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La saint sylvestre d'Elsa et Lisa

Chapitre 1

Hétéro
 Elsa et Lisa

Elsa et Lisa Massala faisaient l’admiration de leur entourage. Polies,serviables, d’une gentillesse à toute épreuve, elles répondaient aux sollicitations diverses avec un entrain et une bonne humeur propres à séduire le plus acariâtre des grincheux.
De fait, le vieux père Grégoire avait émit un grognement et un hochement de tête, ce qui chez lui était un gage de respectcertain, lorsque sa femme, Marcelle , avait évoqué les qualités humaines des deux petites.
Monsieur le curé, lors de ses sermons, jetait un regard attendri vers les deux jeunes demoiselles qui, les mains croisées, la paupière baissée, le visage inclinée en signe de soumission au Divin, se nourrissaient avec ferveur des paroles bénies de l’abbé.
Mademoiselle Royal, l’institutrice cinquantenaire qui dispensait avec une rare compétence des leçons pour tout leur cycle primaire aux enfants du village, ronronnait comme un vieux chat gourmand lorsque ses doigts nerveux emprisonnaient une dictée ou une feuille de calcul de l’une des deux sœurs.La perfection était de ce monde, l’institutrice pouvait en témoigner.
Quant à Hector Meunier, brillamment réélu à son poste de maire pour la 9ème fois consécutive, vieil ami de la famille paternelle des deux petites, il ne pouvait s’empêcher d’essuyer une larme lorsqu’il se remémorait le chant cristallin des deux jeunes filles, dans la chorale spécialement organisée pour célébrer la victoire du vieux maire.
Bref, tout le monde aimait Elsa et Lisa.
A 18 ans, elles s’affirmaient comme de splendide jeunes filles. Pas de ces beautés extraverties, enduite de produit de maquillage criard ou de brassières vulgaires.Laissant deviner aux regards de tous un nombril disgracieux ou des rondeurs inappropriées. Non, Elsa et Lisa, leurs fins cheveux blonds réunis en une queue de cheval qui balayait leurs chemisiers à col claudine, revêtaient des robes suffisamment longues pour tomber sous leurs genoux, masqués par des bas blancs à la frontière invisible. Elles complétaient leurs tenues par un ceinture discrète etdes souliers invariablement noirs et vernis. Pour les jumelles la discrétion étaient de mise.

Si elles avaient gagné l’admiration et le cœur de tous, les jeunes du village ne s’y trompaient pas !Au début ils avaient bien ri en parlant des "jumelles du géomètre", qui était la profession de leur père.Et puis ils les avaient vu, charmantes fillettes de 5 ans à l’époque, quand leur parents étaient revenu au village.Les filles les regardaient avec admiration pour certaines, d’autres, plus rares, les jalousaient.Les garçons, eux ,fils de paysans mal dégrossis pour la plupart, faisaient le silence en leurs présence.Comme si d’un mot malheureux ils allaient faire se dissoudre dans l’air ces deux apparitions divines.
Et puis il y avait Paul.
Paul, le fils de 20 ans du père Grégoire.Il ne traînait pas avec les autres jeunes du village.Il n’a pas le temps, il n’a jamais eu le temps, à vrai dire.Obligé d’aider son père à la ferme, dés ses 8 ans, la vie est rude dans les campagnes.Le père Grégoire reconnait que c’est grâce à son fils s’ils ont encore la ferme.Son "grand imbécile de fils" dit-il, avec néanmoins la prunelle humide.Capable de travailler 18h par jour, en ne prononçant que 3 mots par semaine.
Paul est un taiseux comme son père.
Mais Paul a un secret, il est amoureux !Il est amoureux depuis ses 7 ans, quand il a vu la petite Elsa pour la première fois, deux rangs devant lui, pupitre de gauche dans la petite classe de mademoiselle Royal.
Pas de ces coups de cœur éphémère, non, mais un élan de tout son être, inconditionnelle, pur et beau comme seul les enfants en sont capable parfois.
Elsa est la cadette de Lisa de six minutes. Elle arbore le même visage gracieux, aux traits fin que son aînée, et pour cause, ce sont de vraie jumelle.Pour Paul, cela n’a jamais été un problème, il n’a jamais confondu les deux sœurs.Lisa a toujours été plus hardi, plus curieuse que sa sœur, plus téméraire aussi.Mais il suffisait que Paul croise leurs regards pour retrouver SA Elsa.Il y avait toujours plus de douceur dans ses magnifiques yeux bleus.Paul n’a jamais, ne serait-ce que parlé à Elsa, les mots ne lui sont déjà pas faciles, mais en sa présence une grosse boule lui serre la gorge et l’empêche même de respirer.Très peu de temps après cette rencontre à la petite école, Paul a du retourner à la ferme aider son père.Les enfants puis les adolescents qu’ils sont devenus ,ne se sont plus croisé que de loin en loin dans le village.Mais toujours Paul cherchait son regard, et quand il le croisait, son cœur battait plus vite, plus fort.Cela a été un déchirement de toute son âme quand il apprit que les jumelles quittaient le village pour Paris, et des études d’infirmière.
Les travaux de la ferme ont fait de Paul un colosse.Ce qui amusait beaucoup sa mère qui, pour taquiner le père Grégoire lui disait :
— Tu as vu que ton fils est maintenant plus grand que toi ?— Mon Dieu, j’aurai du épouser un grand gaillard comme lui, plutôt qu’un avorton comme toi !
Et le père Grégoire, pas dupe, se contentait de sourire avec fierté en enlaçant sa femme qui éclatait de rire.Secrètement, Paul est très fier de l’amour que se portent ses parents, et aussi envieux.Ces pensées le ramène invariablement à Elsa, et c’est le cœur lourd qu’il parcoure le domaine.
Et puis il y eu Margotte.Margotte est la fille du vacher à qui son père confie des bêtes, de temps en temps.C’est une jeune paysanne robuste, un peu plus agé que lui, avec un regard franc et des yeux rieurs.Le plus remarquable chez elle, sa poitrine qu’elle dévoile généreusement dans des corsages souvent à moitié ouvert. Elle a dans le village une réputation de fille facile, et nombreux sont ceux qui ont troussé son jupon, pour ensuite colporter toutes sortes de ragots sur son compte.Les hommes sont ainsi !Margotte, elle, s’en moque.Elle a choisit de prendre tous les plaisirs que pouvait lui offrir la vie.Elle s’offre, sans calcul, sans contrepartie, parce qu’elle aime ça.Pourquoi un beau jour a t’elle décidé de visiter la braguette de Paul ?Peut-être parce que lui aussi est un être à part dans le village, ou bien parce qu’il n’a jamais médit sur son compte ou plus simplement encore, parce qu’elle en a envie.
C’est le soir de la fête de la moisson que tout c’est joué.Le travail est terminé, les hommes sont épuisés, l’alcool coule, les regards se font brillant et les couples se forment.Margotte échappe aux garçons qui la serrent depuis le début de la soirée, et se campe devant Paul.Pas un mot n’est prononcé, elle se contente de lui tendre la main, il la saisit et se laisse conduire.Paul sait ce que la fille lui veut.A 18 ans passés il est toujours vierge, mais quand on vit dans une ferme on sait ces choses.Margotte l’entraîne dans la grange et chaloupe entre les couples affairés qui ne leurs accordent aucune attention.Elle trouve un coin tranquille et se plaque contre l’homme.La différence de taille ne joue pas en sa faveur, et c’est avec un grognement frustré qu’elle le saisit au col pour le projeter dans la paille.Paul est surpris, il ne s’attendait pas à autant de force chez la petite paysanne.Elle l’enjambe et s’assoit sur son torse, en libérant sa poitrine elle le fixe et les premiers mots qu’elle lui dit de la soirée sont :
-Que pense-tu de mes seins, ils sont beaux non ?
Paul voit apparaître une poitrine blanche, volumineuse avec des aréoles larges et pales, des tétons placés haut et aux pointes déjà dressés.C’est la première poitrine de femme qu’il contemple, et il sent son sexe réagir.Margotte ne perd pas de temps à attendre une réponse, elle se jette sur lui et enfin, peut atteindre la bouche tant convoité.Paul n’a jamais fait ce genre de chose mais pourtant il laisse passer cette langue qui explore et fouille en tout sens sa propre bouche.Margotte se redresse enfin, la trogne poisseuse de salive et se dandine sur Paul, amusé :
-Paul, c’est quoi ce que je sens contre mes fesses là ?
Sans attendre de réponse, elle s’assoit à coté de lui et entreprend de mettre au jour sa virilité.
— Ha la vache....c’est pas Dieu possible un truc pareil !
Paul sent bien qu’il y a un soucis mais ne vois pas lequel ?Il n’a jamais vu le sexe des autres gamins du village, mais en quelques occasions celui de son père pendant la toilette ou quand ils urinaient ensemble dans les champs..."bin le mien est pareil quoi ?"
-Qu’est-ce qu’il y a Margotte ? se décide t’il à demander.
Margotte a les yeux humides, elle manipule l’ogive dressé avec un petit rire nerveux, elle n’en fait pas le tour avec sa main :
— Je crois que ça passera dans ma mounine Paul, mais derrière non, pourtant j’en ai pris crois moi...bon, on va faire autrement alors.
Paul qui n’a rien compris aux mots de Margotte s’inquiète sérieusement maintenant.Il y a quelque chose de pas normal avec ma queue, je serai une sorte de monstre ?Et puis soudain, il s’arrête de penser.Margotte a entamer un mouvement de va et vient sur sa colonne avec ses deux mains.Paul commence à voir des étoiles.Margotte crache sur le sexe dressé, récupère le liquide pré-séminal qui orne le gland pour l’étaler et accentue son branle.Paul gémit franchement maintenant, il pousse un cri quand il voit Margotte approcher sa tête et essayer d’avaler sa queue.Sa bouche est distendue par le sexe, elle n’a jamais rien prit d’aussi gros.La petite s’acharne mais seul le gland pénètre sa bouche.Elle se fige un peu, reprend son calme, et entreprend de faire pénétrer plus avant le baton de chair.Elle repense au fils du boucher, qui a forcé sa bouche pour éjaculer dans sa gorge sans rien lui demander.Elle n’avait pas aimé la brutalité du garçon qui l’avait faite vomir, mais elle avait été étonné de ce que le sexe passe bien au-delà dans sa bouche.Elle voudrait faire ce plaisir à Paul, alors elle s’acharne.Elle arrive à prendre 5 centimètres de plus, mais ça ne passe plus, le gland est trop large pour pénétrer sa gorge.Elle se force à respirer par le nez, calmement, elle se recule, revient au gland qu’elle titille de la langue, puis l’enfourne encore.D’une main elle reprend son branle, de l’autre elle vient malaxer les couilles de taureau de Paul.Paul jouit instantanément dans un grand cri.Son corps en sueur se tétanise, il projette son bassin en avant et éjacule pour la première fois de sa vie d’homme.Margotte est dépassé, le coup de rein de Paul lui a enfoncé davantage le sexe dans la bouche.Elle ne peut avaler, se contente par reflexe de faire de sa bouche un fourreau tiède, un réceptacle pour semence en se reculant jusqu’au gland.Le garçon éjacule encore, son sperme frappe la bouche de Margotte, certains jets macule son visage, d’autres atteignent sa poitrine.Margotte est couverte de foutre quand Paul retombe enfin sur la paille, inerte.Elle se lèche les doigts, fait la toilette du gland avec sa langue et secoue Paul :
-Ho Paul, je t’ai fais plaisir mais faudrait pas m’oublier quand même.
Paul est assommé par sa première jouissance d’homme.Il ouvre un oeil et considère Margotte qui s’impatiente :
-Oui pardon...que veux tu que je fasse Margotte?
-Tu vas me manger la cramouille !
Sans plus attendre, la paysanne trousse ses jupons et s’assoit sur la bouche de son amant.Les joues du garçon râpe les cuisses de la fille, ça l’excite encore plus.Paul est perdu, il ne voit rien, Margotte à rabattu ses dessous, il sent juste une odeur de transpiration, d’urine peut être aussi mais pas seulement.La fille frustré prend les choses en mains, et frotte sa fente poisseuse sur la bouche de Paul :
— Sors ta langue et bouffe moi !
Paul découvre un univers dont il ne soupçonnait pas l’existence.Il sort sa langue, goûte le sexe d’une pointe timide, il sent maintenant la liqueur de la femme, "non ce n’est pas de l’urine!"
-Bon sang Paul qu’est-ce que t’atte....wahouuuuu !
Paul se décide enfin à manger ce qu’on lui propose si gentiment.Il entreprend un nettoyage en règle de la fente qui distille cette liqueur qu’il commence à apprécier.Il sort maintenant toute sa langue et essaie de la rentrer dans la fente.La fille se pâme :
— C’est pas vrai, ta langue est aussi grosse que ta queue ou quoi ?
Les reins de la paysanne entame un ballet sur la bouche de Paul, rythmant la pénétration, elle gémit de plus en plus fort, elle le guide en arrêtant ses coups de rein:
-Oui comme ça....Dieu que ta langue est bonne...non non remonte prend moi le bouton...ha oui...!
Paul suit les consignes de la fille et trouve le bouton en question, il passe quelques coup de langue et par jeux entreprend de le mordiller doucement.La réaction de Margotte est instantanée !Elle hurle sa jouissance, tout son corps se raidit, ses cuisses se resserre comme pour écraser la tête de Paul. Celui-ci ne peut plus respirer, il affronte un torrent de liquide qui envahit sa bouche, il est contraint d’avaler.Margotte vient d’avoir un orgasme dévastateur, elle se laisse glisser sur le coté, sans vie.
Paul respire enfin, il se découvre le pantalon plein de sperme, la chemise trempé du liquide de la fille qu’il sent aussi couler sur son visage, dans ses cheveux.Inquiet, il se penche sur Margotte la secoue mais elle reste inerte.Les yeux grand ouvert, la respiration encore lourde et une étrange expression sur le visage.Il faut quelques minutes à Margotte pour reprendre vie, elle adresse un franc sourire à Paul qui est toujours penché sur elle.Elle lui prend la tête à deux mains, l’embrasse, le lèche en lui murmurant des "merci...Paul, merci...c’était trop bon!"Elle prend conscience du sexe toujours tendu et entreprend de le branler à deux mains sans que Paul n’ai à changer de position.Elle le repousse contre le mur pour qu’il s’y adosse, étale consciencieusement le sperme et la salive sur le pal dressé, prend sa respiration et enjambe Paul.Elle joue avec le gland, le frotte sur sa fente en ébullition.Bloquant sa respiration, elle commence à descendre :
-Hou la vache...jamais rien pris d’aussi gros !
La petite souffre mais s’obstine et progresse sur le mat avec de petits gémissements.Enfin, le sexe vient en butée contre l’utérus, Margotte se fige, les yeux fermés, un sourire extatique aux lèvres.Elle se sent écartelée comme jamais, le sexe de Paul est fait pour sa chatte !Par prudence, elle choisit de ne pas bouger,puis elle se décide à masser la queue qui l’a perfore avec ses muscles intime. Paul sent une main invisible presser son sexe, c’est chaud, humide et incroyablement doux sur sa queue, il perd pied.Il attrape les hanches de la fille et veut la soulever, il n’en a pas le temps. Le simple déhanchement provoque sa jouissance.Paul se tend dans un grognement et expulse sa liqueur dans le vagin qui l’emprisonne.Margotte ressent chaque jet au fond de son sexe, et cela déclenche son orgasme. Elle s’accroche au cou de Paul, sa bouche ouverte sur un cri muet, elle tremble de tout son corps.Ils restent longtemps accrochés l’un à l’autre, en sueurs, épuisés, puis Margotte colle une grande bise mouillée sur la joue de Paul :
-Toi, tu me fais faire un tour de manège quand tu veux !
Souriante, elle entraîne son amant vers le puits ou ils font une rapide toilette, avant de se quitter.Voilà comment est Margotte, une bonne fille, gentille et simple.
A la suite de la fête des moissons, il n’a pas revu Margotte mais curieusement, les femmes et filles du village se poussent du coude sur son passage.Se murmurant quelques secrets à l’oreille ,qui font briller leurs yeux et naître des sourires engageant sur leurs lèvres.
Arrive enfin les fêtes de fin d’année.C’est le moment qu’attend Paul avec impatience, Elsa revient au village.Etudiante, elle revient aussi pendant l’été, mais les moissons et les divers travaux de la ferme ne laisse pas le temps au garçon de passer au village.Là, l’occasion est toute trouvée, si à noël les jumelles sont cloitrés dans la demeure familiale pour recevoir la famille, pour le 31 par contre, elles sont chaque année au réveillon organisé à la salle des fêtes.
Paul est avec ses parents, tout endimanché devant la salle à 19 heures précise.Le programme ne varie pas d’une année à l’autre.L’apéritif est servi à partir de 19h, suivi du repas à 21h.Ensuite, comme souvent les vieux partiront avant même minuit, tandis que les jeunes danseront jusqu’au bout de la nuit.Paul est inquiet, nerveux, l’apéritif est bientôt terminé et la famille Massala n’est toujours pas arrivé.Maintenant Hector Meunier, le maire invite tout le monde à passer à table.La foule quitte le bar et se dirige vers la grande salle, ou les tables ont été dressés.C’est le moment ou Paul voit la porte s’ouvrir et enfin, les Massala pénètrent vivement dans la salle pour échapper au froid !Emporté par le flot des convives ,il les perds de vue.Son père lui fait signe, il a trouvé la table marqué à leurs noms.Si les Grégoire sont très apprécier dans le village, ils ne sont pas des notables pour autant.Paul désespéré, voit les jumelles et leurs parents prendre place à la table du maire, à l’autre bout de la salle.Elles ont quitté leurs lourds manteau d’hiver pour apparaître radieuses dans leurs longues robes blanche, toute simple, avec juste une ceinture rouge qui marque la finesse de leurs tailles.Leurs cheveux blond sont réunis en une tresse unique qui leurs arrive en bas du dos. Elles sont assises maintenant, Paul ne les voient plus. Et ce repas qui n’avance pas, les mêmes blagues éculées, les mêmes faces rougeaudes lui font bouillir le sang !Peu après 23 heures, les "vieux" du village commencent à prendre congés. Le maire à leurs tête, c’est la longue procession des vœux et des embrassades. Les grandes table s’éclaircissent, on décide de replier les deux rangés du centre, pour dégager une piste pour danser. Paul est mis à contribution, l’affaire ne traîne pas. C’est en se retournant après avoir rangé la dernière pile de chaise qu’il se retrouve face à Elsa, pour la première fois de la soirée. Il est totalement surpris et comme d’habitude ne trouve pas ses mots. La petite lève son regard bleuté vers lui :
-Ho Paul....on s’embrasse ?
Le cœur du garçon fait un bond dans sa poitrine, il ne peut qu’acquiescer de la tête et maladroitement il se penche vers son trésor. Pour la première fois de sa vie, il touche la joue d’Elsa de ses lèvres, pour la première fois de sa vie les lèvres d’Elsa l’effleure d’un doux et chaste baiser. Un grand silence suit, ils se regardent, Paul a le cœur au bord des lèvres, la petite a l’air ému.
Une tornade semble fondre sur eux, c’est Lisa qui fonce sur Paul, elle s’accroche à sa chemise et lui plante deux grosses bises sur les joues sans cérémonie :
-Super Paul, justement on voulait te demander, avec ma sœur, si tu savais danser ?
Paul peine à reprendre pied, la magie est fini ,il souffle, hésite :
-Heu oui...non...non je ne sais pas danser Lisa.
Les jumelles le regardent avec acuité maintenant, et Elsa lui fait un grand sourire qui lui réchauffe le cœur. C’est sa sœur surprise qui reprend :
-Tu ne nous confond pas Paul ?
-Non, jamais.
-Et bien...tu es bien le seul, même nos parents se trompent, avoue Lisa abasourdie.
Elle se reprend vite et entraîne Paul à sa suite :
-Bon, viens avec nous on va te montrer pour la danse, mais pas ici, tu pourrais être mal à l’aise.
Elsa glisse sa petite main dans la sienne, Paul est au paradis, docilement il se laisse conduire par les deux sœurs. Ils arrivent dans l’entrée, Lisa semble savoir ou aller. Ils traversent le vestiaire et Paul voit une porte au fond, qu’il n’avait jamais remarqué. Lisa ouvre et s’efface, Paul se retrouve dans une petite pièce, de trois mètres sur trois ,et qui sert manifestement de débarras. Aussitôt la porte fermé Lisa commence :
— Bon, on ne t’a pas vraiment amené ici pour danser Paul, tu t’en doutais ?
-Heu...non.
Lisa jette un regard vers sa sœur :
-Putain ce qu’il est lent, c’est fou, quand je te disais qu’il fallait se barrer d’ici !
Elsa devient écarlate et ne réponds pas.Lisa pose sa main sur la poitrine de Paul, le repousse contre le mur, tire une chaise sur le passage et le fait s’asseoir. Paul est abasourdi, il voit Lisa s’attaquer à sa braguette et ne réalise pas ce qui est en train de se passer. Ce n’est que quand Elsa rejoint sa sœur qu’il semble revenir à la vie.Les petites ne mettent pas longtemps à découvrir l’objet de leur convoitise et marque un temps d’arrêt, stupéfaite. C’est Lisa qui réagit la première :
-La vache....Margotte a pas mentit !
Elsa se contente de fixer la chose avec un étrange sourire, elle est toujours aussi rouge mais ses yeux semble perdu dans un rêve.Paul sous leurs regards sent son sexe se raidir, lui qui n’avait qu’une demi molle, arrive en une poignée de secondes à sa taille maximal. Là, les petites ont la mâchoire qui semble vouloir se décrocher. C’est Lisa qui ose la première toucher le sceptre magique, sa petite main n’en fait pas le tour. Elle le manipule délicatement, semblant vouloir graver dans sa mémoire chaque détails de la virilité de Paul. Elsa s’avance à son tour, elle prend la tête de Paul dans ses deux mains et commence à l’embrasser. Sur les yeux, la joue, le nez, c’est tendre, doux et mouillé.Finalement, elle pose ses lèvres sur celles de Paul et très délicatement, pointe une langue curieuse et avide. Paul est dans un autre monde. Tout son être est engourdi, il ne prend même pas conscience du branle que Lisa a entamé à deux mains sur son sexe. Tout ce qu’il perçoit du monde extérieur, c’est Elsa qui lui donne sa bouche, sa langue qui s’enroule autour de la sienne, cet échange de salive sucré.Il prend la petite aux hanches, la serre contre lui tendrement et veut lui dire les mots qu’il garde depuis si longtemps, mais il ne peut que gémir et soupirer dans la bouche aimée.Paul jouit dans un grand cri, le sang battant aux tempes, tous ses muscles se raidissent, il tremble et s’accroche à Elsa.Celle-ci lui prend la tête tendrement contre son sein, lui caresse les cheveux en lui murmurant des mots indistincts.Lisa pousse un cri, ils se retournent et la voit couverte de foutre, elle en a partout, dans les cheveux, sur sa robe, sur son visage.
-C’est malin ça, comment je vais faire maintenant...je peux pas rentrer chez les parents comme ça, s’écrit-elle courroucé.
Personne ne lui réponds.Elsa ,sans perdre de temps,se contorsionne pour quitter sa robe, y arrive enfin pour apparaître dans des dessous aussi blanc que son vêtement. Elle fait valser sa culotte de petite fille sage et tout en scrutant Paul, elle s’assoit sur ses genoux et étirant son petit corps parviens à reprendre ses baisers sur la bouche tant convoité.Paul est aux anges.La petite langue d’Elsa dance dans sa bouche, caresse sa propre langue, prenant sa salive lui rendant la sienne, avec un savoir qu’il n’aurait jamais pensé trouver chez elle.Son sexe est de nouveau bandé au maximum, coincé entre son corps et le ventre chaud de son amour.Elsa soupire et se frotte contre Paul, accentuant la caresse de son ventre. L’homme découvre enfin le corps de la femme dont il rêve depuis si longtemps. Ses mains partent à l’assaut de cette forteresse qu’il a cru imprenable. Elles parcourent le dos, les flans, s’aventure jusqu’à la poitrine, découvrent ses petits dômes aux tétons érigés par l’envie.Elsa abandonne la bouche de Paul avec un soupir, un filet de bave relie encore leurs lèvres qu’elle aspire bruyamment avec un sourire, et elle ne prononce qu’un :
-Aide moi Paul !
Paul comprend, il hisse Elsa à hauteur, en prenant sa taille à deux mains, celle-ci se contorsionne et attrape le sexe pour présenter le gland devant sa fleur. Sa chatte baille d’envie, elle n’a nul besoin de préparation, elle coule déjà.Elsa agrippe la chemise de Paul de ses deux mains, pose les genoux sur ses cuisses, et d’un signe de tête encourage l’homme.Lisa c’est mise de coté pour mieux voir, et elle est stupéfaite de la disproportion entre ce sexe de cheval et le corps menu de sa sœur.Paul descend doucement Elsa sur son sceptre, le gland s’insinue dans les grandes lèvres, il n’a pas encore pris sa place qu’Elsa gémit, Paul se fige.
-Non non Paul, vas-y t’arrête pas, gémit Elsa.
Elle se tortille et échappant aux mains qui la soutiennent, s’embroche de 5 centimètres sur le pieu luisant.C’est un hurlement bref qui sort de sa gorge, Paul est paralysé, il ne sait plus quoi faire. Il reprend la taille d’Elsa et entreprend de la désengager de son sexe mais la petite insiste :
-Non c’est bon, vas-y encore !
Pourtant il y a des sanglots dans sa voix !?Paul obéis, il assure sa prise et très doucement force le sexe étroit de sa queue dur comme l’acier. Il gagne quelques millimètres, revient en arrière, recommence encore. Les sexes sont parfaitement lubrifiés mais ça ne suffit encore pas. Paul sent une pression térrible sur son gland, il est lui même à la limite de la douleur. Elsa à les yeux fermés, elle gémit doucement quand son amant reprend sa progression, tout son être tremble, mais elle ne voudrait arrêter pour rien au monde. Paul force un peu dans le vagin distendu, revient, force encore, et Elsa jouit. Elle jouit comme jamais, elle tremble, elle a la bouche ouverte sur un cri que personne n’entend, un filet de bave coule sur la chemise de Paul. Maintenant elle est prise de tremblement, Paul fait tout ce qu’il peut pour l’immobiliser sur sa queue mais même avec sa force d’hercule il a bien du mal. Il sent les vibrations de l’orgasme d’Elsa sur son sexe et peine à garder le contrôle, il est serré au possible, il a même l’impression qu’une main géante le manipule et le branle à l’intérieur du vagin. Il souffle fort et arrive par miracle à faire redescendre la pression.L’hystérie d’Elsa n’a fait qu’aider à la pénétration, il ne reste plus que 5 centimètres du sexe à l’extérieur.Lisa à le souffle coupé devant l’orgasme de sa sœur, elle essaie de la secouer mais Elsa ne réagit pas:
-Bouge Elsa c’est mon tour , fulmine t’elle.
Paul reprend Elsa dans ses bras, se désintéressant de sa sœur, il la presse tendrement, l’embrasse, lui caresse le visage en lui murmurant des mots tendres. Peu à peu, Elsa revient à elle:
-Oufff..... Paul ,mon Dieu.....Paul..., sont les seuls mots qu’elle parvient à prononcer.
Elle est en sueur, les cheveux collé sur son visage qui arbore un sourire extatique. Elle prend conscience de la présence insistante de Lisa à son coté, mais ne bouge pas pour autant.Elle se sent trop bien avec le sexe de Paul dans son ventre pour la première fois. Elle se décide à lâcher un laconique :
-J’y suis, j’y reste, à sa sœur incrédule.
-Elsa tu me fais quoi là, on as toujours tout partagé les goûter, les femmes, les hommes, les orgasmes...tu veux trahir ta sœur et l’échanger contre ce paysan ? hurle Lisa.
Elsa scrute Paul et ce qu’elle voit dans ses yeux semble la rassurer puisqu’elle répond doucement à sa sœur :
-Oui,tu as bien compris, celui la je ne te le prêterais pas, jamais !
Lisa est atterré, elle ne s’y attendait pas, une grosse boule lui monte dans la gorge, elle accuse le coup, puis la colère prend le dessus :
— Très bien, garde-le ton paysan je vais m’en trouver un autre, de toute façon c’est pas ce qui manque ici !
Folle de rage elle quitte le débarras sans même penser aux traces de sperme qui l’a macule. Quelques secondes après qu’elle ait fermé la porte, Elsa et Paul perçoivent un grand éclat de rire qui semble venir du hall d’entrée. Une douzaine de jeunes, attirés par les gémissements d’Elsa attendaient avec curiosité de voir qui allait sortir du débarras. La surprise est totale, une des jumelles Massala qui se vautre dans la débauche avec un du village ?Lisa, le rouge de la honte aux joues, rafle son manteau en passant et quitte la salle en pleurant.Un des garçon, plus hardi ou plus stupide, s’approche même de la petite porte, et frappe doucement.Le rugissement de Paul le fait sursauter, et tous retournent dans la grande salle ou la fête n’est pas finit.Personne du village ne souhaite affronter Paul !
Elsa est toujours embrochée sur le sexe de Paul. Cet intermède n’a pas diminué l’excitation du garçon. Ils se regardent avec les yeux de l’amour, maintenant. La petite prend les mains de Paul et les guident vers ses seins, elle force sur les muscles de ses jambes et bouge sur le sexe qui l’a perfore. Elle remonte de quelques centimètres, comme pour prendre de l’élan, puis se laisse retomber avec un gémissement rauque. Son utérus s’adapte et enfin les deux sexes s’emboîte parfaitement. Paul malaxe tendrement la poitrine d’Elsa et sens ses tremblements sur son sexe. Elsa savoure cette pénétration enfin complète, elle laisse son vagin prendre les dimensions de l’intrus puis entame une montée sur quelques centimètres avec force soupirs.Pour Paul c’est le signal, il reprend la petite par les hanches et guide lui-même la pénétration. Elsa se laisse faire, elle n’est plus qu’une poupée entre ses grosses mains qui l’empoigne. Elle gémit à chaque mouvement du sexe dans son ventre. Paul ne tient plus, il sens sa jouissance arrivé, il pénètre Elsa de tout son sexe et se déverse dans le vagin brûlant, dans un hurlement à peine contenu.Elsa sent les rafales de sperme frapper son utérus et cela déclenche son propre orgasmeElle jette sa tête en arrière et jouis d’une façon sauvage, les yeux révulsé. Puis, elle s’effondre sur Paul, sans vie.

Ils sont en sueur tout deux, à bout de souffle.Elsa à les traits tirés, elle est au bord de l’épuisement. Paul l’aide à se désengager, son sexe fait un "plop" en sortant du vagin d’Elsa , et ça les fait rire. Un torrent de sécrétion et de sperme se répand au sol. Elle ne tient plus sur ses jambes, Paul la soutient, lui murmure des mots tendres, ceux qui font rimer amour avec toujours. Ils se nettoient, se rhabille sans jamais que leurs regards ne se quittent.Ils sortent enfin de ce cagibi qui a vu éclore leur amour.Paul tient son manteau à Elsa, enfile le sien et au moment de sortir l’attire à lui pour un doux baiser :
-Je te souhaite une bonne année ma Elsa, puisse tous tes vœux se réaliser.
-Bonne année aussi mon Paul, mais je n’ai plus de vœux à faire !
Et devant la mimique étonné de Paul elle poursuit :
— J’ai fais le même vœux tous les ans !

Cette histoire c’est passé dans un petit village, à coté de Montargis, en 1924. Paul et Elsa se sont marié peu après.Ils étaient mes grands parents.

FIN.
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