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Sautée au refuge d'altitude (version hétéro)

Chapitre 1

Hétéro
Sautée au refuge d’altitude (version hétéro)

Le déclin du soleil obombrait déjà les pentes abruptes de l’ubac et celles, plus douces, de l’adret où nous nous trouvions étaient, elles aussi, gagnées petit à petit par la fin du jour.
Il nous fallait prendre un parti. Nous ne pouvions plus atteindre le village avant la fin du jour mais seulement à la lueur de nos lampes-torches qui, d’ailleurs,  étaient excellentes.
Un petit vent de foehn nous entourait par à coups de bulles de chaleur qui rendaient la canicule insupportable, même à cette altitude. Assurément le fond de la vallée devait être un four invivable. Le mieux était peut-être de passer la nuit au refuge, que l’on voyait en contrebas, se mirant dans son petit lac d’un bleu sans égal. Il y ferait sûrement plus frais pendant la nuit que sous notre toile de tente que nous ne retrouverions sans doute pas avant 22 H30 au camping de la petite bourgade.
Il nous fallu encore un quart d’heure pour atteindre la petite maison de pierre. Seules les cimes étaient encore éclairées par le soleil et le ciel, qui avait été d’un bleu d’azur toute la journée commençait à se couvrir de gros moutons blancs.
A notre grande surprise, le refuge était désert ce qui était exceptionnel pour la saison. Pas un randonneur ne s’y était attardé. La vaste pièce avec une grande table en bois et un vieux poêle en fonte était propre et vide, tout comme le dortoir de dix lits attenant. Il n’y avait plus à hésiter. Nous allions passer une soirée tranquille, ici, tous les deux.
Nous défîmes nos sacs puis Clémentine enleva son t-shirt et son soutif. Elle retira ses croquenots et se mit entièrement nue.
"Ben, chérie, qu’est-ce que tu fais"?— Je vais me baigner dans le lac avant qu’il ne fasse complètement nuit. L’eau doit y être délicieusement fraîche ! Tu viens ?— Tu es folle ! Si quelqu’un arrive ?— A cette heure ? Tu crois ? Regarde, la montagne est déserte !
C’était vrai. Il était plus qu’improbable que des piétons montent de la vallée à cette heure tardive. Quant à ceux qui étaient plus en altitude, ils avaient déjà dû poser leurs sacs dans un refuge plus en haut, de crainte de braver la nuit.
"Alors, tu viens ? Je t’assure, elle est bonne !"— Non merci. J’ai trop la dalle. Je prépare à manger. Peut-être que je me tremperais après.— Comme tu veux...

Et je la regardai s’avancer dans l’eau. Quelle était belle ! Ses formes parfaites, ses jambes fuselées qui disparaissaient peu à peu. Son beau petit cul ferme et bien rond, son dos et ses cheveux longs qui le caressaient... en quand elle se tourna vers moi, je vis ses énormes seins fermes et blancs, à l’exception de la partie supérieure de la gorge dorée par le soleil, et sa raie où repoussait une légère toison blonde qui m’inspiraient mille désirs. Je me mis à bander mais elle était trop loin dans l’eau, j’étais encore habillé et je voulais préparer le repas avant la totale obscurité... mais je me promettais bien d’y revenir.
Quand le repas fut près, elle sortit de l’eau. J’avais allumé des lampes qui se trouvaient à l’intérieur et nous dinâmes sur le seuil de la porte. La nuit qui commençait à s’épaissir, n’avait apporté aucune fraîcheur.
Nous restâmes là un long moment, à nous délasser de notre marche du jour. Clémentine ne s’était pas rhabillée. Elle s’était assise sur son sac de couchage. La lumière qui jaillissait de l’intérieur éclairait son corps en un clair obscur puissamment érotique qui rehaussait ses formes.
C’est alors que je me mis à poil à mon tour. J’allais, en titubant dans la nuit, vers le lac où je finis par tomber lourdement d’un coup dans un grand plouf, après avoir heurté une pierre. Je fus saisi par l’eau fraîche. Je fis quelques brasses, assez longtemps pour inquiéter Clémentine.
"Gwendal, t’es où, je ne te vois plus" ?
Je répondis en battant violemment l’eau de mes membres.
"Fais attention, dans le noir tu peux te faire mal."
Je lui répondis de ne pas s’en faire et je la vis qui rentrait nos affaires à l’intérieur, en trois ou quatre aller-retour, qui mettaient sa nudité en valeur à chaque fois qu’elle passait dans la lueur de la porte.
Je sortis de l’eau, m’avançai prudemment pour ne pas me cogner à nouveau à un rocher et rentrai dans la pièce dont je laissai la porte ouverte à cause de la chaleur.
Clémentine était debout, le dos tourné à la porte. Elle lisait notre guide de randonnée pour préparer d’autres itinéraires pour les jours suivants.
Je me collai à elle puis lui pris les seins, un dans chaque main et commençai à les pétrir.
"Hmmm petit cochon... il est tard... il faut prendre des forces pour demain matin..."— Il n’est pas tard... il n’est qu’un peu plus de 21 H 30... et le petit cochon a bien été allumé par une petite truie depuis qu’on est arrivé... avoue que ça t’excite cet endroit perdu où on peut faire ce que l’on veut.
Pour toute réponse, elle se retourna vers moi et m’attrapa la bite qu’elle commença à branler pendant que je lui roulais une pelle bien baveuse.
Je la poussai vers la table, elle s’y allongea, plia ses jambes pour m’offrir sa vulve que je n’eus plus qu’à recueillir en m’agenouillant... je me mis à lécher avec avidité.
Je restai ainsi un long moment à savourer cette moule fraîche pendant qu’elle se pelotait les nichons en gémissant déjà et en tortillant du cul sur le plateau de la table.
A ce moment, il y eut un grondement au loin et une forte rafale de vent.
Je me relevai pour fermer la porte. De gros nuages roulaient dans le ciel. L’orage, sans doute, éclaterait cette nuit. Mais pour le moment, j’avais mieux à faire que de m’occuper de la météo. Je montai prudemment sur la table, pas très large, pour me mettre en 69, ma copine dessous et moi dessus. Et, pendant que je glissai ma tête entre ses cuisses, elle me pompa le dard. Je broutai le minou avec application, écartant bien les grandes lèvres, suçant le clitoris, l’aspirant, le titillant du bout de la langue que j’essayai de temps à autres d’introduire le plus à fond possible dans la chatte. Je passai ma main sous les cuisses pour inviter Clémentine à les remonter afin qu’elle les replie et que, le cul étant au bord de la table, je puisse descendre ma tête plus bas encore pour lécher le petit œillet rose.
Mes roustons, pendant ce temps, étaient à la fête tout comme ma trique consciencieusement léchée, bouffée, aspirée.
Quand je fus ainsi rassasié, je me remis debout et invitai Clémentine à en faire autant. Puis je la tournai vers la table, la fit se pencher de sorte qu’elle pose tout son buste sur le plateau, les jambes bien écartée, la moule grande offerte, et je la pénétrai d’un coup. Puis je me mis à claquer son cul avec ardeur, reprenant parfois un peu de repos avant de la bourrer de plus belle, en me cramponnant tantôt à ses hanches, tantôt à ses épaules.
Il n’y avait pas à se retenir, la solitude nous autorisant tout.
"Tiens prends ça salope... t’aime ma bite... Tu la sens dans ta chatte hein " ?
Et elle répondait en criant et en gémissant sans aucune pudeur.
"Ouiii, vas-y mon amour, éclate -moi la chatte... elle est bonne ta queue...vas-y secoue -moi"— J’vais te la foutre dans le cul salope— Ouiiiiiii.... oh ouiiiiiiiiiii— Puis je vais te la refoutre dans la chatte et j’vais te remplir de foutre....— Non.... pas dans la chatte...j’veux te lécher...— Tu veux mon sperme dans ta gueule....hein... tu veux bouffer ma sauce petite cochonne ? C’est ça que tu veux ?— Ouiiiii, arrose-moi !
Bref, nous faisions en sacré vacarme. Nous en étions bien là depuis vingt à trente minutes et je n’étais pas loin d’aboutir lorsque la porte s’ouvrit brusquement, et la pièce fut envahie dans un grand fracas de bruits sourds et de raclements provoqués par des brodequins marchant sur le plancher.
Avant que j’aie pu comprendre quoi que ce soit, nous fûmes entourés par si gaillards, deux de chaque côté de la table et deux dans mon dos.
"Don’t move... keep going"!
Cette gentille invitation formulée d’un ton doux, fut dite alors que ma queue était encore au fond de la chatte. Mais je n’y obéis point. Au contraire, je m’arrêtai, médusé par la scène. Avant de poursuivre la discussion en anglais, que nous parlions tous couramment (ma mère est américaine d’origine et Clémentine est prof d’anglais, quant aux autres, je ne sais pas d’où leur venait cette maîtrise de la langue mais, comme beaucoup de scandinaves, ils ont beaucoup d’aisance à la pratiquer), je fis une rapide investigation de la situation, investigation pendant laquelle je perdis mes ardeurs.
Les mecs avaient dû nous entendre depuis un petit moment et nous mater par la fenêtre sans que nous nous en rendions compte. Ils avaient posé leurs sacs à dos et enlevé à la hâte leurs bermudas et leurs slips mais avaient gardés leurs godasses de marche et leurs chaussettes ainsi que, pour cinq d’entre-eux, leurs chemises à carreaux ouvertes sur leurs torses dégoulinant de sueur.
Au physique, ils se ressemblaient tous; six géants de près de deux mètres, soit légèrement plus que moi, très musclés et tous très blonds.
Celui qui paraissait être le plus entreprenant, et dont je sus après qu’il s’appelait Svenn, était poilu et portait une queue de cheval, dans tous les sens du terme, sur la tête et entre les jambes. Une magistrale érection témoignait de son intérêt pour ce que nous étions en train de faire à leur arrivée. J’ai beau avoir une bite de 18 Cm assez épaisse et circoncise, je ne pus que béer d’admiration pour cet engin, calibre 21 ou 22, très épais et surtout très droit vers le ciel. Tous les autres avait un chibre plus petit, dans les 18-20 mais c’était tous de très belles pièces. Moi qui suis circoncis, je regardai avec curiosité les prépuces épais décalottant plus ou moins et découvrant des glands aux formes et dimensions variées
Un seul, celui qui était entièrement nu à l’exception des chaussures qu’il gardait aux pieds, qui répondait au prénom de Hallvar, était entièrement glabre, sans un seul poil de la tête aux pieds. Les autres exhibaient fièrement des torses virils aux poils couverts de perles de transpiration et des sexes velus ayant, eux aussi, subi les outrages de la chaleur du jour. Quand ils eurent ensuite enlevé leurs chemise, je pus aussi constater que leurs aisselles étaient bien fournies.
Je m’excusai, balbutiai des âneries du genre "on pouvait pas savoir qu’il viendrait du monde... on va pas vous déranger plus longtemps..." mais les mecs, qui tous se branlaient la bite, n’avaient pas l’air incommodés le moins du monde par notre petit jeu.  Ils insistèrent donc pour que je continue.
Clémentine n’avait pas bougé. Elle avait juste mis son visage dans ses mains et restait allongée, les seins écrasés contre la table.
Ne sachant pas quoi faire, j’essayai de remettre ma queue, qui était sortie du trou le temps que j’inspecte le six mecs. Mais, n’ayant jamais fait de baise exhib et étant très très très gêné, mais vraiment, je débandai rapidement. Je fis quelques efforts pour retrouver mes ardeurs mais j’étais trop mou pour tenter quoique ce soit et tellement mal à l’aise que je ne pouvais plus rien faire.
Je m’expliquai donc, en prétextant que leur brutale intrusion m’avait déconcentré et que nous allions nous retirer dans la chambre pour les laisser se restaurer entre amis.
Mais celui qui s’appelait Erik, et qui se tenait légèrement derrière moi sur ma gauche, me dit qu’il n’y avait rien de tel qu’un bon exemple pour se remettre en forme.
Puis, me prenant par l’épaule, il m’écarta. Il prit ma place, s’agenouilla et se mit à lécher la chatte mouillée désormais disponible. Je ne réagis pas ! Un inconnu était en train de brouter ma meuf et je restai là sans rien faire.
Quant à Clémentine, elle ne broncha pas non plus, du moins, pas au début. Sans changer ses mains de place, elle se remit lentement à tortiller du cul sous les effets des caresses linguales. Son excitation n’était sans doute pas retombée.
Svenn, tapota alors sur la tête de son camarade, qui se releva et s’écarta.  Le géant à la queue d’étalon se mit donc derrière, prit sa bite en main, caressa le clitos en guidant son gros gland dans la vulve, puis se mit à pénétrer doucement. Quand il fut bien lubrifié, il se mit à coulisser rapidement en arrachant des petits cris plaintifs à Clémentine. Puis il se déchaina. Solidement accroché aux hanches, il se mit à lui démonter la chatte à coups rapides et violents qui faisaient claquer les chairs. Je sus qu’elle ne pourrait pas tenir à ce rythme longtemps. Et, effectivement, elle desserra ses mains de son visage, empoignant les deux cotés de la table, raidit ses bras et, en se soulevant, elle libéra ses gros seins qui se mirent à osciller à la cadence infernale des coups de bite.
Elle se mordillait les lèvres, passait sa langue dessus, se retenait, les yeux fermés. Le gars continuait de la malmener et, tout autour les autres mecs s’astiquaient le manche en douceur.
Enfin, elle ouvrit la bouche en murmurant : "Oui, c’est bon... ouiii encore, encore... elle est bonne ta queue...".
Alors le mec se dégagea et fit signe à Knut de venir profiter à son tour de l’opportunité.
Knut était sans doute le plus musclé, le plus lourd, le plus massif, une montagne humaine mais, surtout, il était reconnaissable à la plus magistrale paire de couilles que j’ai jamais vue, grosses et, de surcroit extrêmement pendantes. Il l’enfila sans ménagement et la bourra comme une chienne.
Svenn me dit alors : "Monte sur la table".
J’obéis sans réfléchir. J’étais terriblement excité et bandais ferme à nouveau.
Il s’adressa alors à Clémentine : "Suce-le".
Elle avala ma bite tout en maintenant ses bras accrochés à la table. Tous les mecs s’étaient rapprochés et lui flattaient la croupe ou les nichons.
Quand Knut en eut profité, il laissa le champ libre pour Torgal, m’invita gentiment à me pousser, s’agenouilla devant ma copine qui, sans hésiter engloutit le zob qu’il lui présentait. Cela me fit tout drôle de la voir pomper un autre mec... mais pourquoi aurais-je plus réagi que lorsque je l’avais vue se faire trouer la chatte ? Je fus bien un petit peu dérangé puis l’excitation sexuelle reprit le dessus.
Quand chacun l’eut prise ainsi, Svenn ordonna à Knut de se mettre à la manœuvre. Celui -ci redressa Clémentine, la fit asseoir face à lui, l’enfila et la souleva. Par réflexe elle passa ses mains autour de la nuque de taureau et enroula ses jambes autour des fesses du géant scandinave. Il la sauta ainsi debout puis fit quelques pas vers l’autre pièce et, sans la lâcher, vint se mettre à genoux puis s’allongea sur un matelas où il la sauta en missionnaire. Tout le monde avait suivi. Une bite était déjà dans la bouche et les seins disparaissaient sous des mains avides de chair.
Il y avait sept mecs en rut sur ma fiancée qui semblait apprécier le mec qui était en train de la couvrir et la préparer pour les autres. Quant à moi j’étais hypnotisé et j’attendais impatiemment de la voir couverte de jute.
A suivre
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