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Un sacré dépucelage

Chapitre 3

Mon voisin, ce salaud de partouzeur

Orgie / Partouze
Mon voisin, ce salaud de partouzeurRappel : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, je venais d’avoir 18 ans.Après les épisodes « Mon dépucelage », « Ma première baise avec deux autres filles », voici « Mon voisin, ce salaud de partouzeur ».Je rentrais d’une partouze avec 6 blacks et deux superbes nanas, une blonde pulpeuse et une brune avec un corps de déesse. J’arrive devant la porte de l’appartement de mes parents qui, heureusement pour moi, travaillent et ne pourront pas voir dans quel état je suis. Pour info, j’ai du sperme dans les cheveux et sur mes habits.Je cherche mes clés et je ne les trouve pas. Mon voisin sort à ce moment-là et voit dans quel état je suis. Il devine tout de suite ce qui s’est passé et je vois sur son visage un petit sourire pervers.Il me demande si je veux venir chez lui pour prendre une douche. Il a la cinquantaine et je pense qu’à cet âge-là, on ne baise plus et que je ne risque rien à accepter, d’autant que je ne trouve pas mes clés et que mes parents vont finir par rentrer.J’accepte donc de venir prendre une douche chez lui. Je suis rassurée en rentrant car sa femme est dans le salon et discute avec un couple d’amis.Mon voisin, après avoir dit quelques mots à l’oreille de sa femme, me montre la salle de bain. Une fois mon voisin parti, je cherche le verrou pour fermer la salle de bain, mais rien.Je me déshabille et prend ma douche tranquillement. Pas de visite inopinée, ouf ! J’ai peut-être parlé un peu vite : la femme de mon voisin vient « voir si tout va bien ». Je suis nue et elle me propose une serviette de bain pour m’essuyer. Elle prend la serviette et commence à m’essuyer le corps. Elle a un peu tendance à revenir sur les endroits les plus sensibles, comme ma chatte, mes seins, mon cul. Je commence à mouiller sérieusement et la femme s’en aperçoit. Elle me demande si j’aime me faire tripoter la chatte. Je lui avoue, dans un soupir, que oui. Son mari, qui était derrière la porte et que je n’avais pas entendu, rentre à son tour et me demande si « j’aime aussi la bite ».En disant cela, il avait sorti sa queue. Moi qui pensais qu’une fois la cinquantaine passée, les hommes ne pouvaient plus baiser, je me mettais le doigt… dans l’œil.En fait, il avait une sacrée queue le salaud. Sa femme me caressait la chatte et lui est venue se positionner pour essayer de me pistonner le cul. Il s’est donc placé derrière moi, le gland de sa bite juste à l’entrée de mon petit cul. Il me caressait les seins. Tout ça en même temps, cela faisait beaucoup pour moi, même si je commençais à avoir une certaine expérience en peu de temps.Il n’a pas eu à pousser très fort, mon cher voisin. Mon cul a avalé sa queue comme si de rien n’était, ce qu’il l’a amené à faire quelques commentaires : « La salope a le cul ouvert. Elle a gobé ma queue sans aucun effort. Je pense que son cul est déjà dilaté parce que qu’elle vient de se faire enculer, cette chiennasse. Hein, c’est vrai que tu viens de te faire sauter, ma salope ? Raconte-nous ce que tu as pris dans le cul, ma petite pute ? Combien ils étaient, ces salauds ? Parce que pour avoir la rondelle dans cet état, tu as du morfler, ma cochonne. »Je lui avoue que c’était seulement deux femmes avec chacune un gode ceinture, devant et derrière. Le mec s’est mis à aller et venir dans mon cul en accélérant de plus en plus. Il a fini par se vider les couilles dans mon cul après seulement quelques allers/retours. Sa femme lui a nettoyé la queue en le suçant et elle a trouvé que mon cul avait bon goût. Ils n’en avaient pas fini avec moi. Ils m’emmenèrent dans le salon et j’avais oublié qu’il y avait toujours le couple d’amis. Amis ou plutôt compagnons de partouze ? Ces amis se sont approchés de moi. J’étais toujours à poils et ils m’ont caressée partout, tout y est passé : mes seins, mon cul, mon corps et surtout ma chatte. Celle-ci a dégusté sérieux, mais elle est toujours gonflée car je viens de me faire prendre par 2 godes ceinture il y a seulement quelques minutes. J’ai le clito qui ressort et qui lui aussi est gonflé à bloc par le désir. On dirait même une petite bite, un micro pénis. L’homme se met à genoux devant moi et m’écarte les cuisses le plus possible pour pouvoir me sucer le clito. Je ne demande pas mieux, alors je lui laisse l’accès pour prendre encore un peu de plaisir. Il me suce délicieusement bien. On voit qu’il a de l’expérience le salaud. Madame n’est pas en reste. Elle vient se placer derrière moi et je sens quelque chose qui veut forcer l’entrée de mon cul. Je me penche un peu en avant, l’homme placé devant moi ajuste sa position pour pouvoir continuer à me sucer. La femme avait préparé son gode et s’apprêtait à me fourrer le cul. Comme je ne disais pas non, elle me l’a enfoncé d’un seul coup juste qu’à la garde. J’ai eu une impression bizarre. On ne peut pas dire que j’ai eu mal, on ne peut pas dire non plus que j’ai apprécié. Mais lorsque le monsieur devant moi, tout en me suçant le clito, m’a doigtée avec 3 doigts dans la chatte d’un seul coup, je n’ai pas eu le temps de sentir venir la jouissance et mon corps s’est mis à vibrer, ma chatte s’est mise à dégouliner de partout, je tremblais comme une feuille et ne tenais plus sur mes jambes.Le couple, en me tenant pour que je ne tombe pas, était satisfait. La « petite » répondait bien et cela promettait de passer un bon moment. Mon voisin avait la bite qui avait repris de la vigueur. Il bandait sacrément bien… enfin pour son âge.En tout cas, sa queue était bien droite, remontait même un peu vers le haut, bien dressée, bien dure, et surtout d’une taille très satisfaisante, même si mon passage avec les blacks m’avait « habituée » à plus gros. En revanche, elle était moins longue et plus fine (par rapport à celles de mes amis black).Je jouissais comme une chienne : « Oh oui. Vas-y ! Défonce-moi le cul. J’adore sentir une bonne bite dans mon cul, j’adore se faire mettre. Défonce-moi la rondelle ! »L’ami du voisin qui me suçait et doigtait la chatte s’est retiré et s’est déshabillé. J’ai vu sa queue que ma voisine s’est empressée de caresser et de prendre en bouche pour la faire durcir encore. Lui en revanche avait de quoi concurrencer les blacks : moins longue mais plus grosse. Je me suis dit que je n’arriverais jamais à la rentrer dans mon cul car c’était bien ce que j’attendais : me faire enculer encore une fois. Je dois avouer que j’ai particulièrement apprécié ces séances anales. Elles m’ont procurée de délicieux moments, moi qui, il y a encore quelques jours, était vierge, de devant comme de derrière. Mais les choses ont bien changé.Madame retire son gode de mon cul et j’ai la rondelle très dilatée. Monsieur me dit que sa femme m’a bien préparée pour recevoir sa grosse queue. Il présente donc sa bite à l’entrée de mon cul. Il n’a pas à pousser beaucoup. A ma grande surprise, sa queue rentre comme dans du beurre. Il ne prend pas gants : il me laboure le cul en profondeur, à droite à gauche, en haut, en bas… Le moindre recoin de mon cul y passe. Quel pied. Tant pour moi que pour lui : « hein salope que tu aimes ça la grosse bite dans ton cul ? Ça te fait quoi de te faire prendre comme une chienne ? Tu aimes ça te faire enculer ma petite pute. »Et il avait raison. Je couinais : « Vas-y, encule moi fort. Je veux sentir ta grosse bite me défoncer le cul. Je suis ta petite chienne. Tu peux faire de moi ce que tu veux, mais baise moi bien. Enfonce-moi ta queue bien au fond de mon cul. Putain que c’est bon de se faire enculer par une grosse queue ! ».Il m’a défoncé pendant une dizaine de minutes mais n’a pas pu tenir plus longtemps tellement je l’excitais. Il a fini par se vider les couilles dans mon cul. Il avait une sacrée quantité de sperme, le salaud. A croire qu’il n’avait pas baisé depuis plusieurs semaines. En fait, j’ai appris plus tard qu’ils venaient de partouzer ensemble, juste avant que j’arrive.Mon voisin avait repris de la vigueur et honorait la femme de celui qui était en train de m’enculer, ou plutôt qui venait de finir de m’enculer. L’homme qui venait de me baiser n’a pas débandé. Il a encore sa queue bien droite, même s’il a tout craché dans mon cul.En voyant sa femme se faire baiser par mon voisin, il a décidé d’enculer sa femme en double pénétration. Il savait qu’elle aimait cela. Elle était une sacré salope elle aussi. D’ailleurs, tous étaient de sacrés queutards.Pensant qu’ils en avaient fini avec moi, je commençais à me rhabiller pour attendre mes parents devant chez moi. Mon frère était déjà là. Il m’a fait un grand sourire en m’ouvrant la porte. Je me suis alors rappelé que du salon de chez moi, on entendait assez bien ce qui se disait dans le salon où j’ai baisé avec mes voisins. Je me demande ce qu’il a vraiment entendu…
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