu’ils ne s’affirment par leur force et leur compétence, j’ai donc 28 hommes devant moi. Je suis seule et depuis trois mois, il ne s’est rien passé.
Si, une fois.

Il avait fait tellement chaud, plus qu’à l’ordinaire, sans un souffle de vent. Nous avions commencé à 4 heures du matin, à la fraîche mais il faisait encore plus de 23 degrés. Vers neuf heures, la température dépassait déjà 30. Le bush a été entièrement dégagé pour installer notre ferme d’éoliennes, l’une des plus vastes d’Australie. Nous sommes donc dans un endroit, en principe visité par le Dieu du vent qui a donné son nom à nos machines. Mais rien, à ce moment là rien, le calme plat et pas la moindre brise pour nous libérer de l’infernale oppression du feu sur notre peau.
J’étais ruisselante de sueur, j’en dégoulinais de partout. Mes fringues étaient trempées; on aurait dit que je sortais d’un concours de T-shirt mouillés. Rien ne cachait ma plastique que je considère, sans modestie aucune, comme particulièrement avantageuse. J’ai une taille de guêpe, des jambes magnifiques et des nichons gros et ronds, de quoi faire bander tout un cimetière.
Phil était venu me voir et m’avait dit, en anglais of course :
-  Lisa, tu devras faire attention !-  No problem, Phil, j’assure, je m’hydrate, j’avance bien... on continue.-  Je te parle pas de ça.-  De quoi ?-  Ta tenue... on voit trop... tu excites les hommes.
Je m’étais mise en colère.
-  Putain de merde ! Tu veux que je vienne comment sur le chantier ? en moon boots et en passe-montagne ! Mais regarde-les tes mecs, là ! Eux aussi ils dégoulinent on voit leurs pectoraux mieux qu’à des athlètes bodybuildés recouverts d’huile. Et tu leur dis rien à eux ? Une femme elle ne peut pas transpirer sous son t-shirt parce qu’on lui voit ses gros boops mais les mecs, ils peuvent... sans problème... sans compter Juan et Luis qui sont souvent torse-poil avec des shorts si courts qu’on leur voit le bas du cul et les deux blacks qui sont toujours dans le même état... Ils en font pas exprès eux de me montrer leur paquet dans des fringues moule-burnes, tes garçons pleins de testostérone... peuh !-  Justement.. j’ai dû leur accorder une pause.-  Quel rapport ?-  Ils étaient... comment te dire... ils t’ont vue...alors... on voyait... leur short... je sais pas si tu comprends le mot...horny ?-  Si je le comprends !!! en français, on dit qu’ils bandent comme des turcs, bander, bander, bander, avoir la trique... voilà comment ça s’appelle... Alors écoute-moi bien.. je bosse ici comme tout le monde... moi personne ne me demande ce que ça me fait de voir ses mecs avec leurs formes splendides... et il faudrait que je me cache... Eh bien ils vont continuer à se pignoler tes gars... "masturbate" si tu préfères , "understand" ? parce que je ne vais pas faire plus d’efforts que vous; OK ?-  Cool, Lisa, cool... tu as sûrement raison... mais tu es la seule femme ici... fais-attention. Tout le monde t’aime bien et te respecte, mais.... la ville est loin... j’parle pas du petit bled à côté où il y a rien, et on ne peut pas y aller tous les jours... ni toutes les semaines. Fais attention à toi !-  Ecoute, si tu  peux pas emmener tes gars aux putes plus d’une fois par mois pendant que moi je me tape un vrai bain dans une chambre d’hôtel de luxe, c’est ton problème. T’as qu’à faire venir les putes ici, merde...-  OK, OK... cool... on en reparlera à tête reposée...-  A tête reposée, mon cul !-  J’te comprends mais comprends-les aussi. Tout le monde doit pouvoir faire des efforts....Allez, à tout à l’heure.
Et il s’éloigna.
Et que pouvais-je dire d’autre ? Moi aussi il me faisaient envie tous ces mecs baraqués jeunes, virils qui étaient comme moi, presque à nus.
Devais-je lui dire que mon abstinence avait commencé au moins trois semaines avant que je quitte la France... Il y avait presque quatre mois que je n’avais pas vu une bite... et eux, ils allaient aux putes une fois par mois... aux putes ou aux nanas qui en voulaient bien, dans les dancings, de ces mecs exotiques et pleins aux as car, si le travail est rude, il est très bien payé.
Les ingénieurs et moi, profitions d’un bungalow plutôt confortable avec sa propre salle de bain, le contremaitre aussi mais son logis n’a qu’une pièce alors que le nôtre en compte deux. Mais elle n’avait pas été raccordée, de sorte qu’il fallait partager les sanitaires des hommes qui, eux logeaient par chambrées de deux. Donc, nos douches étaient communes car, au départ, personne n’avait prévu de femme sur le chantier. On avait eu la délicatesse de monter une cloison de fortune entre la dixième douche et les autres, et ménagé une autre porte par laquelle je pouvais rentrer et sauvegarder mon intimité. Avec seulement 9 douches pour 30 hommes, les gars se douchaient ensemble. Au départ les deux noirs restaient à l’écart des latinos qui restaient eux-mêmes à l’écart des deux ingénieurs. Mais maintenant, tous se mélangeaient dans un joyeux brouhaha à l’exception des deux aborigènes qui se lavaient on ne savait quand, et des deux gays qui se lavaient on entendait quand.
Dans ma propre douche j’entendais le batifolage criard des hommes et les commentaires salaces qui fusaient en espagnol. Quand les ingénieurs n’étaient pas là, je devinais les concours de bites et peut-être de branlette et j’en étais bouleversée de désir.  Quand internet fonctionnait, j’en profitais pour aller voir sur des traducteurs en ligne si j’avais bien compris ce qu’il s’était dit et ce qu’ils avaient fait. Je devins experte en vocabulaire ordurier et en langage de vestiaires masculins.
Je fantasmais. Dans la chaleur des après-midi, dans ma chambre plus ou moins climatisée, mes doigts me consolaient de ce que je n’osais demander à aucun homme. Je me faisais jouir, jouir, jouir encore; j’essayais d’étouffer mes cris, de suppléer aux manches de chair par les manches en bois des outils que je pouvais trouver. Et plus je tentai de tromper ma solitude, plus j’avais envie de ces hommes. Tous ! Aucun ne m’était indifférent. Si je préférais le visage de celui-ci, je bavais d’envie pour les fesses de celui-là et louchais sur la bosse de tel autre. Tous je les eusse voulu dans mon lit.
J’étais tellement en manque que je me mis à désirer même les chiens des deux aborigènes. Ils n’appartenaient à aucune race mais c’étaient des dogues hauts et puissants, parfaitement  dressés, qui était doux comme des agneaux avec les hommes mais qui auraient mis n’importe quel animal en pièces. Ils obéissaient au doigt et à l’œil à leurs maîtres. Je les connaissais bien. J’aime les bêtes et comme j’arrivais à m’entendre avec leurs maîtres, je pouvais les approcher facilement, jouer avec, et même me promener seule en leur compagnie quand on me les prêtait, sans craindre une mauvaise rencontre.
C’est le 26 janvier que tout a basculé. C’est "l’australian day", la fête nationale; Les aborigènes étaient partis et m’avaient confiés leurs animaux.La soirée était chaude. J’étais peu attirée par les festivités locales, ne me sentant pas concernée et j’avais accepté de garder les chiens. Le village était à peu près désert. En passant devant le bungalow du contremaître, j’entendis des bruits non équivoques, des bruits de rut. Film, réalité ? Je m’approchai et reconnus la voix des deux hommes :
-  Fuck me , yeee, fuck me, harder, harder. I want your dick deeper and deeper. OH yeeee, yeee, fuck me...
Et l’autre répondait avec un accent espagnol assez prononcé.
-  You want my dick, bitch ... my big dick... take it, slut !
Chaque bungalow est équipé d’une petite galerie sur l’avant qui protège les ouvertures de la lumière directe du soleil ou des pluies diluviennes qui s’abattent parfois sur la région. Je m’approchai à pas de loup.
Je pris appuis sur le petit banc, en dessous de la fenêtre, mais pas trop près pour que la lumière qui venait de l’intérieur ne m’éclairât point trop.La scène était torride. Le contremaître était allongé sur la table, les jambes repliées vers lui et l’autre lui donnant de longs coups de queue. Il m’était difficile de bien voir les bites mais le contremaître manifestement branlait la sienne pendant que l’autre, dont les magnifiques fesses blanches se détachaient par contraste avec sa peau mate, l’enculait vigoureusement.
Pour la première fois de ma vie, j’avais envie d’être un garçon et de me faire prendre sauvagement comme le gars dans la pièce.
Je n’y tins plus, je plongeai la main dans mon short, après avoir attaché le chien à un montant du petit banc et commençai à me tripoter le con.J’étais déjà toute trempée. La sueur, la mouille, les deux sans doute.
Mon short me serrait un peu trop. Je regardai autour de moi. La nuit était de plus en plus noire et la plupart des bungalows étaient éteints. La majorité des gars avait dû se rendre à la petite ville la plus proche où il y a un ou deux bars minables.
Plus loin les fenêtres de la salle collective, où se trouvent les cuisines, le réfectoire et les salles de détente étaient toutes allumées. Quelques habitués y jouaient peut-être au billard ou regardaient la téloche.
M’étant convaincue que je ne risquai rien, je baissai mon short pour me faire plaisir plus franchement.
A l’intérieur, la disposition avait changé. Le passif s’était mis debout, appuyé contre la table, légèrement penché et l’autre continuait à le sodomiser avec entrain. Comme ils ne pouvaient pas me voir, je décidai de m’approcher pour mieux apprécier les détails de leur accouplement et je m’agenouillai, toujours après avoir regardé aux alentours, sur le banc.
Je décidai de me caresser les tétons.
Ainsi libérée, ma chatte attira la convoitise du chien et il se mit à me la lécher. Je l’avais complètement oublié ce quadrupède ! Je poussai un petit cri de surprise puis je me mis à lui parler très bas.
-  Qu’est-ce que tu fais là toi, vicieux? dégage Chifley, dégage !
La peur de me faire surprendre aurait dû m’amener à fuir mais les deux mecs continuant à baiser sans me voir et les autres ne devant continuer à jouer ou ne rentrer que très tard, et ivres probablement comme j’étais en droit de le supputer, je perdis toute prudence.
Je laissai donc le chien s’amuser et ouvrit même plus grand mon intimité. Je dus me pincer les lèvres pour ne pas crier mon premier orgasme clitoridien. C’était tellement mieux que lorsque je me câlinai !
Pendant qu’il me procurait ce plaisir intense dont j’avais été trop longtemps privée, je m’excitai à tel point que, me frottant le corps énergiquement, j’en fis tomber mon bracelet.Aussi, dès que l’ivresse linguale décrut, je me mis immédiatement à le chercher, de peur de l’oublier plus tard.  Je me mis donc à quatre pattes pour fouiller à tâtons. Au moment ou je le touchai, le chien me grimpa.
J’essayai aussitôt de me dégager mais il s’abattit sur moi de toute sa masse. Malgré ma mouille et ma transpiration, je sentis l’extrémité de sa verge, chaude et poisseuse, contre mes globes fessiers.
Je ne voulais pas me relever brusquement de peur d’être vue par les gars dans la pièce, au cas où ils auraient changé de position. Je décidai donc de ramper en avant pour échapper à la lueur projetée vers l’extérieur, mais, ce faisant, je me redressai un peu et remontait mon cul. Le hasard fit le reste. La queue du chien glissa vers le bas et vint exactement entre mes deux lèvres où elle s’immisça. J’étais déjà tellement humide que, dès que la bite  fut à cet endroit, elle s’enfonça d’un coup dans la masse. Elle était longue et épaisse. J’étais fermée du trou depuis des mois en dépit des godes de fortune que j’avais pu trouver et qui m’avaient été une faible consolation. C’est comme si on m’avait dépucelée d’un coup; je ne pus retenir mon cri.
La bite fut cependant bloquée dans son élan par une énorme excroissance qu’elle portait à sa base. Mais le chien était puissant. Il poussait tellement en avant qu’elle finit par me fendre et me pénétrer et j’eus l’impression ensuite que je me refermais sur lui.
Et il se mit à s’agiter comme un fou. J’essayai de me dégager mais rien n’y fit. Au contraire, plus je bougeais et plus il me semblait que le chien s’excitait. Il me griffait dès qu’il voulait mieux se positionner.
La crainte d’être surprise, la panique même, m’empêchait de bien jouir de l’instant. Et c’était dommage car le jeu en valait la chandelle.
Aussi discrète que j’aurais aimé l’être, je fis du bruit. J’entendis soudain  la fenêtre s’ouvrir et je n’osais relever la tête. On allait forcément me voir, nue sautée par un chien. J’aurais voulu mourir plutôt que de connaître cette humiliation.
J’entendis la voix de l’actif.
-  Oh my gosh !
L’autre demanda ce qu’il se passait, tout en accourant comme je pus le reconnaître au bruit de ses pas.-  It’s Lisa.... She’s fornicating with a dog !-  Oh fuck, fuck... amazing ! So goooood !
A suivre
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