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Salope un jour, salope toujours

Chapitre 3

Hétéro
Après m’avoir fait jouir, Monsieur Vincent me demande si j’avais déjà vu le sexe d’un homme. Je lui réponds que non, jamais d’un adulte. Il baisse sa braguette, ouvre son pantalon qu’il descend sur ses chevilles, il a une énorme bosse entres les cuisses. Il me demandé de le toucher, ce que je fait, mais avec beaucoup d’appréhension. Il gémit, et me dit qu’il adore mes doigts sur sa queue.
— humm, oui, caresses moi au travers de mon slip:
Je glisse doucement mes doigts sur le tissu, lentement, c’est dur et chaud. Je n’ose pas trop le prendre d’un coup, comme ca dans ma main. Je caresse juste de deux doigts, en de longs va et vient. Je sens que cela plait à Monsieur Vincent qui me dit :
— Tu veux pas mettre tes doigts entre le slip et me caresser à même la peau, tu verrais la consistance d’un vrai sexe et tu me ferais énormément de bien, ma coquine— Vous voulez que je prenne votre sexe dans la main .....— Mouiiii, tu verras je suis sur que ça te plaira autant qu’à moi !!
Je glisse mes doigts sur les bords du slip, le fait descendre lentement, toujours la boule au ventre, le long des cuisses et là, je mordille légèrement la queue à même le slip, il gémit doucement en ondulant du bas ventre. Je le sens plus dur et ressens un sentiment de force en le voyant fondre devant moi. Je fais glisser le long des jambes, libérée de la pression du tissu, sa queue m’explose littéralement au visage en une longue vibration.
— Humm, oui, continue ma petite salope, vas y goûte, met ta langue, touche moi de tes doigts, prends moi, je te guiderai si tu le désires; tu me caresses avec tes doigts si tu veux, hésites pas à mettre ta langue, ta bouche aussi et après tu me prends dans ta bouche et tu suces comme si tu avais une sucette, tu comprends !! et hésite pas à descendre sur mes deux boules, imagine que c’est un cornet de glace, j’adore et çà me ferais plaisir ma chérie.
Je regarde avec curiosité cette queue, grosse, imberbe, dure et qui est tendu face à moi. Je promène mon visage, glisse un petit bout de langue pour en connaitre le gout, cela le fait frémir de satisfaction. Il ronronne carrément de plaisir quand je glisse un bout de langue le long de sa tige en feu. Je le caresse de petits coups de langue, je remarque que son gland semblable à une tête de champignon, est rose et s’inonde d’un liquide qui commence à glisser le long de sa queue. Du bout de la langue, je récupère ce précieux liquide et vient le déposer sur le bout de son gland. Quel gout exquis !!
Je commence par les couilles que je suçote longuement, puis je remonte lentement le long de sa que du bout des lèvres, du bout de la langue, tout en lui massant les couilles, je m’approche de son gland, je m’attarde longuement dessus. A chaque fois que je l’agace , cela le fait bondir comme s’il recevais une décharge électrique, je promène so membre tendue de désir sur mon visage et, enfin, j’attaque son gland dégoulinant. je le prends en bouche lentement comme si je suçais une glace, j’aspire, je comprime, je coulisse... Je le sens perdre le contrôle et qu’il en veut encore plus. Il s’offre de plus en plus à moi, s’arc boutant, poussant son membre vers ma bouche... J’enfourne sa queue de plus en plus profondément, je la sens vibrer, je la ressors, je l’avale à nouveau, je l’aspire. Je la gobe à nouveau et la suce furieusement. Ses gémissements me tuent. Il me dit
— je vais jouir, humm ma petite salope, je vais jouiiiiiiiiiir. Tu me fais tellement de bien, c’est bon, ouiiiii, encore !!!!
Je l’avale à nouveau excitée par ses grognements et ses gémissements de mâle en rut. Un moment, je le sens hoqueté, il sort de ma bouche et un long jet puisant explose sur mes seins, je prend peur et tombe à la renverse sur les fesses, c’est la première fois que je voyais un homme jouir et je trouvais cela époustouflant. Deux autres jets qui s’étalent sur ma poitrine. Monsieur Vincent prend un kleenex sur la table et commence à essuyer les longues traînées de foutre qui macule ma poitrine. Puis il me prend dans ses bras et recommence à m’embrasser les seins :
— Tu as une langue et une bouche à damner un saint. Tu m’as fait jouir tu sais et j’ai aimé çà. Mais je suis sûr que tu as apprécié, non?— Je.. Je pensais pas que c’était comme ca, et que ca pouvait donner autant de plaisir !!
Monsieur Vincent me regarde, me prend dans ses bras, recommence à m’embrasser les seins, en me disant que j’étais à lui, que j’étais sa petite salope et il rajoute :— Tu sais que tu peux avoir plus de plaisir si tu le désires— Ah oui!!! et comment on fait, on recommence tout ce qu’on vient de faire déjà— Non, tu vois je mets mon membre là me dit il en glissant un doigt dans mon sexe mouillé.— Mais non, je vais avoir mal, vous êtes tout dur et gros et comment vous allez faire— Pour cet après midi, rien !! je ne veux pas te faire peur, même si je meurs d’envie de te montrer. Tu vas rentrer et si tu peux on se revois demain, si tu en as envie !!— Euh oui, j’ai envie de savoir, mais il faut que je sois sur que ma famille ne soit pas là, j’ai pas envie qu’elle le sache, j’aurais trop honte et...— Non, ne dis pas de bêtises, il ne faut pas avoir honte d’aimer le plaisir que tu peux recevoir ou donner, c’est la vie qui veut ca, le plaisir et rien d’autre— Vous voulez pas tout de même me montrer maintenant, j’aurai pas d’appréhension au moins je n’aurais pas la peur au ventre de revenir demain.— Tu es sur, car tu me tentes drôlement, et je risque d’avoir du mal à me maîtriser, bon soit, je te montre mais après tu rentres— Merci Monsieur Vincent, je promet d’être docile, vous me faites tellement de bien.
Monsieur Vincent m’emmène dans sa chambre, il me déshabille totalement, je sens son regard chaud et concupiscent sur mon corps. Il se déshabille aussi et m’allonge sur son lit. Il écarte doucement mes jambes, pousse un long soupir tout en haletant. Il glisse un doigt dans mon sexe et me caresse à nouveau. Mon corps se souvient de la douce torpeur qu’elle a vécu récemment et me trahit en éprouvant du plaisir à être caressé. Il se met à nouveau entres mes cuisses, et me lèche mon antre chaud de sa langue. Humm, je sens des soubresauts me gagner, je n’arrive pas à me retenir, mes gémissements l’affolent je le sens bien.
Il approche son sexe du mien, me caresse l’entrée de ma chatte avec son gland, je gémisais et je mouillais encore et encore, survolté par les ondes de plaisirs qui me gagnaient. Il me caressait encore et encore de son gland, mais sans me pénétrer. Il me disait que c’était juste pour que mon corps s’habitue à son corps sur moi et que mon sexe s’habitue à sa queue bien dure. Il a commencé à aller et venir à l’entrée de ma chatte, avec son gland. Je le sentais excité, et il me disait pleins de choses délirantes que je ne comprenais pas toujours. Mon cœur battait la chamade, malgré un désir irrépressible, j’avais peur.
_ Humm, tu m’excites, je tiens plus tu sais. Ecoute je vais te pénétrer, tu auras mal un peu, mais ca passera tu aimeras quand je ferais des vas et viens dans ton sexe, tu en redemanderas je t’assure, allez respire, ne ressent que le plaisir que provoque mes caresses ma petite salope.
Curieusement, le fait qu’il m’appelle "salope", ne me gênait aucunement, bien au contraire, j’aimais et j’avais l’impression que je ressentirais encore plus de plaisir si je laissais faire.Il m’écarte les cuisses et commence à me pénétrer, quand j’ai commencé à ressentir une douleur, il me dit de ne pas bouger que ca allais passer, au moment, ou je commence à me détendre, il est entre un coup dans ma chatte, je me rappelle, m’être statufié, envahis par ce membre qui est en moi.
— Attends, ne bouge pas, laisse ton corps s’habitué de cette intrusion. Il faut que j’aille doucement d’abord. La douleur va passer ma chérie, ohhh, que tu es chaude, je sens ta chatte me serrer, m’appeler à entrer encore plus profondément.
Et c’est vrai, qu’elle est passée la douleur, car après je sentais un bien être. Il a commencé à aller et venir dans mon sexe, tout d’abord lentement pour bien m’habituer à lui, puis à accélérer petit à petit, je gémissais, je ressentais comme une explosion de plaisir, je lui disais d’aller plus vite, que j’aimais ca.
— Tu me rends fou petite salope, tu as envie que je te pilonne, c’est ca que tu veux, tiens prends ca et ca !!! humm oui tu aimes, oui écartes encore plus tes jambes— ohhhh, Monsieur Vincent, je savais pas que c’était aussi booooooon !!! oh oui, encore, ne vous arrêtez pas, encore, encoreeeee !!!!— tu es ma petite salope, hein, dis le que tu es ma petite salope, me disait il en gémissant et en grognant comme un animal— Ouiiiii, Monsieur Vincent je suis votre petite salope, j’aime ce que vous me faites, je vous en prie ne vous arrêtez pas, vous me rendez folleee !!
J’aurais tout accepter de lui dire, pourvu qu’il s’arrête pas de me prendre. Soudain dans un long soubresaut, il éjacule dans mon sexe et je crie, un cri de délivrance, de jouissance, d’orgasme énorme. Après un long moment, il se retire, me prend contre lui et me dit
— Je t’avais dit que ce serais bon ma petite salope, tu es une femme maintenant. Ecoute, il faudrait que tu te fasses prescrire la pilule, car j’ai l’intention de t’apprendre encore plein de chose et de profiter encore pleinement de toi. Allez rhabille toi, on se voit demain.
Il me dit cela en me fessant. Je me relève, en titubant, le plaisir encore présent dans ma tête, mon corps. Je me rhabille, me retourne vers lui avec un sourire aux lèvres et m’en vais.
Je rentre chez moi, ma tante et mon oncle ne sont pas encore rentré. Je me glisse vers la salle de bain, pour me détendre dans un bon bain. Je passe devant un miroir, je me regarde, je suis une femme maintenant et j’aime ce que je vois.
Qu’est ce qu’il pourrait bien encore m’apprendre Monsieur Vincent, il ne pouvais pas exister de choses plus merveilleuses pour ressentir encore du plaisir. J’avais hâte d’être à demain et continuer les leçons qui m’emmènerais dans ma vie de salope.
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