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Sacré Fredo !

Chapitre 2

Erotique
« Salut ! » Fredo commande sa bière et vient s’asseoir à ma table. Il a l’air content de lui. Je lui demande ce qu’il lui arrive.
— J’étais dans mon fauteuil et je regardais ma femme mettre la table. Elle avait l’air en forme et souriait toute seule. Elle portait sa tunique courte qu’elle met pour se mettre à l’aise, avec rien dessous. Ses tétons pointaient à travers le tissus. Je me suis collé contre elle. «Qu’est ce que tu fais ? » Qu’elle me dit. « Bouge pas ! » Je la coince contre la table et relève le bas de sa tunique pour passer ma main sur ses fesses puis entre ses cuisses. « Pas maintenant, ça va être froid ! » « Tu en as envie, t’es toute mouillée. C’est moi qui t’excite ? » « Qui veux-tu que ce soit ? » Je la fais pencher en avant sans répondre, lui écarte les jambes. Elle pousse un gros soupir et s’abandonne. Sa chatte est trempée et toute chaude. Je l’enfile sans effort d’un coup jusqu’au fond. Elle est bien ouverte, la cochonne. Y avait longtemps que je ne l’avais pas baisée comme ça. Putain que c’était bon ! »
J’ai envie d’envoyer mon poing dans le visage hilare qu’il affiche devant moi. Je me retiens. C’est sa femme après tout. « Et avec Véro, ça avance comment ? » Je lui demande, pour changer de conversation.
…………..
Hier, j’ai rencontré Fredo, par hasard. Il a absolument tenu à m’offrir un pot. Il avait une histoire incroyable à me raconter.
« Je rentrais chez moi, un peu bourré mais sans plus. Ma femme préparait de la pâte à crêpe dans la cuisine. En attendant l’heure du repas, je vais me vautrer dans mon fauteuil, devant la télé.
Cinq minutes après, Véro arrive. Sa robe est ultra courte. Elle me fait « Bonjour » de la main avant d’aller rejoindre Michèle dans la cuisine pour papoter. Les femmes ! Elles ont toujours des trucs à se raconter alors qu’elles se voient tout le temps. Je rigole tout seul en regardant les gags à la télé. Qu’est ce qu’ils sont cons !
Véro vient s’installer sur le canapé, comme d’habitude. Elle m’observe. J’en ai marre de cette allumeuse. Je fais celui qui fait pas attention.
Ma femme nous rejoint et s’assoit à côté de sa copine. Elle me propose un verre que j’accepte, un peu surpris vu qu’elle n’aime pas que je boive d’habitude. Elles discutent des vacances. J’aperçois un téton de Véro qui se tient de profil. Elle se lève. Je suppose qu’elle va accompagner Michèle dans la cuisine pour faire sauter les crêpes. Elle se penche devant moi pour attraper son verre sur la table basse. Son abricot fendu est juste devant mes yeux. Cette salope n’a pas de culotte. Elle l’a fait exprès, j’en suis sûr. Elle est à poil sous sa robe. Cette garce tourne son visage vers moi et me sourit d’un drôle d’air, comme si elle attendait quelque chose. Elle s’éloigne en me laissant en plan une fois de plus.
Les crêpes sont excellentes. Véro et Michèle rigolent comme des folles tout en s’occupant de remplir mon verre. Je me tape la bouteille à moi tout seul, les filles préférant le jus de fruits. Il fait chaud.
J’entends les bruits de vaisselles. Je suis à moitié endormi dans mon fauteuil. Véro s’affale sur le canapé, face à moi. On se regarde. Elle sourit malicieusement et se laisse aller sur le dossier les cuisses ouvertes en fermant les yeux. Sa chatte duveteuse est parfaitement visible. Elle ouvre un par un les boutons de son corsage et se caresse le mamelon d’une main pendant que l’autre glisse jusqu’à sa fente. Elle me regarde à travers ses cils. Des bruits de vaisselles viennent de la cuisine. Je n’y tiens plus. Je me penche et glisse ma main entre ses cuisses. Je bande comme un fou. Comme elle ne dit rien, je l’embrasse sur la bouche. Véro m’attire sur elle en écartant les jambes. Ma tête bourdonne.
— Salaud ! Laisse la tranquille ! Je me redresse d’un bond et tombe par terre. Michèle est là, très en colère.

— Faut pas te gêner surtout ! Elle me lance, méchamment.— Il m’a sauté dessus ! J’ai rien pu faire. Ment effrontément Véro.— Je t’avais prévenu Fredo ! — Mais.. Mais.. C’est elle qui ..— C’est ça ! Soit lâche en plus. Tu vas me faire croire que c’est Véro qui t’a violer ? — C’est pas moi ! Je te jure ! Véro ! Dis lui toi ! — Il m’a arraché mon string ! Il m’a fait peur ! Il est complètement saoul ! La salope tient un bout de tissus déchiré dans sa main.— Va t’en ! Sors d’ici ! Je veux plus te voir me lance Michèle, rageusement.
Les apparences sont définitivement contre moi et tout est confus dans ma tête. Je me lève aussi dignement que possible. Un quart d’heure après, je suis sur le palier avec ma valise et la porte de l’appartement claque bruyamment derrière moi. J’appelle un copain au téléphone. Il n’est pas là. Finalement, je retourne chez ma mère, à l’autre bout de la ville qui m’accueille avec une grimace.
— Toi, t’as encore fait des conneries, me dit-elle, en m’embrassant.— Je sais pas, je lui réponds. J’ai rien compris. »
Je lui tape sur l’épaule. « Mon pauvre Fredo. » Il est parti de son côté et moi du mien.
Je la connaissais déjà son histoire. Ce soir là, je me tenais sur le palier et j’écoutais derrière la porte, au cas où. J’ai grimpé sur le palier du dessus avant qu’il ne soit éjecté de l’appartement.
J’ai attendu quelques minutes avant de rejoindre Michèle et Véro. Il restait quelques crêpes. Les deux jeunes femmes me regardaient manger. Elles riaient, racontant chacune à sa façon, comment elles avaient chassé le vilain mari. Leurs yeux brillaient d’excitation. Les femmes peuvent être cruelles quand elles sont amoureuses. Véro montrait la façon dont elle s’était exhibée devant ce pauvre Fredo et ça m’excitait. Michèle s’en aperçut et se colla contre moi pour m’embrasser. « Notre histoire te fait de l’effet on dirait. Sa main caressa la bosse qui déformait ma braguette.
« C’est vous deux qui m’excitez maintenant ! Je peux rester avec vous cette nuit ?.. S’il vous plaît! » Demanda Véro, en faisant une moue de petite fille. Michèle me regarda l’air interrogateur puis revint vers son amie. « Tu promets d’être sage ? » Elle lui demanda. « Bien sûr que non ! » Répondit-elle en riant. Michèle l’embrassa sur les lèvres. « Je t’aime aussi, ma chérie. Aide-moi à déshabiller notre bel étalon. »
Pendant que l’une tirait sur mon pantalon, l’autre déboutonnait ma chemise. Je me laissais faire, savourant ce moment privilégié. Les deux femmes se mirent nues en riant comme des gamines excitées. Elles étaient magnifiques. Je le leur dis. Elles s’agenouillèrent et saisirent ma verge gonflée. « Quelle merveille ! » S’exclame Véro. Elles câlinèrent mon sexe, le lécha, le suça, caressant mes couilles avec douceur. Je ne restais pas inactif. Mes mains pelotaient leurs mamelons. Elles exigèrent que je me couche sur le canapé. Je suçais tout ce qu’elles m’offraient, leur chatte, leurs tétons, leur lèvres. Michèle s’empala sur ma bitte pendant que je léchais la chatte de Véro, accroupie sur ma bouche. Les deux femmes se bécotaient et se pelotaient mutuellement.
Michèle s’effondra sur moi. Elle roula sur le côté en gémissant. « A ton tour, ma chérie. Viens sentir comme il est fort. » Elle m’offrait à Véro, avec amour. Véro me grimpa dessus sans se faire prier. Elle eut un peu de mal à m’introduire en elle. Elle pinça ses lèvres. « Comme il est gros ! » Sa petite chatte étroite glissa enfin le long de ma queue qui disparut en elle. «  Oooohh ! Michèle.. C’est si bon !  » « Je sais, ma chérie. Fais-toi plaisir. Tu as bien mérité cette énorme récompense. » Ajouta t-elle en riant.
Véro, montais et descendais lentement puis plus rapidement, me prenant tout entier. « Aaahhhh ! » Elle se recroquevilla en haletant comme une chienne en chaleur. Michèle l’embrassa à pleine bouche. Elles m’excitaient trop. Je retournais Véro et la bourrais sans ménagement, encouragé par Michèle. « Défonce lui sa petite chatte à cette gouine ! » Véro poussait des hululements en continu.
Je me vidais les couilles au fond de son ventre sans me poser de question. Épuisé, je m’écartais de Véro pour reprendre mon souffle. Michèle prit ma place sur le ventre de son amie. « Il t’a bien baisée, ma chérie. Tu es pleine de son jus. J’en veux aussi. » Elle pivota sur elle-même, se retourna et lécha le sperme qui coulait du vagin béant.
Fin
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