Depuis que Sandrine avait perdu son travail, notre vie de couple avait un peu pris du plomb dans l’aile.Les problèmes d’argent s’étaient accumulés, je la sentais tendue, irritable.....Pourtant, lorsque je l’ai rencontré il y a 12 ans, nous faisions l’amour partout et tout le temps.J’étais tombé sous le charme de cette femme pétillante , assez ronde avec des formes généreuses.Son mètre 65 et son 110d n’étaient pas ses seuls atouts, elle savait me faire bander comme personne et n’était jamais à cours d’imagination...Mais voilà, nous avons eu des enfants, un travail assez prenant et nos rapports se faisaient de plus en plus rares. Tout a changé il y a 4 mois, lorsque grâce à un ami commun, Sandrine a décroché un travail dans une ferme.Elle y faisait le ménage et plusieurs autres tâches, et John, le fermier, quoi qu’un peu rustre et Antipathique n’était pas radin... Elle revenait à la maison avec le sourire, cuisinait de bons petits plats, ce qui me laissait supposer que son travail l’épanouissait...Mais j’étais bien loin de la vérité. John a 35 ans, célibataire car il avait consacré sa vie à son exploitation.Toujours mal rasé , pas très soigné, ça n’était pas vraiment l’amant idéal, mais un jour, alors que Sandrine était occupée à faire le ménage dans la chambre, John se mit à l’observer... A quand remonte son dernier rapport avec une femme? Il ne s’en souvient plus.La vision de son décolleté quand elle se penche , son cul dans sa jupe moulante ont vite fait de le faire bander.Il se lève , se dirige vers la chambre, et la pousse sur le lit, elle y tombe face avant.Il relève sa jupe, écarte sa culotte et lui caresse sa chatte.Elle ne dit rien, une terrible envie lui tiraille le ventre, mais comment est- ce possible? Ca n’est certainement pas l’amant idéal, mais son envie est trop forte, alors elle se laisse faire, et écarte même légèrement les cuisses pour laisser entrer ses gros doigts d’ouvrier. Sa fente est humide comme jamais, deux doigts fouillent maintenant son intimité, elle ondule du cul pour mieux les sentir.John ne tient plus: il sort son membre de sa prison de tissu , et la pénètre presque d’un coup.sa queue n’est pas plus grande que la moyenne mais assez large.Juste le fait de sentir un autre homme que moi sur elle , et elle sent le plaisir monter du fond de son ventre. Ses coups de queue sont assez lent, il veut absolument profiter un maximum et ne pas jouir trop vite car il y a top longtemps qu’il n’a goûté au plaisir de prendre une femme de la sorte.Ses mains pressent ses gros seins et pincent sans délicatesse ses tétons.Jamais elle n’avait été baisée sans douceur, mais ça lui plaisait, elle se sentait salope comme jamais, et prête à tout. Il se retire et s’allonge sur le dos. Elle se retourne, et sans attendre s’empare de sa queue tendue et commence à la lécher de haut en bas, redescend sur ses couilles bien pleines et remonte pour enrober son gland violacé par le désir.Elle qui est si propre, n’est même pas dérangée par la netteté de son membre.Elle le suce comme jamais elle ne l’a fait avec un autre homme, même pas moi...Il est toujours allongé, elle décide de s’empaler sur lui et commence à onduler du cul.Elle va de plus en plus vite , ce qui fait balancer ses gros seins que John se met à pelotter sans retenue. Sandrine sent ce sexe gonfler en elle et le sperme chaud gicler dans son ventre.Elle vient de faire jouir un autre que moi et elle a ressenti un plaisir qu’elle n’avait jamais connu.Elle se penche sur lui et se met à l’embrasser à pleine bouche, et chose qu’elle n’a jamais faite, redescend pour reprendre son sexe en bouche, comme pour n’en laisser aucune goutte. Après ça, John se lève sans un mot , s’habille et la laisse dans la chambre comme si rien ne s’était passé.Elle resta un moment allongée, pensive, car il fallait maintenant rentrer à la maison....
