Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 1 J'aime
  • 0 Commentaire

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans

Chapitre 30

SM / Fétichisme
Les esclaves dans l’Entreprise du Marquis d’Evans - 6 ème partie - Les pony-boys -
Durant les premiers jours de mon nouveau... "job", je ne quittai pas les murs de ‘’L’Entreprise’’, l’imposant gratte-ciel, le siège social de la holding de mon P.D.G. et Maître. Les travaux ménagers du matin, cédaient la place à l’apprentissage de ma fonction auprès de notre Vénéré Maître, Le Marquis d’Evans. Celui-ci avait entrepris de m’initier aux arcanes de Sa Société, puisque je serais appelé à Le seconder en de nombreuses occasions. C’est Son assistante personnelle, émeline qui était donc plus qu’une simple secrétaire, qui venait me chercher dans ma cellule. Elle m’apportait chaque jour costume, chemise, cravate, chaussettes et chaussures... tout ce qu’il fallait, à l’exception notable et semblait-il définitive de sous-vêtements. Peu à peu, je commençais à saisir l’organisation rigide de l’étage directorial situé bien entendu tout en haut du building. Auprès Du Marquis, j’apprenais tous les mécanismes économiques internationaux dont je n’avais eu auparavant qu’une vision fort limitée. Je m’étais toujours contenté de ma fonction, convaincu d’effectuer une tâche essentielle à la tête de l’équipe que je dirigeais. Je découvrais maintenant à quel point je n’avais été qu’un pion insignifiant dans le labyrinthe complexe de cette multinationale. Un vulgaire rouage ignorant de l’essentiel. Et il avait donc fallu que je tombe dans le plus total asservissement pour découvrir une part (celle que Le Maître daignait me laisser entr’apercevoir) de la réalité. Et celle ci m’effrayait, tant elle soulignait la démesure et les innombrables ramifications dont je n’avais qu’une idée encore bien superficielle.
Lorsqu’Il m’initiait ainsi au fonctionnement de L’Entreprise, le Marquis me traitait presque comme un simple employé. Bien sur, je devais rester debout et garder les yeux baissés, sauf lorsque je devais aller chercher un document, ou servir mon Maître et Patron. Mais Il s’adressait à moi de façon très professionnelle. Tout au long de la journée, il n’était question que de travail... Mais à l’issue de la séance, Le Maître faisait soudain le décompte de la journée... faisant porter l’accent sur mes fautes ou étourderies... et Il en fixait le châtiment, afin de m’apprendre à progresser. Il convoquait alors émeline, qui se chargeait de récupérer mes effets, puis je me penchais sur Son bureau, livrant ma croupe à Sa vindicte. Il appliquait alors méthodiquement la sanction, me faisant comprendre par Son détachement, à quel point il ne s’agissait pas là d’un moment partagé, mais seulement d’une nécessité visant à peaufiner mon dressage. Parfois aussi, Il confiait la cravache, la badine ou le nerf de boeuf à émeline... Celle-ci hésitait souvent à frapper avec assez de force, mais Le Marquis lui rappelait alors que chaque coup jugé insuffisant serait à refaire et qu’elle devrait, ensuite en subir les conséquences. Aussi en vint-elle à porter les coups avec autant de vigueur que nécessaire.
Chaque fois qu’ensuite elle me ramenait à ma cellule, je lisais dans son regard le regret et j’espère qu’elle savait deviner dans le mien la compréhension et le pardon, car nous n’avions d’autre choix que de faire preuve de la plus totale et sincère obéissance. Nous approchions du week-end et je me demandais, dans ma nouvelle existence, ce que pourrait bien signifier ce terme. Un esclave bénéficie-t-il de journées de repos ? Puisque j’avais un contrat, j’aurai pu demander à le consulter. Mais la seule idée de devoir me présenter devant la perverse Madame Merteuil me paralysait. Mais ce matin là, le garde ne me mena pas vers le couloir et les bureaux où nous devions chaque matin nettoyer et dépoussiérer. Sans un mot, il jeta dans la cellule un pantalon informe et une chemise élimée, ainsi qu’une paire de sandales. Je me hâtai d’enfiler ces humbles vêtements et me tint à genoux, tête baissée, dans l’attente d’instructions...
— "Debout !, me lança le garde, on va t’aérer un peu aujourd’hui"
Je le suivis donc dans le couloir principal, puis dans l’ascenseur pour descendre les 53 étages jusqu’au rez-de-chaussée, pour prendre ensuite de nouveau un couloir pour se trouver enfin devant une porte dérobée. Et enfin, le garde ayant poussé cette porte, une petite rue à l’arrière de l’immense bâtiment principal de L’Entreprise. Je demeurais un bref instant comme paralysé. Je venais de vivre plusieurs jours comme dans un bocal... Air conditionné, aucun bruit de l’extérieur. Nous étions comme confinés hors du monde. Et là ! L’air libre de l’extérieur, soudain, même nauséabond en raison de la proximité de poubelles emplissait mes poumons. Klaxons, moteurs, musiques diverses saisissaient mes oreilles... Je fus bousculé sans ménagement, d’une frappe dans le dos …
— "Allez salope ! Tu me suis, à un mètre de distance. Tu avances les yeux rivés au sol, tu ne fixes personne, tu ne dis rien, tu me suis, c’est tout. Compris ?"— "Oui Monsieur"...
Et le garde se mit en marche, d’un pas rapide et nerveux que je suivais humblement, fixant ses talons qui progressaient sans oser lever les yeux. C’était sans doute stupide, mais je craignais par dessus tout de croiser une connaissance, d’être interpellé. Je ne voulais pas que l’on me vit ainsi, vêtu de ces tristes guenilles, l’attitude servile, privé même du droit de répondre si l’on me questionnait. Par chance, je ne croisais personne de ma connaissance, ou bien mes connaissances n’auraient pu reconnaître dans cette pauvre créature craintive, celui qu’elles avaient croisé une semaine plus tôt, dans un costume griffé, savourant un Islay dans un club branché... Bien que gardant la tête baissée, je pensais reconnaître le trajet que nous empruntions. Chaque nouveau mètre parcouru me confirmait cette sensation. Nous nous rendions chez moi ! Confirmation lorsque le garde composa le code d’accès à l’entrée de l’immeuble haussmannien où se trouvait mon loft. Un frisson me parcourut, car je risquais de croiser mes voisins. Mais le garde me fit, bien sur, passer par l’escalier de service et c’est par la porte de service donnant dans la cuisine que nous pénétrâmes dans mon ancienne demeure. Stupéfaction ! Tout était vide. Plus un seul meuble, encore moins de bibelots, oeuvres d’art, antiquités que j’avais accumulés au fil des ans. Je suivis le garde dans le vaste salon dont les vastes baies vitrées donnaient sur l’une des plus belles vues de la ville. La pièce vidée semblait plus immense encore, démunie de tous les objets de prix et tableaux contemporains que j’y avais accumulé. Au milieu, il n’y avait qu’un seau, un balai, des serpillières et des produits de ménage...
— "A poil !" m’ordonna le garde...Ce que je fis bien sûr en un clin d’œil ne voulant risquer le courroux du colosse ...— "Et maintenant au boulot ! La famille vient s’installer demain, Monsieur Le Marquis leur a payé le déménagement et il fait également livrer quelques meubles supplémentaires pour les chambres des enfants. Alors il faut que tout soit nickel avant leur venue. Tu dois avoir fini ce soir (il brandit une courte cravache) et si tu ne vas pas assez vite, je saurai comment te faire accélérer...Et quand tu auras fini, tu me suceras et m’offrira ton cul, petite putain"
Plusieurs heures et plusieurs coups de cravache plus tard, et après avoir sucé le garde qui m’encula sans ménagement, j’étais épuisé, fourbu, harassé même... Mais les 200 mètres carrés de l’appartement étaient rutilants et je pouvais ranger le matériel de ménage dans l’un des placards de la cuisine, avant de revêtir mes hardes et de suivre le garde en sens inverse, pour un retour à ma cellule et recevoir enfin une gamelle de cette bouillie épaisse et sans saveur mais dont la tiédeur m’apparut comme un exceptionnel bienfait et dont je savourai chaque bouchée avec reconnaissance; mais aussi avec la sensation étrange d’être enfin de retour... chez moi.... Rarement j’avais si bien dormi ! Et au matin, c’est en compagnie de cyril que je me réveillais... Je ne m’étais même pas rendu compte qu’il avait été amené là. Et je devais une profonde reconnaissance aux gardes qui n’avaient pas jugé utile de me réveiller, comme ils auraient pu le faire... Le réveil fut brusque cependant, puisque c’est au jet d’eau froide qu’il s’effectua. De l’autre côté de la grille, un garde dirigeait la lance alternativement vers cyril, puis vers moi, visant en priorité nos parties intimes. Sous la puissance du jet, nous n’avions d’autre possibilité que de nous coller contre le mur du fond et d’y recevoir l’eau glacée qui nous réveillait. Un autre garde nous lança alors deux bouts de savon :
— "Allez et frottez ! Vous puez ! Et faites vite !" Nous cria-t-il
Le spectacle ridicule de deux esclaves nus, tentant de se saisir de morceaux de savon dans un environnement saturé d’eau amusa beaucoup les gardes. Qui firent durer le plaisir de longues minutes, avant de couper l’eau et de nous laisser ainsi grelottants. Pas longtemps, car on nous fit sortir et on nous conduisit dans la salle des gardes où nous pûmes nous sécher et revêtir comme je l’avais fait la veille de pauvres vêtements. Puis de suivre le même chemin que j’avais suivi, mais cette fois jusqu’au parking souterrain, mais avec cyril, mon compagnon d’infortune. Là une fourgonnette nous attendait. Les portes arrières s’ouvrirent, tandis que les gardes qui nous avaient accompagnés passaient sur nos têtes des cagoules noires sans trou et nous liaient les poignets dans le dos avec des menottes. Nous fûmes poussés dans le véhicule, aveugles et entravés, afin d’y être enchaînés à des barres fixées dans les parois intérieures de la carrosserie. Puis le véhicule démarra, nous secouant de-ci de-là vers une destination inconnue. Impossible de dire combien de temps dura le trajet. Longtemps, lorsqu’on est enchaîné dans la plus inconfortable des positions et que le moindre cahot, le plus petit virage, vous projette contre la paroi ou vous projette au sol, meurtrissant vos poignets, vos membres... Nous sommes tout de même restés ainsi plusieurs heures, mais je ne saurai donner le temps exact… deux ? peut-être trois heures de route ? …
Le douloureux déplacement se termina (enfin !) à l’issue d’une dernière étape sur ce que je supposais être un chemin forestier, tant les trous et bosses de cette ultime étape étaient nombreux. Finalement, la fourgonnette s’immobilisa et nous fumes détachés et menés à l’extérieur. L’air frais, mélange d’humus et de notes florales, le chant des oiseaux comme seul fond sonore, le sol souple sous nos pieds... Nous étions à la campagne ! On nous poussa violemment et nous avançâmes à l’aveugle vers une direction inconnue, puisque nous étions toujours coiffés de nos cagoules opaques. Après plusieurs minutes de marche notre groupe fit halte. Enfin on nous ôta les cagoules... Nous étions devant une vaste grange dont la grande porte était ouverte. Mais ce qui était le plus impressionnant, c’était l’immense château qui trônait majestueusement sur notre droite que je reconnu aussitôt. C’était celui que j’avais vu en poster géant et qui occupait tout le pan de mur derrière le bureau du Maître. Nous étions sur les Terres de Monsieur le Marquis d’Evans, devant sa fameuse demeure ancestrale. Le parc verdoyant flanqué devant, paraissait immense… A l’intérieur de la grange, on devinait des stalles garnies de paille, le tout parfaitement organisé, entretenu... On nous poussa à l’intérieur, vers le fond du bâtiment. Là, deux longues tables et pendus au mur, de nombreux instruments et objets de cuir, de métal, dont j’ignorais totalement l’utilité... Mais je, enfin nous puisque cyril se tenait à mon côté, n’allions pas tarder à l’apprendre....
Sans ménagement, les deux esclaves ont donc été poussés jusqu’au fond de la grande, là, deux hommes s’affairent. Ils sont vêtus de vestes rouges à brandebourgs, de culottes cavalières blanches, de bottes... Ils se tournent vers le petit groupe qui s’approche et l’un d’eux...
— "Ah ! ce sont les canassons ?"
Suscitant les rires des gardes qui font stopper les deux esclaves devant les tables. Les deux hommes en costumes décrochent des cloisons, des sortes de lanières de cuir et s’approchent l’un de cyril et l’autre, de philippe. Ils entreprennent alors de les harnacher avec ces sangles de cuir reliées les unes aux autres par des cercles d’acier... Les sangles passent par les épaules de l’esclave, se rejoignent sur la poitrine, où un cercle d’acier entoure chaque téton, puis descend, afin de venir autour de la taille et dans le dos, descendant entre les fesses pour revenir sur le devant, formant comme un noeud autour des parties intimes... Puis, un mors est placé, une barre de bois tendre les bâillonnant, maintenue par une armature métallique fixée à leur crâne... et prolongée par derrière par une longe de cuir servant de rennes, permettant de diriger l’individu ainsi harnaché... Des pinces supportant des grelots, fixées sur les tétons de chacun venant compléter cette tenue. L’un comme l’autre, cyril et philippe avaient compris à quoi on les destinait. Même sans être des experts, ils avaient entendu parler de pet-play et de pony-boys (ou girls). Mais se retrouver ainsi dans une telle situation ! Et surtout, ils se demandaient pourquoi, pour qui... Mais déjà on les repoussait vers l’extérieur... Là, on avait amené un superbe sulky et c’est à son arceau que furent attachés les deux esclaves, dans leur position de bêtes de somme... Tellement troublés par leur situation inédite, ils n’ont pas vu approcher Celui qui s’installe dans le siège du sulky, s’empare des rennes et donne un coup sec.
— "Allez, hue !!"
La voix Du Marquis d’Evans avait claqué comme un fouet aux oreilles des deux pony-boys... Maladroitement, ils se mirent au pas... au bout de quelques mètres chaotiques, un claquement sec au-dessus de leurs têtes... Les deux hommes en tenues de palefreniers les accompagnaient au pas de course, derrière le sulky.
— "En rythme ! Réglez vos pas l’un sur l’autre !" lançait Leur Maître,
En faisant claquer la lanière de son fouet de postillon récemment acquis dans une vente très particulière, réservée à une assemblée "très" choisie. L’objet, au manche de houx, se terminant par une flotte en veau blanc tressé de huit brins... Cela en faisait un instrument certes élégant, mais terriblement efficace et cuisant. Les deux pony-boys ne tardèrent pas à en faire l’expérience en recevant quelques coups sur la croupe, les incitant à bien vite trouver le pas qui leur permettrait de progresser avec une meilleure régularité... Ils y parvinrent après quelques difficultés qui leur valurent de sèches réprimandes qui laissèrent des traces rouges sur leurs culs et leur dos... Ainsi menés, il fallait bien qu’ils parviennent à s’entendre. Et trouvant enfin la bonne allure, ils parvenaient à donner peu à peu l’impression d’être (presque) un attelage. Appréciant le rythme trouvé par ses esclaves-poneys, Le Marquis se contentait de faire claquer la flotte au-dessus de leurs têtes lorsqu’il voulait souligner un ordre "Plus vite !"… "Accélérez !"... "En rythme !"... Les ordres pleuvaient et le "couple" tirant le sulky s’adaptait à son état... donnant une bonne allure à l’engin qu’ils tiraient, évoluant sans trop de difficultés sur la piste, ou le chemin de terre battue qu’ils suivaient, sans même savoir où il les menait. Mais cela n’avait réellement aucune importance, ils n’étaient qu’un attelage, mené par Leur Maître et Lui savait... Cela seul comptait et s’appliquant à se comporter comme de bons poneys, les deux esclaves n’avaient d’autre pensée que d’harmoniser leur pas, mécaniquement, et en fonction des ordres que Leur Maître lançait.
— "Comme c’est facile de vivre ainsi" se disait philippe "obéir... seulement obéir..."
Et il appréciait même le petit souffle d’air qui rafraîchissait l’atmosphère et rendait moins épuisante cette course vers l’inconnu... Pourtant, fort peu habitué à progresser ainsi pieds nus, fût-ce sur le parquet hors de prix du plancher de ce qui avait été son loft, il commençait à souffrir et peu à peu, le moindre grain de terre devenait comme une épine qui blessait la plante de ses pieds fragiles. Il souffrait, mais parvint encore pendant quelques centaines de mètres à maintenir son allure... Puis soudain, il commença à vraiment faiblir, manquant d’air, ressentant le frottement des bord du harnais qui blessait la peau fragile, ne supportant plus la morsure des pinces sur ses tétons... plus rien n’était supportable... il tourna la tête vers cyril qui évoluait en silence mais des larmes plein les yeux et se mordant les lèvres. Manifestement son compagnon d infortune souffrait autant que lui. Mais il tenait et gardait le regard fixé devant lui, n’accordant aucun regard à ce qui l’entourait. philippe n’en pouvait plus. il aurait hurlé ! Et Le Marquis sentit venir la défaillance, faisant à nouveau claquer son fouet, d’abord à distance, puis enfin directement sur les fesses déjà meurtries de philippe qui littéralement se cabra. Le Maître tira alors sur les rennes, forçant son attelage humain à stopper et philippe tomba à genoux, sanglotant, tandis que cyril demeurait debout, seulement préoccupé par la recherche d’une bouffée d’air difficile à saisir. Le Marquis fit un signe en direction des palefreniers, leur indiquant philippe. Les deux hommes s’avancèrent et allèrent rejoindre le pony-boy, le forçant à se relever, puis le détachant de l’arceau, ils le menèrent jusqu’Au Marquis, demeuré assis dans le sulky et le firent mettre à genoux...
— "Tu as manqué à ton devoir, esclave !" dit Le Marquis "regardes ton binôme, il est épuisé mais il sait qu’il doit apprendre à aller au-delà de ses limites afin de me contenter, toujours. Toi, tu n’es qu’une larve incompétente ! Mais tu apprendras, oui tu apprendras parce que Je le veux ! Oui ?? !!!"— "Oui Maître" parvint à articuler le pony-boy entre deux sanglots et malgré le manque de souffle— "Bien... tu y as tout intérêt. Mais en attendant, tu dois être puni d’avoir défailli à ta tache et cela avant que nous reprenions notre cheminement ! Vous deux (dit-il aux palefreniers), relevez-le et penchez-le. Toi (désignant le plus massif des deux hommes en livrée) tu l’encules à sec, et puis après vous deux, vous lui pisserez dessus, manière de vous soulager et afin de lui apprendre à me contenter !"
L’esclave-poney fut ainsi contraint de se tenir à une roue, debout, penché en avant, tandis que le palefrenier baissait sa culotte de cheval et exhibant un sexe de belle taille, s’approchait de lui, écartait ses fesses et poussait sa queue épaisse contre la rosette, s’enfonçait et pénétrait totalement le cul ainsi offert... Lorsqu’il eut reçu une bonne giclée de semence entre les fesses, l’esclave tomba à même le sol. Les deux garçons d’écurie lui urinèrent alors dessus abondamment. C’est trempé de pisse que philippe grelottant fut à nouveau harnaché à sa place, au côté de cyril qui avait un peu repris son souffle et n’osait tourner le regard vers son compagnon. Un simple claquement suffit, ils avaient trouvé la bonne allure et l’attelage progressait avec régularité vers sa destination...
(A suivre...)
Diffuse en direct !
Regarder son live