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Sandrine et les trahisons

Chapitre 5

Hétéro
Nous passons à table et j’aide Sandrine pour le service. Aucune de ses "amies" ne daigne proposer son aide. Entrée mousseuse sous forme de verrine puis un rôti et ses petits légumes. C’est excellent. J’attends les compliments, mais ils n’arrivent qu’après les miens. Après le plat principal, je débarrasse la table. Alors que je reviens de la cuisine, Aude se lève pour aller fumer sur le balcon et elle me dit :— Tu m’accompagnes ?Je la suis. Nous papotons de tout et de rien. Ou plutôt, je la laisse parler. Je l’écoute d’une oreille seulement. Je profite d’une bouffée de nicotine :— J’aime beaucoup ta tenue.Elle me regarde, sourit; le jeu est lancé. Je regarde sa poitrine. Elle dit :— Ils te plaisent ?— Ils sont énormes.— Tu veux les voir ?— Je veux les toucher et les goûter.Aude rit, jette sa clope et prend un chewing-gum. Je l’attire devant moi, pose les mains sur ses hanches. Je les remonte rapidement à sa poitrine et commence à la peloter. Excité au possible, je les sors lentement de leur coque et du décolleté. Deux mamelles jaillissent. Je n’ai jamais vu de seins aussi gros et surtout, aussi lourds. Aude gémit doucement :— On va dans la chambre ?Ni une ni deux, elle remet en vitesse sa poitrine à sa place et nous filons dans la pièce située au fond de l’appartement.
Je déshabille Aude et découvre avec surprise qu’elle ne porte rien sous sa jupe. Je lui fais un long cunni et l’emmène à l’orgasme à deux reprises avant qu’elle ne me dévêtisse. Quand elle retire mon boxer, Aude rit :— Je ne suis pas la seule à avoir bénéficier de générosité à la naissance.Je souris. Aude place ses seins de part et d’autre de ma bite et me masturbe ainsi quelques instants. C’est fou. Je pense qu’elle va ensuite me sucer mais elle se lève et me repousse dans le lit. J’ai un petit hochement de sourcils qui lui indique mon regret. Elle dit :— Je ne suce pas. Je n’aime pas. Mon copain, un peu, de temps en temps. Juste pour lui faire plaisir.Je me remémore la discussion de la chambre lors de l’enterrement de vie de jeune fille… Même si elle n’en était pas une protagoniste, elle avait ri comme les autres. Connasse.
Elle glisse sur mon chibre, à califourchon sur moi et sautille énergiquement. Je la retourne ensuite pour venir entre ses cuisses. Je lui tiens les jambes largement écartées et me recule pour un plan très cru depuis la caméra de l’armoire. En fait, je ne prends pas de plaisir à la sauter et je décide de m’amuser un peu. Je l’attire au bout du lit et lui dis de se mettre à quatre pattes. De côté, je la doigte, caresse et ouvre sa chatte. Je sais que le plan est serré. C’est vulgaire au possible. Sans demander son avis, je lui mets ensuite un doigt dans le cul. Aude gémit, semble apprécier. Beaucoup de salive et je doigte vivement son anus. Elle dilate un peu, suffisamment pour qu’un joli petit trou salue la caméra. Dans la boite. Je monte sur le lit, derrière elle, et la prends vigoureusement en levrette. Aude halète, gémit. Je lui mets une fessée, puis une seconde, plus forte. Je tape avec le plat de la main, toujours au même endroit. Quatre, cinq, six fois. Aude fléchit, mais ne rompt pas, comme si elle tenait à me défier physiquement. J’explose. Aude tombe en avant sur le lit et m’entraine dans sa chute. Trempée de sueur, elle rit :— Tu m’as dé-fon-cée ! Mais vraiment !— Imagine si j’avais été dans ton cul…Elle nargue :— Un tel engin dans le cul, ça doit être une sacrée expérience… Il faudra que tu me laisses ton numéro !Je ricane. Elle insiste :
— Non mais vraiment.— Pourquoi ?— Tu pourrais participer à mon enterrement de vie de jeune fille…— Pourquoi pas. Tu te maries quand ?— Dans trois mois pile, le 26 août.— Je suis là tout l’été, on n’est pas obligé d’attendre ton enterrement de vie de jeune fille.— C’est vrai. Elle m’embrasse et ajoute :— J’ai très envie de baiser avec toi une autre fois. — Et moi, j’ai très envie de t’enculer. Ton gros cul me rend fou.— Hééé ! Tu sais ce qu’il te dit le gros cul ? Elle fait semblant de me frapper. Je rétorque :— Il me dit quoi le gros cul alors ?Elle rit :— Qu’elle est curieuse d’essayer.— T’es parfois sur Grenoble ?— Je donne des cours tous les jeudis là-bas.— Ok, ça me va.— Quoi ?— Après tes cours, tu viens chez moi et on passe la soirée ou le début de la soirée ensemble. Elle sourit :— Mmmh… C’est tout à fait jouable car mon mec sort fréquemment ce jour-là et on ne se voit pas. Que je rentre à 19h ou à minuit, il n’y saura rien. — On dit jeudi à quelle heure ?— Je finis à 18h30. Le temps de me doucher et de me préparer, je peux être prête pour 19h30.— Tu peux aussi te doucher chez moi.— J’aurais tellement envie que tu me baises que je préfère être propre en arrivant.
Elle éclate de rire et moi, je suis aux anges avec tout cet échange. Nous nous rhabillons et retournons dans la salle à manger. Sandrine, Sabine et Marjorie se sont déplacées au salon. Nous avons visiblement fait un peu long si je me fie aux échanges de regards entre Aude et Sabine. Je vais vite sur le balcon pour prendre l’air et pour envoyer un message à Sandrine : "Tout roule".
Je bois de l’eau, je me repose, je souffle, je me détends dans le canapé. Je me mêle avec parcimonie aux discussions qui concernent désormais l’organisation du mariage et le rôle des demoiselles d’honneur. Mon attention se porte plus fréquemment sur Marjorie. J’essaye de capter les regards entre les filles et de comprendre leur signification. Marjorie semble hésiter. Elle baisse les yeux quand elle croise mon regard, mais jamais sans un petit sourire. Elle et Aude sortent fumer. L’action décisive.
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