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SADO MASO SOFT

Chapitre 2

SM / Fétichisme
J’avais quitté Viviane, abrutie de plaisir, l’anus et les fesses durement martyrisés. J’avais, après coup, un terrible sentiment de culpabilité, même si notre discussion "post accouplement" (on pourrait même appeler cela débriefing, tant l’aspect technique prenez le pas sur l’aspect sentimental de nos relations) avait confirmé les appétences extraordinaires de ma maitresse pour les pratiques sado-maso. Elle prétendait le découvrir , mais je comprenais bien, en l’écoutant , qu’elle n’était pas à son coup d’essai (à ses coups pourrait on dire...). Ses pratiques masturbatoires étaient enrichies , disait elle, d’auto flagellation et surtout de torsion et extension des tétons qui l’amenaient vers un plaisir intense. J’avais alors admis que l’utilisation de mon sexe, était quasiment une option qu’elle considérait comme facultative. Ce n’est pas Viviane qu’elle aurait du s’appeler mais Justine. Quant à moi malgré mes envies , j’avais du mal à me glisser moralement dans la peau du divin Marquis.Je savais cependant que je ne retrouverais pas une occasion pareille ( je parle de la pratique, pas de la dame!!!) et j’envisageais donc quelques scénarios susceptibles de lui faire "atteindre l’extase suprême" dont elle disait rêver.Dans la vie, je n’aime pas improviser et quand je ne maitrise pas, je me documente. Internet est parfait pour ouvrir les portes de l’inconnu , en tout cas beaucoup plus facile que de demander à son meilleur ami:— " He au fait! Claude, ma maitresse adore se faire fesser , comme ça me fait mal à la main au bout d’un moment , tu me conseillerais quoi: une cravache ou un fouet?"ou à mon amie psy:— " Dit donc Annie, Viviane, préfère se faire enculer à sec plutôt qu’après être lubrifiée. Pourtant ça lui fait mal, elle crie, tu trouves que c’est normal?" J’avais donc surfé. Facile: Après avoir tapé dans Google :"sado maso" , j’avais eu accès à une documentation littéraire, photographique , filmographique extrêmement dense et constamment remise à jour. Ah! c’était autre chose que lorsque je recherchais des exemples de "bonne gestion du personnel" pour mon travail!!!!!je dus faire un tri sévère car les pratiques expliquées et illustrées étaient souvent violentes: percements, brulures, bondage extrêmes, fisting monstrueux.....on se seraient crus sous l’inquisition. (Tient au fait , est ce que les moines éjaculaient dans leurs robes de bure en torturant les belles cathares?)Je restai donc sur des basiques beaucoup plus soft. Elle risquait de me taxer de conformiste ou de ringard dans mon approche sexuelle, mais tant pis, j’assumerai mes choix techniques par quelques habiles pirouettes , expliquant par exemple que j’e ne pratiquais plus le fisting anal depuis que je trouvai plus de gants d’ inséminateur. !!!! C’est donc , sans bouquet de fleurs, mais avec cordes, cravache , martinet, dissimulés dans un sac à dos que je me rendais au domicile de la possédée!!!!. ( j’avais abandonné l’idée d’apporter des orties, très piquantes en ce début de printemps .Leurs manipulation difficile me faisant craindre des dommages collatéraux dont je serais la probable victime ) Je m’étais muni, en outre, d’un grand foulard pour la bâillonner et ainsi étouffer un peu ses hurlements de louve en chaleur, dans la séquence finale. Cette précaution pouvait m’ éviter une probable incarcération. après intervention du GIGN , ou un lynchage par des militants de la SPA se méprenant sur l’auteur des hurlements. L’aspect matériel est assez facile a gérer. Ce qui l’ est moins, c’ est l’attitude pendant les ébats. Il fallait se glisser dans la peau du dominant , du maître devant la soumise . C’était un beau rôle de composition, mais je n’étais pas sur d’être un bon acteur et d’arriver au niveau de la Sarah Bernard de l’orgasme qui serait ma partenaire.L’avantage de ces pratiques , c’est qu’il n’est nul besoin de préliminaires et après le café, je balançai ma première réplique, consciencieusement répétée dans les escaliers.
— Enlève ton jean et ton pull petite salope!!!, je vais m’occuper de toi!!!!
Bon ! je sais, c’est d’un grand classicisme !. J’avais envisager un instant de lui balancer une calotte dès qu’elle ouvrirait la porte de façon a affirmer mon autorité mais je craignais, connaissant le tempérament de la miss, qu’elle me décoche un coup de pied dans les couilles et que je fusse contraint de repartir la queue entre les jambes dans tous les sens de l’expressionCette petite tirade sans prétention , minimisait les risques Elle aurait pu me dire
- Ca va pas qu’est ce qui te prend !!!
Mais elle entra dans le jeu immédiatement. Voilà donc ma Viviane en culotte et soutien gorge noirs , campées devant moi car j’ai ordonné (espérant que la voix que je cherchais à rendre autoritaire allait dans le sens attendu par ma partenaire)
— Reste debout, immobile!!!— Ferme les yeux!!!
J’en profite pour farfouiller dans mon sac à la recherche d’accessoires. Malgré mes tremblements d’excitation et d’émotion, je lui attache les mains derrière le dos et lui bande les yeux. Je l’entraine au milieu du grand salon accompagnant ce déplacement d’une bonne claque sur le fessier. Sans ménagement , je sors ses seins du soutien gorge . ses petits nichons sont bien mis en valeur ainsi et ses tétons déjà durs m’invitent a penser qu’elle apprécie. J’ en profite pour fouiller brutalement son entre jambes avant de baisser sa culotte a mi cuisse . Comme je lui ais interdit de parler , elle se contente de gémir., mais par contre mouille abondamment. J’entre aussitôt dans le jeu:
— Tu mouille déjà espèce de cochonne!!!— Tu n’a pas honte vicieuse!!!— Je vais te traiter comme une pute!!!!
Chaque exclamation est entrecoupée de claques sévères, qui la font bondir en avant, et d’explorations violentes de ses orifices.
— Met toi à genoux espèce de chienne!!!! et ouvre la bouche !!!!
en un tour de main je suis nu et bite à la main . Après un dernier ordre
— ouvre plus grand que cela !!! et fait gaffe de ne pas me faire mal!!
Je lui enfonce sans précaution, tout mon sexe dans la bouche essayant d’atteindre le fond de la gorge en lui poussant bien la nuque avec ma main libre. Au bout de quelques secondes elle étouffe et je me retire. Alors qu’elle éructe , je lui balance une gifle sonore.
— Je ne veux plus de ça!!! applique toi ! sinon gare!!!— Tu va me pomper et l’avaler jusqu’aux couilles quand je te l’ordonnerai!!!
A ce rythme et dans cette ambiance , je dois faire attention de ne pas abréger la séance par une éjaculation précoce qui risquerait fort de plomber l’ambiance Je m’en tire habilement!!!
— tu suces mal, ça ne vaut pas le coup , on va aller dans la chambre pour s’occuper sérieusement de toi et bien te travailler!!!
Ancien scout, je connais parfaitement tous les nœuds et grâce à ces compétences, transmises par le Père André lors des camps de vacances Bretons, je lui attache solidement les mains au montant du lit . Pauvre père André s’il avait imaginé a quoi servirait son enseignement. Serait il fâché ou fier de voir son élève préféré, celui a qui il prodiguait de si douces caresses pour le féliciter, appliquer avec tant de soin son savoir-faire?Depuis ce début d’après midi , mon potentiel linguistique a très nettement régressé. Dans le dialogue je n’utilise plus qu’une douzaines de mots parmi lesquels: chienne, pute, pouffiasse, salope, reviennent le plus souvent. Mais la chérie apprécie visiblement cette lexicologie primaire .Pour l’heure allongée les bras en croix elle attend avec délectation, semble t’il, la suite des évènements. Je dois avouer qu’elle est magnifique ainsi: des petits seins ronds aux aréoles très foncées et aux tétons volumineux et gonflés, un ventre plat , des hanches larges prolongés par des cuisses fuselées encadrant une toison bien fournie et très brune. L’espace d’un instant , je repense aux moines inquisiteurs , mais je chasse vite cette pensée !!!! je ne vais quand même pas la bruler vive dans la cour de l’immeuble.Je m’éclipse donc vers le placard de l’entrée où je trouve enfin l’accessoire indispensable et intransportable dans mon sac à dos : un manche à balai démontable. Amis lecteurs, vous allez être déçus, il n’est pas question de la violer avec cet instrument mais de l’écarteler pour qu’elle ait vraiment l’impression d’être soumise et humiliée. cette perspective me fait a nouveau bander tel Rocco Siffredi arrivant sur le plateau de " viols au dessus d’un nid de cocus"Sans un mot, mais frottant bien ma bite contre elle , j’entreprends de lui attacher les chevilles au manche. Sa culotte que je n’ai toujours pas entièrement retirée lui cisaille les cuisses .Je lui lève les jambes très haut et attache le manche aux barreaux . je lui retire le bandeau pour qu’elle prenne conscience de sa situation totalement impudique . Elle ouvre de grands yeux , halète bruyamment au bord de l’orgasme. Je crains le pire!!!! mais le meilleur de mon rôle arrive et je veux absolument continuer mon cabotinage
— Maintenant je vais te violer espèce de pute!!!!!
J ’entreprends d’arracher son soutien gorge . Hélas c’est une catastrophe!!!! le nylon résiste , me cisaille les doigts. Je n’ose y mettre les dents , craignant d’y laisser une dent sur pivot, ce qui serait du plus mauvais effet. J’essaie de m’attaquer au slip mais c’ est pire. Le drame , l’incident majeur, le grain de sable qui enraye la machine, bref la catastrophe .J’ai, heureusement, un éclair de lucidité dans cette déroute. Je fonce à la cuisine...... En me voyant revenir avec un couteau à pain, une lueur d’angoisse lui traverse le visage. Sans problème , je cisaille les bretelles et content de moi j’improvise avec délectation et brio Je lui caresse les tétons avec le dos de la lame , descend sur son ventre, le glisse entre ses lèvres , les écartant , cherchant prudemment son clito . je bande comme un furieux et m’apprête à cisailler la culotte quand soudain tout s’accélère : ses feulements se transforment en grognements , ses lascives ondulations en contorsions. Je n’ai que le temps de tout lâcher pour me précipiter bâillon à la main pour étouffer ses premiers cris . Ca dure bien 2 minutes, parfois je relâche la pression , craignant de l’ étouffer. .Au bout d’un moment, enfin calmée, elle se détend, fermant les yeux , respirant normalement.
Je suis terriblement déçu. Heureusement que ce n’était pas mon examen final de "Maitre dominant", c’est sur , j’étais recalé. Je vois d’ici les appréciations: "Monsieur X Ne maitrise pas complètement les tenants et aboutissants de la discipline".....La séquence animée par Monsieur X a fort bien débutée , cependant des lacunes dans la gestion de l’orgasme féminin perdurent " "Monsieur X avait un sujet remarquable , il l’a très mal exploité, mes deux collègues ont du me retenir pour que je n’intervienne pas .....pour lui montrer la bonne stratégie. un tel gâchis est inadmissible...où sont les toilettes?" Je m’apprête donc à me finir à la main, quand je l’entends murmurer
— continue , ça va revenir, je veux que tu me punisse que tu me viole!!!!
J’ai du mal a redémarrer , mais ses yeux maintenant ouverts , écarquillés comme une possédée (je suis persuadé qu’elle a fumé avant) m’y incitent.
j’ai déchiré la culotte et maintenant c’est une cravache qui excite son clito. En tirant bien fort sur ses tétons , j’ai placé deux grosses pinces à linge toutes neuves et qui serrent terriblement. Parfois je donne un coup de badine dessus ou sur son clito bien offert . je lui ai enfoncé le manche de la cravache dans l’anus et surtout je lui ais cinglé plusieurs fois les fesses violemment. . Ses halètements, son regard toujours plus impressionnant me confirme qu’elle apprécie.
Il est temps d’en finir: car de mon côté je suis à la limite de l’explosionSans aucun préparatif ( mais elle mouille tellement qu’il n’en est nul besoin, j’enfonce brutalement mon sexe en elle et me met à la ramoner à grands coups, assortissant chacun d’eux d’un commentaire quand à sa moralité , dans le langage qui , pour l’heure est le mien:
— tu aimes te faire défoncer!!! salope!!!!— ouvre ton garage a bites que je le remplisse— Putain tu es bonne!!!! je vais essayer ton cul maintenant
Et sans plus attendre lui rentrant un doigt , tirant sur les chairs, crachant dessus pour lubrifier, j’écarte sa rondelle, présente le bout de ma queue et pousse très fort!!Elle crie quand le gros renflement du gland force le passage et d’un seul coup , je plonge en elle.
Elle se met à parler elle aussi et nos échanges tiennent plus du dialogue de charretiers avec des mules rétives qu’à celui d’amantsIl est question de grosse bite, de défonce, de pute pour arabes......etc.
nous sommes déchainés, elle tire sur ses liens , se tortille , m’invitant à en faire encore plus . Mais l’épilogue est proche, car je la sens "venir ", comme elle dit et je retiens difficilement mon éjaculation. Avant qu’il ne soit trop tard , je sors d’elle pour lui éjaculer dans la bouche . j’envoie le premier jet au plus profond de sa gorge , me disant que ce bâillon liquide atténuera les sons. je finis de me vider sur son visage quand elle démarre comme une formule un à Monaco. Un rugissement prodigieux qui n’en finit pas s’atténuant peu à peu puis reprenant en même temps qu’un spasme lui contracte le ventre . A ma grande surprise, elle les compte: 2, 3, 4 . Quand à moi, n’ayant plus la force de la bâillonner, abandonnant toute velléité de lutte, je la laisse lancer au ciel ses cris de bête en rut. ....
j’attendis le soir et la nuit tombante pour partir , autant pour récupérer que pour fuir les regards que j’imaginais outragés des voisins.
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