Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 0 Commentaire

Un sacré dépucelage

Chapitre 5

L’auto stop

Orgie / Partouze
L’auto stop.Rappel : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, je venais d’avoir 18 ans.Après les épisodes « Mon dépucelage », « Ma première baise avec deux autres filles », « Mon voisin, ce salaud de partouzeur », « Mon frère me fait profiter de ses copains », voici celui de « L’auto-stop ».Je venais de monter dans la voiture à la place du passager alors que mon frère était monté derrière. Nous revenions d’une sacrée partouze : 11 mecs pour moi toute seule. Bon OK il y avait des gais, des bi. Mais il y avait aussi des hétéros. En général, ils se sont bien occupés de mon corps : ma chatte et mon cul sont plein de foutre (je me demande d’ailleurs si je ne suis pas en train de tacher le siège de la voiture). Mes seins ont eu aussi leur part : ils ont été pelotés sans discontinuer, sauf peut-être quand je me suis fait prendre en double.J’entends que le conducteur parle avec mon frère mais je ne fais pas attention à ce qu’ils disent. Pourtant, je devrais car le conducteur s’est aperçu que j’avais du sperme qui coulait à l’intérieur de mes jambes (ma jupe était peut-être trop courte !) et il demandait à mon frère si j’accepterais de me faire baiser.Mon frère n’a pas dit non, mais il a dit : « à une condition : tu me baises en premier et après tu pourras lui défoncer tous ses trous car elle adore ça, ma salope de sœur ».Il a garé sa voiture dans un petit chemin à l’orée d’un bois et il est sorti pour monter derrière avec mon frère qui s’était déjà mis à poil et qui bandait comme un taureau.Mon frère s’est mis à 4 pattes et lui a présenté son petit cul. Le chauffeur s’est astiqué le manche et quand il a jugé que sa bite était assez dure, il l’a enfilée sans ménagement dans le cul de mon frère. Il en avait pourtant pris quelques-unes, des bites, cet après-midi, mais celle-ci semblait être meilleure encore. Il se faisait ramoner le cul par de longs vas et viens, rapides pour commencer, puis doucement. Le mec savait y faire. Moi, pendant ce temps-là, je me branlais la chatte en attendant de me faire prendre. J’espérais juste qu’il lui resterait assez de force pour me défoncer comme il burinait mon frère.Au bout d’un moment, mon frère envoya son foutre sur le siège sous lui. Le mec l’engueula, mais il continua de l’embrocher. Il finit par décharger à son tour dans le cul de mon frère et me demande de lécher pour éviter que cela ne vienne encore tacher davantage le siège.J’ai approché ma bouche et mon frère a approché son cul. J’ai commencé à bouffer le cul de mon frère, et ce salaud aimait ça. Il se branlait en même temps et il a même déchargé une nouvelle fois. En voyant ça, le chauffeur me demande de laisser tomber mon frère et de venir s’occuper de sa bite qui n’a pas débandé. Sans être un monstre, sa queue avait des dimensions, somme toutes, assez intéressantes pour ma chatte et mon cul qui avaient pas mal dégusté aujourd’hui.Du siège du passager, je l’ai sucé pour que sa queue durcisse encore un peu, juste histoire de bien la sentir me ramoner le conduit anal ainsi que ma chatte.Il s’assit normalement sur le siège arrière et me demande de venir le rejoindre pendant ce temps, il pousse mon frère dehors. Il se retrouve dehors à poil et les voitures au loin klaxonnent en le voyant. Il se cache derrière la voiture, mais un paysan du coin sort de sa cachette, derrière mon frère qui ne le voit pas arriver car il est trop intéressé par les exploits de sa petite sœur ou plutôt par le mandrin du chauffeur qui s’insère sans problème dans ma chatte.Le paysan s’approche de mon frère, regarde à l’intérieur de la voiture, nous voit en train de baiser comme des fous et sort sa queue pour la mettre à l’entrée de la rondelle de mon frère. Ce salaud ne dit rien, mais déguste ! Le paysan lui bourre bien le cul et mon frère l’aguiche encore : « allez, vas-y bourre moi bien le cul mon salaud. Tu sais que je n’attendais que cela. Tu sens le sperme du salaud qui m’a baisé il y a quelques minutes et qui est en train de sauter ma sœur ? Tu veux que je te suce ? ». Et là le paysan lâche son foutre dans le cul de mon frère. Mon frère ne peut plus se retenir : il jouit comme une petite pute. Le paysan n’arrête pas de décharger son foutre encore et encore qui ne tient plus dans le cul de mon frère. Ça déborde et ça descend le long de ses jambes … et mon frère adore ça.Pendant ce temps, mon chauffeur ne perdait pas son temps : il suivait avec attention le paysan qui baisait mon frère. Quand il l’a vu en train de décharger et décharger encore, il n’a pas pu se retenir : il m’a déchargé une deuxième couche de foutre dans la chatte. Il y avait la quantité. Ma chatte aussi dégoulinait : son foutre regorgeait et ma chatte recrachait !Le chauffeur, au moment de repartir, nous dit : « bon, je vous laisse en bonne compagnie. Je n’ai plus le temps de faire un détour pour vous raccompagner car je suis attendu par ma femme. »Et là, il nous laisse avec le paysan qui sourit en me voyant descendre : sans culotte, il aperçoit ma chatte de plus près et voit le foutre qui coule entre mes cuisses.Je lui propose de me lécher la chatte. Trop heureux, il accepte. Je suppose qu’il n’avait pas de femme car il m’a bouffé la chatte avec un tel dévouement que cela faisait plaisir à voir. Sa langue s’engouffrait dans les moindres recoins de ma foufoune. Je mouillais encore et encore. Il m’a fait prendre un sacré pied, ce salaud.Il nous proposa alors de nous accompagner chez lui sur son tracteur. Comme nous n’avions pas réellement le choix, nous lui avons dit OK. Il m’a fait monter sur ses genoux. Ce salaud avait ouvert sa braguette et sorti sa queue. Il en a profité pendant tout le voyage. Parfois, il me faisait lever et rassoir. Lorsque je me rasseyais, il en profitait pour changer de trou : une fois ma chatte, une autre fois mon cul, puis ma chatte à nouveau puis encore mon cul. Mon frère était dans la cabine. Il avait pu récupérer ses vêtements avant que notre chauffeur précédent ne parte (Ouf !). Mon frère jetait un œil et vérifiait régulièrement que sa petite sœur se faisait pilonner comme une chienne.Arrivés chez le paysan, nous rentrons dans sa maison : un sacré bazar régnait. C’était sûr, il n’y avait pas eu de femme dans cette maison depuis bien longtemps.Mon frère et moi lui demandons s’il peut nous raccompagner rapidement chez nos parents. Et là, surprise : il nous propose de rester dormir cette nuit chez lui car la nuit ne va pas tarder à tomber. Nous lui disons que c’est impossible car nos parents nous attendent. Il nous répond qu’à ce moment-là, nous pouvions partir mais qu’il ne nous raccompagnerait pas.Pris au piège, nous avons décidé d’appeler nos parents au téléphone (petit rappel : il y a plus de 35 ans, il n’y avait pas de portable) en disant que nous étions chez des amis et que ses parents ne pouvaient pas nous raccompagner tous ce soir chez nous et qu’ils se proposaient de nous garder dormir et nous raccompagner demain.Après quelques hésitations et quelques questions auxquelles nous nous étions préparés, nos parents acceptent mais nous font promettre de rentrer demain dans la journée. Bien entendu, nous promettons.Voilà. C’était chose faite. Notre hébergeur pouvait se vanter d’avoir réussi son coup. Après avoir diné avec ce qu’il avait (en fait, pas grand-chose !), nous devions aller dormir « pour être en forme le lendemain ». Mais il avait une idée derrière la tête : « il n’y a qu’un seul lit » nous dit-il ! « Il faudra faire avec ». Alors nous nous sommes allongés à 3 dans le même plumard. J’ai renoncé à me laver ce soir car je sais que je vais encore déguster. De plus, la salle de bain est dans un état assez pitoyable et crasseux. Je suis au milieu avec mon frère à ma droite et le paysan à gauche. Comme je n’ai pas de pyjama, je dors nue, comme mon frère. Jean, le paysan, nous dit qu’il va faire comme nous pour que nous ne nous sentions pas seuls dans ce cas. De toutes les façons, nous avons déjà vu sa queue donc le reste importe peu.A peine dans le lit, je sens que des mains rugueuses cherchent ma chatte. J’écarte les cuisses car je suis encore bouillante de désir. Jean s’en rend compte : il me susurre à l’oreille que je « mouille comme une salope » et qu’un coup de bite me ferait surement du bien. Ma chatte n’arrête pas de déguster. Je lui propose alors de s’occuper plutôt de ma petite rondelle qui est en manque. Ce qui ne manque pas d’attirer sa queue vers mon cul. Je me tourne sur le côté pour lui présenter mon cul. Il place sa bite juste à l’entrée et frotte son gland à ma raie en insistant de temps à autres sur mon petit trou, en débordant parfois sur mes grandes lèvres. Elles sont tellement mouillées que son sexe, bandé à mort, rentre malencontreusement dans ma chatte. Un petit cri sort de ma bouche, ce qui ne manque pas d’attirer l’attention de mon frère. Il devait bien se douter de quelque chose, mais maintenant, il n’a plus de doute : je me fais mettre en beauté, comme une chienne avec mon frère à côté de moi, à poil dans le lit.Mon frère avait la bite dure : je la sentais sur mon ventre. Le salaud bandait comme pas possible. Pendant un moment, j’ai cru qu’il allait me baiser lui aussi. Mais les chattes, ce n’est pas son truc… Mais il était quand même sacrément excité. N’y tenant plus, il a proposé à Jean de l’enculer pendant qu’il me baisait. A priori, Jean ne semblait pas contre, même s’il commençait un peu à s’inquiéter pour son petit cul !Mais trop excité pour dire non, il se laissait faire lorsque mon frère est descendu du lit pour venir derrière lui. Il a approché sa queue de la petite rondelle de Jean qui s’arrêta un moment de me limer pour que mon frère puisse rentrer son gland dans le cul de Jean.Jean soupira, preuve qu’il finira par aimer ça, le petit salaud. Une fois le gland rentré, mon frère, qui savait y faire, s’arrêta un moment pour que le cul de Jean puisse se faire à cet intrus. Après 2 ou 3 minutes, Jean se remit à me pilonner le cul. Le sexe de mon frère allait et venait dans le cul de Jean qui semblait apprécier le fait de se faire enculer pendant qu’il me baisait. Au bout d’une dizaine de minutes à aller et venir les uns dans les autres, j’ai commencé par être secouée par des spasmes. J’ai serré les muscles de mon cul, ce qui a entrainé la jouissance de Jean qui a son tour a entrainé la jouissance de mon frère.Jean nous dit que c’était vraiment bon de se faire baiser en même temps que l’on saute une femme. C’était une sensation vraiment extraordinaire de pénétrer et d’être pénétré en même temps. Ce piston qui coulisse dans son cul alors que sa bite est en train de « saillir un pouliche » (retour aux sources de Jean), c’est divin !Je comprends le point de vue de Jean car se faire enfiler des deux côtés en même temps doit procurer une sensation assez proche de ce qu’il a ressenti.Pendant la nuit, mon cul et ma chatte ont dégusté et j’avoue que le matin en me levant, je ne savais plus qui m’avait baisée et qui ne m’avait pas baisée. En gros, est-ce que mon frère m’a sautée ou pas.Au levé, mon cul et ma chatte me démangeaient. Rien de surprenant avec ce qu’ils avaient pris !J’ai voulu me laver, mais en me rappelant l’état de la salle de bain, j’y ai renoncé. Mon frère et moi nous préparons pour partir. Jean nous dit qu’il a demandé à un de ses voisins de nous raccompagner chez nous. Il n’a pas manqué de lui raconter sa nuit, ce salaud ! Ce qui laissait à notre nouvel accompagnateur des idées pour la suite.Henri (c’est le nom de notre accompagnateur) vient se présenter et nous fait la bise, aussi bien à mon frère qu’à moi. Mais moi, j’ai droit à une main au cul en signe de bienvenue.Ca promet pour le retour !
Diffuse en direct !
Regarder son live