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Sautée au refuge d'altitude (version hétéro)

Chapitre 2

Hétéro
La tournante reprit. Tour à tour, les mecs grimpaient ma femme et la pilonnait pendant quelques minutes puis laissaient la place à un copain. La bouche était traitée comme la chatte, alternativement, mais il arrivait que deux bites se présentassent en même temps. Clémentine, les saisissait toutes les deux, les collait gland contre gland et les léchait.
La lumière  était faible et donnait à la scène quelque chose de bestial et de primitif. Les mecs râlaient, s’apostrophaient dans leur langue gutturale, me complimentaient parfois en anglais pour les charmes et la complaisance de ma femme qu’ils traitaient de tout les noms, mais avec une certaine douceur de ton.
Sans plus de privilèges que les autres, je pris mon tour. Bien planté sur mes bras, cambré pour ne pas heurter le torse des gars qui se faisaient sucer, je mis mon chibre bien au fond en remuant mon bassin dans tous les sens.
Je dis en français, de façon à que personne ne nous comprenne : "ça va ma chérie" ?— Oui.— C’est... tu n’es pas... choquée ?— Oh, non, c’est trop bon.— Tu ne m’en veux pas ?— De quoi ?— De ne pas les en avoir empêché ?— Ils ne t’on pas....aaaah... ils ne t’ont pas laissé le..... ouh, c’est bon ça..... le choix...— Tu aimes ?— Oui !— Tu aimes le faire à plusieurs... vraiment... avec des inconnus ?— Oui, c’est trop bon.— Comme tu voudras...Et maintenant,  tu la sens ma bite là.... elle te plaît"?  Elle gémit langoureusement. Ce fut sa réponse. Et cela, lié au fait qu’elle acceptait ce gang bang improvisé, me stimula d’un coup. Tout un champ de possibilités sexuelles, plein de fantasmes inavoués, plein d’expériences nouvelles allaient s’offrir à moi. Des chose dont je n’aurais pas même imaginé qu’elles fussent possibles.
"Tu aimes sentir toutes ces queues... t’aime te faire prendre par tous ces mecs" ?— Oui, c’est trop bon... prenez moi... allez-y.— Tu en veux hein... tu vas en avoir salope ! Elle te suffit pas ma bite. Tu veux d’autres grosses quéquettes sale pute ?— Ouiii.... allez-y.

Dont acte !
(Je ne l’avais jamais insultée avant. J’y pris un vif plaisir, d’autant qu’elle y répondit plus que favorablement).
Alors, délaissant le français, j’invitais les mecs à se lâcher complètement.
"Bourrez-moi bien cette truie. Elle est à vous. C’est une bonne pute qui aime la queue. Baisez-là cette salope" !
Les triquards m’avaient bien compris et ils multiplièrent les outrances. Ils la traitèrent de pouffiasse de pute, de trou à bites... ils la bifflaient, lui pinçaient les tétons, la fessaient et la bousculaient sauvagement.
Quand revint le tour de Svenn de la couvrir, il la mit à quatre pattes, et nous fit allonger à trois, Hallvar, Bjorn au centre et moi à droite, côté à côte. Puis il la fourra en levrette pendant qu’elle suçait alternativement nos trois bites. Les trois autres mecs, tout en se pignolant attendaient leur tour. Parfois, tout en léchant une queue, elle tendait un bras pour masturber un chibroque à proximité.
Les mecs parlaient fort, rigolaient, s’encourageaient, se congratulaient.
Les claques pleuvaient sur le petit cul ferme sans arrêt torturé par un gros nœud. Ses orgasmes se succédaient. Elle mouillait comme une chienne.
Il faisait une chaleur impossible. La pièce s’emplissait de l’odeur de sueur et de rut. Tout à coup elle fut illuminée d’une lumière blanche et vive. Dehors, l’orage se rapprochait.
Erik voulut corser l’affaire. Il s’allongea sur le dos. Clémentine vint s’empaler sur lui et se mit à lui rouler des pelles. Svenn, après avoir humecté ses doigts se mit à fouiller l’anus. Il le lécha et présenta sa bite pour le forcer. La chose ne fut pas aisée mais le gros vit finit par déchirer les chairs et élargir le passage. Quand il fut bien entré, les deux mecs se sublimèrent pour la déboiter.
Chaque mec vint donc lui défoncer le trou du cul. Tantôt, on changeait les deux mecs à la fois puis on la mettait dans l’autre sens, toujours pour lui pénétrer les deux orifices et tantôt on se mettait  à deux pour lui fouiller la chatte.
Super excité je n’y puis plus tenir et, pendant que Bjorn agitait sa pine contre la mienne au fond du vagin, j’atteignis l’orgasme et éjaculais puissamment. Rendue bien molle rapidement, ma verge s’extirpa du cloaque dans un "plop" retentissant. Je n’étais pas plus tôt sorti qu’une grosse queue vint prendre ses quartiers dans cette crevasse dégoulinante non sans avoir ramassé au passage un petit lot de foutre qui s’en échappait.
Enfin, voulant sans doute aboutir, Svenn la remit sur le dos et la baisa en missionnaire. Tout autour, les queues s’astiquaient. Il se retira, lui demanda de se mettre à genoux, coinça sa bite entre les nibards et au bout de quelques coulissements pendant lesquels on voyait son gros bout rouge sortir et disparaître entre les deux mamelons, il éjacula comme un geyser.
Erik mit sa pine sur ce poitrail foutreux et se mit à danser en jurant dans sa langue, du moins c’est ce que je crus.
Au même moment, Knut, les boules posées sur le front de la pauvre femelle, les délestait de quelques centilitres de liqueur qui vinrent recouvrir le visage.
Tous, ainsi, se vidangèrent les couilles  entre les seins ou sur le visage. Ma belle fiancée était couverte de sperme.
Les mecs se félicitèrent et ils en firent autant à notre égard. L’un d’eux ferma les volets. Il commençait à pleuvoir.
C’est ainsi que tout le monde se coucha, nu, plein de sueur et de jus sur les poils. Je m’allongeai tout de même un peu inquiet de la réaction de ma copine une fois l’excitation passée. Comme le dit l’auteur : "post coïtum animal triste – Après l’amour, tout être vivant est triste..."
"ça va "?— Ah la vache, vous m’avez démontée. C’était super bon....
L’auteur, j’avais oublié ce détail, ajoute : "... praeter gallum mulieremque – à l’exception du coq et de la femme". Nous étions donc l’un et l’autre conclus-je.
Ainsi rassuré, je m’endormis comme un bienheureux malgré la foudre et le tonnerre qui faisait résonner dans la montagne un bruit de fin du monde.
A suivre
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