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La Salope de l'étage, c'est moi

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Voila plusieurs mois que Thibault et moi baisions sans arrêt lors de nos temps libres. Je n?avais toujours pas osé parler de cette histoire à mes amies, elles me voyaient seulement plus radieuse, m?habillant plus sexy et devaient avoir quelques doutes sur ma nouvelle vie sexuelle. Au mois d?octobre je fut mutée dans un nouveau service avec en prime une nouvelle collègue. Elle avait la cinquantaine, habillée toujours en mini jupe et petit haut et s?appelait Josette. Je me doutais qu?elle devait se faire tirer par tout le service, et me doutes furent confirmé quand sa réputation de ? baise partout ? vint à mes oreilles. Un mois après mon installation dans mon nouveau bureau, les langues se délièrent. -Tu as un ami ? me demanda-t-elle. Je lui répondit négativement. — Ca doit être dur sur le plan sexuel... tu sors en boite au moins, tu continus à faire l?amour ? — Non je sors pas trop mais j?ai un ... un amant ... et sinon toi tu es marié ?— Bien sur ! Mais ça m?empêche pas de prendre mon pied avec tout les gars que je trouve mignon ! Je fut plus que surprise par sa réponse, et encore plus de la mienne !— Tu baises souvent ?— Mon mari et moi sommes échangistes, on va dans quelques boites sympa, on cherche des couples, mais ces sorties du samedi soir ne me suffisent pas, ni de me faire baiser tout les soirs par mon mari, alors je comble le temps et mon manque avec des jeunes du service ...— Tu aimes les jeunes ?— C?est ce que je préfère ... mais une bonne vieille bite expérimentée vaut parfois mieux. — Bah ... si tu veux, je suis depuis quelques mois avec un jeune ... c?est mon amant. Je l?ai formé et c?est aujourd?hui un vrai étalon, avouais-je, poussant la conversation plus loin.— Ha bon ? me répondit elle, me fixant avec un air très intéressé.— On a jamais essayé à quatre mais si tu veux....— ... Bien sur que j?voudrai, mais plutôt à trois, histoire que je fasse plus ample connaissance avant d?amener mon mari. La conversation s?arrêta la. Nous fixâmes la dates pour le samedi soir qui allait venir. Le soir même j?eu la visite de Thibault. Comme d?habitude il me fit un bien fou après un rude journée de travail, et une fois qu?il eu lâché sa semence dans ma bouche et que j?eu jouit plusieurs fois sous sa langue dans un 69 de rêve, j?entrepris de lui parler du rendez-vous de samedi. Il parut très heureux et me le fit savoir en me prenant en levrette m?insultant de ? chienne adorée qui ramène ses copines ?.Le samedi soir arriva. Je l?attendais dans la voiture, vêtue de ma longue robe de soirée sous laquelle je ne portais que des bas. Il avait prétexté à ses parents qu?il sortait en boite avec des amis. Il me rejoignit dans ma voiture au bout de la rue. Il s?était lui aussi mis sur son 31. Nous nous embrassâmes et nous partîmes vers le restaurant. Arrivés sur place, Josette nous attendait. Elle avait en grand manteau en fourrure qui cachait ce qu?elle portait. Je lui présenta Thibault, ce dernier dus se baisser pour lui faire la bise, avec ses 1m86 il paraissait immense aux coté de Josette qui ne dépassait pas les 1m60. Il fut tout de même agréablement surpris de voir la manière dont elle était conservé pour sa cinquantaine passé. Il fut encore plus éblouit lorsque nous nous assîmes à la table et qu?elle ôta son manteau laissant apparaître une ultra mini jupe avec collant noir et talons aiguilles, sans compter son énorme poitrine, démesurée pour sa taille, qui n?était pas maintenue par un soutient gorge mais par la pression que son haut blanc ultra transparent exerçait sur elle. Thibault s?installa en face de moi, et Josette choisit de s?installer à ses cotés. La première partie du repas fut sans sous entendu. Jusqu’au dessert chacun parla de sa vie, de sa routine. Tout les deux s?entendaient très bien, et nous riions sans arrêt à toutes sortes de choses. Vers le milieu du dessert je sentis une jambe caresser la mienne. Je regardais Thibault, mais je compris vite que cette jambe ne lui appartenait pas. Le désir commençait à monter en moi. Le dessert et le café fut engloutis en un rien de temps et nous restâmes quelques minutes à parler. Puis Josette demanda alors ? Et maintenant où on va ? ?. Thibault la tutoyât et lui répondit :— Tu as déjà envi de passer à l?action ? — Toi l?envie ne te manque pas depuis le début du repas ! dit elle en fixant la bosse que devait formé son pantalon et que je ne pouvais pas voir de ma position. Elle accompagna sa parole par ses gestes et caressa ce mont. J?étais un peu jalouse, mais qu?importe c?est moi qui avait voulu ça. Elle paya l?addition et nous partîmes en direction de la voiture. Thibault s?apprêtait à s?asseoir devant à mes cotés mais elle lui demanda de venir derrière avec elle. Je conduisis et dans le rétroviseur je les vis après quelques minutes seulement se peloter. Il lui caressait ses seins et elle malaxait son sexe à travers son jean. Puis je la vis disparaître du champs de mon rétro viseur et j?entendis le bruit de la braguette de Thibault s?ouvrir. — Mon dieu ... Elle est énorme ! Ca m?arrive très rarement d?en avoir de cette taille ! s?exclama-t-elle. Ma grande tu es vraiment une grosse salope pour te faire enculer tout les jours par ça !L?excitation et la fierté personnelle que j?éprouvais firent disparaître ma jalousie. J?entendis alors des bruits de sucions. La salope elle le suçait avant qu?on soit arrivé. Lui poussait des râles de plaisir. A un feu rouge je releva ma robe, et pendant tout le reste du trajet je me caressa le clito, me retenant tout de même pour ne pas perdre mon contrôle et par de même celui de la voiture. Thibault, lui ne pus pas se retenir. A quelques rues de chez moi, il poussa un cri de joie appuya sur la tête de Josette, manquant de l?étouffer et lâcha tout son sperme au fond de sa gorge. Elle continua son suçage et se releva. Elle avait un grand filet de sperme sur la joue. Elle s?essuya le visage, essuya la queue entre ses mains et essuya ses mains sur les sièges arrières de ma voiture. Quelle salope celle là ! Mais elle fut tout de suite pardonnée lorsqu?elle passa ses bras autour de mon ventre et me remplaça pour me caresser le clito. C?était vraiment une experte, elle le remuait comme une folle avec ses long doigts et ses longs ongles. Je me sentais bouillante alors qu?il ne faisait que quelques degré au dessus de zéro. L?orgasme arriva pendant que je faisais le créneau pour me garer, et j?emboutie la voiture de derrière. Peu importe, je ne pensais plus a rien si ce n?est à ce qui allait se passer. Je rebaissa ma robe, Thibault rentra sa queue dans son pantalon et elle vérifia qu?elle n?avait plus de sperme sur elle. Thibault m?embrassa fougueusement dans l?ascenseur, m?enlaçant et me remerciant pour la formidable soirée qu?il était en train de passer. Josette vint joindre sa langue aux deux notre, apportant le goût salée de ce qu?elle venait juste d?avaler. Pendant que j?ouvrais la porte Thibault me malaxait les fesses, et Josette en faisait de même avec son sexe. Dès la porte refermée, j?ôta ma robe, me retrouvant à poil avec mes seules bas devant les deux. Ils s?assirent sur mon canapé et continuaient de se caresser. Il m?excitait tout les deux à se toucher, et plus que de me faire prendre par Thibault, j?avais envie de voir le corps sublime de Josette. Je leur proposa un peu d?alcool. Thibault me demanda un simple verre d?eau et Josette la bouteille de Whisky complète ! J?alla dans la cuisine et quand je revint, Josette était à califourchon, sans son haut, sa jupe relevée laissant apparaître son porte-jarretelles. Il lui malaxait les seins et elle regarda dans ma direction.— T?a des grosses lèvres. Tu devrais te faire percer comme moi...— Quoi ! Tu es percée de la chatte ! s?exclama Thibault — Vérifie toi-même...Thibault glissa sa mains dans son string jaune.— Aie ! Tire pas si fort, tu vas me les arracher ! dit elle en souriant. Voulant moi aussi toucher l?affaire je m?assis derrière elle sur les genoux de Thibault. Je malaxa ses seins avec ma main droite et j?inséra à mon tour ma main dans son string, rejoignant celle de Thibault. En effet elle avait deux grosses boucles sur chacune des lèvres. Je remarqua aussi que son clitoris était déjà bien gonflée. J?y attarda donc mes caresses. Mes seins se durcissaient au contact de son dos et ma main droite faisait darder ses gros tétons. Elle jouissait de la situation tout comme moi. Thibault se releva pour se déshabiller. Josette fit de même, gardant elle aussi ses bas et son porte-jarretelles. Il s?esquiva dans ma chambre. — Ecarte tes jambes ma petite salope de collègue de travail, m?ordonna-t-elle— Fais moi du bien ! répondis-je tout en m?exécutant, m?allongeant sur le canapé.— Bien sur que je vais te faire du bien, autant de bien que j?en ai fait à ton amant. — Oh P.... ! Je ne pus m?empêcher de jurer lorsqu?elle plongea bouche la première dans mon entre jambe. Elle me pénétrait le vagin avec la langue comme jamais aucun hommes ne l?avait fait. Elle suçait, léchait, aspirait toute la mouille que je produisais, et elle fit durcir mon bouton d?amour à un point que je crus qu?il allait exploser. Je fermais les yeux, me concentrant uniquement sur les sensations que je ressentais. Puis elle s?arrêta soudainement, enleva sa bouche et lança.— Oh petit salaud je t?avais pas vu venir ! Vas y chauffe moi bien le cul, j?ai oublié comment ça faisait de se faire enculer par un si gros monstre. Derrière elle Thibault était revenu et lui tartinait la rosette avec du lubrifiant. La salope elle allait souffrir. Et c?est ce qui se passa, d?autant plus que sous l?excitation Thibault l?enfourna d?un seul trait. Elle hurla, serrant mes fesses avec ses mains, le front dans ma chatte humide et soufflait comme une femme qui accouchait. Je riais, cette chienne en avait pour son compte. Une fois la douleur atténuée, elle entama à nouveau de me lécher et au bout de quelques minutes j?explosa dans un orgasme violent. J?enleva mon entre jambe de la bouche de Josette et vint vers son cul qui subissait la pire épreuve de son existence. Thibault limait a une vitesse incroyable et il m?embrassa. Puis j?approcha ma bouche plus près du feu de l?action. Je commençais à malaxer ses boules et tirais sur les anneaux de Josette, puis quand dans un de ses va et vient plus lent il sortit son sexe je l?avala d?un seul coup. Josette se retourna, surprise de ne plus subir son traitement et fut admirative devant la pipe que je taillais à Thibault. Puis il renfourna son sexe dans le cul de Josette puis à nouveau dans ma bouche. Il me demanda de me retourner et, avec le peu de lubrifiant qu?il avait sur le sexe, il m?enfila à sec. Si Josette avait souffert, moi aussi je dégustais, mais j?avais pris l?habitude et l?excitation surpassait la douleur; faisait partie de la douleur. Il limait nos cul à tour de rôle. Nous eûmes toutes les deux un orgasme puissant et finalement Thibault lâcha lui aussi sa semence, mais à mon grand regret dans le cul de Josette. Elle était heureuse, souriante. Moi pour avoir ma part de souillure, j?alla lécher ce qu?il restait sur le gland de Thibault. Puis en voulant encore plus j?alla directement le chercher dans le cul éclaté de Josette. Elle me remercia en me léchant le téton. Thibault fit de même. Tout les deux me suçaient comme deux bébés en manque de lait. J?était heureuse d?être cette fois au centre du sujet. Josette glissait sa main dans mon cul élargit et Thibault jouait avec mon clito. J?étais complètement relaxée, en paix avec moi-même. Puis je sentis petit à petit contre ma jambe droite, la queue de Thibault reprendre de la vigueur.— Ca y est ça revient ! J?aurais été deçu de pas pouvoir faire ça ce soir ... dit Thibault— Qu?est ce qui te plairait mon salaud, lui lança Josette.— Avec des si gros nichons je ne peux qu?avoir envie de faire une branlette espagnole !— Alors vas y ! Tout deux quittèrent mon corps. Josette s?allongea sur la table du salon et Thibault se mit sur elle. Son immense queue disparu alors entre ses deux énormes mamelons. Mais vu la taille de sa bite, le gland apparaissait et touchait presque le menton de Josette. Il rajouta une bonne dose de lubrifiant naturel, issu tout droit de ma chatte. Puis elle prit ses seins entre ses mains et frotta à grande vitesse la bite de mon Thibault. Il prenait son pied. Je l?embrassa puis j?embrassa Josette. Je baisais de temps en temps le gland qui apparaissait puis disparaissait entre les deux seins. Tellement son excitation était grande, il ne pus se retenir et lâcha ce qui lui restait dans les bourses sur les nichons de cette salope. Je nettoya en quelques coups de langue son corps. Se fut presque une bataille pour savoir qui de nous deux allais avoir le privilège de nettoyer sa bite. Mais en manque de sperme je me jeta la première et lécha, ne laissant qu?à Josette le droit de sucer une dernière fois la bite de Thibault qui se ramollissait. Ils se rhabillèrent après s?être reposé sur le canapé en ma compagnie. Puis ils s?en allèrent, m?embrassant tout deux fougueusement. Je ferma la porte et retourna dans le salon. Une flaque de sperme était visible là où Josette s?était assise pour se reposer une dernière fois. Je ne pus m?empêcher de le nettoyer avec ma bouche. Un brin d?excitation revenait en moi. Je me frotta alors le clitoris.Soudain j?entendis quelques bruit venir du hall. Josette n?était pas encore partie ? J?alla vers le Juda et qu?elle ne fut pas le spectacle. Thibault la bite à l?air devant la porte de l?appartement de ses parents se faisait une dernière fois sucer par cette grosse salope de Josette...Les journées de travail allaient devenir beaucoup plus amusantes.

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